• Donald Trump furieux !
    L’ancien président dénonce CNN, qui affirme que les sites nucléaires iraniens n'ont pas été détruits malgré les frappes des B-2 américains
    Trump crie à la désinformation et évoque une opération « sabordée » médiatiquement.
    La tension monte, la vérité reste floue…

    #Trump #Iran #CNN #Nucléaire #B2 #Désinformation

    🚨 Donald Trump furieux ! 😡 L’ancien président dénonce CNN, qui affirme que les sites nucléaires iraniens n'ont pas été détruits malgré les frappes des B-2 américains 🇺🇸✈️ 💬 Trump crie à la désinformation et évoque une opération « sabordée » médiatiquement. 🔥 La tension monte, la vérité reste floue… #Trump #Iran #CNN #Nucléaire #B2 #Désinformation
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  • Cessez-le-feu décrété ce mardi après 12 jours de guerre. L’Iran parle d’une « guerre imposée » par Tel-Aviv. Netanyahou, lui, célèbre une « victoire historique » et jure : « Téhéran n’aura jamais l’arme nucléaire ». Tensions gelées, mais la braise couve. #Iran #Israël #CessezLeFeu #Nucléaire
    🔥 Cessez-le-feu décrété ce mardi après 12 jours de guerre. 🇮🇷 L’Iran parle d’une « guerre imposée » par Tel-Aviv. 🇮🇱 Netanyahou, lui, célèbre une « victoire historique » et jure : « Téhéran n’aura jamais l’arme nucléaire ». ⚡ Tensions gelées, mais la braise couve. #Iran #Israël #CessezLeFeu #Nucléaire
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  • Frappes américaines en Iran : une stratégie contestée face à un savoir enraciné
    Les récentes frappes américaines visant plusieurs infrastructures nucléaires en Iran suscitent une vague de réactions à travers le monde, notamment en Europe. L’un des commentaires les plus marquants vient de Thierry Breton, commissaire européen, qui a réagi avec fermeté en soulignant l’inefficacité d’une réponse purement militaire face à une expertise profondément ancrée.

    Selon lui, "ce n'est pas en détruisant 2 000 centrifugeuses qu'on arrête un programme nucléaire", insistant sur un fait souvent négligé dans les calculs stratégiques : la force du savoir humain. En effet, au-delà des installations physiques ciblées, l’Iran dispose d’environ 20 000 scientifiques spécialisés dans le domaine nucléaire, selon les estimations. Ces femmes et hommes de science détiennent le véritable cœur du programme : la connaissance, la méthode, l’expérience.

    Derrière cette déclaration, se dessine une critique plus large de la logique des frappes préventives : peut-on réellement stopper un programme scientifique et technologique d’envergure simplement en frappant ses installations ? L’histoire semble démontrer le contraire. Chaque fois qu’un pays a vu ses laboratoires démolis, les compétences humaines ont permis une reconstruction souvent plus rapide et plus résiliente.

    Cette position portée par un haut responsable européen met aussi en lumière la nécessité d’une approche diplomatique plus subtile. Elle rappelle que la technologie peut être reconstruite, mais pas la paix une fois fracturée. L’implication de dizaines de milliers de scientifiques démontre que le programme nucléaire iranien est devenu un pilier d’identité nationale et de souveraineté, rendant toute tentative de démantèlement par la force encore plus périlleuse sur le plan géopolitique.

    Alors que la communauté internationale appelle au calme, la déclaration de Thierry Breton agit comme un signal d’alarme : frapper les machines ne suffit pas à effacer les idées. Il faudra bien plus qu’une démonstration de force pour désamorcer durablement les tensions liées à la prolifération nucléaire.
    🚨🚨🚨Frappes américaines en Iran : une stratégie contestée face à un savoir enraciné Les récentes frappes américaines visant plusieurs infrastructures nucléaires en Iran suscitent une vague de réactions à travers le monde, notamment en Europe. L’un des commentaires les plus marquants vient de Thierry Breton, commissaire européen, qui a réagi avec fermeté en soulignant l’inefficacité d’une réponse purement militaire face à une expertise profondément ancrée. Selon lui, "ce n'est pas en détruisant 2 000 centrifugeuses qu'on arrête un programme nucléaire", insistant sur un fait souvent négligé dans les calculs stratégiques : la force du savoir humain. En effet, au-delà des installations physiques ciblées, l’Iran dispose d’environ 20 000 scientifiques spécialisés dans le domaine nucléaire, selon les estimations. Ces femmes et hommes de science détiennent le véritable cœur du programme : la connaissance, la méthode, l’expérience. Derrière cette déclaration, se dessine une critique plus large de la logique des frappes préventives : peut-on réellement stopper un programme scientifique et technologique d’envergure simplement en frappant ses installations ? L’histoire semble démontrer le contraire. Chaque fois qu’un pays a vu ses laboratoires démolis, les compétences humaines ont permis une reconstruction souvent plus rapide et plus résiliente. Cette position portée par un haut responsable européen met aussi en lumière la nécessité d’une approche diplomatique plus subtile. Elle rappelle que la technologie peut être reconstruite, mais pas la paix une fois fracturée. L’implication de dizaines de milliers de scientifiques démontre que le programme nucléaire iranien est devenu un pilier d’identité nationale et de souveraineté, rendant toute tentative de démantèlement par la force encore plus périlleuse sur le plan géopolitique. Alors que la communauté internationale appelle au calme, la déclaration de Thierry Breton agit comme un signal d’alarme : frapper les machines ne suffit pas à effacer les idées. Il faudra bien plus qu’une démonstration de force pour désamorcer durablement les tensions liées à la prolifération nucléaire.
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  • Le Saviez-vous | Comment fonctionne une arme nucléaire ?

    Il existe une différence foncdamentale entre les deux grands type d'armes nucléaires. Le fonctionnement des BOMBES A (armes à fission) est relativement "simple" et les principes généraux permettant leur mis au point sont passé dans le domaine public (Son procédé a été couvert par le brevet français 971-324 de 1939 à 1959). En revanche, les BOMBES H (armes à fusion) sont des engins excessivement complexes et leurs secrets de fabrication restent bien gardés. Toutes les armes nucléaires modernes sont à fusion.

    L'explosion nucléaire

    La première phase d'une explosion nucléaire commence par la détonation des explosifs chimiques qui entourent le coeur de matière ; celui-ci devient supercritique, un état qui permet le démarrage de la réaction de fission. Une source neutronique in injecte un flux de particules pour aider à ce démarrage et la phase nucléaire commence.

    Dans le cas d'une bombe A, la réaction dure un millionième de seconde et dégage une quantité massive de rayonnement électromagnétique. La température atteint plusieurs dizaines de millions de dégrés et la pression monte à plusieurs millions de fois celle de l'atmosphère.

    L'énergie de la boule de feu se convertit en rayonnements ultraviolets et électromagnétiques. Vients ensuite l'effets de souffle, qui commence par une onde de choc au coeur de la boule de feu, puis se développe à une vitesse supersonique. Le vide crée par l'explosion attire l'air, la poussière et les débris de surface : la forme de l'ensemble - comme pour toute explosion de grande empleur - ressemble à un grand champignon.

    Dans le cas d'une bombe H, la phase nucléaire se poursuit. L'énergie dégagée sert d'amorce à l'étage de puissance qui contient le combustible de fusion (phase thermonucléaire). Simultanément, une seconde réaction de fission démarre. La fusion des noyaux d'atomes d'hydrogène commence. L'énergie est d'autant plus importante qu'une troisième réaction de fission est initiée au sein de l'enveloppe d'uranium qui entoure l'étage de puissance.

    Pouvant dégager des énergies de plusieurs dizaines de millions de tonnes de TNT, les armes thermonucléaires sont des engins de mort très complexes. Si la fabrication de la bombe atomique est essentiellement une question d'ingénierie, celle de la bombe à hydrogène (ou thermonucléaire) repose sur un problème de physique ardu à résoudre, qui exige le recours à des calculateurs de grandes puissances. Il y a au moins deux parties distinctes dans une une telle arme : une bombe à fission dont la détonation sert d'amorce, et un étage de puissance au cœur duquel se trouve un mélange d'isotopes de l'hydrogènes (le deutérieum, par exemple), là où va se produire la fusion. Une arme thermonucléaire moderne peut contenir près de quatre mille éléments différents.
    💡Le Saviez-vous | Comment fonctionne une arme nucléaire ? 🚀 Il existe une différence foncdamentale entre les deux grands type d'armes nucléaires. Le fonctionnement des BOMBES A (armes à fission) est relativement "simple" et les principes généraux permettant leur mis au point sont passé dans le domaine public (Son procédé a été couvert par le brevet français 971-324 de 1939 à 1959). En revanche, les BOMBES H (armes à fusion) sont des engins excessivement complexes et leurs secrets de fabrication restent bien gardés. Toutes les armes nucléaires modernes sont à fusion. L'explosion nucléaire La première phase d'une explosion nucléaire commence par la détonation des explosifs chimiques qui entourent le coeur de matière ; celui-ci devient supercritique, un état qui permet le démarrage de la réaction de fission. Une source neutronique in injecte un flux de particules pour aider à ce démarrage et la phase nucléaire commence. Dans le cas d'une bombe A, la réaction dure un millionième de seconde et dégage une quantité massive de rayonnement électromagnétique. La température atteint plusieurs dizaines de millions de dégrés et la pression monte à plusieurs millions de fois celle de l'atmosphère. L'énergie de la boule de feu se convertit en rayonnements ultraviolets et électromagnétiques. Vients ensuite l'effets de souffle, qui commence par une onde de choc au coeur de la boule de feu, puis se développe à une vitesse supersonique. Le vide crée par l'explosion attire l'air, la poussière et les débris de surface : la forme de l'ensemble - comme pour toute explosion de grande empleur - ressemble à un grand champignon. Dans le cas d'une bombe H, la phase nucléaire se poursuit. L'énergie dégagée sert d'amorce à l'étage de puissance qui contient le combustible de fusion (phase thermonucléaire). Simultanément, une seconde réaction de fission démarre. La fusion des noyaux d'atomes d'hydrogène commence. L'énergie est d'autant plus importante qu'une troisième réaction de fission est initiée au sein de l'enveloppe d'uranium qui entoure l'étage de puissance. Pouvant dégager des énergies de plusieurs dizaines de millions de tonnes de TNT, les armes thermonucléaires sont des engins de mort très complexes. Si la fabrication de la bombe atomique est essentiellement une question d'ingénierie, celle de la bombe à hydrogène (ou thermonucléaire) repose sur un problème de physique ardu à résoudre, qui exige le recours à des calculateurs de grandes puissances. Il y a au moins deux parties distinctes dans une une telle arme : une bombe à fission dont la détonation sert d'amorce, et un étage de puissance au cœur duquel se trouve un mélange d'isotopes de l'hydrogènes (le deutérieum, par exemple), là où va se produire la fusion. Une arme thermonucléaire moderne peut contenir près de quatre mille éléments différents.
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  • Centrale nucléaire de Flamanville : à peine lancé, le nouveau réacteur s’arrête automatiquement
    🎯 Centrale nucléaire de Flamanville : à peine lancé, le nouveau réacteur s’arrête automatiquement 😱
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