• L’Algérie Transforme le Sahara en Grenier Agricole : Une Révolution Verte en Marche

    Dans les profondeurs arides du Sahara algérien, une transformation sans précédent est en cours. Jadis terres hostiles balayées par les vents de sable, les wilayas du sud deviennent peu à peu les nouvelles terres nourricières de l’Algérie. À El Oued, Adrar ou encore Ouargla, la campagne de moisson-battage 2025 témoigne de cette révolution agricole, portée par une volonté politique forte et des moyens logistiques impressionnants.

    Une moisson record dans le désert

    La saison agricole actuelle s’annonce exceptionnelle. À El Oued, pas moins de 370 000 quintaux de céréales sont attendus cette année. Le blé dur domine les récoltes, avec près de 272 000 quintaux estimés, cultivés sur 6 800 hectares. L’orge, lui, couvre environ 3 000 hectares. Ce bond en avant est le fruit d’une stratégie agricole offensive, qui vise à mobiliser chaque parcelle exploitable du territoire saharien.

    Des moyens logistiques à la hauteur de l’ambition

    Pour soutenir cette campagne, l’État algérien a déployé une infrastructure impressionnante : 55 moissonneuses-batteuses, 13 ramasseuses-presses, et quatre centres d’engrangement d’une capacité totale de 267 000 quintaux ont été installés dans la seule wilaya d’El Oued. Des convois de plus de 120 camions sillonnent les routes désertiques pour acheminer les récoltes vers les centres de stockage.

    Le Sahara, pilier d’un avenir agricole autosuffisant

    Au-delà des chiffres, c’est un changement de paradigme que connaît l’Algérie. Longtemps dépendante des importations pour son alimentation, le pays mise désormais sur le sud pour garantir sa sécurité alimentaire. Le projet de ferme géante à Adrar, développé en partenariat avec le groupe qatari Baladna, incarne cette ambition. À terme, il vise à produire du lait, des céréales, de la viande et des fourrages sur des milliers d'hectares.

    Une réussite conditionnée par une gestion durable

    Cependant, cette révolution verte ne va pas sans défis. Le Sahara est une région fragile. Les ressources en eau, principalement issues de nappes fossiles, sont limitées. Des études montrent que ces nappes sont exploitées à un rythme bien supérieur à leur capacité de renouvellement. De plus, les aléas climatiques — sécheresse persistante, tempêtes de sable — peuvent compromettre les efforts engagés.

    Vers un nouveau modèle agricole

    Malgré ces contraintes, l’élan est donné. La mutation du Sahara algérien en pôle agricole n’est plus une utopie mais une réalité en marche. Il s’agit désormais d’ancrer cette dynamique dans une logique de durabilité, en intégrant des technologies de pointe, des pratiques agricoles responsables, et une gouvernance rigoureuse des ressources.

    L’Algérie, pays du soleil, pourrait bien devenir, à terme, l’un des leaders de la production céréalière en Afrique du Nord — et le Sahara, son grenier inattendu.

    🚨 L’Algérie Transforme le Sahara en Grenier Agricole : Une Révolution Verte en Marche Dans les profondeurs arides du Sahara algérien, une transformation sans précédent est en cours. Jadis terres hostiles balayées par les vents de sable, les wilayas du sud deviennent peu à peu les nouvelles terres nourricières de l’Algérie. À El Oued, Adrar ou encore Ouargla, la campagne de moisson-battage 2025 témoigne de cette révolution agricole, portée par une volonté politique forte et des moyens logistiques impressionnants. ➡️ Une moisson record dans le désert La saison agricole actuelle s’annonce exceptionnelle. À El Oued, pas moins de 370 000 quintaux de céréales sont attendus cette année. Le blé dur domine les récoltes, avec près de 272 000 quintaux estimés, cultivés sur 6 800 hectares. L’orge, lui, couvre environ 3 000 hectares. Ce bond en avant est le fruit d’une stratégie agricole offensive, qui vise à mobiliser chaque parcelle exploitable du territoire saharien. ➡️ Des moyens logistiques à la hauteur de l’ambition Pour soutenir cette campagne, l’État algérien a déployé une infrastructure impressionnante : 55 moissonneuses-batteuses, 13 ramasseuses-presses, et quatre centres d’engrangement d’une capacité totale de 267 000 quintaux ont été installés dans la seule wilaya d’El Oued. Des convois de plus de 120 camions sillonnent les routes désertiques pour acheminer les récoltes vers les centres de stockage. ➡️ Le Sahara, pilier d’un avenir agricole autosuffisant Au-delà des chiffres, c’est un changement de paradigme que connaît l’Algérie. Longtemps dépendante des importations pour son alimentation, le pays mise désormais sur le sud pour garantir sa sécurité alimentaire. Le projet de ferme géante à Adrar, développé en partenariat avec le groupe qatari Baladna, incarne cette ambition. À terme, il vise à produire du lait, des céréales, de la viande et des fourrages sur des milliers d'hectares. ➡️ Une réussite conditionnée par une gestion durable Cependant, cette révolution verte ne va pas sans défis. Le Sahara est une région fragile. Les ressources en eau, principalement issues de nappes fossiles, sont limitées. Des études montrent que ces nappes sont exploitées à un rythme bien supérieur à leur capacité de renouvellement. De plus, les aléas climatiques — sécheresse persistante, tempêtes de sable — peuvent compromettre les efforts engagés. ➡️ Vers un nouveau modèle agricole Malgré ces contraintes, l’élan est donné. La mutation du Sahara algérien en pôle agricole n’est plus une utopie mais une réalité en marche. Il s’agit désormais d’ancrer cette dynamique dans une logique de durabilité, en intégrant des technologies de pointe, des pratiques agricoles responsables, et une gouvernance rigoureuse des ressources. L’Algérie, pays du soleil, pourrait bien devenir, à terme, l’un des leaders de la production céréalière en Afrique du Nord — et le Sahara, son grenier inattendu.
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  • L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages

    Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques.

    Des attaques informationnelles bien structurées

    Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes.

    « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense.

    Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations

    Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations.

    Des cas ciblés et médiatisés

    Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger.

    Une riposte à plusieurs niveaux

    Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse.

    Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe.

    L’éducation, un rempart durable

    Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information.

    Conclusion

    L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
    🚨 L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques. ➡️ Des attaques informationnelles bien structurées Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes. « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense. ➡️ Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations. ➡️ Des cas ciblés et médiatisés Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger. ➡️ Une riposte à plusieurs niveaux Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse. Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe. ➡️ L’éducation, un rempart durable Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information. ➡️ Conclusion L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
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  • Algérie – Oman : Un fonds d’investissement commun de 300 millions de dollars pour dynamiser des secteurs stratégiques

    L’Algérie et le Sultanat d’Oman ont récemment officialisé la création d’un fonds d’investissement conjoint d’une valeur de 300 millions de dollars. Ce partenariat stratégique vise à renforcer les liens économiques entre les deux pays et à soutenir des projets dans des secteurs jugés prioritaires pour leur développement durable.

    ✅️ Le fonds cible plusieurs domaines clés :

    1️⃣ L’agriculture saharienne et la sécurité alimentaire, avec un intérêt particulier pour les projets dans les zones désertiques afin d'assurer une production locale et durable.
    2️⃣ L’industrie pharmaceutique, en soutenant la production de médicaments, le transfert de technologie et la réduction de la dépendance aux importations.
    3️⃣ L’agroalimentaire, pour améliorer la transformation des produits agricoles locaux et développer les chaînes de valeur.
    4️⃣ Les énergies renouvelables et la pétrochimie, secteurs évoqués pour de futurs investissements.
    5️⃣ Les technologies et le tourisme, comme axes d’innovation et de diversification économique.

    Parmi les projets concrets en préparation figurent une usine de montage automobile Hyundai en Algérie et la consolidation d'une société algéro-omanaise de production d’engrais.

    Ce fonds représente un levier important pour la coopération économique bilatérale et pourrait servir de modèle pour d’autres partenariats régionaux.
    🇩🇿 🇴🇲 Algérie – Oman : Un fonds d’investissement commun de 300 millions de dollars pour dynamiser des secteurs stratégiques L’Algérie et le Sultanat d’Oman ont récemment officialisé la création d’un fonds d’investissement conjoint d’une valeur de 300 millions de dollars. Ce partenariat stratégique vise à renforcer les liens économiques entre les deux pays et à soutenir des projets dans des secteurs jugés prioritaires pour leur développement durable. ✅️ Le fonds cible plusieurs domaines clés : 1️⃣ L’agriculture saharienne et la sécurité alimentaire, avec un intérêt particulier pour les projets dans les zones désertiques afin d'assurer une production locale et durable. 2️⃣ L’industrie pharmaceutique, en soutenant la production de médicaments, le transfert de technologie et la réduction de la dépendance aux importations. 3️⃣ L’agroalimentaire, pour améliorer la transformation des produits agricoles locaux et développer les chaînes de valeur. 4️⃣ Les énergies renouvelables et la pétrochimie, secteurs évoqués pour de futurs investissements. 5️⃣ Les technologies et le tourisme, comme axes d’innovation et de diversification économique. Parmi les projets concrets en préparation figurent une usine de montage automobile Hyundai en Algérie et la consolidation d'une société algéro-omanaise de production d’engrais. Ce fonds représente un levier important pour la coopération économique bilatérale et pourrait servir de modèle pour d’autres partenariats régionaux.
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  • Algérie-Italie : Une coopération économique solide malgré une légère baisse des échanges commerciaux

    En 2024, les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Italie ont atteint 12,5 milliards d’euros, enregistrant une légère baisse par rapport aux 15,5 milliards de 2023. Malgré ce recul, la coopération entre les deux pays reste dynamique et s’oriente de plus en plus vers des projets structurants à long terme.

    Parmi les initiatives phares, un méga-projet agricole d’une valeur de 420 millions d’euros a été lancé dans la wilaya de Timimoun. Porté par le groupe italien Bonifiche Ferraresi, en partenariat avec le Fonds National d’Investissement algérien, ce projet s’étend sur 36 000 hectares et vise à renforcer la sécurité alimentaire en Algérie. Il prévoit la production de céréales, la construction d’unités de transformation et la création de milliers d’emplois.

    Ce partenariat s’inscrit dans le cadre du "Plan Mattei", une initiative italienne lancée en 2024 pour renforcer les relations économiques avec l’Afrique dans des secteurs clés comme l’énergie, l’agriculture, l’eau et la santé. L’Algérie, partenaire stratégique, y joue un rôle central.

    À l’horizon 2025, Alger et Rome poursuivent leur engagement commun, comme en témoigne la table ronde organisée en mars à Alger, axée sur les investissements dans les énergies renouvelables, les infrastructures et les technologies.

    Malgré un léger repli commercial, l’axe Alger-Rome s’inscrit donc dans une logique de coopération durable et mutuellement bénéfique, au-delà des simples flux commerciaux.
    #info #news #actualités #actu
    🇩🇿 🇮🇹 Algérie-Italie : Une coopération économique solide malgré une légère baisse des échanges commerciaux En 2024, les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Italie ont atteint 12,5 milliards d’euros, enregistrant une légère baisse par rapport aux 15,5 milliards de 2023. Malgré ce recul, la coopération entre les deux pays reste dynamique et s’oriente de plus en plus vers des projets structurants à long terme. Parmi les initiatives phares, un méga-projet agricole d’une valeur de 420 millions d’euros a été lancé dans la wilaya de Timimoun. Porté par le groupe italien Bonifiche Ferraresi, en partenariat avec le Fonds National d’Investissement algérien, ce projet s’étend sur 36 000 hectares et vise à renforcer la sécurité alimentaire en Algérie. Il prévoit la production de céréales, la construction d’unités de transformation et la création de milliers d’emplois. Ce partenariat s’inscrit dans le cadre du "Plan Mattei", une initiative italienne lancée en 2024 pour renforcer les relations économiques avec l’Afrique dans des secteurs clés comme l’énergie, l’agriculture, l’eau et la santé. L’Algérie, partenaire stratégique, y joue un rôle central. À l’horizon 2025, Alger et Rome poursuivent leur engagement commun, comme en témoigne la table ronde organisée en mars à Alger, axée sur les investissements dans les énergies renouvelables, les infrastructures et les technologies. Malgré un léger repli commercial, l’axe Alger-Rome s’inscrit donc dans une logique de coopération durable et mutuellement bénéfique, au-delà des simples flux commerciaux. #info #news #actualités #actu
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  • Algérie–Chine : un accord industriel stratégique signé le 27 avril 2025

    Le 27 avril 2025, l’Algérie et la Chine ont franchi un nouveau cap dans leur coopération économique avec la signature d’un partenariat industriel majeur. L’accord, conclu entre la société nationale ANABIB – filiale du holding industriel algérien SNS – et le groupe chinois Dofin Dour, vise à développer des capacités avancées dans le domaine de la galvanisation à chaud.

    Ce projet s’inscrit dans le cadre du second Plan quinquennal de coopération stratégique globale 2022-2026, un programme ambitieux de collaboration bilatérale entre Alger et Pékin. Il vient également prolonger la dynamique lancée lors de la visite d’État du président algérien en Chine en 2023, qui avait abouti à la signature de 19 accords couvrant plusieurs secteurs clés.

    Outre le renforcement des capacités de production métallurgique, ce partenariat prévoit un transfert de technologie et la formation de la main-d’œuvre locale, contribuant à moderniser l’industrie algérienne et à soutenir une croissance économique durable.


    🇩🇿 Algérie–Chine : un accord industriel stratégique signé le 27 avril 2025 Le 27 avril 2025, l’Algérie et la Chine ont franchi un nouveau cap dans leur coopération économique avec la signature d’un partenariat industriel majeur. L’accord, conclu entre la société nationale ANABIB – filiale du holding industriel algérien SNS – et le groupe chinois Dofin Dour, vise à développer des capacités avancées dans le domaine de la galvanisation à chaud. Ce projet s’inscrit dans le cadre du second Plan quinquennal de coopération stratégique globale 2022-2026, un programme ambitieux de collaboration bilatérale entre Alger et Pékin. Il vient également prolonger la dynamique lancée lors de la visite d’État du président algérien en Chine en 2023, qui avait abouti à la signature de 19 accords couvrant plusieurs secteurs clés. Outre le renforcement des capacités de production métallurgique, ce partenariat prévoit un transfert de technologie et la formation de la main-d’œuvre locale, contribuant à moderniser l’industrie algérienne et à soutenir une croissance économique durable.
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  • Bordj Bou Arreridj : un trésor algérien entre histoire millénaire et richesse culturelle

    Au cœur des Hauts Plateaux algériens, la wilaya de Bordj Bou Arreridj s’impose comme un carrefour entre tradition et modernité. Réputée pour son patrimoine archéologique, son artisanat florissant et ses paysages à couper le souffle, cette région souvent méconnue gagne à être redécouverte.

    ✅️ Un héritage qui traverse les siècles

    L’histoire de Bordj Bou Arreridj remonte à la préhistoire. Des outils en silex et des fragments de poterie attestent de la présence humaine dès le Mésolithique. Sous l’Empire romain, la région faisait partie de la Maurétanie césarienne. Des vestiges retrouvés à El Hamadia, comme des chapiteaux et fresques, rappellent cette époque d’échanges et de grandeur.

    L’un des joyaux historiques de la région reste le village d’El Ksour, fondé au Xe siècle. Témoignage vivant de l’architecture islamique médiévale, il se compose de 94 maisons de pierre, de mosquées et de ruelles étroites, toujours habitées. Les autorités œuvrent actuellement pour faire inscrire ce site au patrimoine mondial de l’UNESCO.

    ✅️ Une culture riche, vivante et fièrement préservée

    La culture locale est portée par un artisanat d’exception. Les femmes perpétuent l’art du tissage de laine, la fabrication du Binwar Esst (robe traditionnelle), ainsi que la confection de bijoux en argent, véritables symboles identitaires. Ces pratiques ancestrales ne sont pas de simples souvenirs du passé : elles continuent de faire vivre des familles et d’alimenter l’économie locale.

    Chaque printemps, les habitants célèbrent le renouveau de la nature à travers une grande fête collective. Des pique-niques familiaux sont organisés dans la nature, où se mêlent musique, mets traditionnels et transmission de coutumes séculaires.

    ✅️ Une nature généreuse, au service du bien-être

    La richesse de Bordj Bou Arreridj ne s’arrête pas à son patrimoine. La wilaya est également connue pour ses paysages contrastés, des collines verdoyantes aux reliefs montagneux. Les sources thermales naturelles, riches en minéraux, attirent ceux en quête de soins naturels, notamment pour les rhumatismes et affections respiratoires.

    ✅️ Une identité enracinée dans l’avenir

    Bordj Bou Arreridj n’est pas seulement une terre d’histoire : c’est aussi une région tournée vers l’avenir. Elle se développe grâce à ses atouts économiques, notamment dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’artisanat et des technologies.

    Dans un pays riche en diversité, Bordj Bou Arreridj incarne cette Algérie profonde qui sait conjuguer héritage et espoir, mémoire et modernité.

    #myqif #BordjBouArreridj #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news

    🇩🇿 Bordj Bou Arreridj : un trésor algérien entre histoire millénaire et richesse culturelle 🇩🇿 Au cœur des Hauts Plateaux algériens, la wilaya de Bordj Bou Arreridj s’impose comme un carrefour entre tradition et modernité. Réputée pour son patrimoine archéologique, son artisanat florissant et ses paysages à couper le souffle, cette région souvent méconnue gagne à être redécouverte. ✅️ Un héritage qui traverse les siècles L’histoire de Bordj Bou Arreridj remonte à la préhistoire. Des outils en silex et des fragments de poterie attestent de la présence humaine dès le Mésolithique. Sous l’Empire romain, la région faisait partie de la Maurétanie césarienne. Des vestiges retrouvés à El Hamadia, comme des chapiteaux et fresques, rappellent cette époque d’échanges et de grandeur. L’un des joyaux historiques de la région reste le village d’El Ksour, fondé au Xe siècle. Témoignage vivant de l’architecture islamique médiévale, il se compose de 94 maisons de pierre, de mosquées et de ruelles étroites, toujours habitées. Les autorités œuvrent actuellement pour faire inscrire ce site au patrimoine mondial de l’UNESCO. ✅️ Une culture riche, vivante et fièrement préservée La culture locale est portée par un artisanat d’exception. Les femmes perpétuent l’art du tissage de laine, la fabrication du Binwar Esst (robe traditionnelle), ainsi que la confection de bijoux en argent, véritables symboles identitaires. Ces pratiques ancestrales ne sont pas de simples souvenirs du passé : elles continuent de faire vivre des familles et d’alimenter l’économie locale. Chaque printemps, les habitants célèbrent le renouveau de la nature à travers une grande fête collective. Des pique-niques familiaux sont organisés dans la nature, où se mêlent musique, mets traditionnels et transmission de coutumes séculaires. ✅️ Une nature généreuse, au service du bien-être La richesse de Bordj Bou Arreridj ne s’arrête pas à son patrimoine. La wilaya est également connue pour ses paysages contrastés, des collines verdoyantes aux reliefs montagneux. Les sources thermales naturelles, riches en minéraux, attirent ceux en quête de soins naturels, notamment pour les rhumatismes et affections respiratoires. ✅️ Une identité enracinée dans l’avenir Bordj Bou Arreridj n’est pas seulement une terre d’histoire : c’est aussi une région tournée vers l’avenir. Elle se développe grâce à ses atouts économiques, notamment dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’artisanat et des technologies. Dans un pays riche en diversité, Bordj Bou Arreridj incarne cette Algérie profonde qui sait conjuguer héritage et espoir, mémoire et modernité. #myqif #BordjBouArreridj #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
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  • ✅️ La diaspora algérienne, un levier d’investissement en pleine expansion

    Face à une conjoncture favorable et à des réformes ambitieuses, la diaspora algérienne manifeste un intérêt croissant pour investir dans son pays d’origine. L’Algérie, consciente du rôle stratégique que peuvent jouer ses ressortissants établis à l’étranger, multiplie les initiatives pour encourager et accompagner ces investisseurs.

    ✅️ Un cadre législatif attractif

    La nouvelle loi sur l’investissement, promulguée en 2022, garantit une stabilité réglementaire pendant dix ans. Elle s’accompagne de nombreuses incitations fiscales et de mesures facilitant le rapatriement de devises. Le président Abdelmadjid Tebboune a personnellement invité la diaspora à participer activement au développement économique du pays, soulignant la confiance des autorités envers leurs compétences et leur apport potentiel.

    ✅️ Des secteurs porteurs et des outils modernes

    Les domaines les plus prisés par les investisseurs de la diaspora incluent le tourisme, la restauration, le numérique, les technologies innovantes et les services. Pour fluidifier les démarches, l’État a lancé une plateforme numérique dédiée à l’investissement, permettant de déposer des projets en ligne et de suivre leur évolution. Par ailleurs, de nouvelles facilités administratives permettent aux Algériens de l’étranger de déléguer certaines formalités à des mandataires locaux, même depuis les consulats.

    ✅️ Témoignages d’engagement concret

    Des entrepreneurs issus de la diaspora témoignent de leur volonté de contribuer au développement national. C’est le cas de MyQif, le nouveau réseau social 100 % algérien où l'on peut partager des photos, des articles, des actus et des idées avec ses amis ou la communauté. Moderne, libre et ouvert à tous, il connecte les Algériens du pays et de la diaspora dans un espace d’échange et de créativité. Cela illustre l’intérêt croissant pour les opportunités offertes par le marché algérien, tout en soulignant les progrès réalisés en matière de simplification administrative.


    ✅️ Un avenir prometteur

    Portée par des réformes profondes, une volonté politique affirmée et une communauté de la diaspora dynamique, l’Algérie est en passe de devenir un terreau fertile pour l’investissement étranger... et algérien. Le défi reste désormais de maintenir ce climat de confiance, tout en garantissant un développement équilibré et durable.
    #myqif #alger #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
    ✅️ La diaspora algérienne, un levier d’investissement en pleine expansion 🇩🇿 Face à une conjoncture favorable et à des réformes ambitieuses, la diaspora algérienne manifeste un intérêt croissant pour investir dans son pays d’origine. L’Algérie, consciente du rôle stratégique que peuvent jouer ses ressortissants établis à l’étranger, multiplie les initiatives pour encourager et accompagner ces investisseurs. ✅️ Un cadre législatif attractif La nouvelle loi sur l’investissement, promulguée en 2022, garantit une stabilité réglementaire pendant dix ans. Elle s’accompagne de nombreuses incitations fiscales et de mesures facilitant le rapatriement de devises. Le président Abdelmadjid Tebboune a personnellement invité la diaspora à participer activement au développement économique du pays, soulignant la confiance des autorités envers leurs compétences et leur apport potentiel. ✅️ Des secteurs porteurs et des outils modernes Les domaines les plus prisés par les investisseurs de la diaspora incluent le tourisme, la restauration, le numérique, les technologies innovantes et les services. Pour fluidifier les démarches, l’État a lancé une plateforme numérique dédiée à l’investissement, permettant de déposer des projets en ligne et de suivre leur évolution. Par ailleurs, de nouvelles facilités administratives permettent aux Algériens de l’étranger de déléguer certaines formalités à des mandataires locaux, même depuis les consulats. ✅️ Témoignages d’engagement concret Des entrepreneurs issus de la diaspora témoignent de leur volonté de contribuer au développement national. C’est le cas de MyQif, le nouveau réseau social 100 % algérien où l'on peut partager des photos, des articles, des actus et des idées avec ses amis ou la communauté. Moderne, libre et ouvert à tous, il connecte les Algériens du pays et de la diaspora dans un espace d’échange et de créativité. Cela illustre l’intérêt croissant pour les opportunités offertes par le marché algérien, tout en soulignant les progrès réalisés en matière de simplification administrative. ✅️ Un avenir prometteur Portée par des réformes profondes, une volonté politique affirmée et une communauté de la diaspora dynamique, l’Algérie est en passe de devenir un terreau fertile pour l’investissement étranger... et algérien. Le défi reste désormais de maintenir ce climat de confiance, tout en garantissant un développement équilibré et durable. #myqif #alger #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
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  • ✅️ Algérie : un sous-sol riche, un avenir prometteur pour le secteur minier

    L’Algérie possède un potentiel minier considérable, souvent méconnu mais porteur de grandes promesses pour l’avenir économique du pays. Grâce à la diversité de ses ressources géologiques — allant des terres rares au lithium, en passant par le plomb, le zinc et divers minerais stratégiques — l’Algérie pourrait devenir un acteur majeur sur l’échiquier mondial des matières premières.

    ❎️ Des découvertes prometteuses dans le Sud

    Les récentes campagnes d’exploration menées dans les régions de Tamanrasset et In Guezzam, avec la collaboration d’experts chinois du groupe Ganfeng Lithium, ont révélé des indices encourageants de lithium et de terres rares. Ces métaux sont essentiels pour les nouvelles technologies, notamment les batteries pour véhicules électriques et les systèmes d’énergie renouvelable.

    Outre le lithium, les analyses ont confirmé la présence de minerais comme le wolfram, le tantale, le tungstène ou encore le niobium. Ce gisement stratégique pourrait offrir à l’Algérie un levier économique important à l’échelle régionale et internationale.

    ❎️ Une richesse encore sous-exploitée

    Selon des études menées dans les années 1970 et réactualisées récemment, l’Algérie pourrait détenir jusqu’à 20 % des réserves mondiales de terres rares. Ces ressources sont estimées à plus de 2 400 milliards de dollars. Toutefois, leur exploitation reste limitée, freinée par des contraintes techniques, logistiques et environnementales.

    Le pays cherche aujourd’hui à relancer ce secteur en modernisant ses outils d’exploration et en attirant des partenaires internationaux prêts à investir dans une exploitation responsable et durable.

    ❎️ Enjeux environnementaux et dialogue local

    Certains projets miniers, comme la mine de plomb et de zinc de Tala Hamza en Kabylie, ont suscité des réserves chez les populations locales. Les craintes portent principalement sur l’impact environnemental et la gestion des ressources en eau. Ces réactions soulignent l’importance pour les autorités d’instaurer un dialogue constructif et transparent avec les communautés concernées.

    ❎️ Une vision d’avenir tournée vers la transition énergétique

    Dans le contexte mondial de transition énergétique, l’Algérie a une carte majeure à jouer. En valorisant ses ressources minières, notamment celles utilisées dans les technologies propres, le pays pourrait diversifier son économie et réduire sa dépendance aux hydrocarbures.

    Le défi pour les prochaines années sera donc de concilier développement minier, durabilité environnementale et bénéfice socio-économique pour l’ensemble du territoire.
    #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    ✅️ Algérie : un sous-sol riche, un avenir prometteur pour le secteur minier 🇩🇿 L’Algérie possède un potentiel minier considérable, souvent méconnu mais porteur de grandes promesses pour l’avenir économique du pays. Grâce à la diversité de ses ressources géologiques — allant des terres rares au lithium, en passant par le plomb, le zinc et divers minerais stratégiques — l’Algérie pourrait devenir un acteur majeur sur l’échiquier mondial des matières premières. ❎️ Des découvertes prometteuses dans le Sud Les récentes campagnes d’exploration menées dans les régions de Tamanrasset et In Guezzam, avec la collaboration d’experts chinois du groupe Ganfeng Lithium, ont révélé des indices encourageants de lithium et de terres rares. Ces métaux sont essentiels pour les nouvelles technologies, notamment les batteries pour véhicules électriques et les systèmes d’énergie renouvelable. Outre le lithium, les analyses ont confirmé la présence de minerais comme le wolfram, le tantale, le tungstène ou encore le niobium. Ce gisement stratégique pourrait offrir à l’Algérie un levier économique important à l’échelle régionale et internationale. ❎️ Une richesse encore sous-exploitée Selon des études menées dans les années 1970 et réactualisées récemment, l’Algérie pourrait détenir jusqu’à 20 % des réserves mondiales de terres rares. Ces ressources sont estimées à plus de 2 400 milliards de dollars. Toutefois, leur exploitation reste limitée, freinée par des contraintes techniques, logistiques et environnementales. Le pays cherche aujourd’hui à relancer ce secteur en modernisant ses outils d’exploration et en attirant des partenaires internationaux prêts à investir dans une exploitation responsable et durable. ❎️ Enjeux environnementaux et dialogue local Certains projets miniers, comme la mine de plomb et de zinc de Tala Hamza en Kabylie, ont suscité des réserves chez les populations locales. Les craintes portent principalement sur l’impact environnemental et la gestion des ressources en eau. Ces réactions soulignent l’importance pour les autorités d’instaurer un dialogue constructif et transparent avec les communautés concernées. ❎️ Une vision d’avenir tournée vers la transition énergétique Dans le contexte mondial de transition énergétique, l’Algérie a une carte majeure à jouer. En valorisant ses ressources minières, notamment celles utilisées dans les technologies propres, le pays pourrait diversifier son économie et réduire sa dépendance aux hydrocarbures. Le défi pour les prochaines années sera donc de concilier développement minier, durabilité environnementale et bénéfice socio-économique pour l’ensemble du territoire. #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • Le Migaloo M5, premier super sous-marin de luxe, vaut 2 milliards $. Long de 540 pieds, il plonge à 820 pieds et offre spas, cinémas, héliport, mini-sous-marins. Pensé pour les milliardaires en quête d’aventure, de discrétion et de confort ultime. Un yacht futuriste… sous l’eau. #MigalooM5 #Luxe #Technologie #Innovation #SuperYacht #SubmarineLife #Design #BillionaireLifestyle
    Le Migaloo M5, premier super sous-marin de luxe, vaut 2 milliards $. Long de 540 pieds, il plonge à 820 pieds et offre spas, cinémas, héliport, mini-sous-marins. Pensé pour les milliardaires en quête d’aventure, de discrétion et de confort ultime. Un yacht futuriste… sous l’eau. #MigalooM5 #Luxe #Technologie #Innovation #SuperYacht #SubmarineLife #Design #BillionaireLifestyle
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  • Automotive Ultrasonic Technologies Market: Current Analysis and Forecast (2022-2028)

    https://univdatos.com/reports/automotive-ultrasonic-technologies-market
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    Automotive Ultrasonic Technologies Market - Analysis, Growth (2022-2028)
    Global Automotive Ultrasonic Technologies Market is expected to grow at a significant rate of around 7% during the forecast period 2022-2028....
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