• L'Université nationale chinoise de technologie de défense (NUDT) a développé un drone de la taille d'un moustique conçu pour des opérations secrètes sur le champ de bataille comme la surveillance et la reconnaissance.

    Sa taille minuscule et ses ailes battantes comme des insectes le rendent presque invisible, idéal pour les missions furtives dans les villes ou les environnements complexes.

    Il comporte également trois pattes fines pour percher, plus des systèmes électriques miniaturisés, des capteurs et des circuits de commande emballés dans un cadre léger.

    Bien que difficile à construire en raison de sa taille, le drone pourrait jouer un rôle clé dans les missions de combat urbain, d'espionnage ou de recherche et sauvetage en opérant sans être détecté.

    #China #MilitaryTech #MosquitoDrone #SpyDrone #Robotics #ChineseMilitary

    -_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-

    Système TotaFor de l’Armée et les Solutions-STF

    Des Idées et des Solutions Pour Des Unités Militaires Efficientes
    📍 L'Université nationale chinoise de technologie de défense (NUDT) a développé un drone de la taille d'un moustique conçu pour des opérations secrètes sur le champ de bataille comme la surveillance et la reconnaissance. 🔶Sa taille minuscule et ses ailes battantes comme des insectes le rendent presque invisible, idéal pour les missions furtives dans les villes ou les environnements complexes. 🔶Il comporte également trois pattes fines pour percher, plus des systèmes électriques miniaturisés, des capteurs et des circuits de commande emballés dans un cadre léger. 🔶Bien que difficile à construire en raison de sa taille, le drone pourrait jouer un rôle clé dans les missions de combat urbain, d'espionnage ou de recherche et sauvetage en opérant sans être détecté. #China #MilitaryTech #MosquitoDrone #SpyDrone #Robotics #ChineseMilitary -_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_- ❇️Système TotaFor de l’Armée et les Solutions-STF ✔️Des Idées 💡et des Solutions Pour Des Unités Militaires Efficientes☄️
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  • Visite d’État en Slovénie : le président Tebboune renforce les liens bilatéraux

    Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a entamé, le 12 mai 2025, une visite d’État en Slovénie à l’invitation de la présidente slovène Nataša Pirc Musar. Cette visite marque une volonté claire des deux pays d’approfondir leur coopération politique, économique et technologique.

    Vers un partenariat stratégique

    Au cœur des discussions, plusieurs secteurs clés ont été abordés : énergie, numérisation, intelligence artificielle, migration, ainsi que la coopération industrielle et universitaire. Les deux chefs d’État ont exprimé leur engagement à renforcer les relations bilatérales, qu’ils considèrent en pleine évolution qualitative.

    Des projets concrets et une présence diplomatique accrue

    Cette dynamique de rapprochement s’est matérialisée par l’inauguration officielle de l’ambassade d’Algérie à Ljubljana, en présence des ministres des Affaires étrangères des deux pays. Ce geste symbolique traduit la volonté d’instaurer une présence diplomatique durable et plus active.

    Une vision partagée pour la scène internationale

    La visite a également été l’occasion pour les deux dirigeants d’échanger sur des enjeux globaux. Ils ont affirmé leur attachement commun à la paix, à la stabilité et au développement durable, et se sont engagés à coopérer davantage dans les forums internationaux.

    Un tournant pour les relations algéro-slovènes

    Cette visite d’État ouvre une nouvelle page dans les relations entre l’Algérie et la Slovénie. Elle jette les bases d’un partenariat stratégique diversifié et tourné vers l’avenir, tant sur le plan bilatéral qu’international.

    🇩🇿 🇸🇮 Visite d’État en Slovénie : le président Tebboune renforce les liens bilatéraux Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a entamé, le 12 mai 2025, une visite d’État en Slovénie à l’invitation de la présidente slovène Nataša Pirc Musar. Cette visite marque une volonté claire des deux pays d’approfondir leur coopération politique, économique et technologique. ➡️ Vers un partenariat stratégique Au cœur des discussions, plusieurs secteurs clés ont été abordés : énergie, numérisation, intelligence artificielle, migration, ainsi que la coopération industrielle et universitaire. Les deux chefs d’État ont exprimé leur engagement à renforcer les relations bilatérales, qu’ils considèrent en pleine évolution qualitative. ➡️ Des projets concrets et une présence diplomatique accrue Cette dynamique de rapprochement s’est matérialisée par l’inauguration officielle de l’ambassade d’Algérie à Ljubljana, en présence des ministres des Affaires étrangères des deux pays. Ce geste symbolique traduit la volonté d’instaurer une présence diplomatique durable et plus active. ➡️ Une vision partagée pour la scène internationale La visite a également été l’occasion pour les deux dirigeants d’échanger sur des enjeux globaux. Ils ont affirmé leur attachement commun à la paix, à la stabilité et au développement durable, et se sont engagés à coopérer davantage dans les forums internationaux. ➡️ Un tournant pour les relations algéro-slovènes Cette visite d’État ouvre une nouvelle page dans les relations entre l’Algérie et la Slovénie. Elle jette les bases d’un partenariat stratégique diversifié et tourné vers l’avenir, tant sur le plan bilatéral qu’international.
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  • L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages

    Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques.

    Des attaques informationnelles bien structurées

    Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes.

    « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense.

    Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations

    Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations.

    Des cas ciblés et médiatisés

    Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger.

    Une riposte à plusieurs niveaux

    Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse.

    Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe.

    L’éducation, un rempart durable

    Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information.

    Conclusion

    L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
    🚨 L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques. ➡️ Des attaques informationnelles bien structurées Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes. « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense. ➡️ Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations. ➡️ Des cas ciblés et médiatisés Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger. ➡️ Une riposte à plusieurs niveaux Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse. Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe. ➡️ L’éducation, un rempart durable Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information. ➡️ Conclusion L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
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  • Tiaret, joyau de l’Ouest algérien : entre histoire millénaire et richesses naturelles

    Nichée sur les hauts plateaux de l’ouest algérien, la ville de Tiaret incarne à elle seule un carrefour de civilisations, un héritage historique prestigieux et une richesse naturelle fascinante. Ancienne capitale des Rostémides au IXe siècle, elle fut également un bastion de la résistance algérienne au XIXe siècle.

    Au-delà de son rôle politique dans l’histoire, Tiaret séduit par ses sites patrimoniaux exceptionnels. Les grottes d’Ibn Khaldoun, où le célèbre penseur rédigea une partie de sa Muqaddima, ainsi que les mystérieux Jedar, monuments funéraires berbères surnommés les "pyramides d’Algérie", témoignent de la profondeur historique de la région.

    La ville ne se contente pas de son passé. Tiaret est également un haut lieu de tradition équestre, grâce au haras national de Chaouchaoua, fondé en 1874, où sont élevés les prestigieux chevaux barbes et arabes. Sur le plan académique, l’Université Ibn Khaldoun participe activement à la formation et à la vie intellectuelle de la jeunesse locale, avec plus de 28 000 étudiants inscrits.

    Tiaret est une ville qui allie authenticité, dynamisme et fierté culturelle. Avec ses paysages naturels, sa mémoire préservée et son attachement profond aux valeurs traditionnelles, elle reste l’un des trésors les plus riches et les moins connus de l’Algérie.

    #myqif #Tiaret #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    🇩🇿 Tiaret, joyau de l’Ouest algérien : entre histoire millénaire et richesses naturelles 🇩🇿 Nichée sur les hauts plateaux de l’ouest algérien, la ville de Tiaret incarne à elle seule un carrefour de civilisations, un héritage historique prestigieux et une richesse naturelle fascinante. Ancienne capitale des Rostémides au IXe siècle, elle fut également un bastion de la résistance algérienne au XIXe siècle. Au-delà de son rôle politique dans l’histoire, Tiaret séduit par ses sites patrimoniaux exceptionnels. Les grottes d’Ibn Khaldoun, où le célèbre penseur rédigea une partie de sa Muqaddima, ainsi que les mystérieux Jedar, monuments funéraires berbères surnommés les "pyramides d’Algérie", témoignent de la profondeur historique de la région. La ville ne se contente pas de son passé. Tiaret est également un haut lieu de tradition équestre, grâce au haras national de Chaouchaoua, fondé en 1874, où sont élevés les prestigieux chevaux barbes et arabes. Sur le plan académique, l’Université Ibn Khaldoun participe activement à la formation et à la vie intellectuelle de la jeunesse locale, avec plus de 28 000 étudiants inscrits. Tiaret est une ville qui allie authenticité, dynamisme et fierté culturelle. Avec ses paysages naturels, sa mémoire préservée et son attachement profond aux valeurs traditionnelles, elle reste l’un des trésors les plus riches et les moins connus de l’Algérie. #myqif #Tiaret #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • Jurassic World: Rebirth – La saga préhistorique revient avec un nouveau souffle en juillet 2025

    Universal Pictures et Amblin Entertainment relancent l'une des franchises les plus emblématiques du cinéma avec Jurassic World: Rebirth, un nouvel opus de la série Jurassic Park, prévu pour une sortie en salles en France le 2 juillet 2025. Réalisé par Gareth Edwards, ce quatrième film de l’ère Jurassic World marque une rupture assumée avec les précédents volets.

    ✅️ Une nouvelle ère sans héros familiers

    Contrairement à Jurassic World: Dominion, qui réunissait les anciens et nouveaux visages de la franchise, Rebirth fait table rase du passé. Aucun personnage emblématique des films précédents ne revient. À la place, un casting inédit prend le relais, avec Scarlett Johansson en tête d’affiche dans le rôle de Zora Bennett, une spécialiste des opérations clandestines.

    Elle sera accompagnée de Mahershala Ali, Jonathan Bailey, Rupert Friend, ainsi que Manuel Garcia-Rulfo et Luna Blaise, dans une intrigue inédite mêlant science, survie et mystère.

    ✅️ Un retour aux racines de la tension

    Le scénario, signé par David Koepp, scénariste du premier Jurassic Park, revient à une structure plus épurée : une mission scientifique tourne mal sur une île isolée, peuplée de dinosaures, alors que les personnages doivent survivre à une nature déchaînée… et à un secret enfoui depuis des décennies.

    Cinq ans après Dominion, le monde s’est adapté à la présence des dinosaures. Mais ceux-ci sont désormais confinés dans des zones hostiles, notamment des régions équatoriales protégées. Zora et son équipe sont envoyés pour récupérer l’ADN de trois spécimens gigantesques, mais leur opération est bouleversée par l’arrivée inattendue d’une famille échouée… et d’un danger encore inconnu.

    ✅️ Une esthétique pensée pour les fans de la première heure

    Le réalisateur Gareth Edwards, connu pour ses films spectaculaires comme Rogue One ou Godzilla, a décidé de tourner en pellicule 35 mm, utilisant des objectifs anamorphiques pour rappeler le style visuel du film original de 1993. Le tournage s’est déroulé dans des décors naturels spectaculaires en Thaïlande, à Malte et au Royaume-Uni.

    La musique a été confiée à Alexandre Desplat, doublement oscarisé, qui promet une bande-son à la hauteur des compositions légendaires de John Williams.

    ✅️ Une attente sous haute pression

    Ce nouveau chapitre soulève de nombreuses attentes, notamment chez les fans, à la fois curieux et prudents face à cette relance. Jurassic World: Rebirth semble vouloir renouer avec l’esprit de survie et de découverte du premier film, tout en explorant de nouveaux territoires narratifs et éthiques.

    Le film sera distribué dans les salles françaises le 2 juillet 2025, soit 30 ans après la sortie du tout premier Jurassic Park en France.


    À suivre : la première bande-annonce est attendue d’ici juin 2025. Le public pourra alors juger si cette “renaissance” est digne de l’héritage Spielbergien.

    🚨 Jurassic World: Rebirth – La saga préhistorique revient avec un nouveau souffle en juillet 2025 🚨 Universal Pictures et Amblin Entertainment relancent l'une des franchises les plus emblématiques du cinéma avec Jurassic World: Rebirth, un nouvel opus de la série Jurassic Park, prévu pour une sortie en salles en France le 2 juillet 2025. Réalisé par Gareth Edwards, ce quatrième film de l’ère Jurassic World marque une rupture assumée avec les précédents volets. ✅️ Une nouvelle ère sans héros familiers Contrairement à Jurassic World: Dominion, qui réunissait les anciens et nouveaux visages de la franchise, Rebirth fait table rase du passé. Aucun personnage emblématique des films précédents ne revient. À la place, un casting inédit prend le relais, avec Scarlett Johansson en tête d’affiche dans le rôle de Zora Bennett, une spécialiste des opérations clandestines. Elle sera accompagnée de Mahershala Ali, Jonathan Bailey, Rupert Friend, ainsi que Manuel Garcia-Rulfo et Luna Blaise, dans une intrigue inédite mêlant science, survie et mystère. ✅️ Un retour aux racines de la tension Le scénario, signé par David Koepp, scénariste du premier Jurassic Park, revient à une structure plus épurée : une mission scientifique tourne mal sur une île isolée, peuplée de dinosaures, alors que les personnages doivent survivre à une nature déchaînée… et à un secret enfoui depuis des décennies. Cinq ans après Dominion, le monde s’est adapté à la présence des dinosaures. Mais ceux-ci sont désormais confinés dans des zones hostiles, notamment des régions équatoriales protégées. Zora et son équipe sont envoyés pour récupérer l’ADN de trois spécimens gigantesques, mais leur opération est bouleversée par l’arrivée inattendue d’une famille échouée… et d’un danger encore inconnu. ✅️ Une esthétique pensée pour les fans de la première heure Le réalisateur Gareth Edwards, connu pour ses films spectaculaires comme Rogue One ou Godzilla, a décidé de tourner en pellicule 35 mm, utilisant des objectifs anamorphiques pour rappeler le style visuel du film original de 1993. Le tournage s’est déroulé dans des décors naturels spectaculaires en Thaïlande, à Malte et au Royaume-Uni. La musique a été confiée à Alexandre Desplat, doublement oscarisé, qui promet une bande-son à la hauteur des compositions légendaires de John Williams. ✅️ Une attente sous haute pression Ce nouveau chapitre soulève de nombreuses attentes, notamment chez les fans, à la fois curieux et prudents face à cette relance. Jurassic World: Rebirth semble vouloir renouer avec l’esprit de survie et de découverte du premier film, tout en explorant de nouveaux territoires narratifs et éthiques. Le film sera distribué dans les salles françaises le 2 juillet 2025, soit 30 ans après la sortie du tout premier Jurassic Park en France. ➡️ À suivre : la première bande-annonce est attendue d’ici juin 2025. Le public pourra alors juger si cette “renaissance” est digne de l’héritage Spielbergien.
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  • Mostaganem, entre mer, mémoire et culture : la fière méditerranéenne

    Située sur la côte nord-ouest de l’Algérie, Mostaganem est l’une des communes les plus charmantes et attachantes du pays. Baignée par les eaux bleues de la Méditerranée, cette ville portuaire est un carrefour entre histoire ancienne, tradition populaire et modernité discrète. Mostaganem, c’est une ville aux multiples visages : un héritage historique fascinant, une culture vivace et une nature généreuse qui séduisent les visiteurs en quête d’authenticité.

    Une histoire riche et plurielle

    Fondée à l’époque antique, probablement sous influence phénicienne puis romaine, Mostaganem fut tour à tour habitée par les Zianides, les Espagnols, les Ottomans et les Français. Chaque période a laissé son empreinte sur la ville, créant un patrimoine diversifié et profondément enraciné. On retrouve des traces de son passé à travers ses fortifications, ses anciennes médinas, ses mosquées séculaires et ses bâtiments coloniaux au charme désuet.

    La vieille ville de Tidgit, avec ses ruelles étroites et ses bâtisses typiques, incarne l’âme de Mostaganem. À cela s’ajoute la mosquée de Sidi Lakhdar, joyau architectural du XVIIe siècle, érigée par les Ottomans et toujours en activité, rappelant le rôle spirituel de la ville à travers les âges.

    Une ville tournée vers la mer

    Mostaganem est aussi un joyau maritime. Son littoral s’étend sur des kilomètres de plages sablonneuses et de falaises spectaculaires. Des plages comme Sablettes, Kharouba, Plage de Salamandre ou Stidia attirent chaque année des milliers de vacanciers venus profiter d’un cadre naturel paisible et encore préservé. Le port de pêche, actif et animé, reste le cœur vivant de la commune, où les traditions maritimes perdurent depuis des siècles.

    La Corniche de Mostaganem, récemment aménagée, offre un panorama exceptionnel sur la mer, idéal pour les promenades au coucher du soleil ou les soirées estivales animées.

    Un berceau culturel et artistique

    Mostaganem est aussi connue pour être une terre de culture populaire, notamment grâce à sa tradition théâtrale. Elle est considérée comme la capitale du théâtre algérien, grâce à l’œuvre pionnière de figures telles que Abdelkader Alloula, dont l’héritage continue d’inspirer la scène culturelle locale.

    Chaque année, des festivals culturels, expositions, pièces de théâtre et concerts animent la ville, témoignant d’une vie artistique riche et accessible. La musique bedoui, le maalouf et les chants populaires traditionnels résonnent encore dans les cafés et lors des fêtes locales.

    Une gastronomie et un art de vivre uniques

    Impossible de parler de Mostaganem sans évoquer sa cuisine, savoureuse et généreuse. De la chorba frik au m’derbel, en passant par les galettes au miel et le poisson frit, la gastronomie mostaganémoise est un véritable voyage culinaire aux saveurs méditerranéennes et andalouses.

    L’hospitalité de ses habitants, leur fierté locale et leur attachement aux traditions font aussi de Mostaganem un lieu accueillant, où il fait bon vivre comme séjourner.

    Une dynamique de développement tournée vers l’avenir

    Avec une volonté affirmée de valoriser son patrimoine, d’améliorer son offre touristique et de préserver ses ressources naturelles, Mostaganem s’inscrit dans une dynamique de modernisation maîtrisée. Son pôle universitaire, son port commercial en expansion et ses projets culturels en font une ville qui avance sans renier son identité.

    Mostaganem, c’est l’élégance d’une ville maritime, la mémoire d’un passé glorieux, et la chaleur d’un peuple fier. Une commune où l’histoire et la mer se rencontrent dans un souffle de beauté et de tradition.
    #myqif #Mostaganem #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism

    🇩🇿 Mostaganem, entre mer, mémoire et culture : la fière méditerranéenne 🇩🇿 Située sur la côte nord-ouest de l’Algérie, Mostaganem est l’une des communes les plus charmantes et attachantes du pays. Baignée par les eaux bleues de la Méditerranée, cette ville portuaire est un carrefour entre histoire ancienne, tradition populaire et modernité discrète. Mostaganem, c’est une ville aux multiples visages : un héritage historique fascinant, une culture vivace et une nature généreuse qui séduisent les visiteurs en quête d’authenticité. Une histoire riche et plurielle Fondée à l’époque antique, probablement sous influence phénicienne puis romaine, Mostaganem fut tour à tour habitée par les Zianides, les Espagnols, les Ottomans et les Français. Chaque période a laissé son empreinte sur la ville, créant un patrimoine diversifié et profondément enraciné. On retrouve des traces de son passé à travers ses fortifications, ses anciennes médinas, ses mosquées séculaires et ses bâtiments coloniaux au charme désuet. La vieille ville de Tidgit, avec ses ruelles étroites et ses bâtisses typiques, incarne l’âme de Mostaganem. À cela s’ajoute la mosquée de Sidi Lakhdar, joyau architectural du XVIIe siècle, érigée par les Ottomans et toujours en activité, rappelant le rôle spirituel de la ville à travers les âges. Une ville tournée vers la mer Mostaganem est aussi un joyau maritime. Son littoral s’étend sur des kilomètres de plages sablonneuses et de falaises spectaculaires. Des plages comme Sablettes, Kharouba, Plage de Salamandre ou Stidia attirent chaque année des milliers de vacanciers venus profiter d’un cadre naturel paisible et encore préservé. Le port de pêche, actif et animé, reste le cœur vivant de la commune, où les traditions maritimes perdurent depuis des siècles. La Corniche de Mostaganem, récemment aménagée, offre un panorama exceptionnel sur la mer, idéal pour les promenades au coucher du soleil ou les soirées estivales animées. Un berceau culturel et artistique Mostaganem est aussi connue pour être une terre de culture populaire, notamment grâce à sa tradition théâtrale. Elle est considérée comme la capitale du théâtre algérien, grâce à l’œuvre pionnière de figures telles que Abdelkader Alloula, dont l’héritage continue d’inspirer la scène culturelle locale. Chaque année, des festivals culturels, expositions, pièces de théâtre et concerts animent la ville, témoignant d’une vie artistique riche et accessible. La musique bedoui, le maalouf et les chants populaires traditionnels résonnent encore dans les cafés et lors des fêtes locales. Une gastronomie et un art de vivre uniques Impossible de parler de Mostaganem sans évoquer sa cuisine, savoureuse et généreuse. De la chorba frik au m’derbel, en passant par les galettes au miel et le poisson frit, la gastronomie mostaganémoise est un véritable voyage culinaire aux saveurs méditerranéennes et andalouses. L’hospitalité de ses habitants, leur fierté locale et leur attachement aux traditions font aussi de Mostaganem un lieu accueillant, où il fait bon vivre comme séjourner. Une dynamique de développement tournée vers l’avenir Avec une volonté affirmée de valoriser son patrimoine, d’améliorer son offre touristique et de préserver ses ressources naturelles, Mostaganem s’inscrit dans une dynamique de modernisation maîtrisée. Son pôle universitaire, son port commercial en expansion et ses projets culturels en font une ville qui avance sans renier son identité. Mostaganem, c’est l’élégance d’une ville maritime, la mémoire d’un passé glorieux, et la chaleur d’un peuple fier. Une commune où l’histoire et la mer se rencontrent dans un souffle de beauté et de tradition. #myqif #Mostaganem #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
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  • Tlemcen, la cité andalouse : joyau du patrimoine algérien

    Nichée entre montagnes verdoyantes et plaines fertiles, à l’extrême ouest de l’Algérie, Tlemcen est une ville à part. Véritable creuset de civilisations, elle incarne l’élégance architecturale, la richesse culturelle et la profondeur spirituelle. Appelée à juste titre la perle du Maghreb, cette commune fascinante continue de séduire les visiteurs par son héritage exceptionnel et son atmosphère andalouse unique.

    Une histoire impériale

    Fondée dès l’époque antique sous le nom de Pomaria, Tlemcen a vu défiler de grandes civilisations : romaine, berbère, islamique, andalouse et ottomane. Mais c’est surtout sous les dynasties zianide et almoravide qu’elle connaît son âge d’or, devenant une capitale politique, culturelle et spirituelle influente dans tout le Maghreb.

    Centre d’art et de savoir, elle fut une ville où cohabitaient philosophes, astronomes, musiciens et juristes. Sa célèbre Université de Sidi Boumediene témoigne encore de son statut de haut lieu de la connaissance.

    Un patrimoine architectural éblouissant

    Tlemcen regorge de trésors architecturaux, vestiges de son passé prestigieux. La Mosquée Sidi Boumediene, chef-d’œuvre de l’art mérinide, domine les hauteurs de la ville et offre une vue imprenable sur la région. Le Mechouar, ancien palais royal, les ruines de Mansourah, la grande mosquée, ou encore les médersas, les fontaines et les bains maures racontent chacun un pan de l’histoire tlemcénienne.

    La vieille médina, avec ses ruelles étroites, ses souks parfumés et ses maisons ornées de zelliges, plonge les visiteurs dans une ambiance hors du temps, entre tradition et raffinement.

    Un foyer culturel et artistique

    Tlemcen est aussi un haut lieu de culture vivante. La musique andalouse, notamment le style gharnati, y trouve l’un de ses berceaux les plus raffinés. Le patrimoine immatériel de la ville, de ses contes populaires à ses chants soufis, est porté avec fierté par ses habitants.

    La broderie tlemcénienne, les habits traditionnels comme la chedda (classée au patrimoine de l’UNESCO), ou encore les arts culinaires témoignent de ce raffinement hérité d’un métissage culturel entre l’Orient, l’Andalousie et l’Afrique.

    Une nature généreuse et préservée

    Outre son héritage historique, Tlemcen est bénie par la nature. Le parc national de Tlemcen offre une diversité de paysages impressionnante : cascades, forêts, grottes et montagnes y coexistent, idéals pour l’écotourisme et les randonnées. Les célèbres grottes de Beni Add (ou grottes d’Aïn Fezza), impressionnantes par leurs formations géologiques, attirent chaque année des milliers de visiteurs.

    La commune bénéficie aussi d’un climat agréable et d’une agriculture prospère, connue notamment pour ses vignobles, ses figues, ses olives et ses produits artisanaux.

    Une vision tournée vers l’avenir

    Aujourd’hui, Tlemcen investit dans la valorisation de son patrimoine et la dynamisation de son offre touristique. Grâce à ses infrastructures modernes, ses musées (comme le Musée d’art et d’histoire), ses festivals internationaux et ses initiatives de préservation, la ville aspire à retrouver sa place de phare culturel en Méditerranée.

    Tlemcen, c’est une ville où chaque pierre raconte une légende, où chaque ruelle résonne d’un air andalou. Un lieu où le passé éclaire l’avenir, et où l’élégance de l’histoire rencontre la beauté du présent. Une commune à découvrir, à vivre, à célébrer.
    #myqif #Tlemcen #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
    🇩🇿 Tlemcen, la cité andalouse : joyau du patrimoine algérien 🕌 Nichée entre montagnes verdoyantes et plaines fertiles, à l’extrême ouest de l’Algérie, Tlemcen est une ville à part. Véritable creuset de civilisations, elle incarne l’élégance architecturale, la richesse culturelle et la profondeur spirituelle. Appelée à juste titre la perle du Maghreb, cette commune fascinante continue de séduire les visiteurs par son héritage exceptionnel et son atmosphère andalouse unique. Une histoire impériale Fondée dès l’époque antique sous le nom de Pomaria, Tlemcen a vu défiler de grandes civilisations : romaine, berbère, islamique, andalouse et ottomane. Mais c’est surtout sous les dynasties zianide et almoravide qu’elle connaît son âge d’or, devenant une capitale politique, culturelle et spirituelle influente dans tout le Maghreb. Centre d’art et de savoir, elle fut une ville où cohabitaient philosophes, astronomes, musiciens et juristes. Sa célèbre Université de Sidi Boumediene témoigne encore de son statut de haut lieu de la connaissance. Un patrimoine architectural éblouissant Tlemcen regorge de trésors architecturaux, vestiges de son passé prestigieux. La Mosquée Sidi Boumediene, chef-d’œuvre de l’art mérinide, domine les hauteurs de la ville et offre une vue imprenable sur la région. Le Mechouar, ancien palais royal, les ruines de Mansourah, la grande mosquée, ou encore les médersas, les fontaines et les bains maures racontent chacun un pan de l’histoire tlemcénienne. La vieille médina, avec ses ruelles étroites, ses souks parfumés et ses maisons ornées de zelliges, plonge les visiteurs dans une ambiance hors du temps, entre tradition et raffinement. Un foyer culturel et artistique Tlemcen est aussi un haut lieu de culture vivante. La musique andalouse, notamment le style gharnati, y trouve l’un de ses berceaux les plus raffinés. Le patrimoine immatériel de la ville, de ses contes populaires à ses chants soufis, est porté avec fierté par ses habitants. La broderie tlemcénienne, les habits traditionnels comme la chedda (classée au patrimoine de l’UNESCO), ou encore les arts culinaires témoignent de ce raffinement hérité d’un métissage culturel entre l’Orient, l’Andalousie et l’Afrique. Une nature généreuse et préservée Outre son héritage historique, Tlemcen est bénie par la nature. Le parc national de Tlemcen offre une diversité de paysages impressionnante : cascades, forêts, grottes et montagnes y coexistent, idéals pour l’écotourisme et les randonnées. Les célèbres grottes de Beni Add (ou grottes d’Aïn Fezza), impressionnantes par leurs formations géologiques, attirent chaque année des milliers de visiteurs. La commune bénéficie aussi d’un climat agréable et d’une agriculture prospère, connue notamment pour ses vignobles, ses figues, ses olives et ses produits artisanaux. Une vision tournée vers l’avenir Aujourd’hui, Tlemcen investit dans la valorisation de son patrimoine et la dynamisation de son offre touristique. Grâce à ses infrastructures modernes, ses musées (comme le Musée d’art et d’histoire), ses festivals internationaux et ses initiatives de préservation, la ville aspire à retrouver sa place de phare culturel en Méditerranée. Tlemcen, c’est une ville où chaque pierre raconte une légende, où chaque ruelle résonne d’un air andalou. Un lieu où le passé éclaire l’avenir, et où l’élégance de l’histoire rencontre la beauté du présent. Une commune à découvrir, à vivre, à célébrer. #myqif #Tlemcen #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
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  • Constantine : la ville des ponts suspendus entre mémoire et renouveau

    Constantine, perchée sur des falaises spectaculaires du nord-est algérien, fascine par sa beauté naturelle et son héritage historique. Surnommée la « ville des ponts suspendus », elle relie passé prestigieux et ambitions modernes, offrant une expérience unique entre culture, architecture et innovation.

    Un héritage millénaire au cœur des montagnes

    Fondée par les Carthaginois et refondée par l’empereur romain Constantin, dont elle porte le nom, Constantine est l'une des plus anciennes cités du bassin méditerranéen. Son patrimoine architectural est impressionnant : le Palais Ahmed Bey, joyau ottoman du XIXe siècle, ou encore la Grande Mosquée, édifiée sur les ruines d’un temple romain, témoignent de la richesse de son histoire.

    Le Musée national Cirta, véritable mémoire de la ville, expose des trésors allant de la préhistoire à l’époque coloniale. Autant de preuves que Constantine n’est pas seulement une ville, mais un livre d’histoire à ciel ouvert.

    Une capitale culturelle en perpétuelle effervescence

    Constantine ne se contente pas de préserver son passé : elle le célèbre. En 2015, elle fut désignée Capitale arabe de la culture, une consécration pour cette cité où rayonne encore le malouf, musique arabo-andalouse emblématique de la région. Son festival international du malouf attire chaque année des passionnés venus de tout le Maghreb.

    La ville universitaire qu’est Constantine forme également l’élite de demain : l’Université Mentouri et l’Université Émir Abdelkader sont des références nationales en matière d’enseignement supérieur.

    Un paysage urbain spectaculaire et moderne

    Traversée par le oued Rhumel, Constantine est littéralement sculptée par la nature. Ses ponts mythiques – comme Sidi M’Cid ou Sidi Rached – défient le vide et relient les quartiers de la ville avec audace. Ces chefs-d'œuvre d’ingénierie sont devenus des symboles de résilience et de modernité.

    Au-delà de ses panoramas vertigineux, Constantine se modernise : infrastructures routières rénovées, aéroport international Mohamed Boudiaf, équipements culturels… La ville avance à grands pas sans tourner le dos à ses racines.

    Constantine, ville d’art, d’histoire et de science, prouve qu’il est possible d’honorer le passé tout en construisant l’avenir. Suspendue entre ciel et terre, elle continue de tisser, pont après pont, le fil de son destin.

    #Algérie #Algeria #Algerie #Constantine
    🇩🇿🇩🇿 Constantine : la ville des ponts suspendus entre mémoire et renouveau 🇩🇿 Constantine, perchée sur des falaises spectaculaires du nord-est algérien, fascine par sa beauté naturelle et son héritage historique. Surnommée la « ville des ponts suspendus », elle relie passé prestigieux et ambitions modernes, offrant une expérience unique entre culture, architecture et innovation. Un héritage millénaire au cœur des montagnes Fondée par les Carthaginois et refondée par l’empereur romain Constantin, dont elle porte le nom, Constantine est l'une des plus anciennes cités du bassin méditerranéen. Son patrimoine architectural est impressionnant : le Palais Ahmed Bey, joyau ottoman du XIXe siècle, ou encore la Grande Mosquée, édifiée sur les ruines d’un temple romain, témoignent de la richesse de son histoire. Le Musée national Cirta, véritable mémoire de la ville, expose des trésors allant de la préhistoire à l’époque coloniale. Autant de preuves que Constantine n’est pas seulement une ville, mais un livre d’histoire à ciel ouvert. Une capitale culturelle en perpétuelle effervescence Constantine ne se contente pas de préserver son passé : elle le célèbre. En 2015, elle fut désignée Capitale arabe de la culture, une consécration pour cette cité où rayonne encore le malouf, musique arabo-andalouse emblématique de la région. Son festival international du malouf attire chaque année des passionnés venus de tout le Maghreb. La ville universitaire qu’est Constantine forme également l’élite de demain : l’Université Mentouri et l’Université Émir Abdelkader sont des références nationales en matière d’enseignement supérieur. Un paysage urbain spectaculaire et moderne Traversée par le oued Rhumel, Constantine est littéralement sculptée par la nature. Ses ponts mythiques – comme Sidi M’Cid ou Sidi Rached – défient le vide et relient les quartiers de la ville avec audace. Ces chefs-d'œuvre d’ingénierie sont devenus des symboles de résilience et de modernité. Au-delà de ses panoramas vertigineux, Constantine se modernise : infrastructures routières rénovées, aéroport international Mohamed Boudiaf, équipements culturels… La ville avance à grands pas sans tourner le dos à ses racines. Constantine, ville d’art, d’histoire et de science, prouve qu’il est possible d’honorer le passé tout en construisant l’avenir. Suspendue entre ciel et terre, elle continue de tisser, pont après pont, le fil de son destin. #Algérie #Algeria #Algerie #Constantine
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  • Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien

    Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable.

    Le cœur culturel de la Kabylie

    Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région.

    Une économie entre agriculture et innovation

    Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique.

    Un tourisme en devenir

    Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante.

    Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement

    Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation.

    Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines.
    #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
    🇩🇿🇩🇿 Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien 🇩🇿 Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable. Le cœur culturel de la Kabylie Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région. Une économie entre agriculture et innovation Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique. Un tourisme en devenir Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante. Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation. Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines. #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
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  • Je Suis une Légende 2 : Le Chapitre Final – Le Retour de l’Espoir dans un Monde Dévasté

    La suite tant attendue du classique de science-fiction et d’horreur sorti en 2007 s’apprête à bouleverser les écrans. Je Suis une Légende 2 : Le Chapitre Final signe le grand retour de Will Smith dans la peau de Robert Neville, un survivant hanté par son passé, désormais plongé dans un univers encore plus désolé, ravagé par les conséquences d’un virus destructeur ayant transformé une grande partie de l’humanité en créatures monstrueuses.

    Mais cette fois, Neville n’est plus seul. Dans un monde au bord de l’extinction, il rejoint un groupe de survivants prêts à tout pour préserver les derniers fragments de civilisation. Ensemble, ils affrontent non seulement des mutants toujours plus dangereux, mais aussi les tensions croissantes au sein de leur propre communauté, tiraillée entre espoir et désespoir.

    Ce nouvel opus promet de revisiter les fondements émotionnels du personnage, explorant les cicatrices laissées par ses pertes passées, tout en dévoilant un pan plus intime de son histoire. La quête d’un remède devient une obsession vitale, une ultime chance de rédemption dans un monde qui vacille entre ténèbres et lumière.

    Réalisé avec une intensité renouvelée, ce chapitre final s’annonce comme une fresque post-apocalyptique épique, mêlant action, émotion et réflexion sur ce qu’il reste d’humain lorsque tout semble perdu.
    Je Suis une Légende 2 : Le Chapitre Final – Le Retour de l’Espoir dans un Monde Dévasté La suite tant attendue du classique de science-fiction et d’horreur sorti en 2007 s’apprête à bouleverser les écrans. Je Suis une Légende 2 : Le Chapitre Final signe le grand retour de Will Smith dans la peau de Robert Neville, un survivant hanté par son passé, désormais plongé dans un univers encore plus désolé, ravagé par les conséquences d’un virus destructeur ayant transformé une grande partie de l’humanité en créatures monstrueuses. Mais cette fois, Neville n’est plus seul. Dans un monde au bord de l’extinction, il rejoint un groupe de survivants prêts à tout pour préserver les derniers fragments de civilisation. Ensemble, ils affrontent non seulement des mutants toujours plus dangereux, mais aussi les tensions croissantes au sein de leur propre communauté, tiraillée entre espoir et désespoir. Ce nouvel opus promet de revisiter les fondements émotionnels du personnage, explorant les cicatrices laissées par ses pertes passées, tout en dévoilant un pan plus intime de son histoire. La quête d’un remède devient une obsession vitale, une ultime chance de rédemption dans un monde qui vacille entre ténèbres et lumière. Réalisé avec une intensité renouvelée, ce chapitre final s’annonce comme une fresque post-apocalyptique épique, mêlant action, émotion et réflexion sur ce qu’il reste d’humain lorsque tout semble perdu.
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