• Les céramistes espagnols font leur grand retour en Algérie après deux ans de crise diplomatique

    Après plus de deux années de tensions entre Alger et Madrid, les industriels espagnols du secteur de la céramique retrouvent le marché algérien. Ce retour marque une étape importante dans la normalisation progressive des relations économiques entre les deux pays, et offre une bouffée d’oxygène à un secteur particulièrement touché par le gel des échanges.

    Une crise diplomatique à fort impact économique

    Tout a commencé en juin 2022, lorsque l’Algérie a décidé de suspendre ses relations commerciales avec l’Espagne, en réaction au soutien de Madrid au plan marocain d’autonomie pour le Sahara occidental. Cette décision a lourdement pénalisé les céramistes espagnols, en particulier ceux de la province de Castellón, qui avaient fait de l’Algérie l’un de leurs principaux débouchés. Les pertes se sont élevées à près de 70 millions d’euros, privant le secteur d’un marché stratégique.

    Une reprise dynamique des exportations

    Depuis la fin de l’année 2024, les signes de réchauffement se multiplient. En décembre, l’Algérie est redevenue le premier acheteur mondial de matières premières céramiques espagnoles, avec des importations dépassant les 11 millions d’euros sur un seul mois. Au total, les exportations espagnoles vers l’Algérie ont atteint 13,4 millions d’euros en novembre et décembre 2024, hissant le pays au 16e rang des clients internationaux.

    Une volonté de coopération renouvelée

    Ce retour progressif à la normale s’accompagne d’une volonté commune de reconstruire des relations économiques solides. Une délégation espagnole du secteur céramique prévoit de se rendre prochainement en Algérie pour renforcer les partenariats existants et en nouer de nouveaux. L’Algérie, pour sa part, semble disposée à accueillir de nouveau ces fournisseurs dans un cadre plus apaisé.

    Un marché porteur pour l’avenir

    Avant la crise, l’Algérie était le deuxième marché d’exportation de céramique espagnole. Les industriels ibériques espèrent désormais retrouver ces niveaux, portés par la demande croissante du secteur du bâtiment algérien et par une dynamique de reprise industrielle. Ce retour marque ainsi une étape stratégique dans la relance des échanges entre les deux rives de la Méditerranée.
    🇩🇿🇪🇸 Les céramistes espagnols font leur grand retour en Algérie après deux ans de crise diplomatique Après plus de deux années de tensions entre Alger et Madrid, les industriels espagnols du secteur de la céramique retrouvent le marché algérien. Ce retour marque une étape importante dans la normalisation progressive des relations économiques entre les deux pays, et offre une bouffée d’oxygène à un secteur particulièrement touché par le gel des échanges. ➡️ Une crise diplomatique à fort impact économique Tout a commencé en juin 2022, lorsque l’Algérie a décidé de suspendre ses relations commerciales avec l’Espagne, en réaction au soutien de Madrid au plan marocain d’autonomie pour le Sahara occidental. Cette décision a lourdement pénalisé les céramistes espagnols, en particulier ceux de la province de Castellón, qui avaient fait de l’Algérie l’un de leurs principaux débouchés. Les pertes se sont élevées à près de 70 millions d’euros, privant le secteur d’un marché stratégique. ➡️ Une reprise dynamique des exportations Depuis la fin de l’année 2024, les signes de réchauffement se multiplient. En décembre, l’Algérie est redevenue le premier acheteur mondial de matières premières céramiques espagnoles, avec des importations dépassant les 11 millions d’euros sur un seul mois. Au total, les exportations espagnoles vers l’Algérie ont atteint 13,4 millions d’euros en novembre et décembre 2024, hissant le pays au 16e rang des clients internationaux. ➡️ Une volonté de coopération renouvelée Ce retour progressif à la normale s’accompagne d’une volonté commune de reconstruire des relations économiques solides. Une délégation espagnole du secteur céramique prévoit de se rendre prochainement en Algérie pour renforcer les partenariats existants et en nouer de nouveaux. L’Algérie, pour sa part, semble disposée à accueillir de nouveau ces fournisseurs dans un cadre plus apaisé. ➡️ Un marché porteur pour l’avenir Avant la crise, l’Algérie était le deuxième marché d’exportation de céramique espagnole. Les industriels ibériques espèrent désormais retrouver ces niveaux, portés par la demande croissante du secteur du bâtiment algérien et par une dynamique de reprise industrielle. Ce retour marque ainsi une étape stratégique dans la relance des échanges entre les deux rives de la Méditerranée.
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  • La crise entre l’Algérie et la France a franchi une nouvelle étape inédite, prolongeant les relations entre les deux pays dans un terrain inconnu.
    🇩🇿🇫🇷 La crise entre l’Algérie et la France a franchi une nouvelle étape inédite, prolongeant les relations entre les deux pays dans un terrain inconnu.
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  • L’Algérie signe un accord stratégique de fourniture de gaz avec la Slovénie

    L’Algérie consolide sa position sur le marché énergétique européen grâce à un nouvel accord signé le 13 mai 2025 entre Sonatrach, le groupe pétrolier national, et la société slovène Geoplin. Ce contrat de fourniture de gaz naturel, conclu pour trois ans à partir de janvier 2023, marque le retour de l’Algérie sur le marché slovène, après une décennie d’interruption.

    Un partenariat énergétique renouvelé

    Ce nouvel accord s’inscrit dans la continuité d’un premier engagement datant de novembre 2022, visant à livrer du gaz naturel à la Slovénie via le gazoduc transméditerranéen reliant l’Algérie à l’Italie. L’objectif est clair : renforcer la coopération bilatérale et satisfaire les besoins croissants de l’Europe en énergie.

    Un rôle clé dans la stratégie énergétique européenne

    Depuis la crise énergétique provoquée par la guerre en Ukraine, l’Europe cherche à diversifier ses sources d’approvisionnement. L’Algérie apparaît comme un partenaire fiable, capable d’assurer des livraisons régulières et sécurisées. Ce contrat illustre la volonté de l’Algérie de consolider son rôle d’acteur majeur sur la scène énergétique du continent.

    Une coopération élargie au-delà du gaz

    Outre le secteur gazier, cet accord ouvre la voie à une collaboration plus large entre Alger et Ljubljana. Des discussions sont en cours pour mettre en place un programme de coopération bilatérale incluant les énergies renouvelables, les infrastructures et les industries extractives.

    Un impact concret sur le marché

    Selon les estimations, Sonatrach livrera environ 300 millions de mètres cubes de gaz naturel par an à Geoplin. Une contribution significative qui permettra à la Slovénie de diversifier ses sources d’énergie et de sécuriser ses approvisionnements à moyen terme.

    ✅️ Ce partenariat énergétique marque une étape importante dans les relations algéro-slovènes et confirme la stratégie algérienne de diversification de ses débouchés gaziers en Europe.
    🇩🇿🇸🇮 L’Algérie signe un accord stratégique de fourniture de gaz avec la Slovénie L’Algérie consolide sa position sur le marché énergétique européen grâce à un nouvel accord signé le 13 mai 2025 entre Sonatrach, le groupe pétrolier national, et la société slovène Geoplin. Ce contrat de fourniture de gaz naturel, conclu pour trois ans à partir de janvier 2023, marque le retour de l’Algérie sur le marché slovène, après une décennie d’interruption. ➡️ Un partenariat énergétique renouvelé Ce nouvel accord s’inscrit dans la continuité d’un premier engagement datant de novembre 2022, visant à livrer du gaz naturel à la Slovénie via le gazoduc transméditerranéen reliant l’Algérie à l’Italie. L’objectif est clair : renforcer la coopération bilatérale et satisfaire les besoins croissants de l’Europe en énergie. ➡️ Un rôle clé dans la stratégie énergétique européenne Depuis la crise énergétique provoquée par la guerre en Ukraine, l’Europe cherche à diversifier ses sources d’approvisionnement. L’Algérie apparaît comme un partenaire fiable, capable d’assurer des livraisons régulières et sécurisées. Ce contrat illustre la volonté de l’Algérie de consolider son rôle d’acteur majeur sur la scène énergétique du continent. ➡️ Une coopération élargie au-delà du gaz Outre le secteur gazier, cet accord ouvre la voie à une collaboration plus large entre Alger et Ljubljana. Des discussions sont en cours pour mettre en place un programme de coopération bilatérale incluant les énergies renouvelables, les infrastructures et les industries extractives. ➡️ Un impact concret sur le marché Selon les estimations, Sonatrach livrera environ 300 millions de mètres cubes de gaz naturel par an à Geoplin. Une contribution significative qui permettra à la Slovénie de diversifier ses sources d’énergie et de sécuriser ses approvisionnements à moyen terme. ✅️ Ce partenariat énergétique marque une étape importante dans les relations algéro-slovènes et confirme la stratégie algérienne de diversification de ses débouchés gaziers en Europe.
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  • Davide Ancelotti en route vers une carrière en solo : bientôt entraîneur principal en Europe ?

    Davide Ancelotti, fils de Carlo Ancelotti et actuel entraîneur adjoint du Real Madrid, pourrait bientôt prendre son envol en tant qu’entraîneur principal d’un club historique européen. Plusieurs sources concordantes indiquent que le technicien de 35 ans est en discussions avancées pour devenir le nouveau coach du FC Bâle, un club emblématique du championnat suisse. Il était également pressenti récemment pour le poste de manager des Glasgow Rangers, preuve de l’intérêt grandissant qu’il suscite sur la scène européenne.

    Fort d’une solide expérience acquise aux côtés de son père dans des clubs de prestige (PSG, Bayern Munich, Napoli, Everton, Real Madrid), Davide détient la licence UEFA Pro et a toujours exprimé son ambition de diriger une équipe première. Il est reconnu pour sa méthode de travail rigoureuse, son sens de l’analyse tactique et sa capacité à gagner la confiance des joueurs.

    Son style d’entraîneur se caractérise par une approche humaine et technique, qu’il décrit comme « la culture du bonsaï » : observer, comprendre et adapter son encadrement à chaque individu. Son leadership discret et ses compétences relationnelles ont permis à de nombreuses stars du vestiaire madrilène de progresser sous sa supervision.

    Ce possible tournant dans sa carrière intervient alors que son père Carlo Ancelotti s’apprête à quitter le Real Madrid pour devenir le sélectionneur du Brésil. Une transition générationnelle semble ainsi se dessiner, avec Davide prêt à voler de ses propres ailes.

    La nomination officielle pourrait intervenir dans les prochaines semaines, ouvrant ainsi une nouvelle ère pour le FC Bâle – et potentiellement pour l’avenir de l’entraînement en Europe, avec un Ancelotti version 2.0.
    🚨 Davide Ancelotti en route vers une carrière en solo : bientôt entraîneur principal en Europe ? Davide Ancelotti, fils de Carlo Ancelotti et actuel entraîneur adjoint du Real Madrid, pourrait bientôt prendre son envol en tant qu’entraîneur principal d’un club historique européen. Plusieurs sources concordantes indiquent que le technicien de 35 ans est en discussions avancées pour devenir le nouveau coach du FC Bâle, un club emblématique du championnat suisse. Il était également pressenti récemment pour le poste de manager des Glasgow Rangers, preuve de l’intérêt grandissant qu’il suscite sur la scène européenne. Fort d’une solide expérience acquise aux côtés de son père dans des clubs de prestige (PSG, Bayern Munich, Napoli, Everton, Real Madrid), Davide détient la licence UEFA Pro et a toujours exprimé son ambition de diriger une équipe première. Il est reconnu pour sa méthode de travail rigoureuse, son sens de l’analyse tactique et sa capacité à gagner la confiance des joueurs. Son style d’entraîneur se caractérise par une approche humaine et technique, qu’il décrit comme « la culture du bonsaï » : observer, comprendre et adapter son encadrement à chaque individu. Son leadership discret et ses compétences relationnelles ont permis à de nombreuses stars du vestiaire madrilène de progresser sous sa supervision. Ce possible tournant dans sa carrière intervient alors que son père Carlo Ancelotti s’apprête à quitter le Real Madrid pour devenir le sélectionneur du Brésil. Une transition générationnelle semble ainsi se dessiner, avec Davide prêt à voler de ses propres ailes. La nomination officielle pourrait intervenir dans les prochaines semaines, ouvrant ainsi une nouvelle ère pour le FC Bâle – et potentiellement pour l’avenir de l’entraînement en Europe, avec un Ancelotti version 2.0.
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  • Visite d’État en Slovénie : le président Tebboune renforce les liens bilatéraux

    Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a entamé, le 12 mai 2025, une visite d’État en Slovénie à l’invitation de la présidente slovène Nataša Pirc Musar. Cette visite marque une volonté claire des deux pays d’approfondir leur coopération politique, économique et technologique.

    Vers un partenariat stratégique

    Au cœur des discussions, plusieurs secteurs clés ont été abordés : énergie, numérisation, intelligence artificielle, migration, ainsi que la coopération industrielle et universitaire. Les deux chefs d’État ont exprimé leur engagement à renforcer les relations bilatérales, qu’ils considèrent en pleine évolution qualitative.

    Des projets concrets et une présence diplomatique accrue

    Cette dynamique de rapprochement s’est matérialisée par l’inauguration officielle de l’ambassade d’Algérie à Ljubljana, en présence des ministres des Affaires étrangères des deux pays. Ce geste symbolique traduit la volonté d’instaurer une présence diplomatique durable et plus active.

    Une vision partagée pour la scène internationale

    La visite a également été l’occasion pour les deux dirigeants d’échanger sur des enjeux globaux. Ils ont affirmé leur attachement commun à la paix, à la stabilité et au développement durable, et se sont engagés à coopérer davantage dans les forums internationaux.

    Un tournant pour les relations algéro-slovènes

    Cette visite d’État ouvre une nouvelle page dans les relations entre l’Algérie et la Slovénie. Elle jette les bases d’un partenariat stratégique diversifié et tourné vers l’avenir, tant sur le plan bilatéral qu’international.

    🇩🇿 🇸🇮 Visite d’État en Slovénie : le président Tebboune renforce les liens bilatéraux Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a entamé, le 12 mai 2025, une visite d’État en Slovénie à l’invitation de la présidente slovène Nataša Pirc Musar. Cette visite marque une volonté claire des deux pays d’approfondir leur coopération politique, économique et technologique. ➡️ Vers un partenariat stratégique Au cœur des discussions, plusieurs secteurs clés ont été abordés : énergie, numérisation, intelligence artificielle, migration, ainsi que la coopération industrielle et universitaire. Les deux chefs d’État ont exprimé leur engagement à renforcer les relations bilatérales, qu’ils considèrent en pleine évolution qualitative. ➡️ Des projets concrets et une présence diplomatique accrue Cette dynamique de rapprochement s’est matérialisée par l’inauguration officielle de l’ambassade d’Algérie à Ljubljana, en présence des ministres des Affaires étrangères des deux pays. Ce geste symbolique traduit la volonté d’instaurer une présence diplomatique durable et plus active. ➡️ Une vision partagée pour la scène internationale La visite a également été l’occasion pour les deux dirigeants d’échanger sur des enjeux globaux. Ils ont affirmé leur attachement commun à la paix, à la stabilité et au développement durable, et se sont engagés à coopérer davantage dans les forums internationaux. ➡️ Un tournant pour les relations algéro-slovènes Cette visite d’État ouvre une nouvelle page dans les relations entre l’Algérie et la Slovénie. Elle jette les bases d’un partenariat stratégique diversifié et tourné vers l’avenir, tant sur le plan bilatéral qu’international.
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  • Crise diplomatique France-Algérie : la rupture en ligne de mire

    Les relations entre la France et l’Algérie connaissent une nouvelle phase de tension critique, marquée par une escalade sans précédent d’actes diplomatiques. À la suite d’un enchaînement de provocations mutuelles, les deux pays semblent se diriger vers une rupture durable de leurs liens diplomatiques.

    Une spirale d’expulsions

    Le 12 mai 2025, l’Algérie a expulsé 15 diplomates français, les accusant d’occuper des postes jugés irréguliers. Cette décision est venue en réponse à l’expulsion, en avril, de 12 diplomates algériens par la France. Paris reprochait alors à l’un de ces fonctionnaires son implication présumée dans l’enlèvement d’un opposant algérien sur le sol français, un acte qualifié de grave atteinte à la souveraineté nationale.

    Réaction française et climat délétère

    Face à ces mesures, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a dénoncé une expulsion "injustifiée" et promis une réponse "ferme et proportionnée". Il s’agit d’un nouvel épisode dans un climat déjà tendu depuis plusieurs mois, notamment à cause du soutien de la France au plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, une position que l’Algérie considère comme une trahison diplomatique.

    Vers une rupture inévitable ?

    Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a appelé à un éventuel retour au dialogue, tout en exigeant que la France fasse le premier pas. Toutefois, les échanges verbaux restent vifs et les actes diplomatiques de plus en plus lourds de conséquences. Les experts craignent une rupture formelle des relations si aucun compromis n’est trouvé.

    Des conséquences profondes

    Une telle détérioration affecterait non seulement la coopération bilatérale en matière de sécurité et d’immigration, mais aussi les liens humains, économiques et historiques profonds entre les deux pays. Dans ce contexte explosif, la fenêtre pour la désescalade semble de plus en plus étroite.


    🇩🇿 Crise diplomatique France-Algérie : la rupture en ligne de mire Les relations entre la France et l’Algérie connaissent une nouvelle phase de tension critique, marquée par une escalade sans précédent d’actes diplomatiques. À la suite d’un enchaînement de provocations mutuelles, les deux pays semblent se diriger vers une rupture durable de leurs liens diplomatiques. ➡️ Une spirale d’expulsions Le 12 mai 2025, l’Algérie a expulsé 15 diplomates français, les accusant d’occuper des postes jugés irréguliers. Cette décision est venue en réponse à l’expulsion, en avril, de 12 diplomates algériens par la France. Paris reprochait alors à l’un de ces fonctionnaires son implication présumée dans l’enlèvement d’un opposant algérien sur le sol français, un acte qualifié de grave atteinte à la souveraineté nationale. ➡️ Réaction française et climat délétère Face à ces mesures, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a dénoncé une expulsion "injustifiée" et promis une réponse "ferme et proportionnée". Il s’agit d’un nouvel épisode dans un climat déjà tendu depuis plusieurs mois, notamment à cause du soutien de la France au plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, une position que l’Algérie considère comme une trahison diplomatique. ➡️ Vers une rupture inévitable ? Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a appelé à un éventuel retour au dialogue, tout en exigeant que la France fasse le premier pas. Toutefois, les échanges verbaux restent vifs et les actes diplomatiques de plus en plus lourds de conséquences. Les experts craignent une rupture formelle des relations si aucun compromis n’est trouvé. ➡️ Des conséquences profondes Une telle détérioration affecterait non seulement la coopération bilatérale en matière de sécurité et d’immigration, mais aussi les liens humains, économiques et historiques profonds entre les deux pays. Dans ce contexte explosif, la fenêtre pour la désescalade semble de plus en plus étroite.
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  • Le pétrole algérien atteint des sommets : la Corée du Sud en tête des clients en avril 2025

    Les exportations de pétrole brut de l’Algérie ont atteint en avril 2025 leur plus haut niveau depuis deux ans et demi, atteignant 492 000 barils par jour. Une performance qui confirme la relance du secteur énergétique national et la solidité des relations commerciales du pays avec ses principaux partenaires.

    Une hausse stratégique

    En progression de 2,3 % par rapport à l’année précédente, cette augmentation des volumes exportés s’inscrit dans une dynamique de diversification des marchés et d’optimisation des capacités de production. La stratégie de Sonatrach, alliée à une demande mondiale soutenue, a permis à l’Algérie de revenir au centre du jeu énergétique.

    Le top 5 des clients

    Selon des données issues de sources économiques fiables comme Algérie Invest et ObservAlgérie, les cinq principaux importateurs de brut algérien en avril 2025 sont :

    1. Corée du Sud – 120 000 barils par jour, renforcés par un achat exceptionnel de deux millions de barils ;

    2. France – 103 000 barils/jour, malgré une baisse globale des importations françaises ;

    3. Espagne – 66 000 barils/jour, soutenue par la proximité logistique ;

    4. Italie – 62 000 barils/jour, dans la continuité de liens énergétiques historiques ;

    5. États-Unis – 25 000 barils/jour, en légère baisse par rapport à l’année précédente.

    Cap sur l’Asie et l’Europe

    L’accent mis sur les marchés asiatiques, avec la Corée du Sud en fer de lance, marque une volonté claire de diversification. L’Algérie cherche ainsi à réduire sa dépendance vis-à-vis de l’Europe tout en capitalisant sur des débouchés à forte croissance.

    Une position à consolider

    Ces résultats confirment la résilience du secteur pétrolier algérien et son rôle central dans les équilibres économiques du pays. À moyen terme, les autorités entendent maintenir cette tendance en renforçant les infrastructures, en améliorant la compétitivité et en explorant de nouveaux marchés.

    🚨 Le pétrole algérien atteint des sommets : la Corée du Sud en tête des clients en avril 2025 Les exportations de pétrole brut de l’Algérie ont atteint en avril 2025 leur plus haut niveau depuis deux ans et demi, atteignant 492 000 barils par jour. Une performance qui confirme la relance du secteur énergétique national et la solidité des relations commerciales du pays avec ses principaux partenaires. ➡️ Une hausse stratégique En progression de 2,3 % par rapport à l’année précédente, cette augmentation des volumes exportés s’inscrit dans une dynamique de diversification des marchés et d’optimisation des capacités de production. La stratégie de Sonatrach, alliée à une demande mondiale soutenue, a permis à l’Algérie de revenir au centre du jeu énergétique. ➡️ Le top 5 des clients Selon des données issues de sources économiques fiables comme Algérie Invest et ObservAlgérie, les cinq principaux importateurs de brut algérien en avril 2025 sont : 1. Corée du Sud – 120 000 barils par jour, renforcés par un achat exceptionnel de deux millions de barils ; 2. France – 103 000 barils/jour, malgré une baisse globale des importations françaises ; 3. Espagne – 66 000 barils/jour, soutenue par la proximité logistique ; 4. Italie – 62 000 barils/jour, dans la continuité de liens énergétiques historiques ; 5. États-Unis – 25 000 barils/jour, en légère baisse par rapport à l’année précédente. ➡️ Cap sur l’Asie et l’Europe L’accent mis sur les marchés asiatiques, avec la Corée du Sud en fer de lance, marque une volonté claire de diversification. L’Algérie cherche ainsi à réduire sa dépendance vis-à-vis de l’Europe tout en capitalisant sur des débouchés à forte croissance. ➡️ Une position à consolider Ces résultats confirment la résilience du secteur pétrolier algérien et son rôle central dans les équilibres économiques du pays. À moyen terme, les autorités entendent maintenir cette tendance en renforçant les infrastructures, en améliorant la compétitivité et en explorant de nouveaux marchés.
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  • Le Président Abdelmadjid Tebboune a fait ses adieux à son frère, le Sultan Haitham bin Tariq, à la fin de sa visite d’État en Algérie. Un moment fort marqué par la fraternité et le respect mutuel entre les deux nations.
    Cette visite a renforcé les relations stratégiques algéro-omanaises dans plusieurs domaines clés.
    #Algérie#oman#tebboune#relationsinternationales#alger
    🚨 Le Président Abdelmadjid Tebboune a fait ses adieux à son frère, le Sultan Haitham bin Tariq, à la fin de sa visite d’État en Algérie. Un moment fort marqué par la fraternité et le respect mutuel entre les deux nations. Cette visite a renforcé les relations stratégiques algéro-omanaises dans plusieurs domaines clés. #Algérie​ #oman​ #tebboune​ #relationsinternationales​ #alger​
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  • Monsieur le ministre de la santé rencontre le chef de l'Agence internationale de recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé

    En marge des sessions nationales de prévention et de lutte contre le cancer, tenues les 3 et 4 mai 2025 au centre international de conférence Abdul Latif Rahal dans la capitale sous le patronage suprême de Monsieur le Président, Monsieur le Ministre de la santé, Monsieur Abdul Haq, président de l'Agence internationale pour Recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, Dr Prtha Sarathi, s'est réuni en présence du président du comité national de prévention et de lutte contre le cancer, le professeur Ada Bongar.

    Au cours de cette réunion, le Ministre a souligné l'importance des programmes de prévention pour sauver des vies, notant que les problèmes de santé liés au cancer dans certains pays sont en grande partie dus à des changements de mode de vie, tels que l'alimentation et la pollution de l'environnement, ainsi qu'à des infrastructures

    Dans ce contexte, le ministre a ajouté qu'en Algérie, un double programme de travail a été approuvé pour la réorganisation du système de santé lié à la prise en charge des malades cancéreux, ainsi que pour la promotion de la culture de la prévention par des campagnes de sensibilisation et de sensibilisation

    De son côté, le représentant de l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer a présenté un résumé d'une étude réalisée par l'agence qui montre que d'ici 2040, nous verrons un changement radical des taux d'incidence du cancer et que le fardeau le plus lourd pour les pays sera les ressources

    Le porte-parole a fait remarquer qu'il ne pouvait pas seulement continuer à traiter le cancer, mais nous devons l'empêcher, indiquant que l'accent serait mis sur la recherche sur la prévention du cancer et sur la réhabilitation des patients atteints

    L'Algérie a été invitée à rejoindre l'agence de 29 Etats membres et à bénéficier de relations de coopération solides pour établir des partenariats de recherche, contribuer à améliorer les plans nationaux de lutte contre le cancer et échanger des expériences et des connaissances.

    Le Dr Parthi a également confirmé que l'organisation était prête à fournir tous les détails sur les étapes exécutives et les mécanismes de travail communs nécessaires, ainsi que le soutien technique disponible.

    En ce qui concerne les logiciels d'évaluation et de suivi, le Dr Parthi a affirmé que l'organisation était confrontée à certains défis dans les processus d'évaluation, mais qu'elle travaille à élaborer des méthodologies claires pour organiser les évaluations et préparer des indicateurs de performance précis pour s'assurer que les données produites

    Le conférencier a également donné un aperçu des programmes mis en œuvre, indiquant que des programmes de dépistage seront mis en œuvre dans plusieurs pays, notamment le dépistage du cancer du sein, le dépistage du cancer du col utérin, le dépistage du cancer du côlon et

    En ce qui concerne l'analyse de la voie de prise en charge et de traitement des patients atteints de cancer, il s'est assuré que trois points ont été identifiés : le délai entre l'apparition des symptômes et le diagnostic, le retard dans le diagnostic et le début du traitement, et le retard dans la réception du traitement approprié.

    Il a noté qu'en identifiant les facteurs qui influencent ces points, des recommandations pratiques pourraient être faites aux ministères de la santé des pays africains pour améliorer la qualité des soins dispensés.

    L'entrée du Dr Parthi a conclu que son organisation analyse la situation sanitaire dans chaque pays au moyen d'une étude approfondie visant à identifier les pays les plus touchés par le cancer, en analysant les facteurs de risque. Il a confirmé que les estimations indiquent que la plupart des cas de cancer sont associés à des facteurs ajustables tels que les modes de vie, ce qui exige que l'on se concentre sur les changements de comportement dès le début de l'école, en mettant l'accent sur l'adoption de mesures préventives
    Monsieur le ministre de la santé rencontre le chef de l'Agence internationale de recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé En marge des sessions nationales de prévention et de lutte contre le cancer, tenues les 3 et 4 mai 2025 au centre international de conférence Abdul Latif Rahal dans la capitale sous le patronage suprême de Monsieur le Président, Monsieur le Ministre de la santé, Monsieur Abdul Haq, président de l'Agence internationale pour Recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, Dr Prtha Sarathi, s'est réuni en présence du président du comité national de prévention et de lutte contre le cancer, le professeur Ada Bongar. Au cours de cette réunion, le Ministre a souligné l'importance des programmes de prévention pour sauver des vies, notant que les problèmes de santé liés au cancer dans certains pays sont en grande partie dus à des changements de mode de vie, tels que l'alimentation et la pollution de l'environnement, ainsi qu'à des infrastructures Dans ce contexte, le ministre a ajouté qu'en Algérie, un double programme de travail a été approuvé pour la réorganisation du système de santé lié à la prise en charge des malades cancéreux, ainsi que pour la promotion de la culture de la prévention par des campagnes de sensibilisation et de sensibilisation De son côté, le représentant de l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer a présenté un résumé d'une étude réalisée par l'agence qui montre que d'ici 2040, nous verrons un changement radical des taux d'incidence du cancer et que le fardeau le plus lourd pour les pays sera les ressources Le porte-parole a fait remarquer qu'il ne pouvait pas seulement continuer à traiter le cancer, mais nous devons l'empêcher, indiquant que l'accent serait mis sur la recherche sur la prévention du cancer et sur la réhabilitation des patients atteints L'Algérie a été invitée à rejoindre l'agence de 29 Etats membres et à bénéficier de relations de coopération solides pour établir des partenariats de recherche, contribuer à améliorer les plans nationaux de lutte contre le cancer et échanger des expériences et des connaissances. Le Dr Parthi a également confirmé que l'organisation était prête à fournir tous les détails sur les étapes exécutives et les mécanismes de travail communs nécessaires, ainsi que le soutien technique disponible. En ce qui concerne les logiciels d'évaluation et de suivi, le Dr Parthi a affirmé que l'organisation était confrontée à certains défis dans les processus d'évaluation, mais qu'elle travaille à élaborer des méthodologies claires pour organiser les évaluations et préparer des indicateurs de performance précis pour s'assurer que les données produites Le conférencier a également donné un aperçu des programmes mis en œuvre, indiquant que des programmes de dépistage seront mis en œuvre dans plusieurs pays, notamment le dépistage du cancer du sein, le dépistage du cancer du col utérin, le dépistage du cancer du côlon et En ce qui concerne l'analyse de la voie de prise en charge et de traitement des patients atteints de cancer, il s'est assuré que trois points ont été identifiés : le délai entre l'apparition des symptômes et le diagnostic, le retard dans le diagnostic et le début du traitement, et le retard dans la réception du traitement approprié. Il a noté qu'en identifiant les facteurs qui influencent ces points, des recommandations pratiques pourraient être faites aux ministères de la santé des pays africains pour améliorer la qualité des soins dispensés. L'entrée du Dr Parthi a conclu que son organisation analyse la situation sanitaire dans chaque pays au moyen d'une étude approfondie visant à identifier les pays les plus touchés par le cancer, en analysant les facteurs de risque. Il a confirmé que les estimations indiquent que la plupart des cas de cancer sont associés à des facteurs ajustables tels que les modes de vie, ce qui exige que l'on se concentre sur les changements de comportement dès le début de l'école, en mettant l'accent sur l'adoption de mesures préventives
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  • Algérie-Italie : Une coopération économique solide malgré une légère baisse des échanges commerciaux

    En 2024, les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Italie ont atteint 12,5 milliards d’euros, enregistrant une légère baisse par rapport aux 15,5 milliards de 2023. Malgré ce recul, la coopération entre les deux pays reste dynamique et s’oriente de plus en plus vers des projets structurants à long terme.

    Parmi les initiatives phares, un méga-projet agricole d’une valeur de 420 millions d’euros a été lancé dans la wilaya de Timimoun. Porté par le groupe italien Bonifiche Ferraresi, en partenariat avec le Fonds National d’Investissement algérien, ce projet s’étend sur 36 000 hectares et vise à renforcer la sécurité alimentaire en Algérie. Il prévoit la production de céréales, la construction d’unités de transformation et la création de milliers d’emplois.

    Ce partenariat s’inscrit dans le cadre du "Plan Mattei", une initiative italienne lancée en 2024 pour renforcer les relations économiques avec l’Afrique dans des secteurs clés comme l’énergie, l’agriculture, l’eau et la santé. L’Algérie, partenaire stratégique, y joue un rôle central.

    À l’horizon 2025, Alger et Rome poursuivent leur engagement commun, comme en témoigne la table ronde organisée en mars à Alger, axée sur les investissements dans les énergies renouvelables, les infrastructures et les technologies.

    Malgré un léger repli commercial, l’axe Alger-Rome s’inscrit donc dans une logique de coopération durable et mutuellement bénéfique, au-delà des simples flux commerciaux.
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    🇩🇿 🇮🇹 Algérie-Italie : Une coopération économique solide malgré une légère baisse des échanges commerciaux En 2024, les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Italie ont atteint 12,5 milliards d’euros, enregistrant une légère baisse par rapport aux 15,5 milliards de 2023. Malgré ce recul, la coopération entre les deux pays reste dynamique et s’oriente de plus en plus vers des projets structurants à long terme. Parmi les initiatives phares, un méga-projet agricole d’une valeur de 420 millions d’euros a été lancé dans la wilaya de Timimoun. Porté par le groupe italien Bonifiche Ferraresi, en partenariat avec le Fonds National d’Investissement algérien, ce projet s’étend sur 36 000 hectares et vise à renforcer la sécurité alimentaire en Algérie. Il prévoit la production de céréales, la construction d’unités de transformation et la création de milliers d’emplois. Ce partenariat s’inscrit dans le cadre du "Plan Mattei", une initiative italienne lancée en 2024 pour renforcer les relations économiques avec l’Afrique dans des secteurs clés comme l’énergie, l’agriculture, l’eau et la santé. L’Algérie, partenaire stratégique, y joue un rôle central. À l’horizon 2025, Alger et Rome poursuivent leur engagement commun, comme en témoigne la table ronde organisée en mars à Alger, axée sur les investissements dans les énergies renouvelables, les infrastructures et les technologies. Malgré un léger repli commercial, l’axe Alger-Rome s’inscrit donc dans une logique de coopération durable et mutuellement bénéfique, au-delà des simples flux commerciaux. #info #news #actualités #actu
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