Le Dernier Jour de Jacques Mesrine : La Fin du “Roi de l’Évasion”
Le 2 novembre 1979 marque l’un des épisodes les plus marquants de l’histoire criminelle française. Jacques Mesrine, surnommé « l’ennemi public numéro un », tombe sous les balles de la Brigade de Recherche et d’Intervention (BRI) après des années de cavale, de braquages, d’évasions spectaculaires et de provocations envers l’État.
Depuis plusieurs semaines, la police parisienne suit discrètement ses mouvements. Le commissaire Robert Broussard, chef de l’Antigang, a fini par localiser sa planque : un appartement discret situé rue Belliard, dans le 18e arrondissement. Les agents observent patiemment ses allées et venues, sachant que la moindre erreur pourrait lui coûter la vie.
Ce vendredi après-midi, les policiers sont convaincus que Mesrine s’apprête à quitter Paris pour le week-end. À 15h15, il sort de son immeuble accompagné de sa compagne Sylvia Jeanjacquot, sous une fausse identité. Tous deux montent dans une BMW 528i. En roulant vers la Porte de Clignancourt, ils ignorent que la route est déjà piégée.
Soudain, un camion de déménagement bloque la voie. C’est en réalité un véhicule de la police, bâché pour dissimuler une équipe de tireurs d’élite. Le camion s’arrête brusquement, immobilisant la BMW. En une fraction de seconde, la bâche tombe : les policiers ouvrent le feu sans sommation. Le déchaînement est fulgurant. En quelques secondes, une pluie de balles s’abat sur la voiture.
Jacques Mesrine est touché à plusieurs reprises — dix-neuf impacts selon le rapport officiel. Il meurt sur le coup, le corps criblé de projectiles. À ses côtés, Sylvia Jeanjacquot est grièvement blessée : elle perdra un œil et l’usage d’un bras. Dans la voiture, les enquêteurs découvrent plusieurs armes de poing et des grenades, témoignant qu’il était prêt à tout pour éviter la capture.
Cette exécution publique, en plein Paris, provoque une onde de choc. Certains y voient la légitime fin d’un criminel dangereux ; d’autres dénoncent une exécution extrajudiciaire. Quoi qu’il en soit, la mort de Jacques Mesrine clôt un chapitre fascinant de la criminalité française, celui d’un homme qui avait bâti sa légende entre audace, violence et défi à l’autorité.
Le 2 novembre 1979 marque l’un des épisodes les plus marquants de l’histoire criminelle française. Jacques Mesrine, surnommé « l’ennemi public numéro un », tombe sous les balles de la Brigade de Recherche et d’Intervention (BRI) après des années de cavale, de braquages, d’évasions spectaculaires et de provocations envers l’État.
Depuis plusieurs semaines, la police parisienne suit discrètement ses mouvements. Le commissaire Robert Broussard, chef de l’Antigang, a fini par localiser sa planque : un appartement discret situé rue Belliard, dans le 18e arrondissement. Les agents observent patiemment ses allées et venues, sachant que la moindre erreur pourrait lui coûter la vie.
Ce vendredi après-midi, les policiers sont convaincus que Mesrine s’apprête à quitter Paris pour le week-end. À 15h15, il sort de son immeuble accompagné de sa compagne Sylvia Jeanjacquot, sous une fausse identité. Tous deux montent dans une BMW 528i. En roulant vers la Porte de Clignancourt, ils ignorent que la route est déjà piégée.
Soudain, un camion de déménagement bloque la voie. C’est en réalité un véhicule de la police, bâché pour dissimuler une équipe de tireurs d’élite. Le camion s’arrête brusquement, immobilisant la BMW. En une fraction de seconde, la bâche tombe : les policiers ouvrent le feu sans sommation. Le déchaînement est fulgurant. En quelques secondes, une pluie de balles s’abat sur la voiture.
Jacques Mesrine est touché à plusieurs reprises — dix-neuf impacts selon le rapport officiel. Il meurt sur le coup, le corps criblé de projectiles. À ses côtés, Sylvia Jeanjacquot est grièvement blessée : elle perdra un œil et l’usage d’un bras. Dans la voiture, les enquêteurs découvrent plusieurs armes de poing et des grenades, témoignant qu’il était prêt à tout pour éviter la capture.
Cette exécution publique, en plein Paris, provoque une onde de choc. Certains y voient la légitime fin d’un criminel dangereux ; d’autres dénoncent une exécution extrajudiciaire. Quoi qu’il en soit, la mort de Jacques Mesrine clôt un chapitre fascinant de la criminalité française, celui d’un homme qui avait bâti sa légende entre audace, violence et défi à l’autorité.
Le Dernier Jour de Jacques Mesrine : La Fin du “Roi de l’Évasion”
Le 2 novembre 1979 marque l’un des épisodes les plus marquants de l’histoire criminelle française. Jacques Mesrine, surnommé « l’ennemi public numéro un », tombe sous les balles de la Brigade de Recherche et d’Intervention (BRI) après des années de cavale, de braquages, d’évasions spectaculaires et de provocations envers l’État.
Depuis plusieurs semaines, la police parisienne suit discrètement ses mouvements. Le commissaire Robert Broussard, chef de l’Antigang, a fini par localiser sa planque : un appartement discret situé rue Belliard, dans le 18e arrondissement. Les agents observent patiemment ses allées et venues, sachant que la moindre erreur pourrait lui coûter la vie.
Ce vendredi après-midi, les policiers sont convaincus que Mesrine s’apprête à quitter Paris pour le week-end. À 15h15, il sort de son immeuble accompagné de sa compagne Sylvia Jeanjacquot, sous une fausse identité. Tous deux montent dans une BMW 528i. En roulant vers la Porte de Clignancourt, ils ignorent que la route est déjà piégée.
Soudain, un camion de déménagement bloque la voie. C’est en réalité un véhicule de la police, bâché pour dissimuler une équipe de tireurs d’élite. Le camion s’arrête brusquement, immobilisant la BMW. En une fraction de seconde, la bâche tombe : les policiers ouvrent le feu sans sommation. Le déchaînement est fulgurant. En quelques secondes, une pluie de balles s’abat sur la voiture.
Jacques Mesrine est touché à plusieurs reprises — dix-neuf impacts selon le rapport officiel. Il meurt sur le coup, le corps criblé de projectiles. À ses côtés, Sylvia Jeanjacquot est grièvement blessée : elle perdra un œil et l’usage d’un bras. Dans la voiture, les enquêteurs découvrent plusieurs armes de poing et des grenades, témoignant qu’il était prêt à tout pour éviter la capture.
Cette exécution publique, en plein Paris, provoque une onde de choc. Certains y voient la légitime fin d’un criminel dangereux ; d’autres dénoncent une exécution extrajudiciaire. Quoi qu’il en soit, la mort de Jacques Mesrine clôt un chapitre fascinant de la criminalité française, celui d’un homme qui avait bâti sa légende entre audace, violence et défi à l’autorité.
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