Quand le cobalt s’arrache au prix du sang Une nouvelle tragédie a frappé le Congo : l’effondrement d’une zone d’extraction a enseveli des dizaines de travailleurs sous des tonnes de terre. Plus d’une soixantaine de vies ont été fauchées en un instant, des hommes qui creusaient jour et nuit pour extraire un métal devenu indispensable à nos appareils du quotidien. Ce cobalt, élément clé des batteries modernes, circule partout autour de nous : dans nos smartphones, nos ordinateurs portables, nos véhicules électriques… chaque morceau raconte pourtant une réalité invisible, celle de travailleurs exposés à des risques constants pour maintenir la cadence de l’industrie mondiale. Alors que ce drame met une nouvelle fois en lumière les conséquences humaines de cette course aux ressources, une décision politique en Europe fait grincer des dents. Le devoir de vigilance, qui devait pousser les grandes entreprises à vérifier l’impact humain et environnemental de leurs chaînes d’approvisionnement, vient d’être balayé d’un revers de main par les groupes les plus conservateurs du Parlement. Face à des vies sacrifiées, retirer les garde-fous revient à fermer les yeux volontairement. Les victimes ne sont pas seulement les mineurs ensevelis : ce sont aussi toutes celles et ceux qui, demain, continueront de travailler dans l’ombre pour nourrir un système qui refuse de regarder la vérité en face. À chaque fois que ce type de tragédie survient, une question persiste : combien de drames faudra-t-il pour rappeler que la technologie ne peut plus avancer au prix de vies humaines ? #Congo, #Cobalt, #Mines, #Travailleurs, #JusticeSociale, #Europe, #Responsabilité, #Industrie, #Éthique, #Tech, #Énergie, #DroitsHumains

Félix Tshisekedi appelle à la fin de l’occupation de territoires congolais Lors de la conférence internationale de Paris, le président congolais Félix Tshisekedi a lancé un appel solennel à l’ensemble des partenaires présents, qu’il s’agisse d’États ou d’organisations régionales et internationales, pour soutenir l’application stricte de la Résolution 2773 du Conseil de sécurité de l’ONU. « Je souhaite que chaque partenaire présent ici, chaque État, chaque organisation régionale ou internationale, s’engage à soutenir l’application effective de la Résolution 2773 et à appeler, clairement et sans ambiguïté, au retrait de l’AFC/M23 des zones qu’il occupe et au retrait des forces étrangères du territoire congolais », a déclaré le chef de l’État. Pour Félix Tshisekedi, la paix durable en République démocratique du Congo ne peut commencer qu’avec la fin de l’occupation d’une partie de son territoire. Il a insisté sur le fait qu’aucun double langage ou compromis moral n’est acceptable sur ce sujet. Cette déclaration intervient dans un contexte de tensions persistantes dans l’est du pays, où des groupes armés et des forces étrangères continuent de contrôler certaines zones, compromettant la sécurité et le développement de la région.

Conflit dans l’est de la RDC: Tshisekedi appelle à mettre le Rwanda « à l’index » Le président congolais Félix Tshisekedi a dénoncé vendredi les « velléités expansionnistes » du Rwanda dans l’est de la RDCongo et appelé à le « mettre à l’index », lors d’une intervention à la Conférence sur la sécurité de Munich. #infos #actu #news

RDC: le M23 entre dans Bukavu, Tshisekedi renonce au sommet de l’UA Des combattants du M23 alliés à des troupes rwandaises sont entrés vendredi dans Bukavu, après avoir pris le contrôle de l’aéroport de cette grande ville de l’Est de la RDC, le président congolais renonçant à participer au sommet de l’Union africaine ce weekend en Ethiopie #infos #actu #news

Ouverture du sommet de l’Union africaine, éclipsé par la crise en RDC L’escalade militaire dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), avec la prise vendredi d’une ville stratégique par le groupe armé M23 soutenu par le Rwanda, a bousculé l’agenda du sommet des chefs d’Etats de l’Union africaine qui se tient ce week-end dans la capitale éthiopienne, en l’absence du président congolais Félix Tshisekedi. #infos #actu #news

Le sommet des pays membres de la CAE annonce une réunion de leurs chefs militaires pour instaurer un cessez-le-feu en RDC Le sommet des dirigeants africains réunis en Tanzanie pour faire face à la crise en République démocratique du Congo a appelé samedi les chefs militaires à mettre en place un « cessez-le-feu immédiat et inconditionnel » dans un délai de cinq jours