• Béjaïa, perle de la Méditerranée et sentinelle de l’histoire kabyle

    Entre la mer et la montagne, entre le souvenir des civilisations et l’éclat éternel de ses paysages, Béjaïa se dresse comme un joyau délicatement posé sur la côte algérienne. Ville de lumière et de mémoire, elle offre à celui qui s’y attarde une leçon d’élégance naturelle et de profondeur historique.

    Béjaïa. À la seule évocation de son nom, le voyageur imagine déjà l’odeur du sel marin mêlée aux senteurs des pins d’Alep, le bruit du ressac contre les rochers, et le chant discret du vent qui s’élève des montagnes du Djurdjura. Nichée entre mer et falaises, cette ville kabyle, autrefois appelée Bougie par les navigateurs et les marchands européens, possède une aura qui dépasse largement les frontières de l’Algérie. Elle est un écrin où se conjuguent, avec une rare harmonie, la beauté brute de la nature et la richesse d’un passé plurimillénaire.

    Il faut voir le soleil se lever sur le cap Carbon pour comprendre ce qui rend Béjaïa si singulière. Les premiers rayons glissent sur les eaux calmes de la baie, caressent les crêtes boisées du parc national de Gouraya, puis s’attardent sur les vieilles pierres des bâtisses hammadides, témoins d’une époque où la ville était une capitale florissante, un phare de science et de culture dans tout le bassin méditerranéen. Car Béjaïa, avant d’être une station balnéaire prisée ou une ville portuaire, fut une métropole intellectuelle de premier plan, accueillant au XIe siècle savants, astronomes, philosophes, et même le célèbre mathématicien Fibonacci, qui y découvrit les chiffres dits « arabes » avant de les transmettre à l’Europe.

    Chaque ruelle du centre historique semble porter l’écho discret des civilisations qui s’y sont succédé : phéniciens, romains, vandales, byzantins, arabes, berbères, tous ont laissé une empreinte. Mais c’est sous la dynastie des Hammadides que Béjaïa connut son apogée. Capitale raffinée, elle rayonnait par ses bibliothèques, ses écoles et ses jardins, devenant un véritable carrefour culturel où se croisaient langues, croyances et idées.

    Aujourd’hui encore, l’on peut contempler la Porte de la mer, vestige imposant de cette époque fastueuse, ouvrant autrefois sur le monde connu et sur les flottes venues de Tunis, de Gênes ou de Marseille. Les murs, patinés par le temps et les embruns, racontent en silence la gloire passée d’une ville qui fut, des siècles durant, l’une des capitales intellectuelles du Maghreb.

    Mais l’histoire n’est pas la seule à captiver à Béjaïa. La nature y déploie une majesté presque irréelle. Le parc national de Gouraya, classé réserve de biosphère par l’UNESCO, abrite une biodiversité rare, entre forêts denses, falaises abruptes plongeant dans la mer et sommets calcaires offrant des vues panoramiques à couper le souffle. C’est là, dans ce royaume suspendu entre ciel et terre, que vit encore le singe magot, témoin silencieux de l’harmonie millénaire entre l’homme et la nature.

    Les plages de Béjaïa, quant à elles, n’ont rien à envier aux plus grandes destinations méditerranéennes. Celles de Tichy, Aokas, Saket ou Boulimat s’étendent en courbes douces, bordées de collines verdoyantes. Le sable y est blond, les eaux limpides, et l’atmosphère, toujours, est empreinte de cette douceur de vivre propre aux villes maritimes où l’histoire se mêle à la brise.

    Ce qui frappe le plus à Béjaïa, c’est sans doute cette capacité à conjuguer la majesté du passé avec la beauté intacte de son environnement. Rien n’y semble figé, mais tout respire l’authenticité. Que l’on s’aventure dans les hauteurs du fort de Gouraya, que l’on déambule sur la corniche au coucher du soleil, ou que l’on se recueille devant les vestiges antiques, on ressent toujours la même émotion : celle d’être à la fois minuscule devant tant de grandeur, et infiniment lié à ce lieu qui, sans effort, parle à l’âme.

    Béjaïa n’est pas qu’une ville. Elle est une poésie minérale, un récit vivant, une offrande à tous ceux qui savent encore regarder le monde avec émerveillement.
    #Algérie #Algeria #Bejaïa

    🇩🇿🇩🇿 Béjaïa, perle de la Méditerranée et sentinelle de l’histoire kabyle 🇩🇿 Entre la mer et la montagne, entre le souvenir des civilisations et l’éclat éternel de ses paysages, Béjaïa se dresse comme un joyau délicatement posé sur la côte algérienne. Ville de lumière et de mémoire, elle offre à celui qui s’y attarde une leçon d’élégance naturelle et de profondeur historique. Béjaïa. À la seule évocation de son nom, le voyageur imagine déjà l’odeur du sel marin mêlée aux senteurs des pins d’Alep, le bruit du ressac contre les rochers, et le chant discret du vent qui s’élève des montagnes du Djurdjura. Nichée entre mer et falaises, cette ville kabyle, autrefois appelée Bougie par les navigateurs et les marchands européens, possède une aura qui dépasse largement les frontières de l’Algérie. Elle est un écrin où se conjuguent, avec une rare harmonie, la beauté brute de la nature et la richesse d’un passé plurimillénaire. Il faut voir le soleil se lever sur le cap Carbon pour comprendre ce qui rend Béjaïa si singulière. Les premiers rayons glissent sur les eaux calmes de la baie, caressent les crêtes boisées du parc national de Gouraya, puis s’attardent sur les vieilles pierres des bâtisses hammadides, témoins d’une époque où la ville était une capitale florissante, un phare de science et de culture dans tout le bassin méditerranéen. Car Béjaïa, avant d’être une station balnéaire prisée ou une ville portuaire, fut une métropole intellectuelle de premier plan, accueillant au XIe siècle savants, astronomes, philosophes, et même le célèbre mathématicien Fibonacci, qui y découvrit les chiffres dits « arabes » avant de les transmettre à l’Europe. Chaque ruelle du centre historique semble porter l’écho discret des civilisations qui s’y sont succédé : phéniciens, romains, vandales, byzantins, arabes, berbères, tous ont laissé une empreinte. Mais c’est sous la dynastie des Hammadides que Béjaïa connut son apogée. Capitale raffinée, elle rayonnait par ses bibliothèques, ses écoles et ses jardins, devenant un véritable carrefour culturel où se croisaient langues, croyances et idées. Aujourd’hui encore, l’on peut contempler la Porte de la mer, vestige imposant de cette époque fastueuse, ouvrant autrefois sur le monde connu et sur les flottes venues de Tunis, de Gênes ou de Marseille. Les murs, patinés par le temps et les embruns, racontent en silence la gloire passée d’une ville qui fut, des siècles durant, l’une des capitales intellectuelles du Maghreb. Mais l’histoire n’est pas la seule à captiver à Béjaïa. La nature y déploie une majesté presque irréelle. Le parc national de Gouraya, classé réserve de biosphère par l’UNESCO, abrite une biodiversité rare, entre forêts denses, falaises abruptes plongeant dans la mer et sommets calcaires offrant des vues panoramiques à couper le souffle. C’est là, dans ce royaume suspendu entre ciel et terre, que vit encore le singe magot, témoin silencieux de l’harmonie millénaire entre l’homme et la nature. Les plages de Béjaïa, quant à elles, n’ont rien à envier aux plus grandes destinations méditerranéennes. Celles de Tichy, Aokas, Saket ou Boulimat s’étendent en courbes douces, bordées de collines verdoyantes. Le sable y est blond, les eaux limpides, et l’atmosphère, toujours, est empreinte de cette douceur de vivre propre aux villes maritimes où l’histoire se mêle à la brise. Ce qui frappe le plus à Béjaïa, c’est sans doute cette capacité à conjuguer la majesté du passé avec la beauté intacte de son environnement. Rien n’y semble figé, mais tout respire l’authenticité. Que l’on s’aventure dans les hauteurs du fort de Gouraya, que l’on déambule sur la corniche au coucher du soleil, ou que l’on se recueille devant les vestiges antiques, on ressent toujours la même émotion : celle d’être à la fois minuscule devant tant de grandeur, et infiniment lié à ce lieu qui, sans effort, parle à l’âme. Béjaïa n’est pas qu’une ville. Elle est une poésie minérale, un récit vivant, une offrande à tous ceux qui savent encore regarder le monde avec émerveillement. #Algérie #Algeria #Bejaïa
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  • Constantine : la ville des ponts suspendus entre mémoire et renouveau

    Constantine, perchée sur des falaises spectaculaires du nord-est algérien, fascine par sa beauté naturelle et son héritage historique. Surnommée la « ville des ponts suspendus », elle relie passé prestigieux et ambitions modernes, offrant une expérience unique entre culture, architecture et innovation.

    Un héritage millénaire au cœur des montagnes

    Fondée par les Carthaginois et refondée par l’empereur romain Constantin, dont elle porte le nom, Constantine est l'une des plus anciennes cités du bassin méditerranéen. Son patrimoine architectural est impressionnant : le Palais Ahmed Bey, joyau ottoman du XIXe siècle, ou encore la Grande Mosquée, édifiée sur les ruines d’un temple romain, témoignent de la richesse de son histoire.

    Le Musée national Cirta, véritable mémoire de la ville, expose des trésors allant de la préhistoire à l’époque coloniale. Autant de preuves que Constantine n’est pas seulement une ville, mais un livre d’histoire à ciel ouvert.

    Une capitale culturelle en perpétuelle effervescence

    Constantine ne se contente pas de préserver son passé : elle le célèbre. En 2015, elle fut désignée Capitale arabe de la culture, une consécration pour cette cité où rayonne encore le malouf, musique arabo-andalouse emblématique de la région. Son festival international du malouf attire chaque année des passionnés venus de tout le Maghreb.

    La ville universitaire qu’est Constantine forme également l’élite de demain : l’Université Mentouri et l’Université Émir Abdelkader sont des références nationales en matière d’enseignement supérieur.

    Un paysage urbain spectaculaire et moderne

    Traversée par le oued Rhumel, Constantine est littéralement sculptée par la nature. Ses ponts mythiques – comme Sidi M’Cid ou Sidi Rached – défient le vide et relient les quartiers de la ville avec audace. Ces chefs-d'œuvre d’ingénierie sont devenus des symboles de résilience et de modernité.

    Au-delà de ses panoramas vertigineux, Constantine se modernise : infrastructures routières rénovées, aéroport international Mohamed Boudiaf, équipements culturels… La ville avance à grands pas sans tourner le dos à ses racines.

    Constantine, ville d’art, d’histoire et de science, prouve qu’il est possible d’honorer le passé tout en construisant l’avenir. Suspendue entre ciel et terre, elle continue de tisser, pont après pont, le fil de son destin.

    #Algérie #Algeria #Algerie #Constantine
    🇩🇿🇩🇿 Constantine : la ville des ponts suspendus entre mémoire et renouveau 🇩🇿 Constantine, perchée sur des falaises spectaculaires du nord-est algérien, fascine par sa beauté naturelle et son héritage historique. Surnommée la « ville des ponts suspendus », elle relie passé prestigieux et ambitions modernes, offrant une expérience unique entre culture, architecture et innovation. Un héritage millénaire au cœur des montagnes Fondée par les Carthaginois et refondée par l’empereur romain Constantin, dont elle porte le nom, Constantine est l'une des plus anciennes cités du bassin méditerranéen. Son patrimoine architectural est impressionnant : le Palais Ahmed Bey, joyau ottoman du XIXe siècle, ou encore la Grande Mosquée, édifiée sur les ruines d’un temple romain, témoignent de la richesse de son histoire. Le Musée national Cirta, véritable mémoire de la ville, expose des trésors allant de la préhistoire à l’époque coloniale. Autant de preuves que Constantine n’est pas seulement une ville, mais un livre d’histoire à ciel ouvert. Une capitale culturelle en perpétuelle effervescence Constantine ne se contente pas de préserver son passé : elle le célèbre. En 2015, elle fut désignée Capitale arabe de la culture, une consécration pour cette cité où rayonne encore le malouf, musique arabo-andalouse emblématique de la région. Son festival international du malouf attire chaque année des passionnés venus de tout le Maghreb. La ville universitaire qu’est Constantine forme également l’élite de demain : l’Université Mentouri et l’Université Émir Abdelkader sont des références nationales en matière d’enseignement supérieur. Un paysage urbain spectaculaire et moderne Traversée par le oued Rhumel, Constantine est littéralement sculptée par la nature. Ses ponts mythiques – comme Sidi M’Cid ou Sidi Rached – défient le vide et relient les quartiers de la ville avec audace. Ces chefs-d'œuvre d’ingénierie sont devenus des symboles de résilience et de modernité. Au-delà de ses panoramas vertigineux, Constantine se modernise : infrastructures routières rénovées, aéroport international Mohamed Boudiaf, équipements culturels… La ville avance à grands pas sans tourner le dos à ses racines. Constantine, ville d’art, d’histoire et de science, prouve qu’il est possible d’honorer le passé tout en construisant l’avenir. Suspendue entre ciel et terre, elle continue de tisser, pont après pont, le fil de son destin. #Algérie #Algeria #Algerie #Constantine
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  • Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien

    Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable.

    Le cœur culturel de la Kabylie

    Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région.

    Une économie entre agriculture et innovation

    Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique.

    Un tourisme en devenir

    Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante.

    Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement

    Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation.

    Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines.
    #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
    🇩🇿🇩🇿 Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien 🇩🇿 Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable. Le cœur culturel de la Kabylie Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région. Une économie entre agriculture et innovation Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique. Un tourisme en devenir Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante. Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation. Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines. #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
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  • Au Salon de l'Agriculture, François Bayrou esquive les questions des journalistes sur Bétharram, malgré le dépôt d’une plainte aujourd’hui par une ancienne victime de l’établissement pour "non-dénonciation de crime ou délit". Selon Le Parisien, un confrère ayant tenté de le relancer sur le sujet a été écarté du reste de la visite. Une attitude pour le moins mesquine...

    #Politique #Bayrou #Betharram #Journalisme #Presse #Médias
    🐮🐷 Au Salon de l'Agriculture, François Bayrou esquive les questions des journalistes sur Bétharram, malgré le dépôt d’une plainte aujourd’hui par une ancienne victime de l’établissement pour "non-dénonciation de crime ou délit". Selon Le Parisien, un confrère ayant tenté de le relancer sur le sujet a été écarté du reste de la visite. Une attitude pour le moins mesquine... #Politique #Bayrou #Betharram #Journalisme #Presse #Médias
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  • Constantine is a city of great importance in Mediterranean history. Formerly known as Cirta, it was the capital of Numidia from 300 BC to 46 BC before coming under Roman rule. It owes its current name to Emperor Constantine I, who renamed it in 313.

    During the Middle Ages, the city was conquered by the Arabs in the 7th century and subsequently became part of the Aghlabid kingdom, the Fatimid Empire, and later the Zirid, Hammadid, Almohad, and Hafsid dynasties.

    In the 16th century, Constantine became the capital of the Beylik of Constantine, serving as the seat of beylical power and a vassal of the Regency of Algiers. During the French conquest of Algeria, the city was captured in 1837 after a failed attempt in 1836. During the Algerian War of Independence, it was integrated into Wilaya II (Constantinois) under the FLN, later becoming the seat of its own wilaya upon Algeria's independence.

    Constantine is known by various nicknames, including the "City of Suspended Bridges," the "City of the Old Rock," the "City of Ulemas," the "City of Eagles," and the "City of Malouf"—Malouf being the local variant of Andalusian classical music. It is considered the capital of eastern Algeria.

    In 2015, Constantine was designated the Arab Capital of Culture, becoming the second Algerian city to host the event after Algiers in 2007.

    #Constantine #Algerie #Algiers #Algeria #Algeriatourism #VisitAlgeria
    ☪️🇩🇿 Constantine is a city of great importance in Mediterranean history. Formerly known as Cirta, it was the capital of Numidia from 300 BC to 46 BC before coming under Roman rule. It owes its current name to Emperor Constantine I, who renamed it in 313. During the Middle Ages, the city was conquered by the Arabs in the 7th century and subsequently became part of the Aghlabid kingdom, the Fatimid Empire, and later the Zirid, Hammadid, Almohad, and Hafsid dynasties. In the 16th century, Constantine became the capital of the Beylik of Constantine, serving as the seat of beylical power and a vassal of the Regency of Algiers. During the French conquest of Algeria, the city was captured in 1837 after a failed attempt in 1836. During the Algerian War of Independence, it was integrated into Wilaya II (Constantinois) under the FLN, later becoming the seat of its own wilaya upon Algeria's independence. Constantine is known by various nicknames, including the "City of Suspended Bridges," the "City of the Old Rock," the "City of Ulemas," the "City of Eagles," and the "City of Malouf"—Malouf being the local variant of Andalusian classical music. It is considered the capital of eastern Algeria. In 2015, Constantine was designated the Arab Capital of Culture, becoming the second Algerian city to host the event after Algiers in 2007. #Constantine #Algerie #Algiers #Algeria #Algeriatourism #VisitAlgeria
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  • Le milieu culturel s’alarme des effets de l’IA sur la création

    La création culturelle est-elle menacée par le développement de l’intelligence artificielle ? La question a fait débat samedi à Paris, en amont du Sommet sur l’IA prévu lundi et mardi, avec un front uni d’artistes et de sociétés de droits d’auteurs offensifs
    #infos #actu #news
    Le milieu culturel s’alarme des effets de l’IA sur la création La création culturelle est-elle menacée par le développement de l’intelligence artificielle ? La question a fait débat samedi à Paris, en amont du Sommet sur l’IA prévu lundi et mardi, avec un front uni d’artistes et de sociétés de droits d’auteurs offensifs #infos #actu #news
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  • Savez-vous qu’en Russie, sourire trop souvent peut être perçu comme un signe de faiblesse ou d'inauthenticité ? C'est une culture où les expressions faciales sont souvent plus réservées et sérieuses. Une différence fascinante dans les codes sociaux ! #Culture #Russie
    Savez-vous qu’en Russie, sourire trop souvent peut être perçu comme un signe de faiblesse ou d'inauthenticité ? C'est une culture où les expressions faciales sont souvent plus réservées et sérieuses. Une différence fascinante dans les codes sociaux ! 😊❌ #Culture #Russie
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  • Squid Game aux Champs-Élysées : le summum de la sur-commercialisation. Transformer un symbole culturel en un cirque de mauvais goût, c'est ça l'idée ? Paris mérite mieux que cette dégradation spectacle. #SquidGame #ChampsÉlysées #Consternation
    Squid Game aux Champs-Élysées : le summum de la sur-commercialisation. Transformer un symbole culturel en un cirque de mauvais goût, c'est ça l'idée ? Paris mérite mieux que cette dégradation spectacle. #SquidGame #ChampsÉlysées #Consternation
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  • Squid Game aux Champs-Élysées ? On remplace la magie de Paris par une attraction tape-à-l'œil. Culture populaire ok, mais est-ce vraiment l'image qu'on veut pour l'une des avenues les plus emblématiques du monde ? #SquidGame #ChampsÉlysées #Déception
    Squid Game aux Champs-Élysées ? On remplace la magie de Paris par une attraction tape-à-l'œil. Culture populaire ok, mais est-ce vraiment l'image qu'on veut pour l'une des avenues les plus emblématiques du monde ? 🤔 #SquidGame #ChampsÉlysées #Déception
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  • Les bâtiments les plus hauts de tous les continents

    Voici une liste des bâtiments les plus hauts de chaque continent, mettant en valeur les hauteurs des merveilles architecturales modernes :
    1. Asie : Burj Khalifa, Dubaï, Émirats arabes unis – 828 mètres (2 717 pieds)

    2. Amérique du Nord : Central Park Tower, New York City, États-Unis – 472 mètres (1 550 pieds)

    3. Europe : Centre Lakhta, Saint-Pétersbourg, Russie – 462 mètres (1 516 pieds)

    4. Australie/Océanie : Q1 Tower, Gold Coast, Australie – 322 mètres (1 058 pieds)

    5. Afrique : The Leonardo, Johannesburg, Afrique du Sud – 234 mètres (768 pieds)

    6. Amérique du Sud : Gran Torre Santiago, Santiago, Chili – 300 mètres (984 pieds)

    7. Antarctique : pas de bâtiments de grande hauteur (principalement des stations de recherche)

    Ces structures emblématiques ne sont pas seulement des prouesses d’ingénierie mais aussi des monuments culturels représentatifs de leurs régions.
    Les bâtiments les plus hauts de tous les continents 🌍🏙️👣 Voici une liste des bâtiments les plus hauts de chaque continent, mettant en valeur les hauteurs des merveilles architecturales modernes : 1. Asie : Burj Khalifa, Dubaï, Émirats arabes unis – 828 mètres (2 717 pieds) 2. Amérique du Nord : Central Park Tower, New York City, États-Unis – 472 mètres (1 550 pieds) 3. Europe : Centre Lakhta, Saint-Pétersbourg, Russie – 462 mètres (1 516 pieds) 4. Australie/Océanie : Q1 Tower, Gold Coast, Australie – 322 mètres (1 058 pieds) 5. Afrique : The Leonardo, Johannesburg, Afrique du Sud – 234 mètres (768 pieds) 6. Amérique du Sud : Gran Torre Santiago, Santiago, Chili – 300 mètres (984 pieds) 7. Antarctique : pas de bâtiments de grande hauteur (principalement des stations de recherche) Ces structures emblématiques ne sont pas seulement des prouesses d’ingénierie mais aussi des monuments culturels représentatifs de leurs régions. 🌏🌍🌎
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