• L1 : Marseille 0-3 Paris SG

    Un écart réduit entre les deux équipes ? Les Parisiens ont fait une vraie mise au point ! Sur la pelouse du Stade Vélodrome ce dimanche, le Paris Saint-Germain a surclassé l’Olympique de Marseille (3-0) en clôture de la 9e journée de Ligue 1.

    Dans une chaude ambiance au Vélodrome, les Parisiens prenaient immédiatement le contrôle du ballon face à un bloc marseillais très regroupé dans l’axe. Dominateur, le PSG était tout de suite récompensé avec un centre de Mendes mal repoussé par Rulli sur Neves, qui ouvrait le score dans la cage vide (0-1, 7e). Asphyxiés pendant plusieurs minutes, les Phocéens connaissaient en plus un énorme coup dur avec l’expulsion d’Harit, auteur d’un pied un peu haut sur Marquinhos. Une décision d’une grande sévérité...

    En supériorité numérique, le PSG enfonçait rapidement le clou avec une erreur XXL de Balerdi, qui détournait un centre d’Hakimi dans sa propre cage (0-2, 29e). Un cauchemar pour l’OM ! Sans imposer un grand rythme, Paris se baladait et Barcola, sur un service de Dembélé après un premier arrêt de Rulli, trouvait également le chemin des filets (0-3, 40e).

    Après la pause, De Zerbi tentait de réveiller son équipe avec les entrées de Koné et Rowe, au détriment de Wahi et Greenwood. Mais rapidement, Hakimi offrait un nouveau ballon de but à Barcola, qui loupait sa reprise face à Rulli... A l’exception d’une situation intéressante mal négociée par Rabiot, l’OM subissait totalement les débats sans donner l’impression de pouvoir véritablement réagir.

    Sur un petit tempo, Paris gérait et Dembélé, sur un caviar de Barcola, envoyait sa reprise dans les tribunes devant Rulli ! En danger sur des ballons bêtement perdus, Marseille s’exposait encore mais le gardien olympien était attentif sur une frappe trop molle de Doué. Facile, Paris pensait accentuer l’avantage au score sur un service en or d’Hakimi, mais Ruiz visait les nuages... Malgré un petit frisson sur une tête non cadrée de Brassier puis une frappe d’Asensio sur Rulli, l’OM s’inclinait logiquement face à un PSG en maîtrise.
    #ManchesterUnited #ManUnited #ManU #PSG #Ligue1 #newsfoot #actufoot #Football #myqif
    🎯 L1 : Marseille 0-3 Paris SG 😱 Un écart réduit entre les deux équipes ? Les Parisiens ont fait une vraie mise au point ! Sur la pelouse du Stade Vélodrome ce dimanche, le Paris Saint-Germain a surclassé l’Olympique de Marseille (3-0) en clôture de la 9e journée de Ligue 1. Dans une chaude ambiance au Vélodrome, les Parisiens prenaient immédiatement le contrôle du ballon face à un bloc marseillais très regroupé dans l’axe. Dominateur, le PSG était tout de suite récompensé avec un centre de Mendes mal repoussé par Rulli sur Neves, qui ouvrait le score dans la cage vide (0-1, 7e). Asphyxiés pendant plusieurs minutes, les Phocéens connaissaient en plus un énorme coup dur avec l’expulsion d’Harit, auteur d’un pied un peu haut sur Marquinhos. Une décision d’une grande sévérité... En supériorité numérique, le PSG enfonçait rapidement le clou avec une erreur XXL de Balerdi, qui détournait un centre d’Hakimi dans sa propre cage (0-2, 29e). Un cauchemar pour l’OM ! Sans imposer un grand rythme, Paris se baladait et Barcola, sur un service de Dembélé après un premier arrêt de Rulli, trouvait également le chemin des filets (0-3, 40e). Après la pause, De Zerbi tentait de réveiller son équipe avec les entrées de Koné et Rowe, au détriment de Wahi et Greenwood. Mais rapidement, Hakimi offrait un nouveau ballon de but à Barcola, qui loupait sa reprise face à Rulli... A l’exception d’une situation intéressante mal négociée par Rabiot, l’OM subissait totalement les débats sans donner l’impression de pouvoir véritablement réagir. Sur un petit tempo, Paris gérait et Dembélé, sur un caviar de Barcola, envoyait sa reprise dans les tribunes devant Rulli ! En danger sur des ballons bêtement perdus, Marseille s’exposait encore mais le gardien olympien était attentif sur une frappe trop molle de Doué. Facile, Paris pensait accentuer l’avantage au score sur un service en or d’Hakimi, mais Ruiz visait les nuages... Malgré un petit frisson sur une tête non cadrée de Brassier puis une frappe d’Asensio sur Rulli, l’OM s’inclinait logiquement face à un PSG en maîtrise. #ManchesterUnited #ManUnited #ManU #PSG #Ligue1 #newsfoot #actufoot #Football #myqif
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  • L'ÉNOOORME craquage de Bryan Battle devant le public français.
    πŸŽ₯πŸ₯Š L'ÉNOOORME craquage de Bryan Battle devant le public français.
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  • Le Saviez-vous | Les pertes militaires des guerres du XXème siècle (voir illustration) Entre 35 et 40 millions de soldats tués sur la planète au XXème siècle.
    Mais combien de civils ? Les guerres modernes touchent de plus en plus les civils et de moins en moins les militaires.
    Il serait ainsi intéressant de réaliser le même graphique en ne comptabilisant que les civils. Mais il sera difficile d'avoir, un jour, ces données...

    En tout cas les marchands d'armes ont encore de beaux jours devant eux.
    πŸ’‘ Le Saviez-vous | Les pertes militaires des guerres du XXème siècle (voir illustration) 😳 Entre 35 et 40 millions de soldats tués sur la planète au XXème siècle. Mais combien de civils ? Les guerres modernes touchent de plus en plus les civils et de moins en moins les militaires. Il serait ainsi intéressant de réaliser le même graphique en ne comptabilisant que les civils. Mais il sera difficile d'avoir, un jour, ces données... En tout cas les marchands d'armes ont encore de beaux jours devant eux.
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  • Le Saviez-vous | Comment fonctionne une arme nucléaire ?

    Il existe une différence foncdamentale entre les deux grands type d'armes nucléaires. Le fonctionnement des BOMBES A (armes à fission) est relativement "simple" et les principes généraux permettant leur mis au point sont passé dans le domaine public (Son procédé a été couvert par le brevet français 971-324 de 1939 à 1959). En revanche, les BOMBES H (armes à fusion) sont des engins excessivement complexes et leurs secrets de fabrication restent bien gardés. Toutes les armes nucléaires modernes sont à fusion.

    L'explosion nucléaire

    La première phase d'une explosion nucléaire commence par la détonation des explosifs chimiques qui entourent le coeur de matière ; celui-ci devient supercritique, un état qui permet le démarrage de la réaction de fission. Une source neutronique in injecte un flux de particules pour aider à ce démarrage et la phase nucléaire commence.

    Dans le cas d'une bombe A, la réaction dure un millionième de seconde et dégage une quantité massive de rayonnement électromagnétique. La température atteint plusieurs dizaines de millions de dégrés et la pression monte à plusieurs millions de fois celle de l'atmosphère.

    L'énergie de la boule de feu se convertit en rayonnements ultraviolets et électromagnétiques. Vients ensuite l'effets de souffle, qui commence par une onde de choc au coeur de la boule de feu, puis se développe à une vitesse supersonique. Le vide crée par l'explosion attire l'air, la poussière et les débris de surface : la forme de l'ensemble - comme pour toute explosion de grande empleur - ressemble à un grand champignon.

    Dans le cas d'une bombe H, la phase nucléaire se poursuit. L'énergie dégagée sert d'amorce à l'étage de puissance qui contient le combustible de fusion (phase thermonucléaire). Simultanément, une seconde réaction de fission démarre. La fusion des noyaux d'atomes d'hydrogène commence. L'énergie est d'autant plus importante qu'une troisième réaction de fission est initiée au sein de l'enveloppe d'uranium qui entoure l'étage de puissance.

    Pouvant dégager des énergies de plusieurs dizaines de millions de tonnes de TNT, les armes thermonucléaires sont des engins de mort très complexes. Si la fabrication de la bombe atomique est essentiellement une question d'ingénierie, celle de la bombe à hydrogène (ou thermonucléaire) repose sur un problème de physique ardu à résoudre, qui exige le recours à des calculateurs de grandes puissances. Il y a au moins deux parties distinctes dans une une telle arme : une bombe à fission dont la détonation sert d'amorce, et un étage de puissance au cœur duquel se trouve un mélange d'isotopes de l'hydrogènes (le deutérieum, par exemple), là où va se produire la fusion. Une arme thermonucléaire moderne peut contenir près de quatre mille éléments différents.
    πŸ’‘Le Saviez-vous | Comment fonctionne une arme nucléaire ? πŸš€ Il existe une différence foncdamentale entre les deux grands type d'armes nucléaires. Le fonctionnement des BOMBES A (armes à fission) est relativement "simple" et les principes généraux permettant leur mis au point sont passé dans le domaine public (Son procédé a été couvert par le brevet français 971-324 de 1939 à 1959). En revanche, les BOMBES H (armes à fusion) sont des engins excessivement complexes et leurs secrets de fabrication restent bien gardés. Toutes les armes nucléaires modernes sont à fusion. L'explosion nucléaire La première phase d'une explosion nucléaire commence par la détonation des explosifs chimiques qui entourent le coeur de matière ; celui-ci devient supercritique, un état qui permet le démarrage de la réaction de fission. Une source neutronique in injecte un flux de particules pour aider à ce démarrage et la phase nucléaire commence. Dans le cas d'une bombe A, la réaction dure un millionième de seconde et dégage une quantité massive de rayonnement électromagnétique. La température atteint plusieurs dizaines de millions de dégrés et la pression monte à plusieurs millions de fois celle de l'atmosphère. L'énergie de la boule de feu se convertit en rayonnements ultraviolets et électromagnétiques. Vients ensuite l'effets de souffle, qui commence par une onde de choc au coeur de la boule de feu, puis se développe à une vitesse supersonique. Le vide crée par l'explosion attire l'air, la poussière et les débris de surface : la forme de l'ensemble - comme pour toute explosion de grande empleur - ressemble à un grand champignon. Dans le cas d'une bombe H, la phase nucléaire se poursuit. L'énergie dégagée sert d'amorce à l'étage de puissance qui contient le combustible de fusion (phase thermonucléaire). Simultanément, une seconde réaction de fission démarre. La fusion des noyaux d'atomes d'hydrogène commence. L'énergie est d'autant plus importante qu'une troisième réaction de fission est initiée au sein de l'enveloppe d'uranium qui entoure l'étage de puissance. Pouvant dégager des énergies de plusieurs dizaines de millions de tonnes de TNT, les armes thermonucléaires sont des engins de mort très complexes. Si la fabrication de la bombe atomique est essentiellement une question d'ingénierie, celle de la bombe à hydrogène (ou thermonucléaire) repose sur un problème de physique ardu à résoudre, qui exige le recours à des calculateurs de grandes puissances. Il y a au moins deux parties distinctes dans une une telle arme : une bombe à fission dont la détonation sert d'amorce, et un étage de puissance au cœur duquel se trouve un mélange d'isotopes de l'hydrogènes (le deutérieum, par exemple), là où va se produire la fusion. Une arme thermonucléaire moderne peut contenir près de quatre mille éléments différents.
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  • LdC : Brest 2-1 Sturm Graz (fini)

    Formidable Brest ! Pour le premier match européen de son histoire, le club finistérien a fait tomber Sturm Graz (2-1), ce jeudi au Roudourou, lors de la première journée de Ligue des Champions. De quoi se permettre, déjà, de rêver dans cette compétition.

    Entreprenants dès le début de partie, les Brestois ont été les premiers à créer du danger, à l’image d’une incursion de Faivre dans la surface et d’une reprise hors cadre de Magnetti. Mais il leur fallait aussi assurer leurs arrières, ce qu’ils ont eu du mal à faire, et sans un hors-jeu préalable, Jatta aurait ouvert le score à la suite d’une bévue de Lala. Cette petite alerte passée, les Bretons se sont remis la tête à l’endroit et Magnetti a repris sa chance. D’une sublime demi-volée aux 20 mètres qui a fini dans le petit filet, le milieu a marqué le premier but de l’histoire de Brest en C1 (1-0, 23e) ! Mener dans un match de LdC, Brest ne l’avait jamais fait. Cela aurait pu ne pas durer longtemps, si Bøving n’avait pas trouvé les poings de Bizot sur une frappe lointaine. Ce ne fut que partie remise puisque sur un contre autrichien, Fernandes déviait dans sa propre cage un centre-tir de Bøving (45e+1).

    De nouveau à l’attaque à la reprise, disputée sur le même rythme que la première période, Brest a failli passer devant sur un coup de tête de Chardonnet à la suite d’un corner. Mais encore une fois dominateurs dans les airs, avec une charnière adverse un peu perdue face à Ajorque et Sima, les Finistériens ont bien repris l’avantage grâce à une reprise du second sur une déviation du premier (2-1, 56e) ! Ces deux hommes ont d’ailleurs failli faire un peu plus mal aux Autrichiens dix minutes plus tard, mais Sima n’ayant pas cadré sa tête, le suspense est resté entier. Un suspense qui aurait pu s’arrêter si Doumbia, Martin ou Ajorque avaient mieux ajusté Scherpen sur trois énormes situations en toute fin de match, et qui n’a de toute façon plus duré puisque Lavalée s’est fait exclure pour un second avertissement à la 88e. Brest, c’est 100% de victoires dans son histoire en Ligue des Champions. Qui peut s’en vanter ?

    #Liguedeschampions #ChampionsLeague ##football #newsfoot #actufoot
    🎯 LdC : Brest 2-1 Sturm Graz (fini) πŸ’ͺ Formidable Brest ! Pour le premier match européen de son histoire, le club finistérien a fait tomber Sturm Graz (2-1), ce jeudi au Roudourou, lors de la première journée de Ligue des Champions. De quoi se permettre, déjà, de rêver dans cette compétition. Entreprenants dès le début de partie, les Brestois ont été les premiers à créer du danger, à l’image d’une incursion de Faivre dans la surface et d’une reprise hors cadre de Magnetti. Mais il leur fallait aussi assurer leurs arrières, ce qu’ils ont eu du mal à faire, et sans un hors-jeu préalable, Jatta aurait ouvert le score à la suite d’une bévue de Lala. Cette petite alerte passée, les Bretons se sont remis la tête à l’endroit et Magnetti a repris sa chance. D’une sublime demi-volée aux 20 mètres qui a fini dans le petit filet, le milieu a marqué le premier but de l’histoire de Brest en C1 (1-0, 23e) ! Mener dans un match de LdC, Brest ne l’avait jamais fait. Cela aurait pu ne pas durer longtemps, si Bøving n’avait pas trouvé les poings de Bizot sur une frappe lointaine. Ce ne fut que partie remise puisque sur un contre autrichien, Fernandes déviait dans sa propre cage un centre-tir de Bøving (45e+1). De nouveau à l’attaque à la reprise, disputée sur le même rythme que la première période, Brest a failli passer devant sur un coup de tête de Chardonnet à la suite d’un corner. Mais encore une fois dominateurs dans les airs, avec une charnière adverse un peu perdue face à Ajorque et Sima, les Finistériens ont bien repris l’avantage grâce à une reprise du second sur une déviation du premier (2-1, 56e) ! Ces deux hommes ont d’ailleurs failli faire un peu plus mal aux Autrichiens dix minutes plus tard, mais Sima n’ayant pas cadré sa tête, le suspense est resté entier. Un suspense qui aurait pu s’arrêter si Doumbia, Martin ou Ajorque avaient mieux ajusté Scherpen sur trois énormes situations en toute fin de match, et qui n’a de toute façon plus duré puisque Lavalée s’est fait exclure pour un second avertissement à la 88e. Brest, c’est 100% de victoires dans son histoire en Ligue des Champions. Qui peut s’en vanter ? #Liguedeschampions #ChampionsLeague ##football #newsfoot #actufoot
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  • LdC : Monaco 2-1 Barça (fini)

    En supériorité numérique depuis la 9e minute, Monaco a réussi à prendre le dessus sur le FC Barcelone (2-1), ce jeudi, pour son entrée en lice dans la Ligue des Champions. Un succès de prestige qui a mis du temps à se dessiner pour le club princier avant de retrouver trois adversaires à sa portée dans les semaines à venir.

    Qui dit Ligue des Champions dit Louis II plein à craquer. Qui dit Louis II plein à craquer dit Monaco de gala. Devant les yeux de Michael Jordan, la rencontre basculait dans les premières minutes avec un carton rouge direct pour Éric Garcia pour une faute en tant que dernier défenseur sur Minamino. A onze contre dix, le club princier ne manquait pas l’occasion de faire rapidement la course en tête grâce à un superbe numéro d’Akliouche, qui se baladait dans la défense barcelonaise pour ajuster Ter Stegen au premier poteau (1-0, 16e).

    A la rue et proche de la rupture à plusieurs reprises, la formation catalane avait besoin d’un éclair de génie. Pour cela, Yamal se portait volontaire. Sur une ouverture de Casado, le crack barcelonais jouait de son corps pour éliminer Vanderson avant de punir Köhn d’un tir précis à ras de terre, là aussi au premier poteau (1-1, 28e). Une égalisation qui coupait les jambes monégasques. Malgré des situations pour Embolo et Minamino, l’ASM affichait moins de sérénité et s’impatientait sur ses offensives face à des Blaugrana bien en place.

    Au retour des vestiaires, Monaco reprenait sa marche en avant. Si Embolo poursuivait son chemin de croix, Vanderson n’était lui pas loin de redonner l’avantage aux siens sur un tir tendu détourné par Ter Stegen. Autour de l’heure de jeu, un gros moment de flottement s’installait avec des Asémistes qui n’appuyaient pas assez sur l’accélérateur et des Barcelonais partagés entre l’envie de réaliser un gros coup et la volonté de repartir du Rocher avec un point presque miraculeux au vu du scénario.

    Finalement, les visiteurs s’exposaient un peu trop et sur une action complètement anodine, Vanderson mettait sur orbite Ilenikhena, sans pitié pour ajuster Ter Stegen en contre (2-1, 72e). Une réalisation logique pour l’équipe qui se procurait les meilleures situations. Le score aurait d’ailleurs pu être plus large si l’arbitre n’était pas revenu sur sa décision d’accorder un penalty à Balogun pour un accrochage avec Iñigo Martinez. Une belle entrée en matière pour Monaco avant de retrouver trois adversaires à sa portée dans les prochaines semaines.
    #Liguedeschampions #ChampionsLeague #football #newsfoot #actufoot
    🎯 LdC : Monaco 2-1 Barça (fini) πŸ’ͺ En supériorité numérique depuis la 9e minute, Monaco a réussi à prendre le dessus sur le FC Barcelone (2-1), ce jeudi, pour son entrée en lice dans la Ligue des Champions. Un succès de prestige qui a mis du temps à se dessiner pour le club princier avant de retrouver trois adversaires à sa portée dans les semaines à venir. Qui dit Ligue des Champions dit Louis II plein à craquer. Qui dit Louis II plein à craquer dit Monaco de gala. Devant les yeux de Michael Jordan, la rencontre basculait dans les premières minutes avec un carton rouge direct pour Éric Garcia pour une faute en tant que dernier défenseur sur Minamino. A onze contre dix, le club princier ne manquait pas l’occasion de faire rapidement la course en tête grâce à un superbe numéro d’Akliouche, qui se baladait dans la défense barcelonaise pour ajuster Ter Stegen au premier poteau (1-0, 16e). A la rue et proche de la rupture à plusieurs reprises, la formation catalane avait besoin d’un éclair de génie. Pour cela, Yamal se portait volontaire. Sur une ouverture de Casado, le crack barcelonais jouait de son corps pour éliminer Vanderson avant de punir Köhn d’un tir précis à ras de terre, là aussi au premier poteau (1-1, 28e). Une égalisation qui coupait les jambes monégasques. Malgré des situations pour Embolo et Minamino, l’ASM affichait moins de sérénité et s’impatientait sur ses offensives face à des Blaugrana bien en place. Au retour des vestiaires, Monaco reprenait sa marche en avant. Si Embolo poursuivait son chemin de croix, Vanderson n’était lui pas loin de redonner l’avantage aux siens sur un tir tendu détourné par Ter Stegen. Autour de l’heure de jeu, un gros moment de flottement s’installait avec des Asémistes qui n’appuyaient pas assez sur l’accélérateur et des Barcelonais partagés entre l’envie de réaliser un gros coup et la volonté de repartir du Rocher avec un point presque miraculeux au vu du scénario. Finalement, les visiteurs s’exposaient un peu trop et sur une action complètement anodine, Vanderson mettait sur orbite Ilenikhena, sans pitié pour ajuster Ter Stegen en contre (2-1, 72e). Une réalisation logique pour l’équipe qui se procurait les meilleures situations. Le score aurait d’ailleurs pu être plus large si l’arbitre n’était pas revenu sur sa décision d’accorder un penalty à Balogun pour un accrochage avec Iñigo Martinez. Une belle entrée en matière pour Monaco avant de retrouver trois adversaires à sa portée dans les prochaines semaines. #Liguedeschampions #ChampionsLeague #football #newsfoot #actufoot
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  • L'équipage de Polaris Dawn portera les nouvelles combinaisons d'activité extravéhiculaire (EVA) conçues par SpaceX lors de la sortie dans l'espace aujourd'hui, marquant une avancée majeure dans l'exploration spatiale privée ! #PolarisDawn #SpaceX #SortieSpatiale #EVA #ExplorationSpatiale
    L'équipage de Polaris Dawn portera les nouvelles combinaisons d'activité extravéhiculaire (EVA) conçues par SpaceX lors de la sortie dans l'espace aujourd'hui, marquant une avancée majeure dans l'exploration spatiale privée ! πŸ§‘‍πŸš€πŸš€ #PolarisDawn #SpaceX #SortieSpatiale #EVA #ExplorationSpatiale
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  • Le légendaire cheval de Troie, symbole de ruse et de victoire, immortalisé dans l’Iliade Aujourd'hui, une œuvre monumentale en Turquie Fun fact : le modèle en acier et fibre de verre utilisé dans *Troy* avec Brad Pitt en Achille est exposé à Çanakkale !
    πŸ΄πŸ”± Le légendaire cheval de Troie, symbole de ruse et de victoire, immortalisé dans l’Iliade πŸ“œ Aujourd'hui, une œuvre monumentale en Turquie πŸ‡ΉπŸ‡· Fun fact : le modèle en acier et fibre de verre utilisé dans *Troy* 🎬 avec Brad Pitt en Achille est exposé à Çanakkale !
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  • Âgé de seulement 17 ans, Estevao a fait ses débuts avec l’équipe nationale brésilienne cette nuit. πŸ‘ΆπŸ½

    L’ailier de Palmeiras rejoindra Chelsea lors du prochain mercato estival.
    Âgé de seulement 17 ans, Estevao a fait ses débuts avec l’équipe nationale brésilienne cette nuit. πŸ‘ΆπŸ½πŸ‡§πŸ‡· L’ailier de Palmeiras rejoindra Chelsea lors du prochain mercato estival. πŸ”΅
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  • 200 millions de dollars : un budget record pour la suite la plus attendue sur Netflix ?

    Prévu pour 2025 sur Netflix, le troisième volet de la franchise "À couteaux tirés" est très attendu par les fans de Daniel Craig. Et cette suite qui s'annonce grandiose pourrait bien avoir un énorme budget.

    La franchise "À couteaux tirés" a de beaux jours devant elle sur Netflix puisque Benoit Blanc reprend du service ! Le détective à la Hercule Poirot incarné par Daniel Craig sera bientôt de retour pour une nouvelle enquête dans un troisième film, après À couteaux tirés et Glass Onion

    Le premier volet était sorti au cinéma et avait rencontré un joli succès mais sa suite Glass Onion, sortie sur Netflix en 2022, avait dépassé toutes les attentes puisqu’elle a été un véritable carton, au point de figurer parmi les 10 films anglophones les plus vus de la plateforme.

    Un budget record pour le troisième volet "À couteaux tirés" ?

    Le réalisateur Rian Johnson avait révélé le titre du troisième volet - Wake Up Dead Man - et dévoilé un premier teaser sur les réseaux qui annonçaient une tonalité totalement différente des deux premiers films

    Wake Up Dead Man : une histoire À couteaux tirés promet d'être encore plus fort, plus explosif et plus dangereux que les deux films précédents. Mais il semblerait qu'il mette aussi la barre plus haut niveau budget.

    Selon les informations de Jeff Sneider, spécialiste de l'industrie sur X/Twitter, le budget de Wake Up Dead Man serait cinq fois supérieur aux budgets de 40 millions de dollars des deux premiers volets. Cela voudrait dire que le budget de Wake Up, Dead Man atteindrait les 200 millions de dollars.

    Cette information, qui n'a pas été confirmée ni par Netflix, ni par Rian Johnson, ni par la production du film, est évidemment à prendre avec des pincettes puisqu'il est étonnant de voir un budget aussi conséquent pour un troisième volet alors que les deux films précédents ont eu un budget bien moindre.

    D'autant plus que Netflix a déjà déboursé une immense somme pour acquérir les droits de la franchise, à savoir plus de 450 millions de dollars ! Il est compréhensible qu'avec le succès rencontré par Glass Onion, Netflix veuille investir un peu plus dans le troisième film mais pour quoi ?

    Ce budget record pourrait peut-être s'expliquer par le casting très prestigieux de Wake Up, Dead Man - et donc des salaires potentiellement plus élevés - ou alors dans des frais de production pour des lieux de tournage plus chers, étant donné que les sites sont plus nombreux et exotiques de films en films.
    #Àcouteauxtirés3 #DanielCraig #Netflix #WakeUpDeadMan
    🎯 200 millions de dollars : un budget record pour la suite la plus attendue sur Netflix ? 🎬 Prévu pour 2025 sur Netflix, le troisième volet de la franchise "À couteaux tirés" est très attendu par les fans de Daniel Craig. Et cette suite qui s'annonce grandiose pourrait bien avoir un énorme budget. La franchise "À couteaux tirés" a de beaux jours devant elle sur Netflix puisque Benoit Blanc reprend du service ! Le détective à la Hercule Poirot incarné par Daniel Craig sera bientôt de retour pour une nouvelle enquête dans un troisième film, après À couteaux tirés et Glass Onion Le premier volet était sorti au cinéma et avait rencontré un joli succès mais sa suite Glass Onion, sortie sur Netflix en 2022, avait dépassé toutes les attentes puisqu’elle a été un véritable carton, au point de figurer parmi les 10 films anglophones les plus vus de la plateforme. Un budget record pour le troisième volet "À couteaux tirés" ? Le réalisateur Rian Johnson avait révélé le titre du troisième volet - Wake Up Dead Man - et dévoilé un premier teaser sur les réseaux qui annonçaient une tonalité totalement différente des deux premiers films Wake Up Dead Man : une histoire À couteaux tirés promet d'être encore plus fort, plus explosif et plus dangereux que les deux films précédents. Mais il semblerait qu'il mette aussi la barre plus haut niveau budget. Selon les informations de Jeff Sneider, spécialiste de l'industrie sur X/Twitter, le budget de Wake Up Dead Man serait cinq fois supérieur aux budgets de 40 millions de dollars des deux premiers volets. Cela voudrait dire que le budget de Wake Up, Dead Man atteindrait les 200 millions de dollars. Cette information, qui n'a pas été confirmée ni par Netflix, ni par Rian Johnson, ni par la production du film, est évidemment à prendre avec des pincettes puisqu'il est étonnant de voir un budget aussi conséquent pour un troisième volet alors que les deux films précédents ont eu un budget bien moindre. D'autant plus que Netflix a déjà déboursé une immense somme pour acquérir les droits de la franchise, à savoir plus de 450 millions de dollars ! Il est compréhensible qu'avec le succès rencontré par Glass Onion, Netflix veuille investir un peu plus dans le troisième film mais pour quoi ? Ce budget record pourrait peut-être s'expliquer par le casting très prestigieux de Wake Up, Dead Man - et donc des salaires potentiellement plus élevés - ou alors dans des frais de production pour des lieux de tournage plus chers, étant donné que les sites sont plus nombreux et exotiques de films en films. #Àcouteauxtirés3 #DanielCraig #Netflix #WakeUpDeadMan
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