• Algérie : Une nouvelle offensive économique pour atteindre 10 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures

    Face à la baisse persistante des prix du pétrole, l’Algérie renforce sa stratégie de diversification économique. Le pays, longtemps dépendant des revenus pétroliers, ambitionne désormais d’atteindre 10 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures en 2025, et jusqu’à 29 milliards à l’horizon 2030. Cette transformation structurelle repose sur une série de réformes économiques profondes et une mobilisation accrue des secteurs industriels, agricoles et miniers.

    ✅️ Un cap présidentiel clair

    Le président Abdelmadjid Tebboune a fait de la diversification une priorité nationale. En 2024, il avait déjà fixé un cap ambitieux : dépasser 15 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures d’ici la fin de son mandat. Ce cap s’inscrit dans une vision de long terme visant à bâtir une économie résiliente, capable de résister aux fluctuations du marché pétrolier mondial.

    ✅️ Des résultats concrets

    Les résultats commencent à se faire sentir. Selon la Banque mondiale, les exportations hors hydrocarbures ont triplé depuis 2017, atteignant plus de 5 milliards de dollars en 2023. Les produits exportés incluent principalement les engrais, le clinker, les barres en fer, l’ammoniac, le phosphate, les produits agroalimentaires et les dattes. Le complexe sidérurgique Tosyali, par exemple, a récemment exporté 30 000 tonnes de plaques d’acier vers l’Italie.

    ✅️ Une stratégie multisectorielle

    La stratégie de l’État repose sur deux piliers : l’élargissement de la base exportatrice nationale et la réorientation des revenus pétroliers vers les secteurs productifs. Le gouvernement a mis en place plusieurs réformes, dont une nouvelle loi sur l’investissement en 2022 et le Système communautaire portuaire algérien (APCS), qui facilite les procédures d’exportation. Par ailleurs, l’ouverture de filiales de banques publiques algériennes à l’étranger vise à accompagner les entreprises dans leur expansion internationale.

    ✅️ Soutien des institutions internationales

    La Banque mondiale salue les efforts de l’Algérie, tout en soulignant la nécessité de renforcer la productivité et d’aligner les exportations sur les normes environnementales mondiales. L’institution met en garde contre la dépendance à des produits à forte intensité carbone, qui pourraient être pénalisés à l’avenir par les politiques climatiques internationales.

    ✅️ Défis à relever

    Malgré les avancées, des défis importants subsistent. La productivité des entreprises locales reste faible, l’environnement des affaires nécessite encore des améliorations, et la concurrence internationale s’intensifie. Toutefois, les réformes en cours, associées à une volonté politique affirmée, laissent entrevoir une transformation durable de l’économie algérienne.
    🇩🇿 Algérie : Une nouvelle offensive économique pour atteindre 10 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures Face à la baisse persistante des prix du pétrole, l’Algérie renforce sa stratégie de diversification économique. Le pays, longtemps dépendant des revenus pétroliers, ambitionne désormais d’atteindre 10 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures en 2025, et jusqu’à 29 milliards à l’horizon 2030. Cette transformation structurelle repose sur une série de réformes économiques profondes et une mobilisation accrue des secteurs industriels, agricoles et miniers. ✅️ Un cap présidentiel clair Le président Abdelmadjid Tebboune a fait de la diversification une priorité nationale. En 2024, il avait déjà fixé un cap ambitieux : dépasser 15 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures d’ici la fin de son mandat. Ce cap s’inscrit dans une vision de long terme visant à bâtir une économie résiliente, capable de résister aux fluctuations du marché pétrolier mondial. ✅️ Des résultats concrets Les résultats commencent à se faire sentir. Selon la Banque mondiale, les exportations hors hydrocarbures ont triplé depuis 2017, atteignant plus de 5 milliards de dollars en 2023. Les produits exportés incluent principalement les engrais, le clinker, les barres en fer, l’ammoniac, le phosphate, les produits agroalimentaires et les dattes. Le complexe sidérurgique Tosyali, par exemple, a récemment exporté 30 000 tonnes de plaques d’acier vers l’Italie. ✅️ Une stratégie multisectorielle La stratégie de l’État repose sur deux piliers : l’élargissement de la base exportatrice nationale et la réorientation des revenus pétroliers vers les secteurs productifs. Le gouvernement a mis en place plusieurs réformes, dont une nouvelle loi sur l’investissement en 2022 et le Système communautaire portuaire algérien (APCS), qui facilite les procédures d’exportation. Par ailleurs, l’ouverture de filiales de banques publiques algériennes à l’étranger vise à accompagner les entreprises dans leur expansion internationale. ✅️ Soutien des institutions internationales La Banque mondiale salue les efforts de l’Algérie, tout en soulignant la nécessité de renforcer la productivité et d’aligner les exportations sur les normes environnementales mondiales. L’institution met en garde contre la dépendance à des produits à forte intensité carbone, qui pourraient être pénalisés à l’avenir par les politiques climatiques internationales. ✅️ Défis à relever Malgré les avancées, des défis importants subsistent. La productivité des entreprises locales reste faible, l’environnement des affaires nécessite encore des améliorations, et la concurrence internationale s’intensifie. Toutefois, les réformes en cours, associées à une volonté politique affirmée, laissent entrevoir une transformation durable de l’économie algérienne.
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  • Bonjour ! Bou Saada, un joyau offrant aux voyageurs une plongée immersive dans l'histoire, la culture et la beauté naturelle de l'Algérie.Surnommée la cité du bonheur,une Oasis où les visiteurs peuvent se reposer leur corps et leur âme après de longues journées passées dans l'environnement désertique. Bon après-midi !
    🚨 Bonjour ! Bou Saada, un joyau offrant aux voyageurs une plongée immersive dans l'histoire, la culture et la beauté naturelle de l'Algérie.Surnommée la cité du bonheur,une Oasis où les visiteurs peuvent se reposer leur corps et leur âme après de longues journées passées dans l'environnement désertique. Bon après-midi !
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  • Monsieur le ministre de la santé rencontre le chef de l'Agence internationale de recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé

    En marge des sessions nationales de prévention et de lutte contre le cancer, tenues les 3 et 4 mai 2025 au centre international de conférence Abdul Latif Rahal dans la capitale sous le patronage suprême de Monsieur le Président, Monsieur le Ministre de la santé, Monsieur Abdul Haq, président de l'Agence internationale pour Recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, Dr Prtha Sarathi, s'est réuni en présence du président du comité national de prévention et de lutte contre le cancer, le professeur Ada Bongar.

    Au cours de cette réunion, le Ministre a souligné l'importance des programmes de prévention pour sauver des vies, notant que les problèmes de santé liés au cancer dans certains pays sont en grande partie dus à des changements de mode de vie, tels que l'alimentation et la pollution de l'environnement, ainsi qu'à des infrastructures

    Dans ce contexte, le ministre a ajouté qu'en Algérie, un double programme de travail a été approuvé pour la réorganisation du système de santé lié à la prise en charge des malades cancéreux, ainsi que pour la promotion de la culture de la prévention par des campagnes de sensibilisation et de sensibilisation

    De son côté, le représentant de l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer a présenté un résumé d'une étude réalisée par l'agence qui montre que d'ici 2040, nous verrons un changement radical des taux d'incidence du cancer et que le fardeau le plus lourd pour les pays sera les ressources

    Le porte-parole a fait remarquer qu'il ne pouvait pas seulement continuer à traiter le cancer, mais nous devons l'empêcher, indiquant que l'accent serait mis sur la recherche sur la prévention du cancer et sur la réhabilitation des patients atteints

    L'Algérie a été invitée à rejoindre l'agence de 29 Etats membres et à bénéficier de relations de coopération solides pour établir des partenariats de recherche, contribuer à améliorer les plans nationaux de lutte contre le cancer et échanger des expériences et des connaissances.

    Le Dr Parthi a également confirmé que l'organisation était prête à fournir tous les détails sur les étapes exécutives et les mécanismes de travail communs nécessaires, ainsi que le soutien technique disponible.

    En ce qui concerne les logiciels d'évaluation et de suivi, le Dr Parthi a affirmé que l'organisation était confrontée à certains défis dans les processus d'évaluation, mais qu'elle travaille à élaborer des méthodologies claires pour organiser les évaluations et préparer des indicateurs de performance précis pour s'assurer que les données produites

    Le conférencier a également donné un aperçu des programmes mis en œuvre, indiquant que des programmes de dépistage seront mis en œuvre dans plusieurs pays, notamment le dépistage du cancer du sein, le dépistage du cancer du col utérin, le dépistage du cancer du côlon et

    En ce qui concerne l'analyse de la voie de prise en charge et de traitement des patients atteints de cancer, il s'est assuré que trois points ont été identifiés : le délai entre l'apparition des symptômes et le diagnostic, le retard dans le diagnostic et le début du traitement, et le retard dans la réception du traitement approprié.

    Il a noté qu'en identifiant les facteurs qui influencent ces points, des recommandations pratiques pourraient être faites aux ministères de la santé des pays africains pour améliorer la qualité des soins dispensés.

    L'entrée du Dr Parthi a conclu que son organisation analyse la situation sanitaire dans chaque pays au moyen d'une étude approfondie visant à identifier les pays les plus touchés par le cancer, en analysant les facteurs de risque. Il a confirmé que les estimations indiquent que la plupart des cas de cancer sont associés à des facteurs ajustables tels que les modes de vie, ce qui exige que l'on se concentre sur les changements de comportement dès le début de l'école, en mettant l'accent sur l'adoption de mesures préventives
    Monsieur le ministre de la santé rencontre le chef de l'Agence internationale de recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé En marge des sessions nationales de prévention et de lutte contre le cancer, tenues les 3 et 4 mai 2025 au centre international de conférence Abdul Latif Rahal dans la capitale sous le patronage suprême de Monsieur le Président, Monsieur le Ministre de la santé, Monsieur Abdul Haq, président de l'Agence internationale pour Recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, Dr Prtha Sarathi, s'est réuni en présence du président du comité national de prévention et de lutte contre le cancer, le professeur Ada Bongar. Au cours de cette réunion, le Ministre a souligné l'importance des programmes de prévention pour sauver des vies, notant que les problèmes de santé liés au cancer dans certains pays sont en grande partie dus à des changements de mode de vie, tels que l'alimentation et la pollution de l'environnement, ainsi qu'à des infrastructures Dans ce contexte, le ministre a ajouté qu'en Algérie, un double programme de travail a été approuvé pour la réorganisation du système de santé lié à la prise en charge des malades cancéreux, ainsi que pour la promotion de la culture de la prévention par des campagnes de sensibilisation et de sensibilisation De son côté, le représentant de l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer a présenté un résumé d'une étude réalisée par l'agence qui montre que d'ici 2040, nous verrons un changement radical des taux d'incidence du cancer et que le fardeau le plus lourd pour les pays sera les ressources Le porte-parole a fait remarquer qu'il ne pouvait pas seulement continuer à traiter le cancer, mais nous devons l'empêcher, indiquant que l'accent serait mis sur la recherche sur la prévention du cancer et sur la réhabilitation des patients atteints L'Algérie a été invitée à rejoindre l'agence de 29 Etats membres et à bénéficier de relations de coopération solides pour établir des partenariats de recherche, contribuer à améliorer les plans nationaux de lutte contre le cancer et échanger des expériences et des connaissances. Le Dr Parthi a également confirmé que l'organisation était prête à fournir tous les détails sur les étapes exécutives et les mécanismes de travail communs nécessaires, ainsi que le soutien technique disponible. En ce qui concerne les logiciels d'évaluation et de suivi, le Dr Parthi a affirmé que l'organisation était confrontée à certains défis dans les processus d'évaluation, mais qu'elle travaille à élaborer des méthodologies claires pour organiser les évaluations et préparer des indicateurs de performance précis pour s'assurer que les données produites Le conférencier a également donné un aperçu des programmes mis en œuvre, indiquant que des programmes de dépistage seront mis en œuvre dans plusieurs pays, notamment le dépistage du cancer du sein, le dépistage du cancer du col utérin, le dépistage du cancer du côlon et En ce qui concerne l'analyse de la voie de prise en charge et de traitement des patients atteints de cancer, il s'est assuré que trois points ont été identifiés : le délai entre l'apparition des symptômes et le diagnostic, le retard dans le diagnostic et le début du traitement, et le retard dans la réception du traitement approprié. Il a noté qu'en identifiant les facteurs qui influencent ces points, des recommandations pratiques pourraient être faites aux ministères de la santé des pays africains pour améliorer la qualité des soins dispensés. L'entrée du Dr Parthi a conclu que son organisation analyse la situation sanitaire dans chaque pays au moyen d'une étude approfondie visant à identifier les pays les plus touchés par le cancer, en analysant les facteurs de risque. Il a confirmé que les estimations indiquent que la plupart des cas de cancer sont associés à des facteurs ajustables tels que les modes de vie, ce qui exige que l'on se concentre sur les changements de comportement dès le début de l'école, en mettant l'accent sur l'adoption de mesures préventives
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  • ✅️ Algérie : un sous-sol riche, un avenir prometteur pour le secteur minier

    L’Algérie possède un potentiel minier considérable, souvent méconnu mais porteur de grandes promesses pour l’avenir économique du pays. Grâce à la diversité de ses ressources géologiques — allant des terres rares au lithium, en passant par le plomb, le zinc et divers minerais stratégiques — l’Algérie pourrait devenir un acteur majeur sur l’échiquier mondial des matières premières.

    ❎️ Des découvertes prometteuses dans le Sud

    Les récentes campagnes d’exploration menées dans les régions de Tamanrasset et In Guezzam, avec la collaboration d’experts chinois du groupe Ganfeng Lithium, ont révélé des indices encourageants de lithium et de terres rares. Ces métaux sont essentiels pour les nouvelles technologies, notamment les batteries pour véhicules électriques et les systèmes d’énergie renouvelable.

    Outre le lithium, les analyses ont confirmé la présence de minerais comme le wolfram, le tantale, le tungstène ou encore le niobium. Ce gisement stratégique pourrait offrir à l’Algérie un levier économique important à l’échelle régionale et internationale.

    ❎️ Une richesse encore sous-exploitée

    Selon des études menées dans les années 1970 et réactualisées récemment, l’Algérie pourrait détenir jusqu’à 20 % des réserves mondiales de terres rares. Ces ressources sont estimées à plus de 2 400 milliards de dollars. Toutefois, leur exploitation reste limitée, freinée par des contraintes techniques, logistiques et environnementales.

    Le pays cherche aujourd’hui à relancer ce secteur en modernisant ses outils d’exploration et en attirant des partenaires internationaux prêts à investir dans une exploitation responsable et durable.

    ❎️ Enjeux environnementaux et dialogue local

    Certains projets miniers, comme la mine de plomb et de zinc de Tala Hamza en Kabylie, ont suscité des réserves chez les populations locales. Les craintes portent principalement sur l’impact environnemental et la gestion des ressources en eau. Ces réactions soulignent l’importance pour les autorités d’instaurer un dialogue constructif et transparent avec les communautés concernées.

    ❎️ Une vision d’avenir tournée vers la transition énergétique

    Dans le contexte mondial de transition énergétique, l’Algérie a une carte majeure à jouer. En valorisant ses ressources minières, notamment celles utilisées dans les technologies propres, le pays pourrait diversifier son économie et réduire sa dépendance aux hydrocarbures.

    Le défi pour les prochaines années sera donc de concilier développement minier, durabilité environnementale et bénéfice socio-économique pour l’ensemble du territoire.
    #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    ✅️ Algérie : un sous-sol riche, un avenir prometteur pour le secteur minier 🇩🇿 L’Algérie possède un potentiel minier considérable, souvent méconnu mais porteur de grandes promesses pour l’avenir économique du pays. Grâce à la diversité de ses ressources géologiques — allant des terres rares au lithium, en passant par le plomb, le zinc et divers minerais stratégiques — l’Algérie pourrait devenir un acteur majeur sur l’échiquier mondial des matières premières. ❎️ Des découvertes prometteuses dans le Sud Les récentes campagnes d’exploration menées dans les régions de Tamanrasset et In Guezzam, avec la collaboration d’experts chinois du groupe Ganfeng Lithium, ont révélé des indices encourageants de lithium et de terres rares. Ces métaux sont essentiels pour les nouvelles technologies, notamment les batteries pour véhicules électriques et les systèmes d’énergie renouvelable. Outre le lithium, les analyses ont confirmé la présence de minerais comme le wolfram, le tantale, le tungstène ou encore le niobium. Ce gisement stratégique pourrait offrir à l’Algérie un levier économique important à l’échelle régionale et internationale. ❎️ Une richesse encore sous-exploitée Selon des études menées dans les années 1970 et réactualisées récemment, l’Algérie pourrait détenir jusqu’à 20 % des réserves mondiales de terres rares. Ces ressources sont estimées à plus de 2 400 milliards de dollars. Toutefois, leur exploitation reste limitée, freinée par des contraintes techniques, logistiques et environnementales. Le pays cherche aujourd’hui à relancer ce secteur en modernisant ses outils d’exploration et en attirant des partenaires internationaux prêts à investir dans une exploitation responsable et durable. ❎️ Enjeux environnementaux et dialogue local Certains projets miniers, comme la mine de plomb et de zinc de Tala Hamza en Kabylie, ont suscité des réserves chez les populations locales. Les craintes portent principalement sur l’impact environnemental et la gestion des ressources en eau. Ces réactions soulignent l’importance pour les autorités d’instaurer un dialogue constructif et transparent avec les communautés concernées. ❎️ Une vision d’avenir tournée vers la transition énergétique Dans le contexte mondial de transition énergétique, l’Algérie a une carte majeure à jouer. En valorisant ses ressources minières, notamment celles utilisées dans les technologies propres, le pays pourrait diversifier son économie et réduire sa dépendance aux hydrocarbures. Le défi pour les prochaines années sera donc de concilier développement minier, durabilité environnementale et bénéfice socio-économique pour l’ensemble du territoire. #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • Sétif : Une ville au carrefour de l’histoire et de la modernité

    Située dans les Hauts-Plateaux algériens, à 300 km d'Alger, la ville de Sétif incarne le parfait mélange entre histoire, culture et dynamisme économique. Capitale de la wilaya du même nom, elle se distingue par son passé millénaire, son riche patrimoine et ses atouts naturels qui en font un pôle touristique incontournable en Algérie.

    Un passé historique fascinant

    L’histoire de Sétif remonte à la préhistoire, avec de nombreux sites archéologiques témoignant de son ancienne occupation. La ville a successivement été occupée par les Numides, les Romains, les Byzantins, les Arabes et les Français, laissant une empreinte indélébile. Parmi les vestiges les plus remarquables, la citadelle byzantine du VIe siècle et les ruines de Timgad, site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, illustrent l'importance stratégique de la région à travers les âges.

    Un patrimoine riche et vivant

    Sétif abrite également des monuments emblématiques comme la mosquée El Atik, datant du XIXe siècle, et le Musée public national, où sont conservées des collections couvrant toutes les périodes historiques de la région. La ville est également célèbre pour ses traditions artisanales, telles que la poterie, le tissage et la broderie, qui reflètent l’identité culturelle de la région.

    Un cadre naturel attrayant

    Sétif bénéficie d’un environnement varié, entre montagnes et plaines fertiles. Le parc national des Babors et la fontaine Ain El Fouara sont deux des attractions naturelles incontournables. Ces paysages spectaculaires, combinés à une ville en pleine évolution, font de Sétif un lieu d’évasion et de découvertes.

    Dynamisme économique et modernité

    Aujourd’hui, Sétif est une ville en pleine croissance. Le Park Mall, l’un des plus grands centres commerciaux d’Algérie, et le tramway de Sétif, inauguré en 2018, sont des exemples de son développement. La ville est un important pôle économique, avec des secteurs tels que l’agriculture, l’industrie et le commerce qui contribuent à sa prospérité.

    En somme, Sétif allie un riche patrimoine historique et naturel à une modernité en constante expansion, faisant de cette ville un véritable carrefour entre tradition et progrès en Algérie.

    #myqif #Sétif #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism

    🇩🇿 Sétif : Une ville au carrefour de l’histoire et de la modernité ♥️ Située dans les Hauts-Plateaux algériens, à 300 km d'Alger, la ville de Sétif incarne le parfait mélange entre histoire, culture et dynamisme économique. Capitale de la wilaya du même nom, elle se distingue par son passé millénaire, son riche patrimoine et ses atouts naturels qui en font un pôle touristique incontournable en Algérie. Un passé historique fascinant L’histoire de Sétif remonte à la préhistoire, avec de nombreux sites archéologiques témoignant de son ancienne occupation. La ville a successivement été occupée par les Numides, les Romains, les Byzantins, les Arabes et les Français, laissant une empreinte indélébile. Parmi les vestiges les plus remarquables, la citadelle byzantine du VIe siècle et les ruines de Timgad, site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, illustrent l'importance stratégique de la région à travers les âges. Un patrimoine riche et vivant Sétif abrite également des monuments emblématiques comme la mosquée El Atik, datant du XIXe siècle, et le Musée public national, où sont conservées des collections couvrant toutes les périodes historiques de la région. La ville est également célèbre pour ses traditions artisanales, telles que la poterie, le tissage et la broderie, qui reflètent l’identité culturelle de la région. Un cadre naturel attrayant Sétif bénéficie d’un environnement varié, entre montagnes et plaines fertiles. Le parc national des Babors et la fontaine Ain El Fouara sont deux des attractions naturelles incontournables. Ces paysages spectaculaires, combinés à une ville en pleine évolution, font de Sétif un lieu d’évasion et de découvertes. Dynamisme économique et modernité Aujourd’hui, Sétif est une ville en pleine croissance. Le Park Mall, l’un des plus grands centres commerciaux d’Algérie, et le tramway de Sétif, inauguré en 2018, sont des exemples de son développement. La ville est un important pôle économique, avec des secteurs tels que l’agriculture, l’industrie et le commerce qui contribuent à sa prospérité. En somme, Sétif allie un riche patrimoine historique et naturel à une modernité en constante expansion, faisant de cette ville un véritable carrefour entre tradition et progrès en Algérie. #myqif #Sétif #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
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  • Biskra, la perle du désert : entre histoire millénaire et patrimoine vivant 🏜

    Nichée aux portes du Sahara, la commune de Biskra est l’un des joyaux du sud algérien. Surnommée « la Reine des Zibans », cette oasis fertile est bien plus qu’un simple carrefour entre le Nord et le Grand Sud. Elle incarne un patrimoine historique, culturel et naturel unique, qui fait d’elle une destination incontournable pour les amoureux d’authenticité et de découvertes.

    Une terre d’histoire et de civilisations

    Biskra possède une histoire riche qui remonte à l’Antiquité. Anciennement connue sous le nom de Vescera à l’époque romaine, elle constituait un point stratégique sur la route des caravanes reliant l’Afrique du Nord à l’Afrique subsaharienne. De cette époque subsistent encore des vestiges, témoins d’un passé florissant.

    Au fil des siècles, Biskra fut convoitée par de nombreuses civilisations : berbères, arabes, ottomans et français s’y sont succédé, laissant chacun leur empreinte. Son patrimoine architectural reflète cette diversité, entre vieilles kasbahs, mosquées traditionnelles et bâtiments coloniaux, notamment la célèbre Villa des Oliviers et l’hôtel des Ziban.

    Un patrimoine naturel et culturel exceptionnel

    Ce qui fait la renommée de Biskra, c’est aussi son environnement spectaculaire. À la lisière du désert, elle bénéficie d’un climat doux en hiver et sec en été, idéal pour les curistes et amateurs de chaleur. La palmeraie de Biskra, avec ses milliers de dattiers, est l’une des plus vastes du pays. Le célèbre Deglet Nour, surnommé « le fruit de la lumière », y est cultivé avec un savoir-faire ancestral.

    À quelques kilomètres de la ville se trouvent les gorges de Tolga et les sources thermales de Hammam Salhine, prisées pour leurs vertus médicinales. Les paysages désertiques aux portes de la commune offrent aussi des panoramas à couper le souffle, parfaits pour les randonnées ou les excursions en 4x4.

    Un carrefour culturel vibrant

    Biskra est aussi une terre de culture. Elle a vu naître de grands intellectuels, artistes et penseurs algériens, et elle continue d’être un centre dynamique d’expression artistique. Chaque année, des festivals y sont organisés pour célébrer la musique saharienne, la poésie populaire (melhoun) et les traditions locales.

    La gastronomie de Biskra est également un reflet de sa richesse culturelle : chakhchoukha, trid, m’besses et autres spécialités locales sont un véritable voyage gustatif à découvrir dans les souks et les maisons d’hôtes.

    Un avenir tourné vers le tourisme et la durabilité

    Aujourd’hui, la commune de Biskra mise sur le développement d’un tourisme durable et respectueux de son identité. Entre projets de valorisation de son patrimoine historique, initiatives de préservation de la palmeraie et promotion de l’artisanat local, Biskra ambitionne de s’imposer comme un pôle touristique majeur du sud algérien.

    Biskra, c’est un pont entre les racines profondes de l’histoire et un avenir lumineux, porté par la richesse de sa culture et la générosité de ses habitants. Une ville où le passé et le présent se rencontrent au rythme du vent chaud du désert.
    #biskra #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
    🇩🇿 Biskra, la perle du désert : entre histoire millénaire et patrimoine vivant 🏜 Nichée aux portes du Sahara, la commune de Biskra est l’un des joyaux du sud algérien. Surnommée « la Reine des Zibans », cette oasis fertile est bien plus qu’un simple carrefour entre le Nord et le Grand Sud. Elle incarne un patrimoine historique, culturel et naturel unique, qui fait d’elle une destination incontournable pour les amoureux d’authenticité et de découvertes. Une terre d’histoire et de civilisations Biskra possède une histoire riche qui remonte à l’Antiquité. Anciennement connue sous le nom de Vescera à l’époque romaine, elle constituait un point stratégique sur la route des caravanes reliant l’Afrique du Nord à l’Afrique subsaharienne. De cette époque subsistent encore des vestiges, témoins d’un passé florissant. Au fil des siècles, Biskra fut convoitée par de nombreuses civilisations : berbères, arabes, ottomans et français s’y sont succédé, laissant chacun leur empreinte. Son patrimoine architectural reflète cette diversité, entre vieilles kasbahs, mosquées traditionnelles et bâtiments coloniaux, notamment la célèbre Villa des Oliviers et l’hôtel des Ziban. Un patrimoine naturel et culturel exceptionnel Ce qui fait la renommée de Biskra, c’est aussi son environnement spectaculaire. À la lisière du désert, elle bénéficie d’un climat doux en hiver et sec en été, idéal pour les curistes et amateurs de chaleur. La palmeraie de Biskra, avec ses milliers de dattiers, est l’une des plus vastes du pays. Le célèbre Deglet Nour, surnommé « le fruit de la lumière », y est cultivé avec un savoir-faire ancestral. À quelques kilomètres de la ville se trouvent les gorges de Tolga et les sources thermales de Hammam Salhine, prisées pour leurs vertus médicinales. Les paysages désertiques aux portes de la commune offrent aussi des panoramas à couper le souffle, parfaits pour les randonnées ou les excursions en 4x4. Un carrefour culturel vibrant Biskra est aussi une terre de culture. Elle a vu naître de grands intellectuels, artistes et penseurs algériens, et elle continue d’être un centre dynamique d’expression artistique. Chaque année, des festivals y sont organisés pour célébrer la musique saharienne, la poésie populaire (melhoun) et les traditions locales. La gastronomie de Biskra est également un reflet de sa richesse culturelle : chakhchoukha, trid, m’besses et autres spécialités locales sont un véritable voyage gustatif à découvrir dans les souks et les maisons d’hôtes. Un avenir tourné vers le tourisme et la durabilité Aujourd’hui, la commune de Biskra mise sur le développement d’un tourisme durable et respectueux de son identité. Entre projets de valorisation de son patrimoine historique, initiatives de préservation de la palmeraie et promotion de l’artisanat local, Biskra ambitionne de s’imposer comme un pôle touristique majeur du sud algérien. Biskra, c’est un pont entre les racines profondes de l’histoire et un avenir lumineux, porté par la richesse de sa culture et la générosité de ses habitants. Une ville où le passé et le présent se rencontrent au rythme du vent chaud du désert. #biskra #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
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  • Béjaïa, perle de la Méditerranée et sentinelle de l’histoire kabyle

    Entre la mer et la montagne, entre le souvenir des civilisations et l’éclat éternel de ses paysages, Béjaïa se dresse comme un joyau délicatement posé sur la côte algérienne. Ville de lumière et de mémoire, elle offre à celui qui s’y attarde une leçon d’élégance naturelle et de profondeur historique.

    Béjaïa. À la seule évocation de son nom, le voyageur imagine déjà l’odeur du sel marin mêlée aux senteurs des pins d’Alep, le bruit du ressac contre les rochers, et le chant discret du vent qui s’élève des montagnes du Djurdjura. Nichée entre mer et falaises, cette ville kabyle, autrefois appelée Bougie par les navigateurs et les marchands européens, possède une aura qui dépasse largement les frontières de l’Algérie. Elle est un écrin où se conjuguent, avec une rare harmonie, la beauté brute de la nature et la richesse d’un passé plurimillénaire.

    Il faut voir le soleil se lever sur le cap Carbon pour comprendre ce qui rend Béjaïa si singulière. Les premiers rayons glissent sur les eaux calmes de la baie, caressent les crêtes boisées du parc national de Gouraya, puis s’attardent sur les vieilles pierres des bâtisses hammadides, témoins d’une époque où la ville était une capitale florissante, un phare de science et de culture dans tout le bassin méditerranéen. Car Béjaïa, avant d’être une station balnéaire prisée ou une ville portuaire, fut une métropole intellectuelle de premier plan, accueillant au XIe siècle savants, astronomes, philosophes, et même le célèbre mathématicien Fibonacci, qui y découvrit les chiffres dits « arabes » avant de les transmettre à l’Europe.

    Chaque ruelle du centre historique semble porter l’écho discret des civilisations qui s’y sont succédé : phéniciens, romains, vandales, byzantins, arabes, berbères, tous ont laissé une empreinte. Mais c’est sous la dynastie des Hammadides que Béjaïa connut son apogée. Capitale raffinée, elle rayonnait par ses bibliothèques, ses écoles et ses jardins, devenant un véritable carrefour culturel où se croisaient langues, croyances et idées.

    Aujourd’hui encore, l’on peut contempler la Porte de la mer, vestige imposant de cette époque fastueuse, ouvrant autrefois sur le monde connu et sur les flottes venues de Tunis, de Gênes ou de Marseille. Les murs, patinés par le temps et les embruns, racontent en silence la gloire passée d’une ville qui fut, des siècles durant, l’une des capitales intellectuelles du Maghreb.

    Mais l’histoire n’est pas la seule à captiver à Béjaïa. La nature y déploie une majesté presque irréelle. Le parc national de Gouraya, classé réserve de biosphère par l’UNESCO, abrite une biodiversité rare, entre forêts denses, falaises abruptes plongeant dans la mer et sommets calcaires offrant des vues panoramiques à couper le souffle. C’est là, dans ce royaume suspendu entre ciel et terre, que vit encore le singe magot, témoin silencieux de l’harmonie millénaire entre l’homme et la nature.

    Les plages de Béjaïa, quant à elles, n’ont rien à envier aux plus grandes destinations méditerranéennes. Celles de Tichy, Aokas, Saket ou Boulimat s’étendent en courbes douces, bordées de collines verdoyantes. Le sable y est blond, les eaux limpides, et l’atmosphère, toujours, est empreinte de cette douceur de vivre propre aux villes maritimes où l’histoire se mêle à la brise.

    Ce qui frappe le plus à Béjaïa, c’est sans doute cette capacité à conjuguer la majesté du passé avec la beauté intacte de son environnement. Rien n’y semble figé, mais tout respire l’authenticité. Que l’on s’aventure dans les hauteurs du fort de Gouraya, que l’on déambule sur la corniche au coucher du soleil, ou que l’on se recueille devant les vestiges antiques, on ressent toujours la même émotion : celle d’être à la fois minuscule devant tant de grandeur, et infiniment lié à ce lieu qui, sans effort, parle à l’âme.

    Béjaïa n’est pas qu’une ville. Elle est une poésie minérale, un récit vivant, une offrande à tous ceux qui savent encore regarder le monde avec émerveillement.
    #Algérie #Algeria #Bejaïa

    🇩🇿🇩🇿 Béjaïa, perle de la Méditerranée et sentinelle de l’histoire kabyle 🇩🇿 Entre la mer et la montagne, entre le souvenir des civilisations et l’éclat éternel de ses paysages, Béjaïa se dresse comme un joyau délicatement posé sur la côte algérienne. Ville de lumière et de mémoire, elle offre à celui qui s’y attarde une leçon d’élégance naturelle et de profondeur historique. Béjaïa. À la seule évocation de son nom, le voyageur imagine déjà l’odeur du sel marin mêlée aux senteurs des pins d’Alep, le bruit du ressac contre les rochers, et le chant discret du vent qui s’élève des montagnes du Djurdjura. Nichée entre mer et falaises, cette ville kabyle, autrefois appelée Bougie par les navigateurs et les marchands européens, possède une aura qui dépasse largement les frontières de l’Algérie. Elle est un écrin où se conjuguent, avec une rare harmonie, la beauté brute de la nature et la richesse d’un passé plurimillénaire. Il faut voir le soleil se lever sur le cap Carbon pour comprendre ce qui rend Béjaïa si singulière. Les premiers rayons glissent sur les eaux calmes de la baie, caressent les crêtes boisées du parc national de Gouraya, puis s’attardent sur les vieilles pierres des bâtisses hammadides, témoins d’une époque où la ville était une capitale florissante, un phare de science et de culture dans tout le bassin méditerranéen. Car Béjaïa, avant d’être une station balnéaire prisée ou une ville portuaire, fut une métropole intellectuelle de premier plan, accueillant au XIe siècle savants, astronomes, philosophes, et même le célèbre mathématicien Fibonacci, qui y découvrit les chiffres dits « arabes » avant de les transmettre à l’Europe. Chaque ruelle du centre historique semble porter l’écho discret des civilisations qui s’y sont succédé : phéniciens, romains, vandales, byzantins, arabes, berbères, tous ont laissé une empreinte. Mais c’est sous la dynastie des Hammadides que Béjaïa connut son apogée. Capitale raffinée, elle rayonnait par ses bibliothèques, ses écoles et ses jardins, devenant un véritable carrefour culturel où se croisaient langues, croyances et idées. Aujourd’hui encore, l’on peut contempler la Porte de la mer, vestige imposant de cette époque fastueuse, ouvrant autrefois sur le monde connu et sur les flottes venues de Tunis, de Gênes ou de Marseille. Les murs, patinés par le temps et les embruns, racontent en silence la gloire passée d’une ville qui fut, des siècles durant, l’une des capitales intellectuelles du Maghreb. Mais l’histoire n’est pas la seule à captiver à Béjaïa. La nature y déploie une majesté presque irréelle. Le parc national de Gouraya, classé réserve de biosphère par l’UNESCO, abrite une biodiversité rare, entre forêts denses, falaises abruptes plongeant dans la mer et sommets calcaires offrant des vues panoramiques à couper le souffle. C’est là, dans ce royaume suspendu entre ciel et terre, que vit encore le singe magot, témoin silencieux de l’harmonie millénaire entre l’homme et la nature. Les plages de Béjaïa, quant à elles, n’ont rien à envier aux plus grandes destinations méditerranéennes. Celles de Tichy, Aokas, Saket ou Boulimat s’étendent en courbes douces, bordées de collines verdoyantes. Le sable y est blond, les eaux limpides, et l’atmosphère, toujours, est empreinte de cette douceur de vivre propre aux villes maritimes où l’histoire se mêle à la brise. Ce qui frappe le plus à Béjaïa, c’est sans doute cette capacité à conjuguer la majesté du passé avec la beauté intacte de son environnement. Rien n’y semble figé, mais tout respire l’authenticité. Que l’on s’aventure dans les hauteurs du fort de Gouraya, que l’on déambule sur la corniche au coucher du soleil, ou que l’on se recueille devant les vestiges antiques, on ressent toujours la même émotion : celle d’être à la fois minuscule devant tant de grandeur, et infiniment lié à ce lieu qui, sans effort, parle à l’âme. Béjaïa n’est pas qu’une ville. Elle est une poésie minérale, un récit vivant, une offrande à tous ceux qui savent encore regarder le monde avec émerveillement. #Algérie #Algeria #Bejaïa
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  • Aéroport de Gibraltar : l’un des plus insolites au monde

    Situé à la frontière entre Gibraltar et l’Espagne, l’aéroport de Gibraltar – également appelé aéroport de North Front – est reconnu comme l’un des plus étonnants et singuliers au monde. Sa particularité ? Une configuration rare où la piste d’atterrissage croise une route principale : l’avenue Winston Churchill.

    À chaque décollage ou atterrissage, la circulation routière est donc stoppée, comme à un passage à niveau, le temps que l'avion passe. Ce fonctionnement inhabituel, presque surréaliste pour les voyageurs non avertis, fait de cet aéroport une curiosité à part entière.

    L’environnement géographique accentue la complexité du site. Niché au pied du célèbre rocher de Gibraltar, tout près du centre-ville, l’aéroport impose aux pilotes des manœuvres délicates, entre vents latéraux puissants et approche abrupte. Ces conditions rendent chaque vol particulièrement technique.

    Malgré sa modeste taille, l’aéroport joue un rôle stratégique. Il constitue un lien vital entre Gibraltar et le Royaume-Uni, mais aussi un point d’accès pour les visiteurs venant d'autres pays. Entre prouesse d'ingénierie et symbole de résilience logistique, l’aéroport de Gibraltar reste une infrastructure unique, à la fois fascinante et fonctionnelle.
    Aéroport de Gibraltar : l’un des plus insolites au monde Situé à la frontière entre Gibraltar et l’Espagne, l’aéroport de Gibraltar – également appelé aéroport de North Front – est reconnu comme l’un des plus étonnants et singuliers au monde. Sa particularité ? Une configuration rare où la piste d’atterrissage croise une route principale : l’avenue Winston Churchill. À chaque décollage ou atterrissage, la circulation routière est donc stoppée, comme à un passage à niveau, le temps que l'avion passe. Ce fonctionnement inhabituel, presque surréaliste pour les voyageurs non avertis, fait de cet aéroport une curiosité à part entière. L’environnement géographique accentue la complexité du site. Niché au pied du célèbre rocher de Gibraltar, tout près du centre-ville, l’aéroport impose aux pilotes des manœuvres délicates, entre vents latéraux puissants et approche abrupte. Ces conditions rendent chaque vol particulièrement technique. Malgré sa modeste taille, l’aéroport joue un rôle stratégique. Il constitue un lien vital entre Gibraltar et le Royaume-Uni, mais aussi un point d’accès pour les visiteurs venant d'autres pays. Entre prouesse d'ingénierie et symbole de résilience logistique, l’aéroport de Gibraltar reste une infrastructure unique, à la fois fascinante et fonctionnelle.
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  • Argentine: feux de forêts toujours actifs en Patagonie, 25.000 ha touchés en deux mois

    Plusieurs feux de forêt restent actifs cette fin de semaine en Patagonie argentine, mobilisant des centaines de pompiers, en un été austral particulièrement destructeur qui a vu depuis deux mois quelque 25.000 hectares affectés, selon autorités et défenseurs de l’environnement
    #infos #actu #news
    Argentine: feux de forêts toujours actifs en Patagonie, 25.000 ha touchés en deux mois 🔥 Plusieurs feux de forêt restent actifs cette fin de semaine en Patagonie argentine, mobilisant des centaines de pompiers, en un été austral particulièrement destructeur qui a vu depuis deux mois quelque 25.000 hectares affectés, selon autorités et défenseurs de l’environnement #infos #actu #news
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  • Saviez-vous ? Il y a plus d'arbres sur Terre qu'il n'y a d'étoiles dans la Voie lactée : environ 3 000 milliards contre 100-400 milliards d'étoiles. La nature est infiniment plus riche qu'on ne le pense. Prenons-en soin ! #Environnement #Science
    🌍 Saviez-vous ? Il y a plus d'arbres sur Terre qu'il n'y a d'étoiles dans la Voie lactée : environ 3 000 milliards contre 100-400 milliards d'étoiles. La nature est infiniment plus riche qu'on ne le pense. Prenons-en soin ! 🌱✨ #Environnement #Science
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