• 🏟 GL Events en route pour gérer le Stade de France : une nouvelle ère en perspective

    Le groupe lyonnais GL Events est sur le point de prendre les rênes de l’exploitation du Stade de France. L’État français a engagé des négociations exclusives avec l’entreprise spécialisée dans l’événementiel pour une concession de 30 ans, qui devrait débuter en août 2025.

    Un choix stratégique de l’État

    L’appel d’offres lancé en mars 2023 visait à désigner un nouveau gestionnaire pour le stade national, actuellement exploité par le consortium Vinci-Bouygues depuis son ouverture en 1998. Malgré une proposition financière importante de ce dernier, GL Events a été retenu pour sa vision plus cohérente avec les objectifs de l’État en matière de valorisation et de diversification d’usage du stade.

    Recours rejetés et validation judiciaire

    Le choix de l’État a été confirmé par la justice. Le tribunal administratif de Montreuil a récemment rejeté les recours du groupement sortant Vinci-Bouygues, validant ainsi la régularité du processus de sélection et laissant la voie libre à GL Events.

    Inquiétudes du monde sportif

    Cependant, cette transition soulève des préoccupations au sein des fédérations sportives. La Fédération française de football (FFF) et la Fédération française de rugby (FFR) s’inquiètent des conditions économiques proposées. La FFF, notamment, juge le coût d’organisation des matchs trop élevé, ce qui pourrait nuire à la fréquence des rencontres à Saint-Denis.

    Une décision imminente

    L’accord définitif entre l’État et GL Events est attendu d’ici fin janvier 2025. S’il se concrétise, il marquera un tournant stratégique pour la gestion du Stade de France, avec de nouvelles perspectives pour les grands événements sportifs et culturels.
    🏟 GL Events en route pour gérer le Stade de France : une nouvelle ère en perspective Le groupe lyonnais GL Events est sur le point de prendre les rênes de l’exploitation du Stade de France. L’État français a engagé des négociations exclusives avec l’entreprise spécialisée dans l’événementiel pour une concession de 30 ans, qui devrait débuter en août 2025. ➡️ Un choix stratégique de l’État L’appel d’offres lancé en mars 2023 visait à désigner un nouveau gestionnaire pour le stade national, actuellement exploité par le consortium Vinci-Bouygues depuis son ouverture en 1998. Malgré une proposition financière importante de ce dernier, GL Events a été retenu pour sa vision plus cohérente avec les objectifs de l’État en matière de valorisation et de diversification d’usage du stade. ➡️ Recours rejetés et validation judiciaire Le choix de l’État a été confirmé par la justice. Le tribunal administratif de Montreuil a récemment rejeté les recours du groupement sortant Vinci-Bouygues, validant ainsi la régularité du processus de sélection et laissant la voie libre à GL Events. ➡️ Inquiétudes du monde sportif Cependant, cette transition soulève des préoccupations au sein des fédérations sportives. La Fédération française de football (FFF) et la Fédération française de rugby (FFR) s’inquiètent des conditions économiques proposées. La FFF, notamment, juge le coût d’organisation des matchs trop élevé, ce qui pourrait nuire à la fréquence des rencontres à Saint-Denis. ➡️ Une décision imminente L’accord définitif entre l’État et GL Events est attendu d’ici fin janvier 2025. S’il se concrétise, il marquera un tournant stratégique pour la gestion du Stade de France, avec de nouvelles perspectives pour les grands événements sportifs et culturels.
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  • L’Algérie Transforme le Sahara en Grenier Agricole : Une Révolution Verte en Marche

    Dans les profondeurs arides du Sahara algérien, une transformation sans précédent est en cours. Jadis terres hostiles balayées par les vents de sable, les wilayas du sud deviennent peu à peu les nouvelles terres nourricières de l’Algérie. À El Oued, Adrar ou encore Ouargla, la campagne de moisson-battage 2025 témoigne de cette révolution agricole, portée par une volonté politique forte et des moyens logistiques impressionnants.

    Une moisson record dans le désert

    La saison agricole actuelle s’annonce exceptionnelle. À El Oued, pas moins de 370 000 quintaux de céréales sont attendus cette année. Le blé dur domine les récoltes, avec près de 272 000 quintaux estimés, cultivés sur 6 800 hectares. L’orge, lui, couvre environ 3 000 hectares. Ce bond en avant est le fruit d’une stratégie agricole offensive, qui vise à mobiliser chaque parcelle exploitable du territoire saharien.

    Des moyens logistiques à la hauteur de l’ambition

    Pour soutenir cette campagne, l’État algérien a déployé une infrastructure impressionnante : 55 moissonneuses-batteuses, 13 ramasseuses-presses, et quatre centres d’engrangement d’une capacité totale de 267 000 quintaux ont été installés dans la seule wilaya d’El Oued. Des convois de plus de 120 camions sillonnent les routes désertiques pour acheminer les récoltes vers les centres de stockage.

    Le Sahara, pilier d’un avenir agricole autosuffisant

    Au-delà des chiffres, c’est un changement de paradigme que connaît l’Algérie. Longtemps dépendante des importations pour son alimentation, le pays mise désormais sur le sud pour garantir sa sécurité alimentaire. Le projet de ferme géante à Adrar, développé en partenariat avec le groupe qatari Baladna, incarne cette ambition. À terme, il vise à produire du lait, des céréales, de la viande et des fourrages sur des milliers d'hectares.

    Une réussite conditionnée par une gestion durable

    Cependant, cette révolution verte ne va pas sans défis. Le Sahara est une région fragile. Les ressources en eau, principalement issues de nappes fossiles, sont limitées. Des études montrent que ces nappes sont exploitées à un rythme bien supérieur à leur capacité de renouvellement. De plus, les aléas climatiques — sécheresse persistante, tempêtes de sable — peuvent compromettre les efforts engagés.

    Vers un nouveau modèle agricole

    Malgré ces contraintes, l’élan est donné. La mutation du Sahara algérien en pôle agricole n’est plus une utopie mais une réalité en marche. Il s’agit désormais d’ancrer cette dynamique dans une logique de durabilité, en intégrant des technologies de pointe, des pratiques agricoles responsables, et une gouvernance rigoureuse des ressources.

    L’Algérie, pays du soleil, pourrait bien devenir, à terme, l’un des leaders de la production céréalière en Afrique du Nord — et le Sahara, son grenier inattendu.

    🚨 L’Algérie Transforme le Sahara en Grenier Agricole : Une Révolution Verte en Marche Dans les profondeurs arides du Sahara algérien, une transformation sans précédent est en cours. Jadis terres hostiles balayées par les vents de sable, les wilayas du sud deviennent peu à peu les nouvelles terres nourricières de l’Algérie. À El Oued, Adrar ou encore Ouargla, la campagne de moisson-battage 2025 témoigne de cette révolution agricole, portée par une volonté politique forte et des moyens logistiques impressionnants. ➡️ Une moisson record dans le désert La saison agricole actuelle s’annonce exceptionnelle. À El Oued, pas moins de 370 000 quintaux de céréales sont attendus cette année. Le blé dur domine les récoltes, avec près de 272 000 quintaux estimés, cultivés sur 6 800 hectares. L’orge, lui, couvre environ 3 000 hectares. Ce bond en avant est le fruit d’une stratégie agricole offensive, qui vise à mobiliser chaque parcelle exploitable du territoire saharien. ➡️ Des moyens logistiques à la hauteur de l’ambition Pour soutenir cette campagne, l’État algérien a déployé une infrastructure impressionnante : 55 moissonneuses-batteuses, 13 ramasseuses-presses, et quatre centres d’engrangement d’une capacité totale de 267 000 quintaux ont été installés dans la seule wilaya d’El Oued. Des convois de plus de 120 camions sillonnent les routes désertiques pour acheminer les récoltes vers les centres de stockage. ➡️ Le Sahara, pilier d’un avenir agricole autosuffisant Au-delà des chiffres, c’est un changement de paradigme que connaît l’Algérie. Longtemps dépendante des importations pour son alimentation, le pays mise désormais sur le sud pour garantir sa sécurité alimentaire. Le projet de ferme géante à Adrar, développé en partenariat avec le groupe qatari Baladna, incarne cette ambition. À terme, il vise à produire du lait, des céréales, de la viande et des fourrages sur des milliers d'hectares. ➡️ Une réussite conditionnée par une gestion durable Cependant, cette révolution verte ne va pas sans défis. Le Sahara est une région fragile. Les ressources en eau, principalement issues de nappes fossiles, sont limitées. Des études montrent que ces nappes sont exploitées à un rythme bien supérieur à leur capacité de renouvellement. De plus, les aléas climatiques — sécheresse persistante, tempêtes de sable — peuvent compromettre les efforts engagés. ➡️ Vers un nouveau modèle agricole Malgré ces contraintes, l’élan est donné. La mutation du Sahara algérien en pôle agricole n’est plus une utopie mais une réalité en marche. Il s’agit désormais d’ancrer cette dynamique dans une logique de durabilité, en intégrant des technologies de pointe, des pratiques agricoles responsables, et une gouvernance rigoureuse des ressources. L’Algérie, pays du soleil, pourrait bien devenir, à terme, l’un des leaders de la production céréalière en Afrique du Nord — et le Sahara, son grenier inattendu.
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  • Coup de filet en série : l’Algérie frappe fort contre les réseaux de fraude et de blanchiment d’argent

    L’Algérie renforce sa lutte contre la criminalité économique avec plusieurs opérations de grande envergure ayant conduit au démantèlement de réseaux spécialisés dans le blanchiment d’argent, les importations frauduleuses, le trafic de véhicules et même d’or. Ces actions s’inscrivent dans une stratégie nationale visant à assainir l’économie et à répondre aux exigences internationales en matière de transparence financière.

    Des milliards saisis et un réseau démantelé

    À Blida, les forces de sécurité ont mis la main sur plus de 41 milliards de centimes et 90 000 euros, dissimulés dans des véhicules appartenant à un réseau de blanchiment d’argent. L’opération, menée sur la base d’un mandat d’arrêt contre un individu identifié par les initiales K. J., a révélé une organisation criminelle impliquée dans la contrebande de marchandises, dont certaines dangereuses pour la santé publique.

    Fraude documentaire et trafic de véhicules

    Une autre enquête a abouti à l’arrestation de 13 personnes impliquées dans un réseau de trafic international de véhicules. Les suspects sont accusés de falsification de documents officiels, d’usurpation de sceaux de l’État et de blanchiment d’argent. Plusieurs véhicules, équipements de contrefaçon et sommes en espèces ont été saisis.

    Un vaste trafic d’or démantelé

    À Alger, un réseau impliquant 50 personnes a été démantelé pour trafic d’or et blanchiment de plus de 1 100 milliards de centimes. Parmi les inculpés figurent des bijoutiers, des commerçants et trois entreprises spécialisées. L’or importé légalement était détourné vers le marché noir, avec l’appui d’un système bien rodé exploitant les régulations de change.

    L’Algérie dans la ligne de mire du GAFI

    Ces coups de filet interviennent alors que l’Algérie a été placée en 2024 sur la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI) en raison de lacunes dans la lutte contre le blanchiment d’argent. En réponse, les autorités ont adopté une stratégie nationale 2024-2026 visant à améliorer le cadre juridique et institutionnel.

    Une lutte désormais prioritaire

    Face à l’ampleur du phénomène, l’État algérien affiche une volonté ferme de mettre fin aux circuits illicites qui minent l’économie nationale. Les opérations récentes ne seraient que la première phase d’un vaste plan de traque des réseaux criminels opérant sous couvert d’activités commerciales légales.

    🚨 Coup de filet en série : l’Algérie frappe fort contre les réseaux de fraude et de blanchiment d’argent L’Algérie renforce sa lutte contre la criminalité économique avec plusieurs opérations de grande envergure ayant conduit au démantèlement de réseaux spécialisés dans le blanchiment d’argent, les importations frauduleuses, le trafic de véhicules et même d’or. Ces actions s’inscrivent dans une stratégie nationale visant à assainir l’économie et à répondre aux exigences internationales en matière de transparence financière. ➡️ Des milliards saisis et un réseau démantelé À Blida, les forces de sécurité ont mis la main sur plus de 41 milliards de centimes et 90 000 euros, dissimulés dans des véhicules appartenant à un réseau de blanchiment d’argent. L’opération, menée sur la base d’un mandat d’arrêt contre un individu identifié par les initiales K. J., a révélé une organisation criminelle impliquée dans la contrebande de marchandises, dont certaines dangereuses pour la santé publique. ➡️ Fraude documentaire et trafic de véhicules Une autre enquête a abouti à l’arrestation de 13 personnes impliquées dans un réseau de trafic international de véhicules. Les suspects sont accusés de falsification de documents officiels, d’usurpation de sceaux de l’État et de blanchiment d’argent. Plusieurs véhicules, équipements de contrefaçon et sommes en espèces ont été saisis. ➡️ Un vaste trafic d’or démantelé À Alger, un réseau impliquant 50 personnes a été démantelé pour trafic d’or et blanchiment de plus de 1 100 milliards de centimes. Parmi les inculpés figurent des bijoutiers, des commerçants et trois entreprises spécialisées. L’or importé légalement était détourné vers le marché noir, avec l’appui d’un système bien rodé exploitant les régulations de change. ➡️ L’Algérie dans la ligne de mire du GAFI Ces coups de filet interviennent alors que l’Algérie a été placée en 2024 sur la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI) en raison de lacunes dans la lutte contre le blanchiment d’argent. En réponse, les autorités ont adopté une stratégie nationale 2024-2026 visant à améliorer le cadre juridique et institutionnel. ➡️ Une lutte désormais prioritaire Face à l’ampleur du phénomène, l’État algérien affiche une volonté ferme de mettre fin aux circuits illicites qui minent l’économie nationale. Les opérations récentes ne seraient que la première phase d’un vaste plan de traque des réseaux criminels opérant sous couvert d’activités commerciales légales.
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  • L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages

    Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques.

    Des attaques informationnelles bien structurées

    Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes.

    « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense.

    Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations

    Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations.

    Des cas ciblés et médiatisés

    Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger.

    Une riposte à plusieurs niveaux

    Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse.

    Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe.

    L’éducation, un rempart durable

    Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information.

    Conclusion

    L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
    🚨 L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques. ➡️ Des attaques informationnelles bien structurées Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes. « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense. ➡️ Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations. ➡️ Des cas ciblés et médiatisés Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger. ➡️ Une riposte à plusieurs niveaux Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse. Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe. ➡️ L’éducation, un rempart durable Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information. ➡️ Conclusion L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
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  • L’Algérie peine à exploiter ses gisements aurifères. Elle envisage de faire appel à un partenaire étranger pour extraire l’or de son sous-sol.
    L’Algérie peine à exploiter ses gisements aurifères. Elle envisage de faire appel à un partenaire étranger pour extraire l’or de son sous-sol.
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  • Hydrocarbures : L’Algérie relance les appels d’offres internationaux, une première depuis plus de dix ans

    L’Algérie fait son grand retour sur la scène énergétique internationale. Pour la première fois depuis plus d’une décennie, le pays a lancé un appel d’offres international pour l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures, une initiative largement saluée par la revue spécialisée Middle East Economic Survey (MEES).

    Baptisée "Algeria Bid Round 2024", cette opération est pilotée par l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft). Elle s’inscrit dans une nouvelle stratégie quinquennale qui vise à dynamiser l’exploration pétrolière et gazière et à moderniser le secteur.

    Les premiers résultats sont encourageants : 37 entreprises internationales ont exprimé leur intérêt, dépassant les attentes initiales. Des compagnies venues d’Europe, d’Asie, d’Amérique du Nord et du Moyen-Orient, dont des acteurs du Qatar et du Sultanat d’Oman, ont répondu présentes.

    Six zones d’exploration, parmi lesquelles Grand M’Zaid, Ahara et Reggane II, sont proposées. Elles représentent un potentiel de 400 milliards de m³ de gaz et une hausse possible de 20 milliards de m³ de production annuelle.

    L’Algérie ne compte pas s’arrêter là : un second appel d’offres, prévu pour octobre 2025, proposera de nouvelles zones d’exploration. Ce retour aux appels d’offres internationaux marque une volonté affirmée d’attirer les investissements étrangers et de consolider la position de l’Algérie sur le marché énergétique mondial.

    🇩🇿 Hydrocarbures : L’Algérie relance les appels d’offres internationaux, une première depuis plus de dix ans L’Algérie fait son grand retour sur la scène énergétique internationale. Pour la première fois depuis plus d’une décennie, le pays a lancé un appel d’offres international pour l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures, une initiative largement saluée par la revue spécialisée Middle East Economic Survey (MEES). Baptisée "Algeria Bid Round 2024", cette opération est pilotée par l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft). Elle s’inscrit dans une nouvelle stratégie quinquennale qui vise à dynamiser l’exploration pétrolière et gazière et à moderniser le secteur. Les premiers résultats sont encourageants : 37 entreprises internationales ont exprimé leur intérêt, dépassant les attentes initiales. Des compagnies venues d’Europe, d’Asie, d’Amérique du Nord et du Moyen-Orient, dont des acteurs du Qatar et du Sultanat d’Oman, ont répondu présentes. Six zones d’exploration, parmi lesquelles Grand M’Zaid, Ahara et Reggane II, sont proposées. Elles représentent un potentiel de 400 milliards de m³ de gaz et une hausse possible de 20 milliards de m³ de production annuelle. L’Algérie ne compte pas s’arrêter là : un second appel d’offres, prévu pour octobre 2025, proposera de nouvelles zones d’exploration. Ce retour aux appels d’offres internationaux marque une volonté affirmée d’attirer les investissements étrangers et de consolider la position de l’Algérie sur le marché énergétique mondial.
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  • Kaylia Nemour enchaîne les exploits avec une note record en Série A italienne. La gymnaste algérienne continue d’impressionner.
    🚨 Kaylia Nemour enchaîne les exploits avec une note record en Série A italienne. La gymnaste algérienne continue d’impressionner.
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  • TÉBESSA : Aux confins de l’Algérie, un joyau millénaire entre histoire, culture et renouveau

    Par-delà les montagnes arides de l’Est algérien, à quelques kilomètres seulement de la frontière tunisienne, se dresse fièrement Tébessa, cité chargée d’histoire et riche d’un patrimoine exceptionnel. Ancienne Theveste romaine, Tébessa est bien plus qu’une simple commune : c’est une mémoire vivante, un trait d’union entre les civilisations passées et les aspirations contemporaines d’un territoire en quête de renaissance.

    ✅️ Un héritage historique hors du commun

    Tébessa fut, dès l’Antiquité, un centre stratégique de la Numidie puis de l’Empire romain. Ses monuments, remarquablement conservés, en témoignent avec éloquence. Le Temple de Minerve, datant du IIe siècle, trône encore majestueusement au cœur de la ville. Érigé en l’honneur de la déesse de la sagesse, ce temple de style corinthien est l’un des rares édifices antiques aussi bien préservés en Algérie.

    À quelques pas de là, l’Arc de Caracalla, construit en 212 pour commémorer la visite de l’empereur romain, témoigne du prestige de la cité dans l’Empire. Et que dire de la Basilique Sainte-Crispine ? Édifiée au début du IVe siècle, elle est l’un des plus anciens lieux de culte chrétien du Maghreb, abritant des cryptes et galeries funéraires uniques dans la région.

    Ces vestiges, loin d’être figés dans le passé, continuent d’inspirer l’identité des habitants et de susciter l’émerveillement des visiteurs.

    ✅️ Une culture enracinée et vivante

    Au-delà de ses ruines antiques, Tébessa est aussi le cœur battant d’une culture berbère authentique. Ses traditions se transmettent de génération en génération, que ce soit à travers l’artisanat, les contes populaires ou les festivals locaux. Chaque année, la commune organise des événements qui célèbrent cette richesse, alliant danses folkloriques, poésie chaouie, musiques traditionnelles et gastronomie locale.

    Le dialecte berbère y est toujours pratiqué, tout comme l’arabe, et reflète la diversité linguistique et culturelle de cette région frontalière, carrefour d’influences entre l’Est algérien et l’Ouest tunisien.

    ✅️ Une nature généreuse, une terre de ressources

    Entourée de montagnes et de plaines fertiles, Tébessa bénéficie d’un climat méditerranéen semi-aride, propice à l’agriculture. Les cultures de céréales, d’olives et de légumes y prospèrent depuis des siècles. Cette richesse agricole est un pilier de l’économie locale, tout comme l’exploitation minière, notamment la célèbre mine de fer d’Ouenza, la plus importante du pays.

    Tébessa joue également un rôle central dans les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Tunisie. Ce positionnement stratégique lui confère une dynamique particulière, entre tradition rurale et modernité urbaine.

    ✅️ Une ville tournée vers l’avenir

    Longtemps oubliée des circuits touristiques, Tébessa regagne aujourd’hui sa place sur la carte. Les autorités locales, historiens et habitants s’emploient à valoriser le patrimoine, à développer l’écotourisme et à moderniser les infrastructures. Le potentiel est immense : allier le charme intemporel de ses vestiges à une vision durable du développement.

    ✅️ Conclusion

    Tébessa n’est pas une ville ordinaire. Elle incarne l’âme de l’Algérie millénaire, à la croisée des cultures, des époques et des aspirations. Elle est à la fois un musée à ciel ouvert, un berceau de traditions et une terre d’avenir.

    Visiter Tébessa, c’est marcher sur les traces des empereurs romains, entendre les échos des poètes berbères, et ressentir l’esprit d’un peuple fier de son passé et confiant en son futur.
    #myqif #tébessa #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news

    🇩🇿 TÉBESSA : Aux confins de l’Algérie, un joyau millénaire entre histoire, culture et renouveau 🇩🇿 Par-delà les montagnes arides de l’Est algérien, à quelques kilomètres seulement de la frontière tunisienne, se dresse fièrement Tébessa, cité chargée d’histoire et riche d’un patrimoine exceptionnel. Ancienne Theveste romaine, Tébessa est bien plus qu’une simple commune : c’est une mémoire vivante, un trait d’union entre les civilisations passées et les aspirations contemporaines d’un territoire en quête de renaissance. ✅️ Un héritage historique hors du commun Tébessa fut, dès l’Antiquité, un centre stratégique de la Numidie puis de l’Empire romain. Ses monuments, remarquablement conservés, en témoignent avec éloquence. Le Temple de Minerve, datant du IIe siècle, trône encore majestueusement au cœur de la ville. Érigé en l’honneur de la déesse de la sagesse, ce temple de style corinthien est l’un des rares édifices antiques aussi bien préservés en Algérie. À quelques pas de là, l’Arc de Caracalla, construit en 212 pour commémorer la visite de l’empereur romain, témoigne du prestige de la cité dans l’Empire. Et que dire de la Basilique Sainte-Crispine ? Édifiée au début du IVe siècle, elle est l’un des plus anciens lieux de culte chrétien du Maghreb, abritant des cryptes et galeries funéraires uniques dans la région. Ces vestiges, loin d’être figés dans le passé, continuent d’inspirer l’identité des habitants et de susciter l’émerveillement des visiteurs. ✅️ Une culture enracinée et vivante Au-delà de ses ruines antiques, Tébessa est aussi le cœur battant d’une culture berbère authentique. Ses traditions se transmettent de génération en génération, que ce soit à travers l’artisanat, les contes populaires ou les festivals locaux. Chaque année, la commune organise des événements qui célèbrent cette richesse, alliant danses folkloriques, poésie chaouie, musiques traditionnelles et gastronomie locale. Le dialecte berbère y est toujours pratiqué, tout comme l’arabe, et reflète la diversité linguistique et culturelle de cette région frontalière, carrefour d’influences entre l’Est algérien et l’Ouest tunisien. ✅️ Une nature généreuse, une terre de ressources Entourée de montagnes et de plaines fertiles, Tébessa bénéficie d’un climat méditerranéen semi-aride, propice à l’agriculture. Les cultures de céréales, d’olives et de légumes y prospèrent depuis des siècles. Cette richesse agricole est un pilier de l’économie locale, tout comme l’exploitation minière, notamment la célèbre mine de fer d’Ouenza, la plus importante du pays. Tébessa joue également un rôle central dans les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Tunisie. Ce positionnement stratégique lui confère une dynamique particulière, entre tradition rurale et modernité urbaine. ✅️ Une ville tournée vers l’avenir Longtemps oubliée des circuits touristiques, Tébessa regagne aujourd’hui sa place sur la carte. Les autorités locales, historiens et habitants s’emploient à valoriser le patrimoine, à développer l’écotourisme et à moderniser les infrastructures. Le potentiel est immense : allier le charme intemporel de ses vestiges à une vision durable du développement. ✅️ Conclusion Tébessa n’est pas une ville ordinaire. Elle incarne l’âme de l’Algérie millénaire, à la croisée des cultures, des époques et des aspirations. Elle est à la fois un musée à ciel ouvert, un berceau de traditions et une terre d’avenir. Visiter Tébessa, c’est marcher sur les traces des empereurs romains, entendre les échos des poètes berbères, et ressentir l’esprit d’un peuple fier de son passé et confiant en son futur. #myqif #tébessa #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
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  • ✅️ Algérie : un sous-sol riche, un avenir prometteur pour le secteur minier

    L’Algérie possède un potentiel minier considérable, souvent méconnu mais porteur de grandes promesses pour l’avenir économique du pays. Grâce à la diversité de ses ressources géologiques — allant des terres rares au lithium, en passant par le plomb, le zinc et divers minerais stratégiques — l’Algérie pourrait devenir un acteur majeur sur l’échiquier mondial des matières premières.

    ❎️ Des découvertes prometteuses dans le Sud

    Les récentes campagnes d’exploration menées dans les régions de Tamanrasset et In Guezzam, avec la collaboration d’experts chinois du groupe Ganfeng Lithium, ont révélé des indices encourageants de lithium et de terres rares. Ces métaux sont essentiels pour les nouvelles technologies, notamment les batteries pour véhicules électriques et les systèmes d’énergie renouvelable.

    Outre le lithium, les analyses ont confirmé la présence de minerais comme le wolfram, le tantale, le tungstène ou encore le niobium. Ce gisement stratégique pourrait offrir à l’Algérie un levier économique important à l’échelle régionale et internationale.

    ❎️ Une richesse encore sous-exploitée

    Selon des études menées dans les années 1970 et réactualisées récemment, l’Algérie pourrait détenir jusqu’à 20 % des réserves mondiales de terres rares. Ces ressources sont estimées à plus de 2 400 milliards de dollars. Toutefois, leur exploitation reste limitée, freinée par des contraintes techniques, logistiques et environnementales.

    Le pays cherche aujourd’hui à relancer ce secteur en modernisant ses outils d’exploration et en attirant des partenaires internationaux prêts à investir dans une exploitation responsable et durable.

    ❎️ Enjeux environnementaux et dialogue local

    Certains projets miniers, comme la mine de plomb et de zinc de Tala Hamza en Kabylie, ont suscité des réserves chez les populations locales. Les craintes portent principalement sur l’impact environnemental et la gestion des ressources en eau. Ces réactions soulignent l’importance pour les autorités d’instaurer un dialogue constructif et transparent avec les communautés concernées.

    ❎️ Une vision d’avenir tournée vers la transition énergétique

    Dans le contexte mondial de transition énergétique, l’Algérie a une carte majeure à jouer. En valorisant ses ressources minières, notamment celles utilisées dans les technologies propres, le pays pourrait diversifier son économie et réduire sa dépendance aux hydrocarbures.

    Le défi pour les prochaines années sera donc de concilier développement minier, durabilité environnementale et bénéfice socio-économique pour l’ensemble du territoire.
    #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    ✅️ Algérie : un sous-sol riche, un avenir prometteur pour le secteur minier 🇩🇿 L’Algérie possède un potentiel minier considérable, souvent méconnu mais porteur de grandes promesses pour l’avenir économique du pays. Grâce à la diversité de ses ressources géologiques — allant des terres rares au lithium, en passant par le plomb, le zinc et divers minerais stratégiques — l’Algérie pourrait devenir un acteur majeur sur l’échiquier mondial des matières premières. ❎️ Des découvertes prometteuses dans le Sud Les récentes campagnes d’exploration menées dans les régions de Tamanrasset et In Guezzam, avec la collaboration d’experts chinois du groupe Ganfeng Lithium, ont révélé des indices encourageants de lithium et de terres rares. Ces métaux sont essentiels pour les nouvelles technologies, notamment les batteries pour véhicules électriques et les systèmes d’énergie renouvelable. Outre le lithium, les analyses ont confirmé la présence de minerais comme le wolfram, le tantale, le tungstène ou encore le niobium. Ce gisement stratégique pourrait offrir à l’Algérie un levier économique important à l’échelle régionale et internationale. ❎️ Une richesse encore sous-exploitée Selon des études menées dans les années 1970 et réactualisées récemment, l’Algérie pourrait détenir jusqu’à 20 % des réserves mondiales de terres rares. Ces ressources sont estimées à plus de 2 400 milliards de dollars. Toutefois, leur exploitation reste limitée, freinée par des contraintes techniques, logistiques et environnementales. Le pays cherche aujourd’hui à relancer ce secteur en modernisant ses outils d’exploration et en attirant des partenaires internationaux prêts à investir dans une exploitation responsable et durable. ❎️ Enjeux environnementaux et dialogue local Certains projets miniers, comme la mine de plomb et de zinc de Tala Hamza en Kabylie, ont suscité des réserves chez les populations locales. Les craintes portent principalement sur l’impact environnemental et la gestion des ressources en eau. Ces réactions soulignent l’importance pour les autorités d’instaurer un dialogue constructif et transparent avec les communautés concernées. ❎️ Une vision d’avenir tournée vers la transition énergétique Dans le contexte mondial de transition énergétique, l’Algérie a une carte majeure à jouer. En valorisant ses ressources minières, notamment celles utilisées dans les technologies propres, le pays pourrait diversifier son économie et réduire sa dépendance aux hydrocarbures. Le défi pour les prochaines années sera donc de concilier développement minier, durabilité environnementale et bénéfice socio-économique pour l’ensemble du territoire. #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • Trois golfeurs d’élite ont tenté l’impossible : un trou-en-un depuis le 22ᵉ étage d’un immeuble aux Émirats arabes unis ! Un défi mêlant adrénaline et solidarité. #Golf #Exploit #SportSolidaire
    Trois golfeurs d’élite ont tenté l’impossible : un trou-en-un depuis le 22ᵉ étage d’un immeuble aux Émirats arabes unis ! Un défi mêlant adrénaline et solidarité. ⛳🏌️‍♂️🔥 #Golf #Exploit #SportSolidaire
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