• Ils veulent imposer la démocratie partout, comme s’ils détenaient la vérité absolue. Héritiers de l’empire romain, ils avancent avec leurs bombes et leurs discours « civilisés »… Mais l’histoire, c’est surtout des guerres, des pillages et des destructions.
    Faut arrêter la leçon de morale.

    #Géopolitique #Impérialisme #DoubleStandard #Histoire #Guerres
    🗺️ Ils veulent imposer la démocratie partout, comme s’ils détenaient la vérité absolue. 🦅 Héritiers de l’empire romain, ils avancent avec leurs bombes et leurs discours « civilisés »… 🔥 Mais l’histoire, c’est surtout des guerres, des pillages et des destructions. Faut arrêter la leçon de morale. #Géopolitique #Impérialisme #DoubleStandard #Histoire #Guerres
    Like
    Pfff
    3
    ·1428 Views
  • Une guerre de 12 jours, des centaines de morts… pour quoi ? Rien n’a changé. Juste plus de souffrance, plus de haine. Et pendant ce temps-là, certains paradent comme s’ils avaient gagné un trophée. Personne ne gagne quand des vies sont fauchées pour du vide.

    #Guerre #Iran #Israël #CessezLeFeu #Tristesse #Injustice

    💣 Une guerre de 12 jours, des centaines de morts… pour quoi ? Rien n’a changé. Juste plus de souffrance, plus de haine. Et pendant ce temps-là, certains paradent comme s’ils avaient gagné un trophée. 😔 Personne ne gagne quand des vies sont fauchées pour du vide. #Guerre #Iran #Israël #CessezLeFeu #Tristesse #Injustice
    Like
    Pfff
    2
    ·1134 Views
  • Apparemment Israël aurait « gagné » la guerre contre l’Iran… selon Netanyahou. Franchement, il raconte n’importe quoi. 12 jours de chaos, des centaines de morts, et il fanfaronne comme si c’était un match de foot. Personne ne gagne dans une guerre.

    #Netanyahou #Iran #Israël #CessezLeFeu #Guerre #Propagande

    🇮🇱💥 Apparemment Israël aurait « gagné » la guerre contre l’Iran… selon Netanyahou. 😒 Franchement, il raconte n’importe quoi. 12 jours de chaos, des centaines de morts, et il fanfaronne comme si c’était un match de foot. 🧨 Personne ne gagne dans une guerre. #Netanyahou #Iran #Israël #CessezLeFeu #Guerre #Propagande
    Like
    2
    ·1346 Views
  • Cessez-le-feu décrété ce mardi après 12 jours de guerre. L’Iran parle d’une « guerre imposée » par Tel-Aviv. Netanyahou, lui, célèbre une « victoire historique » et jure : « Téhéran n’aura jamais l’arme nucléaire ». Tensions gelées, mais la braise couve. #Iran #Israël #CessezLeFeu #Nucléaire
    🔥 Cessez-le-feu décrété ce mardi après 12 jours de guerre. 🇮🇷 L’Iran parle d’une « guerre imposée » par Tel-Aviv. 🇮🇱 Netanyahou, lui, célèbre une « victoire historique » et jure : « Téhéran n’aura jamais l’arme nucléaire ». ⚡ Tensions gelées, mais la braise couve. #Iran #Israël #CessezLeFeu #Nucléaire
    Like
    Love
    3
    ·1324 Views
  • Voilà ce que Jean-Luc Mélenchon vient de publier sur X : La réplique de l'Iran sur les USA au Qatar ouvre une nouvelle phase de la guerre générale commencée par Netanyahu pour "changer la face du monde" selon ses dires. Il est stupéfiant de voir les USA attaqués de front. Le cycle des représailles va s'enclencher et les populations vont le payer cher, sur place sous les bombardements et dans le monde par une terrible crise économique. Le cessez-le-feu est l'urgence. Pourquoi l'ONU n'est-elle pas convoquée ? Reste-t-il une puissance mondiale capable de raison ? L'Europe et la France ont disparu.
    ℹ️ℹ️Voilà ce que Jean-Luc Mélenchon vient de publier sur X : La réplique de l'Iran sur les USA au Qatar ouvre une nouvelle phase de la guerre générale commencée par Netanyahu pour "changer la face du monde" selon ses dires. Il est stupéfiant de voir les USA attaqués de front. Le cycle des représailles va s'enclencher et les populations vont le payer cher, sur place sous les bombardements et dans le monde par une terrible crise économique. Le cessez-le-feu est l'urgence. Pourquoi l'ONU n'est-elle pas convoquée ? Reste-t-il une puissance mondiale capable de raison ? L'Europe et la France ont disparu.
    Like
    Pfff
    2
    ·1529 Views

  • L’Algérie signe un accord stratégique de fourniture de gaz avec la Slovénie

    L’Algérie consolide sa position sur le marché énergétique européen grâce à un nouvel accord signé le 13 mai 2025 entre Sonatrach, le groupe pétrolier national, et la société slovène Geoplin. Ce contrat de fourniture de gaz naturel, conclu pour trois ans à partir de janvier 2023, marque le retour de l’Algérie sur le marché slovène, après une décennie d’interruption.

    Un partenariat énergétique renouvelé

    Ce nouvel accord s’inscrit dans la continuité d’un premier engagement datant de novembre 2022, visant à livrer du gaz naturel à la Slovénie via le gazoduc transméditerranéen reliant l’Algérie à l’Italie. L’objectif est clair : renforcer la coopération bilatérale et satisfaire les besoins croissants de l’Europe en énergie.

    Un rôle clé dans la stratégie énergétique européenne

    Depuis la crise énergétique provoquée par la guerre en Ukraine, l’Europe cherche à diversifier ses sources d’approvisionnement. L’Algérie apparaît comme un partenaire fiable, capable d’assurer des livraisons régulières et sécurisées. Ce contrat illustre la volonté de l’Algérie de consolider son rôle d’acteur majeur sur la scène énergétique du continent.

    Une coopération élargie au-delà du gaz

    Outre le secteur gazier, cet accord ouvre la voie à une collaboration plus large entre Alger et Ljubljana. Des discussions sont en cours pour mettre en place un programme de coopération bilatérale incluant les énergies renouvelables, les infrastructures et les industries extractives.

    Un impact concret sur le marché

    Selon les estimations, Sonatrach livrera environ 300 millions de mètres cubes de gaz naturel par an à Geoplin. Une contribution significative qui permettra à la Slovénie de diversifier ses sources d’énergie et de sécuriser ses approvisionnements à moyen terme.

    ✅️ Ce partenariat énergétique marque une étape importante dans les relations algéro-slovènes et confirme la stratégie algérienne de diversification de ses débouchés gaziers en Europe.
    🇩🇿🇸🇮 L’Algérie signe un accord stratégique de fourniture de gaz avec la Slovénie L’Algérie consolide sa position sur le marché énergétique européen grâce à un nouvel accord signé le 13 mai 2025 entre Sonatrach, le groupe pétrolier national, et la société slovène Geoplin. Ce contrat de fourniture de gaz naturel, conclu pour trois ans à partir de janvier 2023, marque le retour de l’Algérie sur le marché slovène, après une décennie d’interruption. ➡️ Un partenariat énergétique renouvelé Ce nouvel accord s’inscrit dans la continuité d’un premier engagement datant de novembre 2022, visant à livrer du gaz naturel à la Slovénie via le gazoduc transméditerranéen reliant l’Algérie à l’Italie. L’objectif est clair : renforcer la coopération bilatérale et satisfaire les besoins croissants de l’Europe en énergie. ➡️ Un rôle clé dans la stratégie énergétique européenne Depuis la crise énergétique provoquée par la guerre en Ukraine, l’Europe cherche à diversifier ses sources d’approvisionnement. L’Algérie apparaît comme un partenaire fiable, capable d’assurer des livraisons régulières et sécurisées. Ce contrat illustre la volonté de l’Algérie de consolider son rôle d’acteur majeur sur la scène énergétique du continent. ➡️ Une coopération élargie au-delà du gaz Outre le secteur gazier, cet accord ouvre la voie à une collaboration plus large entre Alger et Ljubljana. Des discussions sont en cours pour mettre en place un programme de coopération bilatérale incluant les énergies renouvelables, les infrastructures et les industries extractives. ➡️ Un impact concret sur le marché Selon les estimations, Sonatrach livrera environ 300 millions de mètres cubes de gaz naturel par an à Geoplin. Une contribution significative qui permettra à la Slovénie de diversifier ses sources d’énergie et de sécuriser ses approvisionnements à moyen terme. ✅️ Ce partenariat énergétique marque une étape importante dans les relations algéro-slovènes et confirme la stratégie algérienne de diversification de ses débouchés gaziers en Europe.
    Like
    Love
    5
    ·6785 Views

  • L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages

    Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques.

    Des attaques informationnelles bien structurées

    Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes.

    « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense.

    Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations

    Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations.

    Des cas ciblés et médiatisés

    Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger.

    Une riposte à plusieurs niveaux

    Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse.

    Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe.

    L’éducation, un rempart durable

    Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information.

    Conclusion

    L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
    🚨 L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques. ➡️ Des attaques informationnelles bien structurées Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes. « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense. ➡️ Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations. ➡️ Des cas ciblés et médiatisés Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger. ➡️ Une riposte à plusieurs niveaux Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse. Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe. ➡️ L’éducation, un rempart durable Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information. ➡️ Conclusion L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
    Love
    Like
    Wow
    20
    ·10315 Views

  • ALERTE INFO. Guerre au Proche-Orient : le cabinet de sécurité israélien approuve un plan incluant la "conquête de la bande de Gaza"
    ⚡ ALERTE INFO. Guerre au Proche-Orient : le cabinet de sécurité israélien approuve un plan incluant la "conquête de la bande de Gaza"
    Pfff
    Angry
    Sad
    Like
    20
    ·1855 Views

  • Guerre en Ukraine : le navire de guerre russe Amiral Golovko, armé de missiles Zircon, repéré tout près des côtes françaises, les Britanniques interviennent
    #info #news #actualités #actu
    🚨 Guerre en Ukraine : le navire de guerre russe Amiral Golovko, armé de missiles Zircon, repéré tout près des côtes françaises, les Britanniques interviennent #info #news #actualités #actu
    Love
    Like
    Wow
    4
    ·1276 Views

  • Larbi Ben M’hidi : le héros silencieux de la Révolution algérienne

    Dans l’histoire de la lutte pour l’indépendance de l’Algérie, peu de noms résonnent avec autant de force et de respect que celui de Larbi Ben M’hidi. Stratège hors pair, militant infatigable et martyr de la cause nationale, il incarne à lui seul le courage et l’intégrité du combat algérien pour la liberté.

    ✅️ Une jeunesse forgée par l’engagement

    Né en 1923 à Aïn M’lila, dans les Aurès, Ben M’hidi grandit dans une famille modeste. Très tôt, il s’engage au sein des Scouts musulmans algériens, avant de rejoindre les rangs nationalistes du PPA puis du MTLD. Son esprit discipliné et son sens de l’organisation le mènent rapidement au sein de l’Organisation Spéciale (OS), embryon militaire de la lutte anticoloniale.

    Arrêté en 1948 et condamné à dix ans de prison, il en ressort renforcé dans ses convictions. Lors du déclenchement de la guerre de libération, le 1er novembre 1954, il figure parmi les premiers cadres du Front de Libération Nationale (FLN).

    ✅️ Tacticien et meneur d’hommes

    En 1956, Larbi Ben M’hidi est chargé de diriger la Zone autonome d’Alger, cœur névralgique de la lutte urbaine contre l’armée française. Sa stratégie de guérilla dans la capitale déstabilise profondément les autorités coloniales. Sous sa houlette, la Zone autonome organise des actions spectaculaires, marquant les esprits en Algérie comme en France.

    Lors de la Bataille d’Alger, déclenchée par les forces françaises début 1957, il devient l’ennemi public numéro un. Pourtant, malgré la traque intense, il reste insaisissable jusqu’à son arrestation, le 23 février 1957, par les parachutistes du général Massu.

    ✅️ Un martyr et un symbole

    Présenté à la presse menotté, Larbi Ben M’hidi refuse de plier. Il devient une icône vivante de la résistance. Quelques jours plus tard, il est exécuté en secret dans une ferme de la Mitidja, dans des conditions que l’armée française tentera longtemps de dissimuler en évoquant un suicide.

    Ce n’est qu’en 2001, grâce aux aveux du général Paul Aussaresses, que la vérité éclate : Ben M’hidi a bel et bien été assassiné sur ordre des autorités militaires françaises. Ce crime d’État sera officiellement reconnu par le président Emmanuel Macron en 2024, lors du 70e anniversaire du déclenchement de la guerre d’indépendance.

    ✅️ Une mémoire vivante

    Aujourd’hui, Larbi Ben M’hidi repose au Carré des Martyrs du cimetière d’El Alia, à Alger. Des établissements scolaires, des rues et des places portent son nom, perpétuant son souvenir dans la mémoire collective algérienne.

    Symbole de la dignité, de la stratégie et du sacrifice, Ben M’hidi demeure un repère pour toutes les générations qui aspirent à la liberté et à la justice.

    #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    Larbi Ben M’hidi : le héros silencieux de la Révolution algérienne 🇩🇿 Dans l’histoire de la lutte pour l’indépendance de l’Algérie, peu de noms résonnent avec autant de force et de respect que celui de Larbi Ben M’hidi. Stratège hors pair, militant infatigable et martyr de la cause nationale, il incarne à lui seul le courage et l’intégrité du combat algérien pour la liberté. ✅️ Une jeunesse forgée par l’engagement Né en 1923 à Aïn M’lila, dans les Aurès, Ben M’hidi grandit dans une famille modeste. Très tôt, il s’engage au sein des Scouts musulmans algériens, avant de rejoindre les rangs nationalistes du PPA puis du MTLD. Son esprit discipliné et son sens de l’organisation le mènent rapidement au sein de l’Organisation Spéciale (OS), embryon militaire de la lutte anticoloniale. Arrêté en 1948 et condamné à dix ans de prison, il en ressort renforcé dans ses convictions. Lors du déclenchement de la guerre de libération, le 1er novembre 1954, il figure parmi les premiers cadres du Front de Libération Nationale (FLN). ✅️ Tacticien et meneur d’hommes En 1956, Larbi Ben M’hidi est chargé de diriger la Zone autonome d’Alger, cœur névralgique de la lutte urbaine contre l’armée française. Sa stratégie de guérilla dans la capitale déstabilise profondément les autorités coloniales. Sous sa houlette, la Zone autonome organise des actions spectaculaires, marquant les esprits en Algérie comme en France. Lors de la Bataille d’Alger, déclenchée par les forces françaises début 1957, il devient l’ennemi public numéro un. Pourtant, malgré la traque intense, il reste insaisissable jusqu’à son arrestation, le 23 février 1957, par les parachutistes du général Massu. ✅️ Un martyr et un symbole Présenté à la presse menotté, Larbi Ben M’hidi refuse de plier. Il devient une icône vivante de la résistance. Quelques jours plus tard, il est exécuté en secret dans une ferme de la Mitidja, dans des conditions que l’armée française tentera longtemps de dissimuler en évoquant un suicide. Ce n’est qu’en 2001, grâce aux aveux du général Paul Aussaresses, que la vérité éclate : Ben M’hidi a bel et bien été assassiné sur ordre des autorités militaires françaises. Ce crime d’État sera officiellement reconnu par le président Emmanuel Macron en 2024, lors du 70e anniversaire du déclenchement de la guerre d’indépendance. ✅️ Une mémoire vivante Aujourd’hui, Larbi Ben M’hidi repose au Carré des Martyrs du cimetière d’El Alia, à Alger. Des établissements scolaires, des rues et des places portent son nom, perpétuant son souvenir dans la mémoire collective algérienne. Symbole de la dignité, de la stratégie et du sacrifice, Ben M’hidi demeure un repère pour toutes les générations qui aspirent à la liberté et à la justice. #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
    Like
    Love
    20
    ·5817 Views ·1 aandelen
Zoekresultaten