• En Chine, une autoroute passe littéralement au-dessus d’un immeuble résidentiel dans le quartier de Nanming, à Guiyang. Un aménagement urbain insolite où le béton côtoie les balcons ! Étonnant mélange de pragmatisme et d'ingéniosité chinoise. #Chine #Infrastructures #Urbanisme
    En Chine, une autoroute passe littéralement au-dessus d’un immeuble résidentiel dans le quartier de Nanming, à Guiyang. Un aménagement urbain insolite où le béton côtoie les balcons ! Étonnant mélange de pragmatisme et d'ingéniosité chinoise. #Chine #Infrastructures #Urbanisme
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  • Monsieur le ministre de la santé rencontre le chef de l'Agence internationale de recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé

    En marge des sessions nationales de prévention et de lutte contre le cancer, tenues les 3 et 4 mai 2025 au centre international de conférence Abdul Latif Rahal dans la capitale sous le patronage suprême de Monsieur le Président, Monsieur le Ministre de la santé, Monsieur Abdul Haq, président de l'Agence internationale pour Recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, Dr Prtha Sarathi, s'est réuni en présence du président du comité national de prévention et de lutte contre le cancer, le professeur Ada Bongar.

    Au cours de cette réunion, le Ministre a souligné l'importance des programmes de prévention pour sauver des vies, notant que les problèmes de santé liés au cancer dans certains pays sont en grande partie dus à des changements de mode de vie, tels que l'alimentation et la pollution de l'environnement, ainsi qu'à des infrastructures

    Dans ce contexte, le ministre a ajouté qu'en Algérie, un double programme de travail a été approuvé pour la réorganisation du système de santé lié à la prise en charge des malades cancéreux, ainsi que pour la promotion de la culture de la prévention par des campagnes de sensibilisation et de sensibilisation

    De son côté, le représentant de l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer a présenté un résumé d'une étude réalisée par l'agence qui montre que d'ici 2040, nous verrons un changement radical des taux d'incidence du cancer et que le fardeau le plus lourd pour les pays sera les ressources

    Le porte-parole a fait remarquer qu'il ne pouvait pas seulement continuer à traiter le cancer, mais nous devons l'empêcher, indiquant que l'accent serait mis sur la recherche sur la prévention du cancer et sur la réhabilitation des patients atteints

    L'Algérie a été invitée à rejoindre l'agence de 29 Etats membres et à bénéficier de relations de coopération solides pour établir des partenariats de recherche, contribuer à améliorer les plans nationaux de lutte contre le cancer et échanger des expériences et des connaissances.

    Le Dr Parthi a également confirmé que l'organisation était prête à fournir tous les détails sur les étapes exécutives et les mécanismes de travail communs nécessaires, ainsi que le soutien technique disponible.

    En ce qui concerne les logiciels d'évaluation et de suivi, le Dr Parthi a affirmé que l'organisation était confrontée à certains défis dans les processus d'évaluation, mais qu'elle travaille à élaborer des méthodologies claires pour organiser les évaluations et préparer des indicateurs de performance précis pour s'assurer que les données produites

    Le conférencier a également donné un aperçu des programmes mis en œuvre, indiquant que des programmes de dépistage seront mis en œuvre dans plusieurs pays, notamment le dépistage du cancer du sein, le dépistage du cancer du col utérin, le dépistage du cancer du côlon et

    En ce qui concerne l'analyse de la voie de prise en charge et de traitement des patients atteints de cancer, il s'est assuré que trois points ont été identifiés : le délai entre l'apparition des symptômes et le diagnostic, le retard dans le diagnostic et le début du traitement, et le retard dans la réception du traitement approprié.

    Il a noté qu'en identifiant les facteurs qui influencent ces points, des recommandations pratiques pourraient être faites aux ministères de la santé des pays africains pour améliorer la qualité des soins dispensés.

    L'entrée du Dr Parthi a conclu que son organisation analyse la situation sanitaire dans chaque pays au moyen d'une étude approfondie visant à identifier les pays les plus touchés par le cancer, en analysant les facteurs de risque. Il a confirmé que les estimations indiquent que la plupart des cas de cancer sont associés à des facteurs ajustables tels que les modes de vie, ce qui exige que l'on se concentre sur les changements de comportement dès le début de l'école, en mettant l'accent sur l'adoption de mesures préventives
    Monsieur le ministre de la santé rencontre le chef de l'Agence internationale de recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé En marge des sessions nationales de prévention et de lutte contre le cancer, tenues les 3 et 4 mai 2025 au centre international de conférence Abdul Latif Rahal dans la capitale sous le patronage suprême de Monsieur le Président, Monsieur le Ministre de la santé, Monsieur Abdul Haq, président de l'Agence internationale pour Recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, Dr Prtha Sarathi, s'est réuni en présence du président du comité national de prévention et de lutte contre le cancer, le professeur Ada Bongar. Au cours de cette réunion, le Ministre a souligné l'importance des programmes de prévention pour sauver des vies, notant que les problèmes de santé liés au cancer dans certains pays sont en grande partie dus à des changements de mode de vie, tels que l'alimentation et la pollution de l'environnement, ainsi qu'à des infrastructures Dans ce contexte, le ministre a ajouté qu'en Algérie, un double programme de travail a été approuvé pour la réorganisation du système de santé lié à la prise en charge des malades cancéreux, ainsi que pour la promotion de la culture de la prévention par des campagnes de sensibilisation et de sensibilisation De son côté, le représentant de l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer a présenté un résumé d'une étude réalisée par l'agence qui montre que d'ici 2040, nous verrons un changement radical des taux d'incidence du cancer et que le fardeau le plus lourd pour les pays sera les ressources Le porte-parole a fait remarquer qu'il ne pouvait pas seulement continuer à traiter le cancer, mais nous devons l'empêcher, indiquant que l'accent serait mis sur la recherche sur la prévention du cancer et sur la réhabilitation des patients atteints L'Algérie a été invitée à rejoindre l'agence de 29 Etats membres et à bénéficier de relations de coopération solides pour établir des partenariats de recherche, contribuer à améliorer les plans nationaux de lutte contre le cancer et échanger des expériences et des connaissances. Le Dr Parthi a également confirmé que l'organisation était prête à fournir tous les détails sur les étapes exécutives et les mécanismes de travail communs nécessaires, ainsi que le soutien technique disponible. En ce qui concerne les logiciels d'évaluation et de suivi, le Dr Parthi a affirmé que l'organisation était confrontée à certains défis dans les processus d'évaluation, mais qu'elle travaille à élaborer des méthodologies claires pour organiser les évaluations et préparer des indicateurs de performance précis pour s'assurer que les données produites Le conférencier a également donné un aperçu des programmes mis en œuvre, indiquant que des programmes de dépistage seront mis en œuvre dans plusieurs pays, notamment le dépistage du cancer du sein, le dépistage du cancer du col utérin, le dépistage du cancer du côlon et En ce qui concerne l'analyse de la voie de prise en charge et de traitement des patients atteints de cancer, il s'est assuré que trois points ont été identifiés : le délai entre l'apparition des symptômes et le diagnostic, le retard dans le diagnostic et le début du traitement, et le retard dans la réception du traitement approprié. Il a noté qu'en identifiant les facteurs qui influencent ces points, des recommandations pratiques pourraient être faites aux ministères de la santé des pays africains pour améliorer la qualité des soins dispensés. L'entrée du Dr Parthi a conclu que son organisation analyse la situation sanitaire dans chaque pays au moyen d'une étude approfondie visant à identifier les pays les plus touchés par le cancer, en analysant les facteurs de risque. Il a confirmé que les estimations indiquent que la plupart des cas de cancer sont associés à des facteurs ajustables tels que les modes de vie, ce qui exige que l'on se concentre sur les changements de comportement dès le début de l'école, en mettant l'accent sur l'adoption de mesures préventives
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  • Algérie-Italie : Une coopération économique solide malgré une légère baisse des échanges commerciaux

    En 2024, les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Italie ont atteint 12,5 milliards d’euros, enregistrant une légère baisse par rapport aux 15,5 milliards de 2023. Malgré ce recul, la coopération entre les deux pays reste dynamique et s’oriente de plus en plus vers des projets structurants à long terme.

    Parmi les initiatives phares, un méga-projet agricole d’une valeur de 420 millions d’euros a été lancé dans la wilaya de Timimoun. Porté par le groupe italien Bonifiche Ferraresi, en partenariat avec le Fonds National d’Investissement algérien, ce projet s’étend sur 36 000 hectares et vise à renforcer la sécurité alimentaire en Algérie. Il prévoit la production de céréales, la construction d’unités de transformation et la création de milliers d’emplois.

    Ce partenariat s’inscrit dans le cadre du "Plan Mattei", une initiative italienne lancée en 2024 pour renforcer les relations économiques avec l’Afrique dans des secteurs clés comme l’énergie, l’agriculture, l’eau et la santé. L’Algérie, partenaire stratégique, y joue un rôle central.

    À l’horizon 2025, Alger et Rome poursuivent leur engagement commun, comme en témoigne la table ronde organisée en mars à Alger, axée sur les investissements dans les énergies renouvelables, les infrastructures et les technologies.

    Malgré un léger repli commercial, l’axe Alger-Rome s’inscrit donc dans une logique de coopération durable et mutuellement bénéfique, au-delà des simples flux commerciaux.
    #info #news #actualités #actu
    🇩🇿 🇮🇹 Algérie-Italie : Une coopération économique solide malgré une légère baisse des échanges commerciaux En 2024, les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Italie ont atteint 12,5 milliards d’euros, enregistrant une légère baisse par rapport aux 15,5 milliards de 2023. Malgré ce recul, la coopération entre les deux pays reste dynamique et s’oriente de plus en plus vers des projets structurants à long terme. Parmi les initiatives phares, un méga-projet agricole d’une valeur de 420 millions d’euros a été lancé dans la wilaya de Timimoun. Porté par le groupe italien Bonifiche Ferraresi, en partenariat avec le Fonds National d’Investissement algérien, ce projet s’étend sur 36 000 hectares et vise à renforcer la sécurité alimentaire en Algérie. Il prévoit la production de céréales, la construction d’unités de transformation et la création de milliers d’emplois. Ce partenariat s’inscrit dans le cadre du "Plan Mattei", une initiative italienne lancée en 2024 pour renforcer les relations économiques avec l’Afrique dans des secteurs clés comme l’énergie, l’agriculture, l’eau et la santé. L’Algérie, partenaire stratégique, y joue un rôle central. À l’horizon 2025, Alger et Rome poursuivent leur engagement commun, comme en témoigne la table ronde organisée en mars à Alger, axée sur les investissements dans les énergies renouvelables, les infrastructures et les technologies. Malgré un léger repli commercial, l’axe Alger-Rome s’inscrit donc dans une logique de coopération durable et mutuellement bénéfique, au-delà des simples flux commerciaux. #info #news #actualités #actu
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  • Timimoun : l’Oasis Rouge du Sahara

    Timimoun, surnommée "l’Oasis Rouge", est située au cœur du désert du Gourara. Son architecture en terre ocre et ses palmeraies luxuriantes créent un contraste saisissant avec le paysage désertique environnant. L’oasis est célèbre pour ses foggaras (systèmes d’irrigation traditionnels) et ses ksour (villages fortifiés), offrant un cadre pittoresque et unique.

    Timimoun est également un centre culturel animé, célébrant chaque année le Nouvel An amazigh et le festival du S’Boue. Récemment, la ville a renforcé ses infrastructures touristiques, attirant de plus en plus de visiteurs. Ce site est une immersion parfaite dans la culture saharienne et le patrimoine algérien.

    🇩🇿 Timimoun : l’Oasis Rouge du Sahara Timimoun, surnommée "l’Oasis Rouge", est située au cœur du désert du Gourara. Son architecture en terre ocre et ses palmeraies luxuriantes créent un contraste saisissant avec le paysage désertique environnant. L’oasis est célèbre pour ses foggaras (systèmes d’irrigation traditionnels) et ses ksour (villages fortifiés), offrant un cadre pittoresque et unique. Timimoun est également un centre culturel animé, célébrant chaque année le Nouvel An amazigh et le festival du S’Boue. Récemment, la ville a renforcé ses infrastructures touristiques, attirant de plus en plus de visiteurs. Ce site est une immersion parfaite dans la culture saharienne et le patrimoine algérien.
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  • TÉBESSA : Aux confins de l’Algérie, un joyau millénaire entre histoire, culture et renouveau

    Par-delà les montagnes arides de l’Est algérien, à quelques kilomètres seulement de la frontière tunisienne, se dresse fièrement Tébessa, cité chargée d’histoire et riche d’un patrimoine exceptionnel. Ancienne Theveste romaine, Tébessa est bien plus qu’une simple commune : c’est une mémoire vivante, un trait d’union entre les civilisations passées et les aspirations contemporaines d’un territoire en quête de renaissance.

    ✅️ Un héritage historique hors du commun

    Tébessa fut, dès l’Antiquité, un centre stratégique de la Numidie puis de l’Empire romain. Ses monuments, remarquablement conservés, en témoignent avec éloquence. Le Temple de Minerve, datant du IIe siècle, trône encore majestueusement au cœur de la ville. Érigé en l’honneur de la déesse de la sagesse, ce temple de style corinthien est l’un des rares édifices antiques aussi bien préservés en Algérie.

    À quelques pas de là, l’Arc de Caracalla, construit en 212 pour commémorer la visite de l’empereur romain, témoigne du prestige de la cité dans l’Empire. Et que dire de la Basilique Sainte-Crispine ? Édifiée au début du IVe siècle, elle est l’un des plus anciens lieux de culte chrétien du Maghreb, abritant des cryptes et galeries funéraires uniques dans la région.

    Ces vestiges, loin d’être figés dans le passé, continuent d’inspirer l’identité des habitants et de susciter l’émerveillement des visiteurs.

    ✅️ Une culture enracinée et vivante

    Au-delà de ses ruines antiques, Tébessa est aussi le cœur battant d’une culture berbère authentique. Ses traditions se transmettent de génération en génération, que ce soit à travers l’artisanat, les contes populaires ou les festivals locaux. Chaque année, la commune organise des événements qui célèbrent cette richesse, alliant danses folkloriques, poésie chaouie, musiques traditionnelles et gastronomie locale.

    Le dialecte berbère y est toujours pratiqué, tout comme l’arabe, et reflète la diversité linguistique et culturelle de cette région frontalière, carrefour d’influences entre l’Est algérien et l’Ouest tunisien.

    ✅️ Une nature généreuse, une terre de ressources

    Entourée de montagnes et de plaines fertiles, Tébessa bénéficie d’un climat méditerranéen semi-aride, propice à l’agriculture. Les cultures de céréales, d’olives et de légumes y prospèrent depuis des siècles. Cette richesse agricole est un pilier de l’économie locale, tout comme l’exploitation minière, notamment la célèbre mine de fer d’Ouenza, la plus importante du pays.

    Tébessa joue également un rôle central dans les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Tunisie. Ce positionnement stratégique lui confère une dynamique particulière, entre tradition rurale et modernité urbaine.

    ✅️ Une ville tournée vers l’avenir

    Longtemps oubliée des circuits touristiques, Tébessa regagne aujourd’hui sa place sur la carte. Les autorités locales, historiens et habitants s’emploient à valoriser le patrimoine, à développer l’écotourisme et à moderniser les infrastructures. Le potentiel est immense : allier le charme intemporel de ses vestiges à une vision durable du développement.

    ✅️ Conclusion

    Tébessa n’est pas une ville ordinaire. Elle incarne l’âme de l’Algérie millénaire, à la croisée des cultures, des époques et des aspirations. Elle est à la fois un musée à ciel ouvert, un berceau de traditions et une terre d’avenir.

    Visiter Tébessa, c’est marcher sur les traces des empereurs romains, entendre les échos des poètes berbères, et ressentir l’esprit d’un peuple fier de son passé et confiant en son futur.
    #myqif #tébessa #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news

    🇩🇿 TÉBESSA : Aux confins de l’Algérie, un joyau millénaire entre histoire, culture et renouveau 🇩🇿 Par-delà les montagnes arides de l’Est algérien, à quelques kilomètres seulement de la frontière tunisienne, se dresse fièrement Tébessa, cité chargée d’histoire et riche d’un patrimoine exceptionnel. Ancienne Theveste romaine, Tébessa est bien plus qu’une simple commune : c’est une mémoire vivante, un trait d’union entre les civilisations passées et les aspirations contemporaines d’un territoire en quête de renaissance. ✅️ Un héritage historique hors du commun Tébessa fut, dès l’Antiquité, un centre stratégique de la Numidie puis de l’Empire romain. Ses monuments, remarquablement conservés, en témoignent avec éloquence. Le Temple de Minerve, datant du IIe siècle, trône encore majestueusement au cœur de la ville. Érigé en l’honneur de la déesse de la sagesse, ce temple de style corinthien est l’un des rares édifices antiques aussi bien préservés en Algérie. À quelques pas de là, l’Arc de Caracalla, construit en 212 pour commémorer la visite de l’empereur romain, témoigne du prestige de la cité dans l’Empire. Et que dire de la Basilique Sainte-Crispine ? Édifiée au début du IVe siècle, elle est l’un des plus anciens lieux de culte chrétien du Maghreb, abritant des cryptes et galeries funéraires uniques dans la région. Ces vestiges, loin d’être figés dans le passé, continuent d’inspirer l’identité des habitants et de susciter l’émerveillement des visiteurs. ✅️ Une culture enracinée et vivante Au-delà de ses ruines antiques, Tébessa est aussi le cœur battant d’une culture berbère authentique. Ses traditions se transmettent de génération en génération, que ce soit à travers l’artisanat, les contes populaires ou les festivals locaux. Chaque année, la commune organise des événements qui célèbrent cette richesse, alliant danses folkloriques, poésie chaouie, musiques traditionnelles et gastronomie locale. Le dialecte berbère y est toujours pratiqué, tout comme l’arabe, et reflète la diversité linguistique et culturelle de cette région frontalière, carrefour d’influences entre l’Est algérien et l’Ouest tunisien. ✅️ Une nature généreuse, une terre de ressources Entourée de montagnes et de plaines fertiles, Tébessa bénéficie d’un climat méditerranéen semi-aride, propice à l’agriculture. Les cultures de céréales, d’olives et de légumes y prospèrent depuis des siècles. Cette richesse agricole est un pilier de l’économie locale, tout comme l’exploitation minière, notamment la célèbre mine de fer d’Ouenza, la plus importante du pays. Tébessa joue également un rôle central dans les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Tunisie. Ce positionnement stratégique lui confère une dynamique particulière, entre tradition rurale et modernité urbaine. ✅️ Une ville tournée vers l’avenir Longtemps oubliée des circuits touristiques, Tébessa regagne aujourd’hui sa place sur la carte. Les autorités locales, historiens et habitants s’emploient à valoriser le patrimoine, à développer l’écotourisme et à moderniser les infrastructures. Le potentiel est immense : allier le charme intemporel de ses vestiges à une vision durable du développement. ✅️ Conclusion Tébessa n’est pas une ville ordinaire. Elle incarne l’âme de l’Algérie millénaire, à la croisée des cultures, des époques et des aspirations. Elle est à la fois un musée à ciel ouvert, un berceau de traditions et une terre d’avenir. Visiter Tébessa, c’est marcher sur les traces des empereurs romains, entendre les échos des poètes berbères, et ressentir l’esprit d’un peuple fier de son passé et confiant en son futur. #myqif #tébessa #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
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  • Tipaza, entre mer et mémoire : un trésor historique aux portes d’Alger

    À seulement quelques kilomètres à l’ouest de la capitale, la commune de Tipaza est l’un des joyaux les plus éclatants du littoral algérien. À la croisée de la mer Méditerranée et de l’histoire millénaire, cette ville côtière incarne un mariage parfait entre beauté naturelle, richesse archéologique et culture vivante. Tipaza, c’est bien plus qu’une destination balnéaire : c’est un livre d’histoire à ciel ouvert, où chaque site, chaque pierre, chaque cri de mouette raconte un héritage inestimable.

    Un passé antique inscrit dans la pierre

    Tipaza est avant tout célèbre pour ses vestiges romains, inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO. Fondée à l’origine par les Phéniciens, puis transformée en colonie romaine au Ier siècle, elle a longtemps été un port stratégique en Méditerranée. Le site archéologique de Tipaza, merveilleusement conservé, est un véritable musée à ciel ouvert : basilique, amphithéâtre, forum, thermes et nécropole côtoient les vestiges d’un port antique, le tout sur fond de mer azur.

    Non loin de là, la basilique de Sainte-Salsa, perchée sur une colline, offre un point de vue à couper le souffle et raconte l’histoire de la jeune martyre chrétienne devenue symbole de la ville. L’ensemble du site témoigne de la coexistence harmonieuse entre cultures berbère, punique, romaine, chrétienne et byzantine.

    Un littoral d’exception

    Au-delà de son passé glorieux, Tipaza séduit aussi par son littoral préservé. Entre plages dorées, criques sauvages et falaises escarpées, la commune offre une variété de paysages marins d’une rare beauté. Des plages comme Chenoua, Corales, ou encore la plage de Matarès attirent chaque été des milliers de vacanciers en quête de soleil, de détente et de paysages naturels encore authentiques.

    Le majestueux mont Chenoua, qui domine la ville, est un site à la fois mystique et spectaculaire. Il est propice aux randonnées, à la contemplation et à la découverte de la faune et de la flore locales.

    Une ville entre traditions et modernité

    Tipaza n’est pas figée dans le passé. Elle vit, évolue, se modernise tout en restant fidèle à son identité. Ses habitants perpétuent des traditions ancestrales à travers l’artisanat, la cuisine locale, la musique et les fêtes populaires. Le port de pêche de Tipaza, toujours actif, est un lieu emblématique où l’on peut déguster du poisson frais tout en admirant le coucher du soleil sur les ruines antiques.

    La gastronomie tipazienne, avec ses spécialités comme la chorba beida, le poisson grillé ou les figues de Chenoua, est une expérience sensorielle à part entière.

    Un avenir touristique prometteur

    Consciente de son potentiel, la commune de Tipaza mise sur un développement touristique durable et maîtrisé. La mise en valeur de ses sites archéologiques, l’amélioration des infrastructures d’accueil et la préservation de son littoral sont au cœur des projets de développement local. Tipaza aspire à devenir un pôle touristique majeur alliant culture, nature et bien-être.

    Tipaza, c’est un voyage dans le temps, une rencontre avec la mer, un souffle de mémoire et de beauté. Une commune qui incarne à elle seule l’esprit méditerranéen dans toute sa splendeur.
    #myqif #Tipaza #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
    🇩🇿 Tipaza, entre mer et mémoire : un trésor historique aux portes d’Alger 🇩🇿 À seulement quelques kilomètres à l’ouest de la capitale, la commune de Tipaza est l’un des joyaux les plus éclatants du littoral algérien. À la croisée de la mer Méditerranée et de l’histoire millénaire, cette ville côtière incarne un mariage parfait entre beauté naturelle, richesse archéologique et culture vivante. Tipaza, c’est bien plus qu’une destination balnéaire : c’est un livre d’histoire à ciel ouvert, où chaque site, chaque pierre, chaque cri de mouette raconte un héritage inestimable. Un passé antique inscrit dans la pierre Tipaza est avant tout célèbre pour ses vestiges romains, inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO. Fondée à l’origine par les Phéniciens, puis transformée en colonie romaine au Ier siècle, elle a longtemps été un port stratégique en Méditerranée. Le site archéologique de Tipaza, merveilleusement conservé, est un véritable musée à ciel ouvert : basilique, amphithéâtre, forum, thermes et nécropole côtoient les vestiges d’un port antique, le tout sur fond de mer azur. Non loin de là, la basilique de Sainte-Salsa, perchée sur une colline, offre un point de vue à couper le souffle et raconte l’histoire de la jeune martyre chrétienne devenue symbole de la ville. L’ensemble du site témoigne de la coexistence harmonieuse entre cultures berbère, punique, romaine, chrétienne et byzantine. Un littoral d’exception Au-delà de son passé glorieux, Tipaza séduit aussi par son littoral préservé. Entre plages dorées, criques sauvages et falaises escarpées, la commune offre une variété de paysages marins d’une rare beauté. Des plages comme Chenoua, Corales, ou encore la plage de Matarès attirent chaque été des milliers de vacanciers en quête de soleil, de détente et de paysages naturels encore authentiques. Le majestueux mont Chenoua, qui domine la ville, est un site à la fois mystique et spectaculaire. Il est propice aux randonnées, à la contemplation et à la découverte de la faune et de la flore locales. Une ville entre traditions et modernité Tipaza n’est pas figée dans le passé. Elle vit, évolue, se modernise tout en restant fidèle à son identité. Ses habitants perpétuent des traditions ancestrales à travers l’artisanat, la cuisine locale, la musique et les fêtes populaires. Le port de pêche de Tipaza, toujours actif, est un lieu emblématique où l’on peut déguster du poisson frais tout en admirant le coucher du soleil sur les ruines antiques. La gastronomie tipazienne, avec ses spécialités comme la chorba beida, le poisson grillé ou les figues de Chenoua, est une expérience sensorielle à part entière. Un avenir touristique prometteur Consciente de son potentiel, la commune de Tipaza mise sur un développement touristique durable et maîtrisé. La mise en valeur de ses sites archéologiques, l’amélioration des infrastructures d’accueil et la préservation de son littoral sont au cœur des projets de développement local. Tipaza aspire à devenir un pôle touristique majeur alliant culture, nature et bien-être. Tipaza, c’est un voyage dans le temps, une rencontre avec la mer, un souffle de mémoire et de beauté. Une commune qui incarne à elle seule l’esprit méditerranéen dans toute sa splendeur. #myqif #Tipaza #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
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  • Tlemcen, la cité andalouse : joyau du patrimoine algérien

    Nichée entre montagnes verdoyantes et plaines fertiles, à l’extrême ouest de l’Algérie, Tlemcen est une ville à part. Véritable creuset de civilisations, elle incarne l’élégance architecturale, la richesse culturelle et la profondeur spirituelle. Appelée à juste titre la perle du Maghreb, cette commune fascinante continue de séduire les visiteurs par son héritage exceptionnel et son atmosphère andalouse unique.

    Une histoire impériale

    Fondée dès l’époque antique sous le nom de Pomaria, Tlemcen a vu défiler de grandes civilisations : romaine, berbère, islamique, andalouse et ottomane. Mais c’est surtout sous les dynasties zianide et almoravide qu’elle connaît son âge d’or, devenant une capitale politique, culturelle et spirituelle influente dans tout le Maghreb.

    Centre d’art et de savoir, elle fut une ville où cohabitaient philosophes, astronomes, musiciens et juristes. Sa célèbre Université de Sidi Boumediene témoigne encore de son statut de haut lieu de la connaissance.

    Un patrimoine architectural éblouissant

    Tlemcen regorge de trésors architecturaux, vestiges de son passé prestigieux. La Mosquée Sidi Boumediene, chef-d’œuvre de l’art mérinide, domine les hauteurs de la ville et offre une vue imprenable sur la région. Le Mechouar, ancien palais royal, les ruines de Mansourah, la grande mosquée, ou encore les médersas, les fontaines et les bains maures racontent chacun un pan de l’histoire tlemcénienne.

    La vieille médina, avec ses ruelles étroites, ses souks parfumés et ses maisons ornées de zelliges, plonge les visiteurs dans une ambiance hors du temps, entre tradition et raffinement.

    Un foyer culturel et artistique

    Tlemcen est aussi un haut lieu de culture vivante. La musique andalouse, notamment le style gharnati, y trouve l’un de ses berceaux les plus raffinés. Le patrimoine immatériel de la ville, de ses contes populaires à ses chants soufis, est porté avec fierté par ses habitants.

    La broderie tlemcénienne, les habits traditionnels comme la chedda (classée au patrimoine de l’UNESCO), ou encore les arts culinaires témoignent de ce raffinement hérité d’un métissage culturel entre l’Orient, l’Andalousie et l’Afrique.

    Une nature généreuse et préservée

    Outre son héritage historique, Tlemcen est bénie par la nature. Le parc national de Tlemcen offre une diversité de paysages impressionnante : cascades, forêts, grottes et montagnes y coexistent, idéals pour l’écotourisme et les randonnées. Les célèbres grottes de Beni Add (ou grottes d’Aïn Fezza), impressionnantes par leurs formations géologiques, attirent chaque année des milliers de visiteurs.

    La commune bénéficie aussi d’un climat agréable et d’une agriculture prospère, connue notamment pour ses vignobles, ses figues, ses olives et ses produits artisanaux.

    Une vision tournée vers l’avenir

    Aujourd’hui, Tlemcen investit dans la valorisation de son patrimoine et la dynamisation de son offre touristique. Grâce à ses infrastructures modernes, ses musées (comme le Musée d’art et d’histoire), ses festivals internationaux et ses initiatives de préservation, la ville aspire à retrouver sa place de phare culturel en Méditerranée.

    Tlemcen, c’est une ville où chaque pierre raconte une légende, où chaque ruelle résonne d’un air andalou. Un lieu où le passé éclaire l’avenir, et où l’élégance de l’histoire rencontre la beauté du présent. Une commune à découvrir, à vivre, à célébrer.
    #myqif #Tlemcen #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
    🇩🇿 Tlemcen, la cité andalouse : joyau du patrimoine algérien 🕌 Nichée entre montagnes verdoyantes et plaines fertiles, à l’extrême ouest de l’Algérie, Tlemcen est une ville à part. Véritable creuset de civilisations, elle incarne l’élégance architecturale, la richesse culturelle et la profondeur spirituelle. Appelée à juste titre la perle du Maghreb, cette commune fascinante continue de séduire les visiteurs par son héritage exceptionnel et son atmosphère andalouse unique. Une histoire impériale Fondée dès l’époque antique sous le nom de Pomaria, Tlemcen a vu défiler de grandes civilisations : romaine, berbère, islamique, andalouse et ottomane. Mais c’est surtout sous les dynasties zianide et almoravide qu’elle connaît son âge d’or, devenant une capitale politique, culturelle et spirituelle influente dans tout le Maghreb. Centre d’art et de savoir, elle fut une ville où cohabitaient philosophes, astronomes, musiciens et juristes. Sa célèbre Université de Sidi Boumediene témoigne encore de son statut de haut lieu de la connaissance. Un patrimoine architectural éblouissant Tlemcen regorge de trésors architecturaux, vestiges de son passé prestigieux. La Mosquée Sidi Boumediene, chef-d’œuvre de l’art mérinide, domine les hauteurs de la ville et offre une vue imprenable sur la région. Le Mechouar, ancien palais royal, les ruines de Mansourah, la grande mosquée, ou encore les médersas, les fontaines et les bains maures racontent chacun un pan de l’histoire tlemcénienne. La vieille médina, avec ses ruelles étroites, ses souks parfumés et ses maisons ornées de zelliges, plonge les visiteurs dans une ambiance hors du temps, entre tradition et raffinement. Un foyer culturel et artistique Tlemcen est aussi un haut lieu de culture vivante. La musique andalouse, notamment le style gharnati, y trouve l’un de ses berceaux les plus raffinés. Le patrimoine immatériel de la ville, de ses contes populaires à ses chants soufis, est porté avec fierté par ses habitants. La broderie tlemcénienne, les habits traditionnels comme la chedda (classée au patrimoine de l’UNESCO), ou encore les arts culinaires témoignent de ce raffinement hérité d’un métissage culturel entre l’Orient, l’Andalousie et l’Afrique. Une nature généreuse et préservée Outre son héritage historique, Tlemcen est bénie par la nature. Le parc national de Tlemcen offre une diversité de paysages impressionnante : cascades, forêts, grottes et montagnes y coexistent, idéals pour l’écotourisme et les randonnées. Les célèbres grottes de Beni Add (ou grottes d’Aïn Fezza), impressionnantes par leurs formations géologiques, attirent chaque année des milliers de visiteurs. La commune bénéficie aussi d’un climat agréable et d’une agriculture prospère, connue notamment pour ses vignobles, ses figues, ses olives et ses produits artisanaux. Une vision tournée vers l’avenir Aujourd’hui, Tlemcen investit dans la valorisation de son patrimoine et la dynamisation de son offre touristique. Grâce à ses infrastructures modernes, ses musées (comme le Musée d’art et d’histoire), ses festivals internationaux et ses initiatives de préservation, la ville aspire à retrouver sa place de phare culturel en Méditerranée. Tlemcen, c’est une ville où chaque pierre raconte une légende, où chaque ruelle résonne d’un air andalou. Un lieu où le passé éclaire l’avenir, et où l’élégance de l’histoire rencontre la beauté du présent. Une commune à découvrir, à vivre, à célébrer. #myqif #Tlemcen #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
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  • Constantine : la ville des ponts suspendus entre mémoire et renouveau

    Constantine, perchée sur des falaises spectaculaires du nord-est algérien, fascine par sa beauté naturelle et son héritage historique. Surnommée la « ville des ponts suspendus », elle relie passé prestigieux et ambitions modernes, offrant une expérience unique entre culture, architecture et innovation.

    Un héritage millénaire au cœur des montagnes

    Fondée par les Carthaginois et refondée par l’empereur romain Constantin, dont elle porte le nom, Constantine est l'une des plus anciennes cités du bassin méditerranéen. Son patrimoine architectural est impressionnant : le Palais Ahmed Bey, joyau ottoman du XIXe siècle, ou encore la Grande Mosquée, édifiée sur les ruines d’un temple romain, témoignent de la richesse de son histoire.

    Le Musée national Cirta, véritable mémoire de la ville, expose des trésors allant de la préhistoire à l’époque coloniale. Autant de preuves que Constantine n’est pas seulement une ville, mais un livre d’histoire à ciel ouvert.

    Une capitale culturelle en perpétuelle effervescence

    Constantine ne se contente pas de préserver son passé : elle le célèbre. En 2015, elle fut désignée Capitale arabe de la culture, une consécration pour cette cité où rayonne encore le malouf, musique arabo-andalouse emblématique de la région. Son festival international du malouf attire chaque année des passionnés venus de tout le Maghreb.

    La ville universitaire qu’est Constantine forme également l’élite de demain : l’Université Mentouri et l’Université Émir Abdelkader sont des références nationales en matière d’enseignement supérieur.

    Un paysage urbain spectaculaire et moderne

    Traversée par le oued Rhumel, Constantine est littéralement sculptée par la nature. Ses ponts mythiques – comme Sidi M’Cid ou Sidi Rached – défient le vide et relient les quartiers de la ville avec audace. Ces chefs-d'œuvre d’ingénierie sont devenus des symboles de résilience et de modernité.

    Au-delà de ses panoramas vertigineux, Constantine se modernise : infrastructures routières rénovées, aéroport international Mohamed Boudiaf, équipements culturels… La ville avance à grands pas sans tourner le dos à ses racines.

    Constantine, ville d’art, d’histoire et de science, prouve qu’il est possible d’honorer le passé tout en construisant l’avenir. Suspendue entre ciel et terre, elle continue de tisser, pont après pont, le fil de son destin.

    #Algérie #Algeria #Algerie #Constantine
    🇩🇿🇩🇿 Constantine : la ville des ponts suspendus entre mémoire et renouveau 🇩🇿 Constantine, perchée sur des falaises spectaculaires du nord-est algérien, fascine par sa beauté naturelle et son héritage historique. Surnommée la « ville des ponts suspendus », elle relie passé prestigieux et ambitions modernes, offrant une expérience unique entre culture, architecture et innovation. Un héritage millénaire au cœur des montagnes Fondée par les Carthaginois et refondée par l’empereur romain Constantin, dont elle porte le nom, Constantine est l'une des plus anciennes cités du bassin méditerranéen. Son patrimoine architectural est impressionnant : le Palais Ahmed Bey, joyau ottoman du XIXe siècle, ou encore la Grande Mosquée, édifiée sur les ruines d’un temple romain, témoignent de la richesse de son histoire. Le Musée national Cirta, véritable mémoire de la ville, expose des trésors allant de la préhistoire à l’époque coloniale. Autant de preuves que Constantine n’est pas seulement une ville, mais un livre d’histoire à ciel ouvert. Une capitale culturelle en perpétuelle effervescence Constantine ne se contente pas de préserver son passé : elle le célèbre. En 2015, elle fut désignée Capitale arabe de la culture, une consécration pour cette cité où rayonne encore le malouf, musique arabo-andalouse emblématique de la région. Son festival international du malouf attire chaque année des passionnés venus de tout le Maghreb. La ville universitaire qu’est Constantine forme également l’élite de demain : l’Université Mentouri et l’Université Émir Abdelkader sont des références nationales en matière d’enseignement supérieur. Un paysage urbain spectaculaire et moderne Traversée par le oued Rhumel, Constantine est littéralement sculptée par la nature. Ses ponts mythiques – comme Sidi M’Cid ou Sidi Rached – défient le vide et relient les quartiers de la ville avec audace. Ces chefs-d'œuvre d’ingénierie sont devenus des symboles de résilience et de modernité. Au-delà de ses panoramas vertigineux, Constantine se modernise : infrastructures routières rénovées, aéroport international Mohamed Boudiaf, équipements culturels… La ville avance à grands pas sans tourner le dos à ses racines. Constantine, ville d’art, d’histoire et de science, prouve qu’il est possible d’honorer le passé tout en construisant l’avenir. Suspendue entre ciel et terre, elle continue de tisser, pont après pont, le fil de son destin. #Algérie #Algeria #Algerie #Constantine
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  • Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien

    Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable.

    Le cœur culturel de la Kabylie

    Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région.

    Une économie entre agriculture et innovation

    Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique.

    Un tourisme en devenir

    Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante.

    Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement

    Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation.

    Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines.
    #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
    🇩🇿🇩🇿 Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien 🇩🇿 Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable. Le cœur culturel de la Kabylie Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région. Une économie entre agriculture et innovation Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique. Un tourisme en devenir Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante. Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation. Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines. #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
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