• Les céramistes espagnols font leur grand retour en Algérie après deux ans de crise diplomatique

    Après plus de deux années de tensions entre Alger et Madrid, les industriels espagnols du secteur de la céramique retrouvent le marché algérien. Ce retour marque une étape importante dans la normalisation progressive des relations économiques entre les deux pays, et offre une bouffée d’oxygène à un secteur particulièrement touché par le gel des échanges.

    Une crise diplomatique à fort impact économique

    Tout a commencé en juin 2022, lorsque l’Algérie a décidé de suspendre ses relations commerciales avec l’Espagne, en réaction au soutien de Madrid au plan marocain d’autonomie pour le Sahara occidental. Cette décision a lourdement pénalisé les céramistes espagnols, en particulier ceux de la province de Castellón, qui avaient fait de l’Algérie l’un de leurs principaux débouchés. Les pertes se sont élevées à près de 70 millions d’euros, privant le secteur d’un marché stratégique.

    Une reprise dynamique des exportations

    Depuis la fin de l’année 2024, les signes de réchauffement se multiplient. En décembre, l’Algérie est redevenue le premier acheteur mondial de matières premières céramiques espagnoles, avec des importations dépassant les 11 millions d’euros sur un seul mois. Au total, les exportations espagnoles vers l’Algérie ont atteint 13,4 millions d’euros en novembre et décembre 2024, hissant le pays au 16e rang des clients internationaux.

    Une volonté de coopération renouvelée

    Ce retour progressif à la normale s’accompagne d’une volonté commune de reconstruire des relations économiques solides. Une délégation espagnole du secteur céramique prévoit de se rendre prochainement en Algérie pour renforcer les partenariats existants et en nouer de nouveaux. L’Algérie, pour sa part, semble disposée à accueillir de nouveau ces fournisseurs dans un cadre plus apaisé.

    Un marché porteur pour l’avenir

    Avant la crise, l’Algérie était le deuxième marché d’exportation de céramique espagnole. Les industriels ibériques espèrent désormais retrouver ces niveaux, portés par la demande croissante du secteur du bâtiment algérien et par une dynamique de reprise industrielle. Ce retour marque ainsi une étape stratégique dans la relance des échanges entre les deux rives de la Méditerranée.
    🇩🇿🇪🇸 Les céramistes espagnols font leur grand retour en Algérie après deux ans de crise diplomatique Après plus de deux années de tensions entre Alger et Madrid, les industriels espagnols du secteur de la céramique retrouvent le marché algérien. Ce retour marque une étape importante dans la normalisation progressive des relations économiques entre les deux pays, et offre une bouffée d’oxygène à un secteur particulièrement touché par le gel des échanges. ➡️ Une crise diplomatique à fort impact économique Tout a commencé en juin 2022, lorsque l’Algérie a décidé de suspendre ses relations commerciales avec l’Espagne, en réaction au soutien de Madrid au plan marocain d’autonomie pour le Sahara occidental. Cette décision a lourdement pénalisé les céramistes espagnols, en particulier ceux de la province de Castellón, qui avaient fait de l’Algérie l’un de leurs principaux débouchés. Les pertes se sont élevées à près de 70 millions d’euros, privant le secteur d’un marché stratégique. ➡️ Une reprise dynamique des exportations Depuis la fin de l’année 2024, les signes de réchauffement se multiplient. En décembre, l’Algérie est redevenue le premier acheteur mondial de matières premières céramiques espagnoles, avec des importations dépassant les 11 millions d’euros sur un seul mois. Au total, les exportations espagnoles vers l’Algérie ont atteint 13,4 millions d’euros en novembre et décembre 2024, hissant le pays au 16e rang des clients internationaux. ➡️ Une volonté de coopération renouvelée Ce retour progressif à la normale s’accompagne d’une volonté commune de reconstruire des relations économiques solides. Une délégation espagnole du secteur céramique prévoit de se rendre prochainement en Algérie pour renforcer les partenariats existants et en nouer de nouveaux. L’Algérie, pour sa part, semble disposée à accueillir de nouveau ces fournisseurs dans un cadre plus apaisé. ➡️ Un marché porteur pour l’avenir Avant la crise, l’Algérie était le deuxième marché d’exportation de céramique espagnole. Les industriels ibériques espèrent désormais retrouver ces niveaux, portés par la demande croissante du secteur du bâtiment algérien et par une dynamique de reprise industrielle. Ce retour marque ainsi une étape stratégique dans la relance des échanges entre les deux rives de la Méditerranée.
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  • Trafic de drogue : l’Algérie démantèle un réseau opérant à partir du Maroc.
    🇩🇿 Trafic de drogue : l’Algérie démantèle un réseau opérant à partir du Maroc. 💪
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  • Crise diplomatique France-Algérie : la rupture en ligne de mire

    Les relations entre la France et l’Algérie connaissent une nouvelle phase de tension critique, marquée par une escalade sans précédent d’actes diplomatiques. À la suite d’un enchaînement de provocations mutuelles, les deux pays semblent se diriger vers une rupture durable de leurs liens diplomatiques.

    Une spirale d’expulsions

    Le 12 mai 2025, l’Algérie a expulsé 15 diplomates français, les accusant d’occuper des postes jugés irréguliers. Cette décision est venue en réponse à l’expulsion, en avril, de 12 diplomates algériens par la France. Paris reprochait alors à l’un de ces fonctionnaires son implication présumée dans l’enlèvement d’un opposant algérien sur le sol français, un acte qualifié de grave atteinte à la souveraineté nationale.

    Réaction française et climat délétère

    Face à ces mesures, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a dénoncé une expulsion "injustifiée" et promis une réponse "ferme et proportionnée". Il s’agit d’un nouvel épisode dans un climat déjà tendu depuis plusieurs mois, notamment à cause du soutien de la France au plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, une position que l’Algérie considère comme une trahison diplomatique.

    Vers une rupture inévitable ?

    Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a appelé à un éventuel retour au dialogue, tout en exigeant que la France fasse le premier pas. Toutefois, les échanges verbaux restent vifs et les actes diplomatiques de plus en plus lourds de conséquences. Les experts craignent une rupture formelle des relations si aucun compromis n’est trouvé.

    Des conséquences profondes

    Une telle détérioration affecterait non seulement la coopération bilatérale en matière de sécurité et d’immigration, mais aussi les liens humains, économiques et historiques profonds entre les deux pays. Dans ce contexte explosif, la fenêtre pour la désescalade semble de plus en plus étroite.


    🇩🇿 Crise diplomatique France-Algérie : la rupture en ligne de mire Les relations entre la France et l’Algérie connaissent une nouvelle phase de tension critique, marquée par une escalade sans précédent d’actes diplomatiques. À la suite d’un enchaînement de provocations mutuelles, les deux pays semblent se diriger vers une rupture durable de leurs liens diplomatiques. ➡️ Une spirale d’expulsions Le 12 mai 2025, l’Algérie a expulsé 15 diplomates français, les accusant d’occuper des postes jugés irréguliers. Cette décision est venue en réponse à l’expulsion, en avril, de 12 diplomates algériens par la France. Paris reprochait alors à l’un de ces fonctionnaires son implication présumée dans l’enlèvement d’un opposant algérien sur le sol français, un acte qualifié de grave atteinte à la souveraineté nationale. ➡️ Réaction française et climat délétère Face à ces mesures, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a dénoncé une expulsion "injustifiée" et promis une réponse "ferme et proportionnée". Il s’agit d’un nouvel épisode dans un climat déjà tendu depuis plusieurs mois, notamment à cause du soutien de la France au plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, une position que l’Algérie considère comme une trahison diplomatique. ➡️ Vers une rupture inévitable ? Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a appelé à un éventuel retour au dialogue, tout en exigeant que la France fasse le premier pas. Toutefois, les échanges verbaux restent vifs et les actes diplomatiques de plus en plus lourds de conséquences. Les experts craignent une rupture formelle des relations si aucun compromis n’est trouvé. ➡️ Des conséquences profondes Une telle détérioration affecterait non seulement la coopération bilatérale en matière de sécurité et d’immigration, mais aussi les liens humains, économiques et historiques profonds entre les deux pays. Dans ce contexte explosif, la fenêtre pour la désescalade semble de plus en plus étroite.
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  • L’Algérie, discrète mais présente dans la conquête spatiale.

    Avec 6 satellites en orbite, dont 4 d’observation, 1 de télécommunications et 1 à vocation scientifique, l’Algérie fait partie des 15 pays africains qui ont mis les pieds dans l’espace.

    Voici comment se classe le continent :
    Égypte : 13
    Afrique du Sud : 13
    Nigéria : 7
    Algérie : 6
    Maroc : 3

    Un domaine peu médiatisé, mais qui compte dans les enjeux stratégiques d’aujourd’hui.
    🇩🇿 L’Algérie, discrète mais présente dans la conquête spatiale. Avec 6 satellites en orbite, dont 4 d’observation, 1 de télécommunications et 1 à vocation scientifique, l’Algérie fait partie des 15 pays africains qui ont mis les pieds dans l’espace. Voici comment se classe le continent : 🇪🇬 Égypte : 13 🇿🇦 Afrique du Sud : 13 🇳🇬 Nigéria : 7 🇩🇿 Algérie : 6 🇲🇦 Maroc : 3 Un domaine peu médiatisé, mais qui compte dans les enjeux stratégiques d’aujourd’hui.
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  • L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages

    Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques.

    Des attaques informationnelles bien structurées

    Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes.

    « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense.

    Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations

    Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations.

    Des cas ciblés et médiatisés

    Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger.

    Une riposte à plusieurs niveaux

    Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse.

    Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe.

    L’éducation, un rempart durable

    Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information.

    Conclusion

    L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
    🚨 L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques. ➡️ Des attaques informationnelles bien structurées Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes. « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense. ➡️ Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations. ➡️ Des cas ciblés et médiatisés Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger. ➡️ Une riposte à plusieurs niveaux Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse. Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe. ➡️ L’éducation, un rempart durable Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information. ➡️ Conclusion L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
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  • OM : De Zerbi et Benatia, des frictions confirmées ⚪️

    Jeudi, le responsable du secteur sportif de l’Olympique de Marseille, Medhi Benatia, est intervenu publiquement pour minimiser les bruits de couloir concernant ses rapports avec l'entraîneur Roberto De Zerbi (voir ici). Pourtant, d’après les révélations du journal L’Équipe ce dimanche, les deux protagonistes ont bel et bien connu plusieurs tensions récemment.

    Le dirigeant marocain et le technicien italien auraient notamment eu des points de désaccord concernant l’utilisation du duo Mason Greenwood - Luis Henrique, ainsi que sur la planification des jours de repos pour les joueurs. Par ailleurs, l’ancien coach de Brighton nourrirait quelques doutes au sujet de certains membres proches de Benatia, et aurait mal digéré le déroulement du dernier marché des transferts hivernal. Pour apaiser les relations et retrouver une dynamique positive, le club phocéen mise sur une qualification en Ligue des Champions.

    #leptitpont #actufoot #infosfoot #football #newsfoot #myqif #OM #OlympiquedeMarseille #mercato #RobertoDeZerbi #MedhiBenatia
    🚨 OM : De Zerbi et Benatia, des frictions confirmées 🔵⚪️ Jeudi, le responsable du secteur sportif de l’Olympique de Marseille, Medhi Benatia, est intervenu publiquement pour minimiser les bruits de couloir concernant ses rapports avec l'entraîneur Roberto De Zerbi (voir ici). Pourtant, d’après les révélations du journal L’Équipe ce dimanche, les deux protagonistes ont bel et bien connu plusieurs tensions récemment. Le dirigeant marocain et le technicien italien auraient notamment eu des points de désaccord concernant l’utilisation du duo Mason Greenwood - Luis Henrique, ainsi que sur la planification des jours de repos pour les joueurs. Par ailleurs, l’ancien coach de Brighton nourrirait quelques doutes au sujet de certains membres proches de Benatia, et aurait mal digéré le déroulement du dernier marché des transferts hivernal. Pour apaiser les relations et retrouver une dynamique positive, le club phocéen mise sur une qualification en Ligue des Champions. #leptitpont #actufoot #infosfoot #football #newsfoot #myqif #OM #OlympiquedeMarseille #mercato #RobertoDeZerbi #MedhiBenatia
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  • Le Maroc n’a toujours pas récupéré Ceuta et Melilla, et ça devient franchement frustrant. Malgré les revendications, ces enclaves restent sous contrôle espagnol, et la situation n'évolue pas. C’est un vrai casse-tête diplomatique qui dure depuis des années. Pourquoi ça bloque toujours autant ? #Ceuta #Melilla #Maroc #Espagne
    Le Maroc n’a toujours pas récupéré Ceuta et Melilla, et ça devient franchement frustrant. Malgré les revendications, ces enclaves restent sous contrôle espagnol, et la situation n'évolue pas. C’est un vrai casse-tête diplomatique qui dure depuis des années. Pourquoi ça bloque toujours autant ? 🤔 #Ceuta #Melilla #Maroc #Espagne
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  • C'est dingue une femme au Maroc mais en vente son rein sur Tik tok pour sortir de la précarité.
    C'est dingue une femme au Maroc mais en vente son rein sur Tik tok pour sortir de la précarité. 😥
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  • Leicester : El Khannouss arrive pour 22,5 M€ ⚽️

    Considéré comme un des plus grands espoirs du football marocain, Bilal El Khannouss (20 ans) va quitter Genk pour Leicester sur cette fin de mercato d'été. Selon la presse anglaise, les deux équipes ont trouvé un accord pour le transfert du milieu offensif contre un chèque de 22,5 millions d'euros. Une belle pioche pour les Foxes pour tenter un nouveau coup en Premier League.
    #BilalElKhannouss #Leicester #mercato #Foxes #news #PremierLeague #Football #actufoot #newsfoot
    🎯 Leicester : El Khannouss arrive pour 22,5 M€ ⚽️🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 Considéré comme un des plus grands espoirs du football marocain, Bilal El Khannouss (20 ans) va quitter Genk pour Leicester sur cette fin de mercato d'été. Selon la presse anglaise, les deux équipes ont trouvé un accord pour le transfert du milieu offensif contre un chèque de 22,5 millions d'euros. Une belle pioche pour les Foxes pour tenter un nouveau coup en Premier League. #BilalElKhannouss #Leicester #mercato #Foxes #news #PremierLeague #Football #actufoot #newsfoot
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  • Naples : Cheddira prêté à l'Espanyol (officiel) ⚽️

    Déjà prêté à Frosinone la saison passée, l'attaquant de Naples Walid Cheddira (26 ans) est de nouveau cédé temporairement pour l'exercice 2024-2025. L'Espanyol Barcelone a annoncé ce mardi l'arrivée du Marocain, qui reste lié aux Partenopei jusqu'en juin 2028.
    #WalidCheddira #mercato #Naples #news #EspanyolBarcelone #Football #actufoot #newsfoot
    🎯Naples : Cheddira prêté à l'Espanyol (officiel) 🇮🇹🇪🇸⚽️ Déjà prêté à Frosinone la saison passée, l'attaquant de Naples Walid Cheddira (26 ans) est de nouveau cédé temporairement pour l'exercice 2024-2025. L'Espanyol Barcelone a annoncé ce mardi l'arrivée du Marocain, qui reste lié aux Partenopei jusqu'en juin 2028. #WalidCheddira #mercato #Naples #news #EspanyolBarcelone #Football #actufoot #newsfoot
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