• Le vrai problème n’est pas le peuple, mais le biais des dirigeants : ils voient le monde à travers leurs privilèges, prennent des décisions déconnectées du réel, puis s’étonnent de la colère qu’ils ont eux-mêmes créée.

    #Politique #Pouvoir #Société #Dirigeants #Injustice
    💬 Le vrai problème n’est pas le peuple, mais le biais des dirigeants : ils voient le monde à travers leurs privilèges, prennent des décisions déconnectées du réel, puis s’étonnent de la colère qu’ils ont eux-mêmes créée. #Politique #Pouvoir #Société #Dirigeants #Injustice
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  • Mistral AI vise une valorisation à 10 milliards de dollars. La société Mistral, spécialisée en intelligence artificielle générative, souhaite lever 1 milliard de dollars pour atteindre une valorisation de 10 milliards. Elle ambitionne d'étendre son chatbot "Le Chat" et de renforcer ses modèles LLM, tout en développant un centre de données avec des partenaires tels que Nvidia et Bpifrance
    🚀 Mistral AI vise une valorisation à 10 milliards de dollars. La société Mistral, spécialisée en intelligence artificielle générative, souhaite lever 1 milliard de dollars pour atteindre une valorisation de 10 milliards. Elle ambitionne d'étendre son chatbot "Le Chat" et de renforcer ses modèles LLM, tout en développant un centre de données avec des partenaires tels que Nvidia et Bpifrance
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  • L’Algérie signe un accord stratégique de fourniture de gaz avec la Slovénie

    L’Algérie consolide sa position sur le marché énergétique européen grâce à un nouvel accord signé le 13 mai 2025 entre Sonatrach, le groupe pétrolier national, et la société slovène Geoplin. Ce contrat de fourniture de gaz naturel, conclu pour trois ans à partir de janvier 2023, marque le retour de l’Algérie sur le marché slovène, après une décennie d’interruption.

    Un partenariat énergétique renouvelé

    Ce nouvel accord s’inscrit dans la continuité d’un premier engagement datant de novembre 2022, visant à livrer du gaz naturel à la Slovénie via le gazoduc transméditerranéen reliant l’Algérie à l’Italie. L’objectif est clair : renforcer la coopération bilatérale et satisfaire les besoins croissants de l’Europe en énergie.

    Un rôle clé dans la stratégie énergétique européenne

    Depuis la crise énergétique provoquée par la guerre en Ukraine, l’Europe cherche à diversifier ses sources d’approvisionnement. L’Algérie apparaît comme un partenaire fiable, capable d’assurer des livraisons régulières et sécurisées. Ce contrat illustre la volonté de l’Algérie de consolider son rôle d’acteur majeur sur la scène énergétique du continent.

    Une coopération élargie au-delà du gaz

    Outre le secteur gazier, cet accord ouvre la voie à une collaboration plus large entre Alger et Ljubljana. Des discussions sont en cours pour mettre en place un programme de coopération bilatérale incluant les énergies renouvelables, les infrastructures et les industries extractives.

    Un impact concret sur le marché

    Selon les estimations, Sonatrach livrera environ 300 millions de mètres cubes de gaz naturel par an à Geoplin. Une contribution significative qui permettra à la Slovénie de diversifier ses sources d’énergie et de sécuriser ses approvisionnements à moyen terme.

    ✅️ Ce partenariat énergétique marque une étape importante dans les relations algéro-slovènes et confirme la stratégie algérienne de diversification de ses débouchés gaziers en Europe.
    🇩🇿🇸🇮 L’Algérie signe un accord stratégique de fourniture de gaz avec la Slovénie L’Algérie consolide sa position sur le marché énergétique européen grâce à un nouvel accord signé le 13 mai 2025 entre Sonatrach, le groupe pétrolier national, et la société slovène Geoplin. Ce contrat de fourniture de gaz naturel, conclu pour trois ans à partir de janvier 2023, marque le retour de l’Algérie sur le marché slovène, après une décennie d’interruption. ➡️ Un partenariat énergétique renouvelé Ce nouvel accord s’inscrit dans la continuité d’un premier engagement datant de novembre 2022, visant à livrer du gaz naturel à la Slovénie via le gazoduc transméditerranéen reliant l’Algérie à l’Italie. L’objectif est clair : renforcer la coopération bilatérale et satisfaire les besoins croissants de l’Europe en énergie. ➡️ Un rôle clé dans la stratégie énergétique européenne Depuis la crise énergétique provoquée par la guerre en Ukraine, l’Europe cherche à diversifier ses sources d’approvisionnement. L’Algérie apparaît comme un partenaire fiable, capable d’assurer des livraisons régulières et sécurisées. Ce contrat illustre la volonté de l’Algérie de consolider son rôle d’acteur majeur sur la scène énergétique du continent. ➡️ Une coopération élargie au-delà du gaz Outre le secteur gazier, cet accord ouvre la voie à une collaboration plus large entre Alger et Ljubljana. Des discussions sont en cours pour mettre en place un programme de coopération bilatérale incluant les énergies renouvelables, les infrastructures et les industries extractives. ➡️ Un impact concret sur le marché Selon les estimations, Sonatrach livrera environ 300 millions de mètres cubes de gaz naturel par an à Geoplin. Une contribution significative qui permettra à la Slovénie de diversifier ses sources d’énergie et de sécuriser ses approvisionnements à moyen terme. ✅️ Ce partenariat énergétique marque une étape importante dans les relations algéro-slovènes et confirme la stratégie algérienne de diversification de ses débouchés gaziers en Europe.
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  • 🏟 Vers une « Premier League à la française » : le football français en pleine révolution

    Le football professionnel français s’apprête à vivre une transformation historique. Inspirée du modèle de la Premier League anglaise, une réforme profonde pourrait bientôt donner naissance à une nouvelle structure de gouvernance, sans la Ligue de Football Professionnel (LFP). Ce projet, porté par la Fédération Française de Football (FFF), ambitionne de redonner aux clubs la main sur leur avenir.

    Un nouveau modèle de gestion

    La réforme prévoit la création d’une société commerciale détenue par les 18 clubs de Ligue 1, qui en seraient actionnaires. Ces derniers disposeraient d’un droit de veto sur les décisions majeures, tout en restant sous la supervision de la FFF. Cette « Premier League à la française » vise à renforcer la compétitivité, la transparence et la stabilité financière du football hexagonal.

    Une réponse à une crise économique persistante

    Cette révolution intervient dans un contexte économique difficile. Depuis l’échec du contrat de droits TV avec Mediapro en 2020, le football français peine à retrouver sa pleine valeur médiatique. Les accords actuels avec DAZN et beIN Sports, nettement moins lucratifs, ne suffisent pas à répondre aux attentes des clubs. En réaction, plusieurs présidents ont demandé un audit interne de la LFP pour mieux comprendre la gestion des ressources.

    Une réforme législative nécessaire

    Pour concrétiser cette transformation, une loi devra être adoptée. Le Sénat examinera le projet le 10 juin 2025. Si le texte est voté, cette nouvelle entité pourrait voir le jour dès la saison 2026-2027, redéfinissant les équilibres du football professionnel français.

    Une nouvelle ère en perspective

    Avec ce projet ambitieux, la FFF et les clubs espèrent tourner la page d’un modèle jugé obsolète. Reste à savoir si cette refondation suffira à relancer l’attractivité d’un championnat souvent critiqué pour son manque de spectacle et de rentabilité. Le football français est à un tournant décisif de son histoire.


    🏟 Vers une « Premier League à la française » : le football français en pleine révolution Le football professionnel français s’apprête à vivre une transformation historique. Inspirée du modèle de la Premier League anglaise, une réforme profonde pourrait bientôt donner naissance à une nouvelle structure de gouvernance, sans la Ligue de Football Professionnel (LFP). Ce projet, porté par la Fédération Française de Football (FFF), ambitionne de redonner aux clubs la main sur leur avenir. ➡️ Un nouveau modèle de gestion La réforme prévoit la création d’une société commerciale détenue par les 18 clubs de Ligue 1, qui en seraient actionnaires. Ces derniers disposeraient d’un droit de veto sur les décisions majeures, tout en restant sous la supervision de la FFF. Cette « Premier League à la française » vise à renforcer la compétitivité, la transparence et la stabilité financière du football hexagonal. ➡️ Une réponse à une crise économique persistante Cette révolution intervient dans un contexte économique difficile. Depuis l’échec du contrat de droits TV avec Mediapro en 2020, le football français peine à retrouver sa pleine valeur médiatique. Les accords actuels avec DAZN et beIN Sports, nettement moins lucratifs, ne suffisent pas à répondre aux attentes des clubs. En réaction, plusieurs présidents ont demandé un audit interne de la LFP pour mieux comprendre la gestion des ressources. ➡️ Une réforme législative nécessaire Pour concrétiser cette transformation, une loi devra être adoptée. Le Sénat examinera le projet le 10 juin 2025. Si le texte est voté, cette nouvelle entité pourrait voir le jour dès la saison 2026-2027, redéfinissant les équilibres du football professionnel français. ➡️ Une nouvelle ère en perspective Avec ce projet ambitieux, la FFF et les clubs espèrent tourner la page d’un modèle jugé obsolète. Reste à savoir si cette refondation suffira à relancer l’attractivité d’un championnat souvent critiqué pour son manque de spectacle et de rentabilité. Le football français est à un tournant décisif de son histoire.
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  • L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages

    Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques.

    Des attaques informationnelles bien structurées

    Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes.

    « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense.

    Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations

    Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations.

    Des cas ciblés et médiatisés

    Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger.

    Une riposte à plusieurs niveaux

    Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse.

    Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe.

    L’éducation, un rempart durable

    Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information.

    Conclusion

    L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
    🚨 L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques. ➡️ Des attaques informationnelles bien structurées Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes. « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense. ➡️ Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations. ➡️ Des cas ciblés et médiatisés Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger. ➡️ Une riposte à plusieurs niveaux Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse. Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe. ➡️ L’éducation, un rempart durable Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information. ➡️ Conclusion L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
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  • Algérie – Oman : Un fonds d’investissement commun de 300 millions de dollars pour dynamiser des secteurs stratégiques

    L’Algérie et le Sultanat d’Oman ont récemment officialisé la création d’un fonds d’investissement conjoint d’une valeur de 300 millions de dollars. Ce partenariat stratégique vise à renforcer les liens économiques entre les deux pays et à soutenir des projets dans des secteurs jugés prioritaires pour leur développement durable.

    ✅️ Le fonds cible plusieurs domaines clés :

    1️⃣ L’agriculture saharienne et la sécurité alimentaire, avec un intérêt particulier pour les projets dans les zones désertiques afin d'assurer une production locale et durable.
    2️⃣ L’industrie pharmaceutique, en soutenant la production de médicaments, le transfert de technologie et la réduction de la dépendance aux importations.
    3️⃣ L’agroalimentaire, pour améliorer la transformation des produits agricoles locaux et développer les chaînes de valeur.
    4️⃣ Les énergies renouvelables et la pétrochimie, secteurs évoqués pour de futurs investissements.
    5️⃣ Les technologies et le tourisme, comme axes d’innovation et de diversification économique.

    Parmi les projets concrets en préparation figurent une usine de montage automobile Hyundai en Algérie et la consolidation d'une société algéro-omanaise de production d’engrais.

    Ce fonds représente un levier important pour la coopération économique bilatérale et pourrait servir de modèle pour d’autres partenariats régionaux.
    🇩🇿 🇴🇲 Algérie – Oman : Un fonds d’investissement commun de 300 millions de dollars pour dynamiser des secteurs stratégiques L’Algérie et le Sultanat d’Oman ont récemment officialisé la création d’un fonds d’investissement conjoint d’une valeur de 300 millions de dollars. Ce partenariat stratégique vise à renforcer les liens économiques entre les deux pays et à soutenir des projets dans des secteurs jugés prioritaires pour leur développement durable. ✅️ Le fonds cible plusieurs domaines clés : 1️⃣ L’agriculture saharienne et la sécurité alimentaire, avec un intérêt particulier pour les projets dans les zones désertiques afin d'assurer une production locale et durable. 2️⃣ L’industrie pharmaceutique, en soutenant la production de médicaments, le transfert de technologie et la réduction de la dépendance aux importations. 3️⃣ L’agroalimentaire, pour améliorer la transformation des produits agricoles locaux et développer les chaînes de valeur. 4️⃣ Les énergies renouvelables et la pétrochimie, secteurs évoqués pour de futurs investissements. 5️⃣ Les technologies et le tourisme, comme axes d’innovation et de diversification économique. Parmi les projets concrets en préparation figurent une usine de montage automobile Hyundai en Algérie et la consolidation d'une société algéro-omanaise de production d’engrais. Ce fonds représente un levier important pour la coopération économique bilatérale et pourrait servir de modèle pour d’autres partenariats régionaux.
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  • Le groupe algérien Sonatrach et la société omanaise Abraj veulent créer une société mixte spécialisée dans les services pétroliers.
    🚨 Le groupe algérien Sonatrach et la société omanaise Abraj veulent créer une société mixte spécialisée dans les services pétroliers.
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  • Algérie–Chine : un accord industriel stratégique signé le 27 avril 2025

    Le 27 avril 2025, l’Algérie et la Chine ont franchi un nouveau cap dans leur coopération économique avec la signature d’un partenariat industriel majeur. L’accord, conclu entre la société nationale ANABIB – filiale du holding industriel algérien SNS – et le groupe chinois Dofin Dour, vise à développer des capacités avancées dans le domaine de la galvanisation à chaud.

    Ce projet s’inscrit dans le cadre du second Plan quinquennal de coopération stratégique globale 2022-2026, un programme ambitieux de collaboration bilatérale entre Alger et Pékin. Il vient également prolonger la dynamique lancée lors de la visite d’État du président algérien en Chine en 2023, qui avait abouti à la signature de 19 accords couvrant plusieurs secteurs clés.

    Outre le renforcement des capacités de production métallurgique, ce partenariat prévoit un transfert de technologie et la formation de la main-d’œuvre locale, contribuant à moderniser l’industrie algérienne et à soutenir une croissance économique durable.


    🇩🇿 Algérie–Chine : un accord industriel stratégique signé le 27 avril 2025 Le 27 avril 2025, l’Algérie et la Chine ont franchi un nouveau cap dans leur coopération économique avec la signature d’un partenariat industriel majeur. L’accord, conclu entre la société nationale ANABIB – filiale du holding industriel algérien SNS – et le groupe chinois Dofin Dour, vise à développer des capacités avancées dans le domaine de la galvanisation à chaud. Ce projet s’inscrit dans le cadre du second Plan quinquennal de coopération stratégique globale 2022-2026, un programme ambitieux de collaboration bilatérale entre Alger et Pékin. Il vient également prolonger la dynamique lancée lors de la visite d’État du président algérien en Chine en 2023, qui avait abouti à la signature de 19 accords couvrant plusieurs secteurs clés. Outre le renforcement des capacités de production métallurgique, ce partenariat prévoit un transfert de technologie et la formation de la main-d’œuvre locale, contribuant à moderniser l’industrie algérienne et à soutenir une croissance économique durable.
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  • Le Tassili n’Ajjer : un trésor saharien inscrit à l’UNESCO

    Situé au sud-est de l’Algérie, le Tassili n’Ajjer est l’un des joyaux naturels et culturels les plus remarquables du Sahara. Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1982, ce plateau rocheux s’étend sur plus de 70 000 km² et se distingue par ses paysages spectaculaires : forêts de pierres, arches naturelles, canyons profonds et formations volcaniques façonnées par l’érosion.

    Mais la beauté du Tassili ne se limite pas à son relief. Il abrite aussi l’un des plus importants ensembles d’art rupestre préhistorique au monde. Plus de 15 000 peintures et gravures racontent la vie des sociétés anciennes, entre 10 000 et 1 000 av. J.-C., à une époque où le Sahara était fertile et peuplé de faune sauvage.

    Accessible principalement depuis Djanet, le Tassili est également un sanctuaire écologique, hébergeant des espèces endémiques rares comme le cyprès du Tassili, vestige d’une ère plus humide. Entre histoire, géologie et mystère, ce site reste un symbole de la richesse naturelle et culturelle de l’Algérie.


    🇩🇿 Le Tassili n’Ajjer : un trésor saharien inscrit à l’UNESCO Situé au sud-est de l’Algérie, le Tassili n’Ajjer est l’un des joyaux naturels et culturels les plus remarquables du Sahara. Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1982, ce plateau rocheux s’étend sur plus de 70 000 km² et se distingue par ses paysages spectaculaires : forêts de pierres, arches naturelles, canyons profonds et formations volcaniques façonnées par l’érosion. Mais la beauté du Tassili ne se limite pas à son relief. Il abrite aussi l’un des plus importants ensembles d’art rupestre préhistorique au monde. Plus de 15 000 peintures et gravures racontent la vie des sociétés anciennes, entre 10 000 et 1 000 av. J.-C., à une époque où le Sahara était fertile et peuplé de faune sauvage. Accessible principalement depuis Djanet, le Tassili est également un sanctuaire écologique, hébergeant des espèces endémiques rares comme le cyprès du Tassili, vestige d’une ère plus humide. Entre histoire, géologie et mystère, ce site reste un symbole de la richesse naturelle et culturelle de l’Algérie.
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  • Le milieu culturel s’alarme des effets de l’IA sur la création

    La création culturelle est-elle menacée par le développement de l’intelligence artificielle ? La question a fait débat samedi à Paris, en amont du Sommet sur l’IA prévu lundi et mardi, avec un front uni d’artistes et de sociétés de droits d’auteurs offensifs
    #infos #actu #news
    Le milieu culturel s’alarme des effets de l’IA sur la création La création culturelle est-elle menacée par le développement de l’intelligence artificielle ? La question a fait débat samedi à Paris, en amont du Sommet sur l’IA prévu lundi et mardi, avec un front uni d’artistes et de sociétés de droits d’auteurs offensifs #infos #actu #news
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