• 🕊 Deux ans après le drame : Rayane Lemmouchi, jeune dentiste assassiné aux Lilas, reste dans les mémoires

    Le 20 mai 2023, Rayane Lemmouchi, jeune chirurgien-dentiste de 25 ans, voyait brutalement son avenir brisé. Originaire de Toulouse, il s'était installé en région parisienne pour poursuivre sa carrière prometteuse. Ce soir-là, alors qu’il rendait visite à ses cousins aux Lilas, en Seine-Saint-Denis, il a été sauvagement poignardé. Deux ans plus tard, l’émotion reste vive, et la quête de justice continue.

    Une victime innocente d'une violence absurde

    Selon les témoignages, Rayane et ses proches ont été pris à partie dans la rue par une dizaine d’individus, sans provocation. L’agression aurait été motivée par des tensions interquartiers entre jeunes des Lilas, du Pré-Saint-Gervais et de Bagnolet. La phrase « Ça vient d'où ? », lancée par les agresseurs, traduit une logique de territoire mortifère. Touché à l’artère fémorale, Rayane n’a pas survécu à ses blessures. Son cousin, également agressé, s’en est sorti.

    Une onde de choc dans toute une communauté

    La nouvelle a bouleversé sa famille, ses collègues, ses amis, mais aussi de nombreux anonymes. Rayane incarnait la réussite, le travail, la générosité. Deux semaines après sa mort, une marche blanche a rassemblé près de 200 personnes aux Lilas. Le silence du cortège contrastait avec la violence du drame. Des pancartes exigeaient : « Justice pour Rayane ».

    Une enquête qui progresse lentement

    En décembre 2023, la police a interpellé huit personnes – des mineurs et majeurs – en lien avec ce meurtre. Tous étaient issus des quartiers concernés par les rivalités. Si ces arrestations constituent un pas vers la justice, l’instruction se poursuit et la famille de Rayane reste vigilante.

    Une mémoire toujours vive

    Une pétition intitulée « Justice pour Dr Rayane Lemmouchi », lancée début 2025, a recueilli près de 3 000 signatures. Au-delà de la procédure judiciaire, la famille cherche à alerter sur les violences de rue et à faire de la mémoire de Rayane un symbole contre l’insécurité urbaine.

    Un avenir qui ne doit pas être oublié

    Rayane Lemmouchi aurait pu être aujourd’hui un jeune professionnel épanoui, un soutien pour ses proches, un modèle pour sa génération. Son assassinat rappelle cruellement les ravages des conflits territoriaux entre jeunes. Deux ans après, sa mémoire mobilise encore, et son nom est désormais lié à un combat : celui pour la justice et la fin des violences gratuites.

    🕊 Deux ans après le drame : Rayane Lemmouchi, jeune dentiste assassiné aux Lilas, reste dans les mémoires Le 20 mai 2023, Rayane Lemmouchi, jeune chirurgien-dentiste de 25 ans, voyait brutalement son avenir brisé. Originaire de Toulouse, il s'était installé en région parisienne pour poursuivre sa carrière prometteuse. Ce soir-là, alors qu’il rendait visite à ses cousins aux Lilas, en Seine-Saint-Denis, il a été sauvagement poignardé. Deux ans plus tard, l’émotion reste vive, et la quête de justice continue. ➡️ Une victime innocente d'une violence absurde Selon les témoignages, Rayane et ses proches ont été pris à partie dans la rue par une dizaine d’individus, sans provocation. L’agression aurait été motivée par des tensions interquartiers entre jeunes des Lilas, du Pré-Saint-Gervais et de Bagnolet. La phrase « Ça vient d'où ? », lancée par les agresseurs, traduit une logique de territoire mortifère. Touché à l’artère fémorale, Rayane n’a pas survécu à ses blessures. Son cousin, également agressé, s’en est sorti. ➡️ Une onde de choc dans toute une communauté La nouvelle a bouleversé sa famille, ses collègues, ses amis, mais aussi de nombreux anonymes. Rayane incarnait la réussite, le travail, la générosité. Deux semaines après sa mort, une marche blanche a rassemblé près de 200 personnes aux Lilas. Le silence du cortège contrastait avec la violence du drame. Des pancartes exigeaient : « Justice pour Rayane ». ➡️ Une enquête qui progresse lentement En décembre 2023, la police a interpellé huit personnes – des mineurs et majeurs – en lien avec ce meurtre. Tous étaient issus des quartiers concernés par les rivalités. Si ces arrestations constituent un pas vers la justice, l’instruction se poursuit et la famille de Rayane reste vigilante. ➡️ Une mémoire toujours vive Une pétition intitulée « Justice pour Dr Rayane Lemmouchi », lancée début 2025, a recueilli près de 3 000 signatures. Au-delà de la procédure judiciaire, la famille cherche à alerter sur les violences de rue et à faire de la mémoire de Rayane un symbole contre l’insécurité urbaine. ➡️ Un avenir qui ne doit pas être oublié Rayane Lemmouchi aurait pu être aujourd’hui un jeune professionnel épanoui, un soutien pour ses proches, un modèle pour sa génération. Son assassinat rappelle cruellement les ravages des conflits territoriaux entre jeunes. Deux ans après, sa mémoire mobilise encore, et son nom est désormais lié à un combat : celui pour la justice et la fin des violences gratuites.
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  • Violents affrontements à Tripoli : l’Algérie appelle à la prudence

    De violents affrontements armés ont éclaté lundi soir dans plusieurs quartiers de la capitale libyenne, Tripoli. Les combats opposent des groupes armés rivaux, provoquant une grave détérioration de la sécurité dans la ville. Au moins un chef de milice aurait été tué, et l’aéroport de Tripoli a suspendu temporairement tous ses vols.

    Les autorités locales ont demandé à la population de rester confinée chez elle et d’éviter les zones à risque. Plusieurs infrastructures ont été paralysées, et des explosions ont été entendues jusque dans le centre de la ville.

    Face à cette flambée de violence, l’Algérie a exprimé sa profonde inquiétude. Par le biais de son ministère des Affaires étrangères, Alger a appelé les factions libyennes à faire preuve de retenue et à privilégier le dialogue afin d’éviter une escalade dramatique. Bien qu’aucune consigne officielle spécifique n’ait été diffusée pour les ressortissants algériens en Libye, la situation actuelle exige une vigilance extrême.

    Le ministère recommande aux citoyens algériens présents à Tripoli de limiter leurs déplacements, rester informés par les canaux officiels et suivre les instructions des autorités locales ou de l’ambassade d’Algérie sur place.

    Cette résurgence de violence rappelle la fragilité persistante de la paix en Libye, où des tensions entre milices continuent de menacer la stabilité du pays et de la région.

    🇱🇾 Violents affrontements à Tripoli : l’Algérie appelle à la prudence De violents affrontements armés ont éclaté lundi soir dans plusieurs quartiers de la capitale libyenne, Tripoli. Les combats opposent des groupes armés rivaux, provoquant une grave détérioration de la sécurité dans la ville. Au moins un chef de milice aurait été tué, et l’aéroport de Tripoli a suspendu temporairement tous ses vols. Les autorités locales ont demandé à la population de rester confinée chez elle et d’éviter les zones à risque. Plusieurs infrastructures ont été paralysées, et des explosions ont été entendues jusque dans le centre de la ville. Face à cette flambée de violence, l’Algérie a exprimé sa profonde inquiétude. Par le biais de son ministère des Affaires étrangères, Alger a appelé les factions libyennes à faire preuve de retenue et à privilégier le dialogue afin d’éviter une escalade dramatique. Bien qu’aucune consigne officielle spécifique n’ait été diffusée pour les ressortissants algériens en Libye, la situation actuelle exige une vigilance extrême. Le ministère recommande aux citoyens algériens présents à Tripoli de limiter leurs déplacements, rester informés par les canaux officiels et suivre les instructions des autorités locales ou de l’ambassade d’Algérie sur place. Cette résurgence de violence rappelle la fragilité persistante de la paix en Libye, où des tensions entre milices continuent de menacer la stabilité du pays et de la région.
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  • Crise diplomatique France-Algérie : la rupture en ligne de mire

    Les relations entre la France et l’Algérie connaissent une nouvelle phase de tension critique, marquée par une escalade sans précédent d’actes diplomatiques. À la suite d’un enchaînement de provocations mutuelles, les deux pays semblent se diriger vers une rupture durable de leurs liens diplomatiques.

    Une spirale d’expulsions

    Le 12 mai 2025, l’Algérie a expulsé 15 diplomates français, les accusant d’occuper des postes jugés irréguliers. Cette décision est venue en réponse à l’expulsion, en avril, de 12 diplomates algériens par la France. Paris reprochait alors à l’un de ces fonctionnaires son implication présumée dans l’enlèvement d’un opposant algérien sur le sol français, un acte qualifié de grave atteinte à la souveraineté nationale.

    Réaction française et climat délétère

    Face à ces mesures, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a dénoncé une expulsion "injustifiée" et promis une réponse "ferme et proportionnée". Il s’agit d’un nouvel épisode dans un climat déjà tendu depuis plusieurs mois, notamment à cause du soutien de la France au plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, une position que l’Algérie considère comme une trahison diplomatique.

    Vers une rupture inévitable ?

    Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a appelé à un éventuel retour au dialogue, tout en exigeant que la France fasse le premier pas. Toutefois, les échanges verbaux restent vifs et les actes diplomatiques de plus en plus lourds de conséquences. Les experts craignent une rupture formelle des relations si aucun compromis n’est trouvé.

    Des conséquences profondes

    Une telle détérioration affecterait non seulement la coopération bilatérale en matière de sécurité et d’immigration, mais aussi les liens humains, économiques et historiques profonds entre les deux pays. Dans ce contexte explosif, la fenêtre pour la désescalade semble de plus en plus étroite.


    🇩🇿 Crise diplomatique France-Algérie : la rupture en ligne de mire Les relations entre la France et l’Algérie connaissent une nouvelle phase de tension critique, marquée par une escalade sans précédent d’actes diplomatiques. À la suite d’un enchaînement de provocations mutuelles, les deux pays semblent se diriger vers une rupture durable de leurs liens diplomatiques. ➡️ Une spirale d’expulsions Le 12 mai 2025, l’Algérie a expulsé 15 diplomates français, les accusant d’occuper des postes jugés irréguliers. Cette décision est venue en réponse à l’expulsion, en avril, de 12 diplomates algériens par la France. Paris reprochait alors à l’un de ces fonctionnaires son implication présumée dans l’enlèvement d’un opposant algérien sur le sol français, un acte qualifié de grave atteinte à la souveraineté nationale. ➡️ Réaction française et climat délétère Face à ces mesures, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a dénoncé une expulsion "injustifiée" et promis une réponse "ferme et proportionnée". Il s’agit d’un nouvel épisode dans un climat déjà tendu depuis plusieurs mois, notamment à cause du soutien de la France au plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, une position que l’Algérie considère comme une trahison diplomatique. ➡️ Vers une rupture inévitable ? Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a appelé à un éventuel retour au dialogue, tout en exigeant que la France fasse le premier pas. Toutefois, les échanges verbaux restent vifs et les actes diplomatiques de plus en plus lourds de conséquences. Les experts craignent une rupture formelle des relations si aucun compromis n’est trouvé. ➡️ Des conséquences profondes Une telle détérioration affecterait non seulement la coopération bilatérale en matière de sécurité et d’immigration, mais aussi les liens humains, économiques et historiques profonds entre les deux pays. Dans ce contexte explosif, la fenêtre pour la désescalade semble de plus en plus étroite.
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  • Algérie : Le lait subventionné réservé exclusivement aux ménages

    Un arrêté interministériel publié le 6 avril 2025 en Algérie interdit l’utilisation du lait subventionné à des fins commerciales. Destiné exclusivement aux ménages, ce lait pasteurisé, vendu à 25 dinars le litre, ne peut plus être utilisé par les cafés, restaurants ou pâtisseries. Cette mesure vise à garantir un accès équitable à ce produit de première nécessité.

    L’État prend en charge la différence entre le prix d’achat du lait frais (65 DA) et celui de vente (21 DA aux grossistes), assurant des marges contrôlées pour les revendeurs. Des brigades de contrôle sont mobilisées pour faire respecter cette réglementation, sous peine de sanctions.

    Ce dispositif s’inscrit dans la volonté du gouvernement de renforcer la sécurité alimentaire et de lutter contre les détournements de produits subventionnés.

    🇩🇿 Algérie : Le lait subventionné réservé exclusivement aux ménages Un arrêté interministériel publié le 6 avril 2025 en Algérie interdit l’utilisation du lait subventionné à des fins commerciales. Destiné exclusivement aux ménages, ce lait pasteurisé, vendu à 25 dinars le litre, ne peut plus être utilisé par les cafés, restaurants ou pâtisseries. Cette mesure vise à garantir un accès équitable à ce produit de première nécessité. L’État prend en charge la différence entre le prix d’achat du lait frais (65 DA) et celui de vente (21 DA aux grossistes), assurant des marges contrôlées pour les revendeurs. Des brigades de contrôle sont mobilisées pour faire respecter cette réglementation, sous peine de sanctions. Ce dispositif s’inscrit dans la volonté du gouvernement de renforcer la sécurité alimentaire et de lutter contre les détournements de produits subventionnés.
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  • L’Algérie Transforme le Sahara en Grenier Agricole : Une Révolution Verte en Marche

    Dans les profondeurs arides du Sahara algérien, une transformation sans précédent est en cours. Jadis terres hostiles balayées par les vents de sable, les wilayas du sud deviennent peu à peu les nouvelles terres nourricières de l’Algérie. À El Oued, Adrar ou encore Ouargla, la campagne de moisson-battage 2025 témoigne de cette révolution agricole, portée par une volonté politique forte et des moyens logistiques impressionnants.

    Une moisson record dans le désert

    La saison agricole actuelle s’annonce exceptionnelle. À El Oued, pas moins de 370 000 quintaux de céréales sont attendus cette année. Le blé dur domine les récoltes, avec près de 272 000 quintaux estimés, cultivés sur 6 800 hectares. L’orge, lui, couvre environ 3 000 hectares. Ce bond en avant est le fruit d’une stratégie agricole offensive, qui vise à mobiliser chaque parcelle exploitable du territoire saharien.

    Des moyens logistiques à la hauteur de l’ambition

    Pour soutenir cette campagne, l’État algérien a déployé une infrastructure impressionnante : 55 moissonneuses-batteuses, 13 ramasseuses-presses, et quatre centres d’engrangement d’une capacité totale de 267 000 quintaux ont été installés dans la seule wilaya d’El Oued. Des convois de plus de 120 camions sillonnent les routes désertiques pour acheminer les récoltes vers les centres de stockage.

    Le Sahara, pilier d’un avenir agricole autosuffisant

    Au-delà des chiffres, c’est un changement de paradigme que connaît l’Algérie. Longtemps dépendante des importations pour son alimentation, le pays mise désormais sur le sud pour garantir sa sécurité alimentaire. Le projet de ferme géante à Adrar, développé en partenariat avec le groupe qatari Baladna, incarne cette ambition. À terme, il vise à produire du lait, des céréales, de la viande et des fourrages sur des milliers d'hectares.

    Une réussite conditionnée par une gestion durable

    Cependant, cette révolution verte ne va pas sans défis. Le Sahara est une région fragile. Les ressources en eau, principalement issues de nappes fossiles, sont limitées. Des études montrent que ces nappes sont exploitées à un rythme bien supérieur à leur capacité de renouvellement. De plus, les aléas climatiques — sécheresse persistante, tempêtes de sable — peuvent compromettre les efforts engagés.

    Vers un nouveau modèle agricole

    Malgré ces contraintes, l’élan est donné. La mutation du Sahara algérien en pôle agricole n’est plus une utopie mais une réalité en marche. Il s’agit désormais d’ancrer cette dynamique dans une logique de durabilité, en intégrant des technologies de pointe, des pratiques agricoles responsables, et une gouvernance rigoureuse des ressources.

    L’Algérie, pays du soleil, pourrait bien devenir, à terme, l’un des leaders de la production céréalière en Afrique du Nord — et le Sahara, son grenier inattendu.

    🚨 L’Algérie Transforme le Sahara en Grenier Agricole : Une Révolution Verte en Marche Dans les profondeurs arides du Sahara algérien, une transformation sans précédent est en cours. Jadis terres hostiles balayées par les vents de sable, les wilayas du sud deviennent peu à peu les nouvelles terres nourricières de l’Algérie. À El Oued, Adrar ou encore Ouargla, la campagne de moisson-battage 2025 témoigne de cette révolution agricole, portée par une volonté politique forte et des moyens logistiques impressionnants. ➡️ Une moisson record dans le désert La saison agricole actuelle s’annonce exceptionnelle. À El Oued, pas moins de 370 000 quintaux de céréales sont attendus cette année. Le blé dur domine les récoltes, avec près de 272 000 quintaux estimés, cultivés sur 6 800 hectares. L’orge, lui, couvre environ 3 000 hectares. Ce bond en avant est le fruit d’une stratégie agricole offensive, qui vise à mobiliser chaque parcelle exploitable du territoire saharien. ➡️ Des moyens logistiques à la hauteur de l’ambition Pour soutenir cette campagne, l’État algérien a déployé une infrastructure impressionnante : 55 moissonneuses-batteuses, 13 ramasseuses-presses, et quatre centres d’engrangement d’une capacité totale de 267 000 quintaux ont été installés dans la seule wilaya d’El Oued. Des convois de plus de 120 camions sillonnent les routes désertiques pour acheminer les récoltes vers les centres de stockage. ➡️ Le Sahara, pilier d’un avenir agricole autosuffisant Au-delà des chiffres, c’est un changement de paradigme que connaît l’Algérie. Longtemps dépendante des importations pour son alimentation, le pays mise désormais sur le sud pour garantir sa sécurité alimentaire. Le projet de ferme géante à Adrar, développé en partenariat avec le groupe qatari Baladna, incarne cette ambition. À terme, il vise à produire du lait, des céréales, de la viande et des fourrages sur des milliers d'hectares. ➡️ Une réussite conditionnée par une gestion durable Cependant, cette révolution verte ne va pas sans défis. Le Sahara est une région fragile. Les ressources en eau, principalement issues de nappes fossiles, sont limitées. Des études montrent que ces nappes sont exploitées à un rythme bien supérieur à leur capacité de renouvellement. De plus, les aléas climatiques — sécheresse persistante, tempêtes de sable — peuvent compromettre les efforts engagés. ➡️ Vers un nouveau modèle agricole Malgré ces contraintes, l’élan est donné. La mutation du Sahara algérien en pôle agricole n’est plus une utopie mais une réalité en marche. Il s’agit désormais d’ancrer cette dynamique dans une logique de durabilité, en intégrant des technologies de pointe, des pratiques agricoles responsables, et une gouvernance rigoureuse des ressources. L’Algérie, pays du soleil, pourrait bien devenir, à terme, l’un des leaders de la production céréalière en Afrique du Nord — et le Sahara, son grenier inattendu.
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  • Coup de filet en série : l’Algérie frappe fort contre les réseaux de fraude et de blanchiment d’argent

    L’Algérie renforce sa lutte contre la criminalité économique avec plusieurs opérations de grande envergure ayant conduit au démantèlement de réseaux spécialisés dans le blanchiment d’argent, les importations frauduleuses, le trafic de véhicules et même d’or. Ces actions s’inscrivent dans une stratégie nationale visant à assainir l’économie et à répondre aux exigences internationales en matière de transparence financière.

    Des milliards saisis et un réseau démantelé

    À Blida, les forces de sécurité ont mis la main sur plus de 41 milliards de centimes et 90 000 euros, dissimulés dans des véhicules appartenant à un réseau de blanchiment d’argent. L’opération, menée sur la base d’un mandat d’arrêt contre un individu identifié par les initiales K. J., a révélé une organisation criminelle impliquée dans la contrebande de marchandises, dont certaines dangereuses pour la santé publique.

    Fraude documentaire et trafic de véhicules

    Une autre enquête a abouti à l’arrestation de 13 personnes impliquées dans un réseau de trafic international de véhicules. Les suspects sont accusés de falsification de documents officiels, d’usurpation de sceaux de l’État et de blanchiment d’argent. Plusieurs véhicules, équipements de contrefaçon et sommes en espèces ont été saisis.

    Un vaste trafic d’or démantelé

    À Alger, un réseau impliquant 50 personnes a été démantelé pour trafic d’or et blanchiment de plus de 1 100 milliards de centimes. Parmi les inculpés figurent des bijoutiers, des commerçants et trois entreprises spécialisées. L’or importé légalement était détourné vers le marché noir, avec l’appui d’un système bien rodé exploitant les régulations de change.

    L’Algérie dans la ligne de mire du GAFI

    Ces coups de filet interviennent alors que l’Algérie a été placée en 2024 sur la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI) en raison de lacunes dans la lutte contre le blanchiment d’argent. En réponse, les autorités ont adopté une stratégie nationale 2024-2026 visant à améliorer le cadre juridique et institutionnel.

    Une lutte désormais prioritaire

    Face à l’ampleur du phénomène, l’État algérien affiche une volonté ferme de mettre fin aux circuits illicites qui minent l’économie nationale. Les opérations récentes ne seraient que la première phase d’un vaste plan de traque des réseaux criminels opérant sous couvert d’activités commerciales légales.

    🚨 Coup de filet en série : l’Algérie frappe fort contre les réseaux de fraude et de blanchiment d’argent L’Algérie renforce sa lutte contre la criminalité économique avec plusieurs opérations de grande envergure ayant conduit au démantèlement de réseaux spécialisés dans le blanchiment d’argent, les importations frauduleuses, le trafic de véhicules et même d’or. Ces actions s’inscrivent dans une stratégie nationale visant à assainir l’économie et à répondre aux exigences internationales en matière de transparence financière. ➡️ Des milliards saisis et un réseau démantelé À Blida, les forces de sécurité ont mis la main sur plus de 41 milliards de centimes et 90 000 euros, dissimulés dans des véhicules appartenant à un réseau de blanchiment d’argent. L’opération, menée sur la base d’un mandat d’arrêt contre un individu identifié par les initiales K. J., a révélé une organisation criminelle impliquée dans la contrebande de marchandises, dont certaines dangereuses pour la santé publique. ➡️ Fraude documentaire et trafic de véhicules Une autre enquête a abouti à l’arrestation de 13 personnes impliquées dans un réseau de trafic international de véhicules. Les suspects sont accusés de falsification de documents officiels, d’usurpation de sceaux de l’État et de blanchiment d’argent. Plusieurs véhicules, équipements de contrefaçon et sommes en espèces ont été saisis. ➡️ Un vaste trafic d’or démantelé À Alger, un réseau impliquant 50 personnes a été démantelé pour trafic d’or et blanchiment de plus de 1 100 milliards de centimes. Parmi les inculpés figurent des bijoutiers, des commerçants et trois entreprises spécialisées. L’or importé légalement était détourné vers le marché noir, avec l’appui d’un système bien rodé exploitant les régulations de change. ➡️ L’Algérie dans la ligne de mire du GAFI Ces coups de filet interviennent alors que l’Algérie a été placée en 2024 sur la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI) en raison de lacunes dans la lutte contre le blanchiment d’argent. En réponse, les autorités ont adopté une stratégie nationale 2024-2026 visant à améliorer le cadre juridique et institutionnel. ➡️ Une lutte désormais prioritaire Face à l’ampleur du phénomène, l’État algérien affiche une volonté ferme de mettre fin aux circuits illicites qui minent l’économie nationale. Les opérations récentes ne seraient que la première phase d’un vaste plan de traque des réseaux criminels opérant sous couvert d’activités commerciales légales.
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  • Algérie – Oman : Un fonds d’investissement commun de 300 millions de dollars pour dynamiser des secteurs stratégiques

    L’Algérie et le Sultanat d’Oman ont récemment officialisé la création d’un fonds d’investissement conjoint d’une valeur de 300 millions de dollars. Ce partenariat stratégique vise à renforcer les liens économiques entre les deux pays et à soutenir des projets dans des secteurs jugés prioritaires pour leur développement durable.

    ✅️ Le fonds cible plusieurs domaines clés :

    1️⃣ L’agriculture saharienne et la sécurité alimentaire, avec un intérêt particulier pour les projets dans les zones désertiques afin d'assurer une production locale et durable.
    2️⃣ L’industrie pharmaceutique, en soutenant la production de médicaments, le transfert de technologie et la réduction de la dépendance aux importations.
    3️⃣ L’agroalimentaire, pour améliorer la transformation des produits agricoles locaux et développer les chaînes de valeur.
    4️⃣ Les énergies renouvelables et la pétrochimie, secteurs évoqués pour de futurs investissements.
    5️⃣ Les technologies et le tourisme, comme axes d’innovation et de diversification économique.

    Parmi les projets concrets en préparation figurent une usine de montage automobile Hyundai en Algérie et la consolidation d'une société algéro-omanaise de production d’engrais.

    Ce fonds représente un levier important pour la coopération économique bilatérale et pourrait servir de modèle pour d’autres partenariats régionaux.
    🇩🇿 🇴🇲 Algérie – Oman : Un fonds d’investissement commun de 300 millions de dollars pour dynamiser des secteurs stratégiques L’Algérie et le Sultanat d’Oman ont récemment officialisé la création d’un fonds d’investissement conjoint d’une valeur de 300 millions de dollars. Ce partenariat stratégique vise à renforcer les liens économiques entre les deux pays et à soutenir des projets dans des secteurs jugés prioritaires pour leur développement durable. ✅️ Le fonds cible plusieurs domaines clés : 1️⃣ L’agriculture saharienne et la sécurité alimentaire, avec un intérêt particulier pour les projets dans les zones désertiques afin d'assurer une production locale et durable. 2️⃣ L’industrie pharmaceutique, en soutenant la production de médicaments, le transfert de technologie et la réduction de la dépendance aux importations. 3️⃣ L’agroalimentaire, pour améliorer la transformation des produits agricoles locaux et développer les chaînes de valeur. 4️⃣ Les énergies renouvelables et la pétrochimie, secteurs évoqués pour de futurs investissements. 5️⃣ Les technologies et le tourisme, comme axes d’innovation et de diversification économique. Parmi les projets concrets en préparation figurent une usine de montage automobile Hyundai en Algérie et la consolidation d'une société algéro-omanaise de production d’engrais. Ce fonds représente un levier important pour la coopération économique bilatérale et pourrait servir de modèle pour d’autres partenariats régionaux.
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  • À El Oued, une dangereuse bande spécialisée dans les cambriolages a été démantelée par les forces de sécurité. L’enquête a permis de saisir des armes blanches, des objets volés et de confondre les membres du réseau. Nouvelle victoire contre le crime organisé.
    À El Oued, une dangereuse bande spécialisée dans les cambriolages a été démantelée par les forces de sécurité. L’enquête a permis de saisir des armes blanches, des objets volés et de confondre les membres du réseau. Nouvelle victoire contre le crime organisé.
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  • La Gendarmerie avertit ! Rouler avec ce problème technique sur votre voiture vous coûtera une amende et l’immobilisation immédiate du véhicule.

    Saviez-vous qu’une simple négligence dans l’entretien des équipements de visibilité de votre véhicule peut entraîner une amende de 3 000 dinars et immobilisation immédiate de la voiture ?

    Cette infraction, parfois sous-estimée, concerne des éléments essentiels à la sécurité routière, comme les essuie-glaces, les rétroviseurs, ou encore la transparence des vitres.
    🚨 La Gendarmerie avertit ! Rouler avec ce problème technique sur votre voiture vous coûtera une amende et l’immobilisation immédiate du véhicule. Saviez-vous qu’une simple négligence dans l’entretien des équipements de visibilité de votre véhicule peut entraîner une amende de 3 000 dinars et immobilisation immédiate de la voiture ? Cette infraction, parfois sous-estimée, concerne des éléments essentiels à la sécurité routière, comme les essuie-glaces, les rétroviseurs, ou encore la transparence des vitres.
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  • ALERTE INFO. Guerre au Proche-Orient : le cabinet de sécurité israélien approuve un plan incluant la "conquête de la bande de Gaza"
    ⚡ ALERTE INFO. Guerre au Proche-Orient : le cabinet de sécurité israélien approuve un plan incluant la "conquête de la bande de Gaza"
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