• Air Algérie : des précisions sur la réception des nouveaux appareils et la création d’une filiale intérieure

    Air Algérie s’apprête à lancer une nouvelle entité aérienne dédiée exclusivement aux dessertes domestiques. Le ministre des Transports, Saïd Sayoud, a abordé ce projet jeudi lors d’une séance à l’Assemblée populaire nationale. Selon le journal Horizons, il a souligné que cette compagnie vise à répondre aux problèmes persistants rencontrés par les passagers des zones sahariennes et de plusieurs wilayas septentrionales.

    Par ailleurs, Saïd Sayoud a apporté des éclaircissements concernant la réception des 16 avions neufs acquis auprès des avionneurs Airbus (Europe) et Boeing (États-Unis). Il a annoncé que le premier appareil devrait être livré entre les mois d’août et septembre 2025. Le reste des livraisons s’effectuera à raison d’un avion par mois.

    Dans l’intervalle, pour satisfaire une demande croissante, Air Algérie a procédé à la location de huit avions de grande capacité. Le ministre a également indiqué que d’autres aéronefs pourraient être affrétés dans les semaines à venir.

    Enfin, Saïd Sayoud a évoqué l’éventualité de l’ouverture d’une nouvelle liaison aérienne reliant Alger à Mascate, la capitale omanaise, avec une escale à Doha.
    🚨 Air Algérie : des précisions sur la réception des nouveaux appareils et la création d’une filiale intérieure Air Algérie s’apprête à lancer une nouvelle entité aérienne dédiée exclusivement aux dessertes domestiques. Le ministre des Transports, Saïd Sayoud, a abordé ce projet jeudi lors d’une séance à l’Assemblée populaire nationale. Selon le journal Horizons, il a souligné que cette compagnie vise à répondre aux problèmes persistants rencontrés par les passagers des zones sahariennes et de plusieurs wilayas septentrionales. Par ailleurs, Saïd Sayoud a apporté des éclaircissements concernant la réception des 16 avions neufs acquis auprès des avionneurs Airbus (Europe) et Boeing (États-Unis). Il a annoncé que le premier appareil devrait être livré entre les mois d’août et septembre 2025. Le reste des livraisons s’effectuera à raison d’un avion par mois. Dans l’intervalle, pour satisfaire une demande croissante, Air Algérie a procédé à la location de huit avions de grande capacité. Le ministre a également indiqué que d’autres aéronefs pourraient être affrétés dans les semaines à venir. Enfin, Saïd Sayoud a évoqué l’éventualité de l’ouverture d’une nouvelle liaison aérienne reliant Alger à Mascate, la capitale omanaise, avec une escale à Doha.
    Like
    Love
    23
    1 Commentaires ·93 Vue

  • Le pétrole algérien atteint des sommets : la Corée du Sud en tête des clients en avril 2025

    Les exportations de pétrole brut de l’Algérie ont atteint en avril 2025 leur plus haut niveau depuis deux ans et demi, atteignant 492 000 barils par jour. Une performance qui confirme la relance du secteur énergétique national et la solidité des relations commerciales du pays avec ses principaux partenaires.

    Une hausse stratégique

    En progression de 2,3 % par rapport à l’année précédente, cette augmentation des volumes exportés s’inscrit dans une dynamique de diversification des marchés et d’optimisation des capacités de production. La stratégie de Sonatrach, alliée à une demande mondiale soutenue, a permis à l’Algérie de revenir au centre du jeu énergétique.

    Le top 5 des clients

    Selon des données issues de sources économiques fiables comme Algérie Invest et ObservAlgérie, les cinq principaux importateurs de brut algérien en avril 2025 sont :

    1. Corée du Sud – 120 000 barils par jour, renforcés par un achat exceptionnel de deux millions de barils ;

    2. France – 103 000 barils/jour, malgré une baisse globale des importations françaises ;

    3. Espagne – 66 000 barils/jour, soutenue par la proximité logistique ;

    4. Italie – 62 000 barils/jour, dans la continuité de liens énergétiques historiques ;

    5. États-Unis – 25 000 barils/jour, en légère baisse par rapport à l’année précédente.

    Cap sur l’Asie et l’Europe

    L’accent mis sur les marchés asiatiques, avec la Corée du Sud en fer de lance, marque une volonté claire de diversification. L’Algérie cherche ainsi à réduire sa dépendance vis-à-vis de l’Europe tout en capitalisant sur des débouchés à forte croissance.

    Une position à consolider

    Ces résultats confirment la résilience du secteur pétrolier algérien et son rôle central dans les équilibres économiques du pays. À moyen terme, les autorités entendent maintenir cette tendance en renforçant les infrastructures, en améliorant la compétitivité et en explorant de nouveaux marchés.

    🚨 Le pétrole algérien atteint des sommets : la Corée du Sud en tête des clients en avril 2025 Les exportations de pétrole brut de l’Algérie ont atteint en avril 2025 leur plus haut niveau depuis deux ans et demi, atteignant 492 000 barils par jour. Une performance qui confirme la relance du secteur énergétique national et la solidité des relations commerciales du pays avec ses principaux partenaires. ➡️ Une hausse stratégique En progression de 2,3 % par rapport à l’année précédente, cette augmentation des volumes exportés s’inscrit dans une dynamique de diversification des marchés et d’optimisation des capacités de production. La stratégie de Sonatrach, alliée à une demande mondiale soutenue, a permis à l’Algérie de revenir au centre du jeu énergétique. ➡️ Le top 5 des clients Selon des données issues de sources économiques fiables comme Algérie Invest et ObservAlgérie, les cinq principaux importateurs de brut algérien en avril 2025 sont : 1. Corée du Sud – 120 000 barils par jour, renforcés par un achat exceptionnel de deux millions de barils ; 2. France – 103 000 barils/jour, malgré une baisse globale des importations françaises ; 3. Espagne – 66 000 barils/jour, soutenue par la proximité logistique ; 4. Italie – 62 000 barils/jour, dans la continuité de liens énergétiques historiques ; 5. États-Unis – 25 000 barils/jour, en légère baisse par rapport à l’année précédente. ➡️ Cap sur l’Asie et l’Europe L’accent mis sur les marchés asiatiques, avec la Corée du Sud en fer de lance, marque une volonté claire de diversification. L’Algérie cherche ainsi à réduire sa dépendance vis-à-vis de l’Europe tout en capitalisant sur des débouchés à forte croissance. ➡️ Une position à consolider Ces résultats confirment la résilience du secteur pétrolier algérien et son rôle central dans les équilibres économiques du pays. À moyen terme, les autorités entendent maintenir cette tendance en renforçant les infrastructures, en améliorant la compétitivité et en explorant de nouveaux marchés.
    Love
    Like
    22
    ·209 Vue

  • Coup de filet en série : l’Algérie frappe fort contre les réseaux de fraude et de blanchiment d’argent

    L’Algérie renforce sa lutte contre la criminalité économique avec plusieurs opérations de grande envergure ayant conduit au démantèlement de réseaux spécialisés dans le blanchiment d’argent, les importations frauduleuses, le trafic de véhicules et même d’or. Ces actions s’inscrivent dans une stratégie nationale visant à assainir l’économie et à répondre aux exigences internationales en matière de transparence financière.

    Des milliards saisis et un réseau démantelé

    À Blida, les forces de sécurité ont mis la main sur plus de 41 milliards de centimes et 90 000 euros, dissimulés dans des véhicules appartenant à un réseau de blanchiment d’argent. L’opération, menée sur la base d’un mandat d’arrêt contre un individu identifié par les initiales K. J., a révélé une organisation criminelle impliquée dans la contrebande de marchandises, dont certaines dangereuses pour la santé publique.

    Fraude documentaire et trafic de véhicules

    Une autre enquête a abouti à l’arrestation de 13 personnes impliquées dans un réseau de trafic international de véhicules. Les suspects sont accusés de falsification de documents officiels, d’usurpation de sceaux de l’État et de blanchiment d’argent. Plusieurs véhicules, équipements de contrefaçon et sommes en espèces ont été saisis.

    Un vaste trafic d’or démantelé

    À Alger, un réseau impliquant 50 personnes a été démantelé pour trafic d’or et blanchiment de plus de 1 100 milliards de centimes. Parmi les inculpés figurent des bijoutiers, des commerçants et trois entreprises spécialisées. L’or importé légalement était détourné vers le marché noir, avec l’appui d’un système bien rodé exploitant les régulations de change.

    L’Algérie dans la ligne de mire du GAFI

    Ces coups de filet interviennent alors que l’Algérie a été placée en 2024 sur la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI) en raison de lacunes dans la lutte contre le blanchiment d’argent. En réponse, les autorités ont adopté une stratégie nationale 2024-2026 visant à améliorer le cadre juridique et institutionnel.

    Une lutte désormais prioritaire

    Face à l’ampleur du phénomène, l’État algérien affiche une volonté ferme de mettre fin aux circuits illicites qui minent l’économie nationale. Les opérations récentes ne seraient que la première phase d’un vaste plan de traque des réseaux criminels opérant sous couvert d’activités commerciales légales.

    🚨 Coup de filet en série : l’Algérie frappe fort contre les réseaux de fraude et de blanchiment d’argent L’Algérie renforce sa lutte contre la criminalité économique avec plusieurs opérations de grande envergure ayant conduit au démantèlement de réseaux spécialisés dans le blanchiment d’argent, les importations frauduleuses, le trafic de véhicules et même d’or. Ces actions s’inscrivent dans une stratégie nationale visant à assainir l’économie et à répondre aux exigences internationales en matière de transparence financière. ➡️ Des milliards saisis et un réseau démantelé À Blida, les forces de sécurité ont mis la main sur plus de 41 milliards de centimes et 90 000 euros, dissimulés dans des véhicules appartenant à un réseau de blanchiment d’argent. L’opération, menée sur la base d’un mandat d’arrêt contre un individu identifié par les initiales K. J., a révélé une organisation criminelle impliquée dans la contrebande de marchandises, dont certaines dangereuses pour la santé publique. ➡️ Fraude documentaire et trafic de véhicules Une autre enquête a abouti à l’arrestation de 13 personnes impliquées dans un réseau de trafic international de véhicules. Les suspects sont accusés de falsification de documents officiels, d’usurpation de sceaux de l’État et de blanchiment d’argent. Plusieurs véhicules, équipements de contrefaçon et sommes en espèces ont été saisis. ➡️ Un vaste trafic d’or démantelé À Alger, un réseau impliquant 50 personnes a été démantelé pour trafic d’or et blanchiment de plus de 1 100 milliards de centimes. Parmi les inculpés figurent des bijoutiers, des commerçants et trois entreprises spécialisées. L’or importé légalement était détourné vers le marché noir, avec l’appui d’un système bien rodé exploitant les régulations de change. ➡️ L’Algérie dans la ligne de mire du GAFI Ces coups de filet interviennent alors que l’Algérie a été placée en 2024 sur la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI) en raison de lacunes dans la lutte contre le blanchiment d’argent. En réponse, les autorités ont adopté une stratégie nationale 2024-2026 visant à améliorer le cadre juridique et institutionnel. ➡️ Une lutte désormais prioritaire Face à l’ampleur du phénomène, l’État algérien affiche une volonté ferme de mettre fin aux circuits illicites qui minent l’économie nationale. Les opérations récentes ne seraient que la première phase d’un vaste plan de traque des réseaux criminels opérant sous couvert d’activités commerciales légales.
    Love
    Like
    Wow
    19
    ·114 Vue

  • L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages

    Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques.

    Des attaques informationnelles bien structurées

    Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes.

    « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense.

    Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations

    Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations.

    Des cas ciblés et médiatisés

    Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger.

    Une riposte à plusieurs niveaux

    Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse.

    Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe.

    L’éducation, un rempart durable

    Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information.

    Conclusion

    L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
    🚨 L'Algérie face à la désinformation : une guerre numérique aux multiples visages Depuis plusieurs années, l’Algérie est la cible d’une guerre médiatique orchestrée à travers des campagnes de désinformation systématiques. Propagées par des réseaux organisés, souvent établis à l’étranger, ces fake news menacent la stabilité politique, sociale et économique du pays. Face à cette offensive numérique, l’État algérien et plusieurs acteurs de la société civile tentent de riposter par des initiatives législatives, éducatives et technologiques. ➡️ Des attaques informationnelles bien structurées Des rapports relayés par l’Agence Presse Service (APS) et des médias locaux pointent du doigt des "officines obscures" opérant depuis le Maroc, la France et d'autres pays. Ces entités exploiteraient des outils de manipulation algorithmique, du contenu généré par intelligence artificielle et même des deepfakes pour amplifier les discours hostiles à l’égard des institutions algériennes. « Il s’agit d’une guerre cognitive. Ces campagnes ne sont pas accidentelles, elles visent à fragiliser la confiance entre le peuple et ses dirigeants », analyse un expert en communication numérique interrogé lors d’un colloque organisé par le ministère de la Défense. ➡️ Les réseaux sociaux, théâtre d’opérations Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de prédilection pour ces campagnes. Des milliers de faux comptes, souvent automatisés, diffusent en boucle des rumeurs et informations manipulées. Le cas récent de la compagnie Air Algérie, accusée à tort d’opérer des vols à vide, a illustré l’impact économique et médiatique de ces pratiques. La compagnie a d'ailleurs annoncé des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces fausses allégations. ➡️ Des cas ciblés et médiatisés Les fake news ne se limitent pas aux institutions. L’écrivain algérien Kamel Daoud a récemment fait l’objet de plaintes après la sortie de son roman Houris, accusé – à tort selon ses défenseurs – de violer le secret médical. L’affaire, très médiatisée, a mené à l’interdiction de l’ouvrage lors du Salon international du livre d’Alger. ➡️ Une riposte à plusieurs niveaux Face à cette montée en puissance de la désinformation, l’État algérien a renforcé son arsenal juridique. Une loi criminalisant la diffusion de fausses informations portant atteinte à l’ordre public a été adoptée. Toutefois, cette mesure suscite des critiques, notamment de la part de Reporters sans Frontières, qui y voient un risque pour la liberté de la presse. Dans le même temps, des initiatives citoyennes émergent. C’est le cas d’Algérie Check, une plateforme de vérification des faits qui s’efforce de démonter les rumeurs circulant en ligne. « L’objectif est d’outiller les citoyens pour qu’ils puissent reconnaître et dénoncer la manipulation », explique un membre de l’équipe. ➡️ L’éducation, un rempart durable Au-delà de la loi et de la technologie, de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à une sensibilisation accrue. Des campagnes éducatives dans les écoles et universités sont en cours, visant à former les jeunes à l’analyse critique des sources d’information. ➡️ Conclusion L’Algérie mène aujourd’hui une bataille sur un nouveau front : celui de la vérité. Dans un monde numérique où les rumeurs peuvent se propager plus vite que les faits, la lutte contre les fake news apparaît comme un impératif national. Elle nécessite une coordination entre institutions, médias, éducateurs et citoyens pour défendre l'intégrité de l'information, pierre angulaire de toute démocratie.
    Love
    Like
    Wow
    20
    ·202 Vue
  • L’Algérie peine à exploiter ses gisements aurifères. Elle envisage de faire appel à un partenaire étranger pour extraire l’or de son sous-sol.
    L’Algérie peine à exploiter ses gisements aurifères. Elle envisage de faire appel à un partenaire étranger pour extraire l’or de son sous-sol.
    Love
    Like
    Wow
    22
    ·142 Vue

  • 🪩 Algérie : Les 9 applications indispensables pour les expatriés en 2025

    S’installer ou passer du temps en Algérie peut représenter un défi pour les expatriés. Heureusement, plusieurs applications locales offrent des solutions pratiques pour faciliter le quotidien. Voici une sélection des 9 applis les plus utiles, selon des retours d’expatriés.

    1. Yassir
    Leader du marché local du VTC, Yassir permet aussi de commander des repas, de faire ses courses ou même de gérer certains paiements.

    2. InDrive
    Cette alternative au VTC mise sur le prix négocié avec le chauffeur, une option populaire pour les trajets interwilayas.

    3. Temtem
    Concurrent direct de Yassir, Temtem propose un service de VTC fiable avec prix fixes, adapté aux grandes villes.

    4. Allo Jibli
    Application polyvalente de livraison à domicile (courses, médicaments, repas), elle facilite la vie des expatriés depuis leur résidence.

    5. Temtem One
    Spécialement pensée pour la diaspora, elle permet de payer à distance en devises et de faire livrer des produits à des proches en Algérie.

    6. Banxy
    Première banque 100 % mobile du pays, Banxy permet de gérer son compte, effectuer des virements et consulter ses soldes à tout moment.

    7. Fridoc
    Idéale pour les démarches administratives, cette appli donne accès à de nombreux documents utiles pour les formalités locales.

    8. Expat Algérie
    Plateforme d’accompagnement à l’installation, elle connecte les expatriés à des services pratiques et à la communauté locale.

    9. InterNations
    Communauté internationale active à Alger, elle propose des événements, rencontres et conseils pour favoriser l’intégration.

    Qu’il s’agisse de transport, de livraison, de banque ou d’intégration sociale, ces outils numériques sont devenus indispensables pour les expatriés en Algérie. Ils offrent confort, autonomie et gain de temps au quotidien.
    🪩 Algérie : Les 9 applications indispensables pour les expatriés en 2025 S’installer ou passer du temps en Algérie peut représenter un défi pour les expatriés. Heureusement, plusieurs applications locales offrent des solutions pratiques pour faciliter le quotidien. Voici une sélection des 9 applis les plus utiles, selon des retours d’expatriés. 1. Yassir Leader du marché local du VTC, Yassir permet aussi de commander des repas, de faire ses courses ou même de gérer certains paiements. 2. InDrive Cette alternative au VTC mise sur le prix négocié avec le chauffeur, une option populaire pour les trajets interwilayas. 3. Temtem Concurrent direct de Yassir, Temtem propose un service de VTC fiable avec prix fixes, adapté aux grandes villes. 4. Allo Jibli Application polyvalente de livraison à domicile (courses, médicaments, repas), elle facilite la vie des expatriés depuis leur résidence. 5. Temtem One Spécialement pensée pour la diaspora, elle permet de payer à distance en devises et de faire livrer des produits à des proches en Algérie. 6. Banxy Première banque 100 % mobile du pays, Banxy permet de gérer son compte, effectuer des virements et consulter ses soldes à tout moment. 7. Fridoc Idéale pour les démarches administratives, cette appli donne accès à de nombreux documents utiles pour les formalités locales. 8. Expat Algérie Plateforme d’accompagnement à l’installation, elle connecte les expatriés à des services pratiques et à la communauté locale. 9. InterNations Communauté internationale active à Alger, elle propose des événements, rencontres et conseils pour favoriser l’intégration. Qu’il s’agisse de transport, de livraison, de banque ou d’intégration sociale, ces outils numériques sont devenus indispensables pour les expatriés en Algérie. Ils offrent confort, autonomie et gain de temps au quotidien.
    Love
    Like
    22
    ·211 Vue

  • Hydrocarbures : L’Algérie relance les appels d’offres internationaux, une première depuis plus de dix ans

    L’Algérie fait son grand retour sur la scène énergétique internationale. Pour la première fois depuis plus d’une décennie, le pays a lancé un appel d’offres international pour l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures, une initiative largement saluée par la revue spécialisée Middle East Economic Survey (MEES).

    Baptisée "Algeria Bid Round 2024", cette opération est pilotée par l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft). Elle s’inscrit dans une nouvelle stratégie quinquennale qui vise à dynamiser l’exploration pétrolière et gazière et à moderniser le secteur.

    Les premiers résultats sont encourageants : 37 entreprises internationales ont exprimé leur intérêt, dépassant les attentes initiales. Des compagnies venues d’Europe, d’Asie, d’Amérique du Nord et du Moyen-Orient, dont des acteurs du Qatar et du Sultanat d’Oman, ont répondu présentes.

    Six zones d’exploration, parmi lesquelles Grand M’Zaid, Ahara et Reggane II, sont proposées. Elles représentent un potentiel de 400 milliards de m³ de gaz et une hausse possible de 20 milliards de m³ de production annuelle.

    L’Algérie ne compte pas s’arrêter là : un second appel d’offres, prévu pour octobre 2025, proposera de nouvelles zones d’exploration. Ce retour aux appels d’offres internationaux marque une volonté affirmée d’attirer les investissements étrangers et de consolider la position de l’Algérie sur le marché énergétique mondial.

    🇩🇿 Hydrocarbures : L’Algérie relance les appels d’offres internationaux, une première depuis plus de dix ans L’Algérie fait son grand retour sur la scène énergétique internationale. Pour la première fois depuis plus d’une décennie, le pays a lancé un appel d’offres international pour l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures, une initiative largement saluée par la revue spécialisée Middle East Economic Survey (MEES). Baptisée "Algeria Bid Round 2024", cette opération est pilotée par l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft). Elle s’inscrit dans une nouvelle stratégie quinquennale qui vise à dynamiser l’exploration pétrolière et gazière et à moderniser le secteur. Les premiers résultats sont encourageants : 37 entreprises internationales ont exprimé leur intérêt, dépassant les attentes initiales. Des compagnies venues d’Europe, d’Asie, d’Amérique du Nord et du Moyen-Orient, dont des acteurs du Qatar et du Sultanat d’Oman, ont répondu présentes. Six zones d’exploration, parmi lesquelles Grand M’Zaid, Ahara et Reggane II, sont proposées. Elles représentent un potentiel de 400 milliards de m³ de gaz et une hausse possible de 20 milliards de m³ de production annuelle. L’Algérie ne compte pas s’arrêter là : un second appel d’offres, prévu pour octobre 2025, proposera de nouvelles zones d’exploration. Ce retour aux appels d’offres internationaux marque une volonté affirmée d’attirer les investissements étrangers et de consolider la position de l’Algérie sur le marché énergétique mondial.
    Love
    Like
    19
    ·194 Vue

  • Le dernier rapport sur le développement humain 2025 du PNUD vient de classer l'Algérie au 96e rang mondial sur 193 nations.
    🚨 Le dernier rapport sur le développement humain 2025 du PNUD vient de classer l'Algérie au 96e rang mondial sur 193 nations.
    Love
    Like
    19
    ·102 Vue
  • BYD frappe un grand coup : l'entreprise chinoise inaugure la plus grande gigafactory au monde, surpassant largement ses concurrentes. Avec une capacité dix fois supérieure à celle de Tesla, le géant asiatique affirme son hégémonie sur l'industrie des batteries électriques.
    🚨 BYD frappe un grand coup : l'entreprise chinoise inaugure la plus grande gigafactory au monde, surpassant largement ses concurrentes. Avec une capacité dix fois supérieure à celle de Tesla, le géant asiatique affirme son hégémonie sur l'industrie des batteries électriques.
    Love
    Like
    17
    ·117 Vue

  • Raphinha : « Le Ballon d'Or ? Lamine d'abord, Salah, Mbappé aussi... Pedri, pour moi, est l'un des meilleurs joueurs du monde.

    Vinicius, pour moi, est toujours un candidat, même si ses statistiques sont légèrement inférieures à celles de l'année dernière. Et bien sûr Rodrygo doit être pris en compte : il est spectaculaire, phénoménal, hors du commun, l'un des meilleurs que j'ai jamais vu. »
    🚨 Raphinha : « Le Ballon d'Or ? Lamine d'abord, Salah, Mbappé aussi... Pedri, pour moi, est l'un des meilleurs joueurs du monde. Vinicius, pour moi, est toujours un candidat, même si ses statistiques sont légèrement inférieures à celles de l'année dernière. Et bien sûr Rodrygo doit être pris en compte : il est spectaculaire, phénoménal, hors du commun, l'un des meilleurs que j'ai jamais vu. »
    Like
    Love
    LoL
    13
    1 Commentaires ·112 Vue
Plus de résultats