• C3 : Lyon 2-0 Olympiakos (fini)

    A l’issue d’une prestation sérieuse, l’Olympique Lyonnais est arrivé à bout de l’Olympiakos (2-0), ce jeudi, pour son entrée en lice dans la Ligue Europa. Un retour réussi sur la scène continentale pour le club rhodanien à une semaine d’un déplacement périlleux à Glasgow pour affronter les Rangers.

    Après la désillusion contre l’Olympique de Marseille, les Lyonnais essayaient rapidement de se mettre à l’abri. Dans un dispositif porté vers l’avant avec quatre joueurs à vocation offensive, le club rhodanien mettait d’entrée une énorme pression avec un siège continu du but grec. Des bonnes intentions, des actions bien construites dans le sillage d’un Cherki inspiré mais assez peu d’occasions avec une première frappe cadrée pour Nuamah à la mi-période.

    Au fil des minutes, les Lyonnais se projetaient de plus en plus mais s’exposaient aux contres adverses. Sur l’un d’eux, Rodinei a bien failli refroidir le Groupama Stadium mais Perri se détendait parfaitement pour repousser la frappe puissante de son compatriote brésilien. Une fin de première période moins convaincante pour des Gones qui avaient plus de mal à se rapprocher du but de Tzolakis même si Lacazette était proche d’ouvrir la marque dans un angle fermé avant la pause.

    Au retour des vestiaires, le match s’emballait. Lacazette touchait le poteau sur un tir dévié tandis que Caleta-Car réalisait un sauvetage miraculeux sur une frappe à bout portant de Yaremchuk. Les deux équipes jetaient toutes leurs forces dans la bataille et Tolisso, seul au second poteau, voyait Tzolakis sortir un énorme arrêt pour sauver la maison grecque. Alors que Pierre Sage s’apprêtait à opérer des changements, Cherki surgissait pour ouvrir la marque d’un tir dans un angle fermé (1-0, 65e).

    La libération pour le jeune meneur de jeu, qui voyait son remplaçant, Benrahma, faire le break quelques instants plus tard à la suite d’un joli service d’un autre entrant, Zaha (2-0, 71e). Un coup de massue pour le club du Pirée, définitivement largué par un OL bien trop fort et surtout bien verni avec un but contre son camp de Caleta-Car... refusé pour une position de hors-jeu de Willian au préalable. La soirée parfaite pour Pierre Sage et sa bande.
    πŸ”΄πŸ”΅ C3 : Lyon 2-0 Olympiakos (fini) A l’issue d’une prestation sérieuse, l’Olympique Lyonnais est arrivé à bout de l’Olympiakos (2-0), ce jeudi, pour son entrée en lice dans la Ligue Europa. Un retour réussi sur la scène continentale pour le club rhodanien à une semaine d’un déplacement périlleux à Glasgow pour affronter les Rangers. Après la désillusion contre l’Olympique de Marseille, les Lyonnais essayaient rapidement de se mettre à l’abri. Dans un dispositif porté vers l’avant avec quatre joueurs à vocation offensive, le club rhodanien mettait d’entrée une énorme pression avec un siège continu du but grec. Des bonnes intentions, des actions bien construites dans le sillage d’un Cherki inspiré mais assez peu d’occasions avec une première frappe cadrée pour Nuamah à la mi-période. Au fil des minutes, les Lyonnais se projetaient de plus en plus mais s’exposaient aux contres adverses. Sur l’un d’eux, Rodinei a bien failli refroidir le Groupama Stadium mais Perri se détendait parfaitement pour repousser la frappe puissante de son compatriote brésilien. Une fin de première période moins convaincante pour des Gones qui avaient plus de mal à se rapprocher du but de Tzolakis même si Lacazette était proche d’ouvrir la marque dans un angle fermé avant la pause. Au retour des vestiaires, le match s’emballait. Lacazette touchait le poteau sur un tir dévié tandis que Caleta-Car réalisait un sauvetage miraculeux sur une frappe à bout portant de Yaremchuk. Les deux équipes jetaient toutes leurs forces dans la bataille et Tolisso, seul au second poteau, voyait Tzolakis sortir un énorme arrêt pour sauver la maison grecque. Alors que Pierre Sage s’apprêtait à opérer des changements, Cherki surgissait pour ouvrir la marque d’un tir dans un angle fermé (1-0, 65e). La libération pour le jeune meneur de jeu, qui voyait son remplaçant, Benrahma, faire le break quelques instants plus tard à la suite d’un joli service d’un autre entrant, Zaha (2-0, 71e). Un coup de massue pour le club du Pirée, définitivement largué par un OL bien trop fort et surtout bien verni avec un but contre son camp de Caleta-Car... refusé pour une position de hors-jeu de Willian au préalable. La soirée parfaite pour Pierre Sage et sa bande.
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  • π—Ÿπ—˜ 𝗙𝗒π—₯𝗧 π——π—˜ π—π—”π—‘π—π—œπ—₯𝗔
    𝗦itué au large de Murud dans le Maharashtra, en Inde, est un formidable symbole d'invincibilité. Connu sous le nom de « fort invaincu », il a résisté à de nombreux assauts des Britanniques, des Portugais et des Marathes, qui n'ont jamais réussi à percer ses défenses. Cette forteresse imprenable, entourée de tous côtés par la mer d’Oman, a été intelligemment conçue avec des éléments stratégiques qui la distinguent des autres forts de son époque.

    𝗣armi ses caractéristiques les plus intrigantes figuraient les passages secrets, des tunnels sous-marins censés relier le fort aux villages voisins. On disait que ces routes cachées fournissaient des lignes d'évacuation et de ravitaillement critiques, ajoutant ainsi à la résilience du fort contre les forces ennemies. Cependant, la véritable existence et l’étendue de ces passages restent entourées de mystère, mêlant légende et fait historique.{Scrivenbisogo}

    À l’intérieur du fort, un lac d’eau douce offrait une ressource rare et vitale, défiant l’eau salée de la mer environnante. Cet approvisionnement en eau douce constituait non seulement une bouée de sauvetage lors des sièges mais aussi l'un des avantages stratégiques du fort, lui permettant de résister à des attaques prolongées sans se rendre. La conception ingénieuse du fort de Janjira, ses passages mystérieux et l'anomalie de sa source d'eau douce ont collectivement solidifié sa réputation de bastion invincible, une énigme persistante de l'histoire maritime indienne.
    π—Ÿπ—˜ 𝗙𝗒π—₯𝗧 π——π—˜ π—π—”π—‘π—π—œπ—₯𝗔 𝗦itué au large de Murud dans le Maharashtra, en Inde, est un formidable symbole d'invincibilité. Connu sous le nom de « fort invaincu », il a résisté à de nombreux assauts des Britanniques, des Portugais et des Marathes, qui n'ont jamais réussi à percer ses défenses. Cette forteresse imprenable, entourée de tous côtés par la mer d’Oman, a été intelligemment conçue avec des éléments stratégiques qui la distinguent des autres forts de son époque. 𝗣armi ses caractéristiques les plus intrigantes figuraient les passages secrets, des tunnels sous-marins censés relier le fort aux villages voisins. On disait que ces routes cachées fournissaient des lignes d'évacuation et de ravitaillement critiques, ajoutant ainsi à la résilience du fort contre les forces ennemies. Cependant, la véritable existence et l’étendue de ces passages restent entourées de mystère, mêlant légende et fait historique.{Scrivenbisogo} À l’intérieur du fort, un lac d’eau douce offrait une ressource rare et vitale, défiant l’eau salée de la mer environnante. Cet approvisionnement en eau douce constituait non seulement une bouée de sauvetage lors des sièges mais aussi l'un des avantages stratégiques du fort, lui permettant de résister à des attaques prolongées sans se rendre. La conception ingénieuse du fort de Janjira, ses passages mystérieux et l'anomalie de sa source d'eau douce ont collectivement solidifié sa réputation de bastion invincible, une énigme persistante de l'histoire maritime indienne.
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  • Airplane safety system : Pourquoi ne pas relancer le projet de sauvetage de passagés lors accident aéronautique ?
    πŸ“’ Airplane safety system : Pourquoi ne pas relancer le projet de sauvetage de passagés lors accident aéronautique ? ✈️
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