Dix jours après avoir annoncé sur le réseau X avoir donné naissance à leur fils il y a cinq mois, elle a déposé deux requêtes devant la justice.

Un dossier judiciaire a été introduit à Manhattan contre le patron de Tesla et SpaceX, âgé de 53 ans, selon des informations relayées par User Mag et Vanity Fair. Dans ses déclarations officielles, Ashley St. Clair réclame la reconnaissance légale de la paternité d’Elon Musk. Elle affirme que le nom du milliardaire ne figure pas sur l’acte de naissance pour des raisons de sécurité, mais assure qu’il a bien reconnu être le père de l’enfant.

En plus de cette demande, elle sollicite la garde exclusive de leur fils, mettant en avant l’implication limitée d’Elon Musk dans la vie de l’enfant. D’après elle, le milliardaire ne l’aurait rencontré qu’à trois reprises depuis sa naissance en septembre dernier.

Un père distant Les documents judiciaires détaillent ces rares visites : deux rencontres le 21 septembre à New York, l’une de deux heures en matinée et l’autre d’une heure l’après-midi, ainsi qu’un dernier échange d’une demi-heure le 30 novembre à Austin. Ashley St. Clair souligne également que Musk était absent lors de l’accouchement.

Pour appuyer sa demande de garde exclusive, elle insiste sur le manque d’engagement du milliardaire envers leur fils. Selon elle, il ne participe ni aux soins ni à l’éducation du bébé, la laissant seule assumer ces responsabilités.

La jeune femme revient aussi sur la nature de sa relation avec Elon Musk, expliquant qu’elle a débuté en mai 2023 et que leur enfant a été conçu au début du mois de janvier suivant.

Le 14 février dernier, elle avait surpris le public en annonçant la naissance de leur fils via un message sur le réseau X : « Il y a cinq mois, j’ai accueilli un nouveau bébé. Elon Musk est le père. » Elle a précisé avoir voulu garder l’information privée pour protéger l’enfant, mais s’être résolue à la révéler en raison des rumeurs imminentes dans la presse à scandale.