Les signaux économiques passent au vert et témoignent d’une dynamique qui correspond aux exigences de consommation.

 

Dans une conjoncture marquée par la constance, la dernière étude de l’Office national des statistiques (ONS) signale une stabilité du taux d’inflation pour le mois de février 2025, fixé à 3,8 %. Cette orientation à la baisse se confirme par l’enregistrement du même pourcentage sur deux mois consécutifs.

 

En ce sens, les périodes de janvier et février illustrent nettement une conjoncture traduisant les retombées des mesures de réforme et de réorganisation de l’économie du pays. Sur le plan pratique, ce fléchissement de la pression inflationniste reste perceptible, à travers les progrès notoires enregistrés en matière de régulation du marché de consommation, ainsi que dans le contrôle des circuits d’approvisionnement, de distribution et de stockage.

 

Il convient de noter que ces dernières années ont été principalement orientées vers le renforcement des chaînes de production, à travers un soutien constant de l’État envers les producteurs et les opérateurs économiques. Les effets de cette politique commencent à se faire ressentir sur le marché, notamment par la diminution des hausses injustifiées des produits de large consommation. Cela s’accompagne également d’initiatives de lutte contre les pratiques spéculatives et les situations de monopole, appuyées par des opérations de contrôle et d’évaluation des fluctuations de prix.

 

Il est évident qu’un long chemin reste à parcourir pour parvenir à des équilibres optimaux entre la demande intérieure, la production locale et les importations. Toutefois, les premiers résultats traduisent une véritable stabilité du marché, comme l’atteste la gestion des périodes de Ramadhan et des grandes festivités.

 

Dans cette optique, il est pertinent de rappeler que les principaux indicateurs économiques affichent une évolution favorable, témoignant d’un progrès qui répond à la fois aux besoins de consommation et aux impératifs du développement économique.

 

En effet, le ralentissement de l’inflation trouve sa source dans la relance des leviers fondamentaux de l’économie nationale, à savoir l’ouverture à l’investissement et la simplification des démarches de création et de gestion d’entreprise.

 

C’est précisément ce regain d’attrait, fruit des efforts conjoints des institutions d’appui telles que l’Aapi, qui contribue à la transformation positive du paysage économique et commercial.

 

De ce point de vue, l’analyse des instances économiques et financières internationales est sans ambiguïté : elle met en évidence l’évolution ascendante de l’économie algérienne. Une progression qui commence à se refléter sur le pouvoir d’achat du citoyen, grâce aux dispositifs et mécanismes mis en place par les autorités publiques.