• Larbi ben M'Hidi

    #myqif #alger #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
    🇩🇿 Larbi ben M'Hidi 🤲 #myqif #alger #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
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  • Voici la recette authentique des Taqelbabine kabyles à la viande halal, également connues sous le nom de Tikourbabine ou Tiasbanine. Ce plat traditionnel est un incontournable de la cuisine kabyle, souvent préparé lors des grandes occasions ou des repas familiaux.

    Ingrédients (pour 6 personnes)

    Pour les boulettes de semoule :

    500 g de semoule moyenne
    1 oignon râpé
    1 tomate râpée
    4 gousses d’ail hachées
    1/2 bouquet de coriandre fraîche, ciselée
    1/2 bouquet de menthe fraîche, ciselée
    1 c. à soupe de concentré de tomate
    1 c. à soupe de paprika
    Sel et poivre au goût
    100 ml d’un mélange d’huile d’olive et huile de tournesol
    Eau tiède (environ 100 ml, à ajuster selon la texture)

    Pour la sauce :

    1 kg de viande halal (agneau, bœuf ou poulet, coupée en morceaux)
    2 oignons hachés
    1 tomate râpée
    1 c. à soupe de concentré de tomate
    1 c. à soupe de paprika
    1 c. à soupe de ras el-hanout
    Sel et poivre au goût
    1 poignée de pois chiches trempés la veille
    3 carottes, coupées en rondelles
    2 courgettes, coupées en gros morceaux
    1 pomme de terre, coupée en dés
    2 litres d’eau
    2 à 3 c. à soupe d’huile

    Préparation

    Préparation des boulettes de semoule

    1. Dans un grand saladier, mélangez la semoule avec l’oignon, la tomate, l’ail, les herbes fraîches, le concentré de tomate, le paprika, le sel et le poivre.

    2. Ajoutez le mélange d’huile puis un peu d’eau tiède en travaillant la pâte à la main, jusqu’à obtenir une pâte ferme et homogène.

    3. Formez des petites boulettes de la taille d’une noix. Réservez à température ambiante.

    ✅️ Préparation de la sauce

    1. Dans une grande marmite, faites chauffer l’huile, puis faites revenir la viande jusqu’à ce qu’elle colore légèrement.

    2. Ajoutez les oignons hachés, laissez fondre quelques minutes.

    3. Ajoutez la tomate râpée, le concentré, les épices, le sel et le poivre.

    4. Ajoutez ensuite les pois chiches et couvrez avec 2 litres d’eau chaude.

    5. Portez à ébullition puis baissez le feu. Laissez mijoter 30 à 40 minutes, jusqu’à ce que la viande soit presque cuite.

    6. Ajoutez les légumes : carottes, courgettes, pommes de terre. Laissez encore cuire 15 à 20 minutes.

    ✅️ Cuisson des boulettes

    1. Une fois les légumes presque tendres, plongez délicatement les boulettes dans la sauce, en les espaçant légèrement.

    2. Couvrez la marmite, laissez cuire à feu doux environ 30 à 40 minutes.

    3. Ne remuez pas avec une cuillère pour ne pas casser les boulettes. Secouez légèrement la marmite si nécessaire.

    ✅️ Service

    Disposez les boulettes dans un grand plat creux.
    Entourez-les des légumes et de morceaux de viande.
    Arrosez de sauce.
    Parsemez de menthe fraîche ciselée au moment de servir.

    #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    🇩🇿 Voici la recette authentique des Taqelbabine kabyles à la viande halal, également connues sous le nom de Tikourbabine ou Tiasbanine. Ce plat traditionnel est un incontournable de la cuisine kabyle, souvent préparé lors des grandes occasions ou des repas familiaux. 🥘 Ingrédients (pour 6 personnes) ➡️ Pour les boulettes de semoule : ▪️500 g de semoule moyenne ▪️1 oignon râpé ▪️1 tomate râpée ▪️4 gousses d’ail hachées ▪️1/2 bouquet de coriandre fraîche, ciselée ▪️1/2 bouquet de menthe fraîche, ciselée ▪️1 c. à soupe de concentré de tomate ▪️1 c. à soupe de paprika ▪️Sel et poivre au goût ▪️100 ml d’un mélange d’huile d’olive et huile de tournesol ▪️Eau tiède (environ 100 ml, à ajuster selon la texture) ➡️ Pour la sauce : ▪️1 kg de viande halal (agneau, bœuf ou poulet, coupée en morceaux) ▪️2 oignons hachés ▪️1 tomate râpée ▪️1 c. à soupe de concentré de tomate ▪️1 c. à soupe de paprika ▪️1 c. à soupe de ras el-hanout ▪️Sel et poivre au goût ▪️1 poignée de pois chiches trempés la veille ▪️3 carottes, coupées en rondelles ▪️2 courgettes, coupées en gros morceaux ▪️1 pomme de terre, coupée en dés ▪️2 litres d’eau ▪️2 à 3 c. à soupe d’huile 🥘 Préparation ➡️ Préparation des boulettes de semoule 1. Dans un grand saladier, mélangez la semoule avec l’oignon, la tomate, l’ail, les herbes fraîches, le concentré de tomate, le paprika, le sel et le poivre. 2. Ajoutez le mélange d’huile puis un peu d’eau tiède en travaillant la pâte à la main, jusqu’à obtenir une pâte ferme et homogène. 3. Formez des petites boulettes de la taille d’une noix. Réservez à température ambiante. ✅️ Préparation de la sauce 1. Dans une grande marmite, faites chauffer l’huile, puis faites revenir la viande jusqu’à ce qu’elle colore légèrement. 2. Ajoutez les oignons hachés, laissez fondre quelques minutes. 3. Ajoutez la tomate râpée, le concentré, les épices, le sel et le poivre. 4. Ajoutez ensuite les pois chiches et couvrez avec 2 litres d’eau chaude. 5. Portez à ébullition puis baissez le feu. Laissez mijoter 30 à 40 minutes, jusqu’à ce que la viande soit presque cuite. 6. Ajoutez les légumes : carottes, courgettes, pommes de terre. Laissez encore cuire 15 à 20 minutes. ✅️ Cuisson des boulettes 1. Une fois les légumes presque tendres, plongez délicatement les boulettes dans la sauce, en les espaçant légèrement. 2. Couvrez la marmite, laissez cuire à feu doux environ 30 à 40 minutes. 3. Ne remuez pas avec une cuillère pour ne pas casser les boulettes. Secouez légèrement la marmite si nécessaire. ✅️ Service ▪️Disposez les boulettes dans un grand plat creux. ▪️Entourez-les des légumes et de morceaux de viande. ▪️Arrosez de sauce. ▪️Parsemez de menthe fraîche ciselée au moment de servir. #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • Recette traditionnelle du couscous algérien à la viande de bœuf halal

    ✅️ Ingrédients (pour 5 à 6 personnes)

    Viande & Légumineuses

    1 kg de viande de bœuf halal (collier ou épaule, coupé en morceaux)
    1 verre de pois chiches (trempés la veille)

    Légumes

    3 carottes, coupées en bâtonnets
    2 courgettes, coupées en tronçons
    2 pommes de terre, en gros morceaux
    300 g de haricots verts (cuits à la vapeur ou à l’eau)

    Semoule

    1 kg de semoule moyenne de couscous
    1 c. à soupe d’huile d’olive
    Un peu d’eau salée pour l’humidifier

    Base aromatique
    1 gros oignon, émincé
    1 tomate fraîche râpée
    1 c. à soupe de concentré de tomate

    Épices

    1 c. à café de gingembre
    1 c. à café de cumin
    1 c. à café de coriandre moulue
    1/2 c. à café de ras el-hanout
    1/2 c. à café de piment doux
    1/2 c. à café de poivre noir
    1 pincée de piment fort (facultatif)
    Sel (à ajuster selon goût)

    Huiles

    4 c. à soupe d’huile végétale

    ✅️ Préparation

    La sauce et la cuisson de la viande

    1. Dans une marmite ou un faitout, faites revenir l’oignon émincé dans l’huile végétale.

    2. Ajoutez les morceaux de bœuf et laissez dorer quelques minutes.

    3. Incorporez la tomate râpée, le concentré de tomate et toutes les épices. Mélangez bien.

    4. Ajoutez environ 2 litres d’eau chaude et les pois chiches. Portez à ébullition.

    5. Couvrez et laissez cuire pendant 45 minutes à feu moyen.

    6. Ajoutez ensuite les carottes, puis après 10 minutes, les pommes de terre, les courgettes et les haricots verts. Poursuivez la cuisson jusqu’à ce que tout soit tendre (environ 20 à 30 min supplémentaires).

    La cuisson de la semoule

    1. Versez la semoule dans un grand plat, arrosez d’un peu d’eau salée, mélangez pour humidifier, et laissez reposer quelques minutes.

    2. Travaillez la semoule à la main pour séparer les grains.

    3. Mettez-la dans le haut du couscoussier et cuisez à la vapeur 30 à 40 minutes.

    4. Versez-la dans le plat, aérez les grains avec une fourchette, arrosez d’un filet d’huile d’olive et remettez à cuire à la vapeur une deuxième fois pour 20-30 min.

    ✅️ Dressage

    Placez la semoule chaude dans un grand plat.
    Formez un puits et disposez la viande au centre.
    Entourez avec les légumes.
    Arrosez de sauce, ou servez le bouillon à part.

    #résauxsociaux #myqif #tiktok #facebook #algérie #algeria #algerie #alger #viral #recettes
    🇩🇿 Recette traditionnelle du couscous algérien à la viande de bœuf halal 🤤 ✅️ Ingrédients (pour 5 à 6 personnes) ➡️ Viande & Légumineuses ▪️1 kg de viande de bœuf halal (collier ou épaule, coupé en morceaux) ▪️1 verre de pois chiches (trempés la veille) ➡️ Légumes ▪️3 carottes, coupées en bâtonnets ▪️2 courgettes, coupées en tronçons ▪️2 pommes de terre, en gros morceaux ▪️300 g de haricots verts (cuits à la vapeur ou à l’eau) ➡️ Semoule ▪️1 kg de semoule moyenne de couscous ▪️1 c. à soupe d’huile d’olive ▪️Un peu d’eau salée pour l’humidifier ➡️ Base aromatique ▪️1 gros oignon, émincé ▪️1 tomate fraîche râpée ▪️1 c. à soupe de concentré de tomate ➡️ Épices ▪️1 c. à café de gingembre ▪️1 c. à café de cumin ▪️1 c. à café de coriandre moulue ▪️1/2 c. à café de ras el-hanout ▪️1/2 c. à café de piment doux ▪️1/2 c. à café de poivre noir ▪️1 pincée de piment fort (facultatif) ▪️Sel (à ajuster selon goût) ➡️ Huiles ▪️4 c. à soupe d’huile végétale ✅️ Préparation ➡️ La sauce et la cuisson de la viande 1. Dans une marmite ou un faitout, faites revenir l’oignon émincé dans l’huile végétale. 2. Ajoutez les morceaux de bœuf et laissez dorer quelques minutes. 3. Incorporez la tomate râpée, le concentré de tomate et toutes les épices. Mélangez bien. 4. Ajoutez environ 2 litres d’eau chaude et les pois chiches. Portez à ébullition. 5. Couvrez et laissez cuire pendant 45 minutes à feu moyen. 6. Ajoutez ensuite les carottes, puis après 10 minutes, les pommes de terre, les courgettes et les haricots verts. Poursuivez la cuisson jusqu’à ce que tout soit tendre (environ 20 à 30 min supplémentaires). ➡️ La cuisson de la semoule 1. Versez la semoule dans un grand plat, arrosez d’un peu d’eau salée, mélangez pour humidifier, et laissez reposer quelques minutes. 2. Travaillez la semoule à la main pour séparer les grains. 3. Mettez-la dans le haut du couscoussier et cuisez à la vapeur 30 à 40 minutes. 4. Versez-la dans le plat, aérez les grains avec une fourchette, arrosez d’un filet d’huile d’olive et remettez à cuire à la vapeur une deuxième fois pour 20-30 min. ✅️ Dressage ▪️Placez la semoule chaude dans un grand plat. ▪️Formez un puits et disposez la viande au centre. ▪️Entourez avec les légumes. ▪️Arrosez de sauce, ou servez le bouillon à part. #résauxsociaux #myqif #tiktok #facebook #algérie #algeria #algerie #alger #viral #recettes
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  • TÉBESSA : Aux confins de l’Algérie, un joyau millénaire entre histoire, culture et renouveau

    Par-delà les montagnes arides de l’Est algérien, à quelques kilomètres seulement de la frontière tunisienne, se dresse fièrement Tébessa, cité chargée d’histoire et riche d’un patrimoine exceptionnel. Ancienne Theveste romaine, Tébessa est bien plus qu’une simple commune : c’est une mémoire vivante, un trait d’union entre les civilisations passées et les aspirations contemporaines d’un territoire en quête de renaissance.

    ✅️ Un héritage historique hors du commun

    Tébessa fut, dès l’Antiquité, un centre stratégique de la Numidie puis de l’Empire romain. Ses monuments, remarquablement conservés, en témoignent avec éloquence. Le Temple de Minerve, datant du IIe siècle, trône encore majestueusement au cœur de la ville. Érigé en l’honneur de la déesse de la sagesse, ce temple de style corinthien est l’un des rares édifices antiques aussi bien préservés en Algérie.

    À quelques pas de là, l’Arc de Caracalla, construit en 212 pour commémorer la visite de l’empereur romain, témoigne du prestige de la cité dans l’Empire. Et que dire de la Basilique Sainte-Crispine ? Édifiée au début du IVe siècle, elle est l’un des plus anciens lieux de culte chrétien du Maghreb, abritant des cryptes et galeries funéraires uniques dans la région.

    Ces vestiges, loin d’être figés dans le passé, continuent d’inspirer l’identité des habitants et de susciter l’émerveillement des visiteurs.

    ✅️ Une culture enracinée et vivante

    Au-delà de ses ruines antiques, Tébessa est aussi le cœur battant d’une culture berbère authentique. Ses traditions se transmettent de génération en génération, que ce soit à travers l’artisanat, les contes populaires ou les festivals locaux. Chaque année, la commune organise des événements qui célèbrent cette richesse, alliant danses folkloriques, poésie chaouie, musiques traditionnelles et gastronomie locale.

    Le dialecte berbère y est toujours pratiqué, tout comme l’arabe, et reflète la diversité linguistique et culturelle de cette région frontalière, carrefour d’influences entre l’Est algérien et l’Ouest tunisien.

    ✅️ Une nature généreuse, une terre de ressources

    Entourée de montagnes et de plaines fertiles, Tébessa bénéficie d’un climat méditerranéen semi-aride, propice à l’agriculture. Les cultures de céréales, d’olives et de légumes y prospèrent depuis des siècles. Cette richesse agricole est un pilier de l’économie locale, tout comme l’exploitation minière, notamment la célèbre mine de fer d’Ouenza, la plus importante du pays.

    Tébessa joue également un rôle central dans les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Tunisie. Ce positionnement stratégique lui confère une dynamique particulière, entre tradition rurale et modernité urbaine.

    ✅️ Une ville tournée vers l’avenir

    Longtemps oubliée des circuits touristiques, Tébessa regagne aujourd’hui sa place sur la carte. Les autorités locales, historiens et habitants s’emploient à valoriser le patrimoine, à développer l’écotourisme et à moderniser les infrastructures. Le potentiel est immense : allier le charme intemporel de ses vestiges à une vision durable du développement.

    ✅️ Conclusion

    Tébessa n’est pas une ville ordinaire. Elle incarne l’âme de l’Algérie millénaire, à la croisée des cultures, des époques et des aspirations. Elle est à la fois un musée à ciel ouvert, un berceau de traditions et une terre d’avenir.

    Visiter Tébessa, c’est marcher sur les traces des empereurs romains, entendre les échos des poètes berbères, et ressentir l’esprit d’un peuple fier de son passé et confiant en son futur.
    #myqif #tébessa #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news

    🇩🇿 TÉBESSA : Aux confins de l’Algérie, un joyau millénaire entre histoire, culture et renouveau 🇩🇿 Par-delà les montagnes arides de l’Est algérien, à quelques kilomètres seulement de la frontière tunisienne, se dresse fièrement Tébessa, cité chargée d’histoire et riche d’un patrimoine exceptionnel. Ancienne Theveste romaine, Tébessa est bien plus qu’une simple commune : c’est une mémoire vivante, un trait d’union entre les civilisations passées et les aspirations contemporaines d’un territoire en quête de renaissance. ✅️ Un héritage historique hors du commun Tébessa fut, dès l’Antiquité, un centre stratégique de la Numidie puis de l’Empire romain. Ses monuments, remarquablement conservés, en témoignent avec éloquence. Le Temple de Minerve, datant du IIe siècle, trône encore majestueusement au cœur de la ville. Érigé en l’honneur de la déesse de la sagesse, ce temple de style corinthien est l’un des rares édifices antiques aussi bien préservés en Algérie. À quelques pas de là, l’Arc de Caracalla, construit en 212 pour commémorer la visite de l’empereur romain, témoigne du prestige de la cité dans l’Empire. Et que dire de la Basilique Sainte-Crispine ? Édifiée au début du IVe siècle, elle est l’un des plus anciens lieux de culte chrétien du Maghreb, abritant des cryptes et galeries funéraires uniques dans la région. Ces vestiges, loin d’être figés dans le passé, continuent d’inspirer l’identité des habitants et de susciter l’émerveillement des visiteurs. ✅️ Une culture enracinée et vivante Au-delà de ses ruines antiques, Tébessa est aussi le cœur battant d’une culture berbère authentique. Ses traditions se transmettent de génération en génération, que ce soit à travers l’artisanat, les contes populaires ou les festivals locaux. Chaque année, la commune organise des événements qui célèbrent cette richesse, alliant danses folkloriques, poésie chaouie, musiques traditionnelles et gastronomie locale. Le dialecte berbère y est toujours pratiqué, tout comme l’arabe, et reflète la diversité linguistique et culturelle de cette région frontalière, carrefour d’influences entre l’Est algérien et l’Ouest tunisien. ✅️ Une nature généreuse, une terre de ressources Entourée de montagnes et de plaines fertiles, Tébessa bénéficie d’un climat méditerranéen semi-aride, propice à l’agriculture. Les cultures de céréales, d’olives et de légumes y prospèrent depuis des siècles. Cette richesse agricole est un pilier de l’économie locale, tout comme l’exploitation minière, notamment la célèbre mine de fer d’Ouenza, la plus importante du pays. Tébessa joue également un rôle central dans les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Tunisie. Ce positionnement stratégique lui confère une dynamique particulière, entre tradition rurale et modernité urbaine. ✅️ Une ville tournée vers l’avenir Longtemps oubliée des circuits touristiques, Tébessa regagne aujourd’hui sa place sur la carte. Les autorités locales, historiens et habitants s’emploient à valoriser le patrimoine, à développer l’écotourisme et à moderniser les infrastructures. Le potentiel est immense : allier le charme intemporel de ses vestiges à une vision durable du développement. ✅️ Conclusion Tébessa n’est pas une ville ordinaire. Elle incarne l’âme de l’Algérie millénaire, à la croisée des cultures, des époques et des aspirations. Elle est à la fois un musée à ciel ouvert, un berceau de traditions et une terre d’avenir. Visiter Tébessa, c’est marcher sur les traces des empereurs romains, entendre les échos des poètes berbères, et ressentir l’esprit d’un peuple fier de son passé et confiant en son futur. #myqif #tébessa #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
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    🏜 The Algerian Desert 🏜
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  • Larbi Ben M’hidi : le héros silencieux de la Révolution algérienne

    Dans l’histoire de la lutte pour l’indépendance de l’Algérie, peu de noms résonnent avec autant de force et de respect que celui de Larbi Ben M’hidi. Stratège hors pair, militant infatigable et martyr de la cause nationale, il incarne à lui seul le courage et l’intégrité du combat algérien pour la liberté.

    ✅️ Une jeunesse forgée par l’engagement

    Né en 1923 à Aïn M’lila, dans les Aurès, Ben M’hidi grandit dans une famille modeste. Très tôt, il s’engage au sein des Scouts musulmans algériens, avant de rejoindre les rangs nationalistes du PPA puis du MTLD. Son esprit discipliné et son sens de l’organisation le mènent rapidement au sein de l’Organisation Spéciale (OS), embryon militaire de la lutte anticoloniale.

    Arrêté en 1948 et condamné à dix ans de prison, il en ressort renforcé dans ses convictions. Lors du déclenchement de la guerre de libération, le 1er novembre 1954, il figure parmi les premiers cadres du Front de Libération Nationale (FLN).

    ✅️ Tacticien et meneur d’hommes

    En 1956, Larbi Ben M’hidi est chargé de diriger la Zone autonome d’Alger, cœur névralgique de la lutte urbaine contre l’armée française. Sa stratégie de guérilla dans la capitale déstabilise profondément les autorités coloniales. Sous sa houlette, la Zone autonome organise des actions spectaculaires, marquant les esprits en Algérie comme en France.

    Lors de la Bataille d’Alger, déclenchée par les forces françaises début 1957, il devient l’ennemi public numéro un. Pourtant, malgré la traque intense, il reste insaisissable jusqu’à son arrestation, le 23 février 1957, par les parachutistes du général Massu.

    ✅️ Un martyr et un symbole

    Présenté à la presse menotté, Larbi Ben M’hidi refuse de plier. Il devient une icône vivante de la résistance. Quelques jours plus tard, il est exécuté en secret dans une ferme de la Mitidja, dans des conditions que l’armée française tentera longtemps de dissimuler en évoquant un suicide.

    Ce n’est qu’en 2001, grâce aux aveux du général Paul Aussaresses, que la vérité éclate : Ben M’hidi a bel et bien été assassiné sur ordre des autorités militaires françaises. Ce crime d’État sera officiellement reconnu par le président Emmanuel Macron en 2024, lors du 70e anniversaire du déclenchement de la guerre d’indépendance.

    ✅️ Une mémoire vivante

    Aujourd’hui, Larbi Ben M’hidi repose au Carré des Martyrs du cimetière d’El Alia, à Alger. Des établissements scolaires, des rues et des places portent son nom, perpétuant son souvenir dans la mémoire collective algérienne.

    Symbole de la dignité, de la stratégie et du sacrifice, Ben M’hidi demeure un repère pour toutes les générations qui aspirent à la liberté et à la justice.

    #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    Larbi Ben M’hidi : le héros silencieux de la Révolution algérienne 🇩🇿 Dans l’histoire de la lutte pour l’indépendance de l’Algérie, peu de noms résonnent avec autant de force et de respect que celui de Larbi Ben M’hidi. Stratège hors pair, militant infatigable et martyr de la cause nationale, il incarne à lui seul le courage et l’intégrité du combat algérien pour la liberté. ✅️ Une jeunesse forgée par l’engagement Né en 1923 à Aïn M’lila, dans les Aurès, Ben M’hidi grandit dans une famille modeste. Très tôt, il s’engage au sein des Scouts musulmans algériens, avant de rejoindre les rangs nationalistes du PPA puis du MTLD. Son esprit discipliné et son sens de l’organisation le mènent rapidement au sein de l’Organisation Spéciale (OS), embryon militaire de la lutte anticoloniale. Arrêté en 1948 et condamné à dix ans de prison, il en ressort renforcé dans ses convictions. Lors du déclenchement de la guerre de libération, le 1er novembre 1954, il figure parmi les premiers cadres du Front de Libération Nationale (FLN). ✅️ Tacticien et meneur d’hommes En 1956, Larbi Ben M’hidi est chargé de diriger la Zone autonome d’Alger, cœur névralgique de la lutte urbaine contre l’armée française. Sa stratégie de guérilla dans la capitale déstabilise profondément les autorités coloniales. Sous sa houlette, la Zone autonome organise des actions spectaculaires, marquant les esprits en Algérie comme en France. Lors de la Bataille d’Alger, déclenchée par les forces françaises début 1957, il devient l’ennemi public numéro un. Pourtant, malgré la traque intense, il reste insaisissable jusqu’à son arrestation, le 23 février 1957, par les parachutistes du général Massu. ✅️ Un martyr et un symbole Présenté à la presse menotté, Larbi Ben M’hidi refuse de plier. Il devient une icône vivante de la résistance. Quelques jours plus tard, il est exécuté en secret dans une ferme de la Mitidja, dans des conditions que l’armée française tentera longtemps de dissimuler en évoquant un suicide. Ce n’est qu’en 2001, grâce aux aveux du général Paul Aussaresses, que la vérité éclate : Ben M’hidi a bel et bien été assassiné sur ordre des autorités militaires françaises. Ce crime d’État sera officiellement reconnu par le président Emmanuel Macron en 2024, lors du 70e anniversaire du déclenchement de la guerre d’indépendance. ✅️ Une mémoire vivante Aujourd’hui, Larbi Ben M’hidi repose au Carré des Martyrs du cimetière d’El Alia, à Alger. Des établissements scolaires, des rues et des places portent son nom, perpétuant son souvenir dans la mémoire collective algérienne. Symbole de la dignité, de la stratégie et du sacrifice, Ben M’hidi demeure un repère pour toutes les générations qui aspirent à la liberté et à la justice. #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • Krim Belkacem : le stratège du FLN et artisan des Accords d'Évian

    Dans l’histoire contemporaine de l’Algérie, rares sont les figures aussi marquantes que Krim Belkacem. Né le 31 août 1922 à Aït Yahia Moussa, en Kabylie, il fut un acteur majeur de la lutte pour l’indépendance nationale et l’un des principaux architectes de la diplomatie algérienne pendant la guerre de libération.

    Un patriote engagé dès sa jeunesse

    Issu d’un milieu modeste, Krim Belkacem s’intéresse très tôt à la cause nationale. Il milite d’abord dans les rangs du Parti du Peuple Algérien (PPA), avant de rejoindre le Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD). Rapidement ciblé par les autorités coloniales, il prend le maquis en Kabylie, une région qu’il connaît parfaitement et qui deviendra son principal terrain d’action.

    Le chef militaire de la Wilaya III

    Membre fondateur du Comité Révolutionnaire d’Unité et d’Action (CRUA), il participe activement à la préparation de l’insurrection du 1er novembre 1954, qui marque le début officiel de la guerre d’indépendance. Commandant de la Wilaya III (Kabylie), il impose une organisation militaire structurée, discipline les maquis et mène plusieurs opérations majeures contre les troupes françaises.

    Krim Belkacem se distingue rapidement par ses qualités de meneur d’hommes, son intelligence tactique et sa connaissance du terrain. Sous son commandement, la région kabyle devient un bastion de la lutte armée et un exemple de résistance pour les autres wilayas.

    Un homme d’État et diplomate respecté

    En 1958, avec la création du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA), Krim Belkacem est nommé ministre des Forces armées. Il prend une place centrale dans la direction politique et militaire de la Révolution. À ce poste, il devient l’un des principaux interlocuteurs de la France durant les pourparlers qui mèneront à l’indépendance.

    Il est surtout connu pour son rôle décisif dans la négociation des Accords d'Évian, signés en mars 1962, qui mettent officiellement fin à huit années de guerre et ouvrent la voie à la souveraineté algérienne. Il signe les accords en tant que représentant du FLN, consacrant ainsi son image de bâtisseur de la paix.

    Un héros de la nation

    Krim Belkacem est aujourd’hui reconnu comme l’un des héros les plus emblématiques de la guerre d’indépendance. Son nom est associé à la détermination, au courage et à la stratégie. Il repose au Carré des Martyrs du cimetière d’El Alia à Alger, aux côtés d’autres grandes figures de la Révolution.

    Son parcours demeure un symbole pour de nombreuses générations d’Algériens, et son héritage continue d’inspirer les défenseurs de la liberté et de la justice.

    #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    Krim Belkacem : le stratège du FLN et artisan des Accords d'Évian 🇩🇿 Dans l’histoire contemporaine de l’Algérie, rares sont les figures aussi marquantes que Krim Belkacem. Né le 31 août 1922 à Aït Yahia Moussa, en Kabylie, il fut un acteur majeur de la lutte pour l’indépendance nationale et l’un des principaux architectes de la diplomatie algérienne pendant la guerre de libération. ➡️ Un patriote engagé dès sa jeunesse Issu d’un milieu modeste, Krim Belkacem s’intéresse très tôt à la cause nationale. Il milite d’abord dans les rangs du Parti du Peuple Algérien (PPA), avant de rejoindre le Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD). Rapidement ciblé par les autorités coloniales, il prend le maquis en Kabylie, une région qu’il connaît parfaitement et qui deviendra son principal terrain d’action. ➡️ Le chef militaire de la Wilaya III Membre fondateur du Comité Révolutionnaire d’Unité et d’Action (CRUA), il participe activement à la préparation de l’insurrection du 1er novembre 1954, qui marque le début officiel de la guerre d’indépendance. Commandant de la Wilaya III (Kabylie), il impose une organisation militaire structurée, discipline les maquis et mène plusieurs opérations majeures contre les troupes françaises. Krim Belkacem se distingue rapidement par ses qualités de meneur d’hommes, son intelligence tactique et sa connaissance du terrain. Sous son commandement, la région kabyle devient un bastion de la lutte armée et un exemple de résistance pour les autres wilayas. ➡️ Un homme d’État et diplomate respecté En 1958, avec la création du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA), Krim Belkacem est nommé ministre des Forces armées. Il prend une place centrale dans la direction politique et militaire de la Révolution. À ce poste, il devient l’un des principaux interlocuteurs de la France durant les pourparlers qui mèneront à l’indépendance. Il est surtout connu pour son rôle décisif dans la négociation des Accords d'Évian, signés en mars 1962, qui mettent officiellement fin à huit années de guerre et ouvrent la voie à la souveraineté algérienne. Il signe les accords en tant que représentant du FLN, consacrant ainsi son image de bâtisseur de la paix. ➡️ Un héros de la nation Krim Belkacem est aujourd’hui reconnu comme l’un des héros les plus emblématiques de la guerre d’indépendance. Son nom est associé à la détermination, au courage et à la stratégie. Il repose au Carré des Martyrs du cimetière d’El Alia à Alger, aux côtés d’autres grandes figures de la Révolution. Son parcours demeure un symbole pour de nombreuses générations d’Algériens, et son héritage continue d’inspirer les défenseurs de la liberté et de la justice. #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • Bordj Bou Arreridj : un trésor algérien entre histoire millénaire et richesse culturelle

    Au cœur des Hauts Plateaux algériens, la wilaya de Bordj Bou Arreridj s’impose comme un carrefour entre tradition et modernité. Réputée pour son patrimoine archéologique, son artisanat florissant et ses paysages à couper le souffle, cette région souvent méconnue gagne à être redécouverte.

    ✅️ Un héritage qui traverse les siècles

    L’histoire de Bordj Bou Arreridj remonte à la préhistoire. Des outils en silex et des fragments de poterie attestent de la présence humaine dès le Mésolithique. Sous l’Empire romain, la région faisait partie de la Maurétanie césarienne. Des vestiges retrouvés à El Hamadia, comme des chapiteaux et fresques, rappellent cette époque d’échanges et de grandeur.

    L’un des joyaux historiques de la région reste le village d’El Ksour, fondé au Xe siècle. Témoignage vivant de l’architecture islamique médiévale, il se compose de 94 maisons de pierre, de mosquées et de ruelles étroites, toujours habitées. Les autorités œuvrent actuellement pour faire inscrire ce site au patrimoine mondial de l’UNESCO.

    ✅️ Une culture riche, vivante et fièrement préservée

    La culture locale est portée par un artisanat d’exception. Les femmes perpétuent l’art du tissage de laine, la fabrication du Binwar Esst (robe traditionnelle), ainsi que la confection de bijoux en argent, véritables symboles identitaires. Ces pratiques ancestrales ne sont pas de simples souvenirs du passé : elles continuent de faire vivre des familles et d’alimenter l’économie locale.

    Chaque printemps, les habitants célèbrent le renouveau de la nature à travers une grande fête collective. Des pique-niques familiaux sont organisés dans la nature, où se mêlent musique, mets traditionnels et transmission de coutumes séculaires.

    ✅️ Une nature généreuse, au service du bien-être

    La richesse de Bordj Bou Arreridj ne s’arrête pas à son patrimoine. La wilaya est également connue pour ses paysages contrastés, des collines verdoyantes aux reliefs montagneux. Les sources thermales naturelles, riches en minéraux, attirent ceux en quête de soins naturels, notamment pour les rhumatismes et affections respiratoires.

    ✅️ Une identité enracinée dans l’avenir

    Bordj Bou Arreridj n’est pas seulement une terre d’histoire : c’est aussi une région tournée vers l’avenir. Elle se développe grâce à ses atouts économiques, notamment dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’artisanat et des technologies.

    Dans un pays riche en diversité, Bordj Bou Arreridj incarne cette Algérie profonde qui sait conjuguer héritage et espoir, mémoire et modernité.

    #myqif #BordjBouArreridj #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news

    🇩🇿 Bordj Bou Arreridj : un trésor algérien entre histoire millénaire et richesse culturelle 🇩🇿 Au cœur des Hauts Plateaux algériens, la wilaya de Bordj Bou Arreridj s’impose comme un carrefour entre tradition et modernité. Réputée pour son patrimoine archéologique, son artisanat florissant et ses paysages à couper le souffle, cette région souvent méconnue gagne à être redécouverte. ✅️ Un héritage qui traverse les siècles L’histoire de Bordj Bou Arreridj remonte à la préhistoire. Des outils en silex et des fragments de poterie attestent de la présence humaine dès le Mésolithique. Sous l’Empire romain, la région faisait partie de la Maurétanie césarienne. Des vestiges retrouvés à El Hamadia, comme des chapiteaux et fresques, rappellent cette époque d’échanges et de grandeur. L’un des joyaux historiques de la région reste le village d’El Ksour, fondé au Xe siècle. Témoignage vivant de l’architecture islamique médiévale, il se compose de 94 maisons de pierre, de mosquées et de ruelles étroites, toujours habitées. Les autorités œuvrent actuellement pour faire inscrire ce site au patrimoine mondial de l’UNESCO. ✅️ Une culture riche, vivante et fièrement préservée La culture locale est portée par un artisanat d’exception. Les femmes perpétuent l’art du tissage de laine, la fabrication du Binwar Esst (robe traditionnelle), ainsi que la confection de bijoux en argent, véritables symboles identitaires. Ces pratiques ancestrales ne sont pas de simples souvenirs du passé : elles continuent de faire vivre des familles et d’alimenter l’économie locale. Chaque printemps, les habitants célèbrent le renouveau de la nature à travers une grande fête collective. Des pique-niques familiaux sont organisés dans la nature, où se mêlent musique, mets traditionnels et transmission de coutumes séculaires. ✅️ Une nature généreuse, au service du bien-être La richesse de Bordj Bou Arreridj ne s’arrête pas à son patrimoine. La wilaya est également connue pour ses paysages contrastés, des collines verdoyantes aux reliefs montagneux. Les sources thermales naturelles, riches en minéraux, attirent ceux en quête de soins naturels, notamment pour les rhumatismes et affections respiratoires. ✅️ Une identité enracinée dans l’avenir Bordj Bou Arreridj n’est pas seulement une terre d’histoire : c’est aussi une région tournée vers l’avenir. Elle se développe grâce à ses atouts économiques, notamment dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’artisanat et des technologies. Dans un pays riche en diversité, Bordj Bou Arreridj incarne cette Algérie profonde qui sait conjuguer héritage et espoir, mémoire et modernité. #myqif #BordjBouArreridj #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
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  • Tiaret, joyau de l’Ouest algérien : entre histoire millénaire et richesses naturelles

    Nichée sur les hauts plateaux de l’ouest algérien, la ville de Tiaret incarne à elle seule un carrefour de civilisations, un héritage historique prestigieux et une richesse naturelle fascinante. Ancienne capitale des Rostémides au IXe siècle, elle fut également un bastion de la résistance algérienne au XIXe siècle.

    Au-delà de son rôle politique dans l’histoire, Tiaret séduit par ses sites patrimoniaux exceptionnels. Les grottes d’Ibn Khaldoun, où le célèbre penseur rédigea une partie de sa Muqaddima, ainsi que les mystérieux Jedar, monuments funéraires berbères surnommés les "pyramides d’Algérie", témoignent de la profondeur historique de la région.

    La ville ne se contente pas de son passé. Tiaret est également un haut lieu de tradition équestre, grâce au haras national de Chaouchaoua, fondé en 1874, où sont élevés les prestigieux chevaux barbes et arabes. Sur le plan académique, l’Université Ibn Khaldoun participe activement à la formation et à la vie intellectuelle de la jeunesse locale, avec plus de 28 000 étudiants inscrits.

    Tiaret est une ville qui allie authenticité, dynamisme et fierté culturelle. Avec ses paysages naturels, sa mémoire préservée et son attachement profond aux valeurs traditionnelles, elle reste l’un des trésors les plus riches et les moins connus de l’Algérie.

    #myqif #Tiaret #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    🇩🇿 Tiaret, joyau de l’Ouest algérien : entre histoire millénaire et richesses naturelles 🇩🇿 Nichée sur les hauts plateaux de l’ouest algérien, la ville de Tiaret incarne à elle seule un carrefour de civilisations, un héritage historique prestigieux et une richesse naturelle fascinante. Ancienne capitale des Rostémides au IXe siècle, elle fut également un bastion de la résistance algérienne au XIXe siècle. Au-delà de son rôle politique dans l’histoire, Tiaret séduit par ses sites patrimoniaux exceptionnels. Les grottes d’Ibn Khaldoun, où le célèbre penseur rédigea une partie de sa Muqaddima, ainsi que les mystérieux Jedar, monuments funéraires berbères surnommés les "pyramides d’Algérie", témoignent de la profondeur historique de la région. La ville ne se contente pas de son passé. Tiaret est également un haut lieu de tradition équestre, grâce au haras national de Chaouchaoua, fondé en 1874, où sont élevés les prestigieux chevaux barbes et arabes. Sur le plan académique, l’Université Ibn Khaldoun participe activement à la formation et à la vie intellectuelle de la jeunesse locale, avec plus de 28 000 étudiants inscrits. Tiaret est une ville qui allie authenticité, dynamisme et fierté culturelle. Avec ses paysages naturels, sa mémoire préservée et son attachement profond aux valeurs traditionnelles, elle reste l’un des trésors les plus riches et les moins connus de l’Algérie. #myqif #Tiaret #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • ❎️❎️ Puissance militaire de l’Algérie : une force stratégique en Afrique et dans le monde arabe

    L’Algérie s’affirme comme l’une des plus grandes puissances militaires du continent africain et du monde arabe. Forte de sa tradition de défense nationale, l’Armée nationale populaire (ANP) se distingue par une modernisation continue de ses équipements et une organisation structurée en quatre branches : terrestre, aérienne, navale et de défense aérienne. Dotée d’un budget estimé à 15 milliards de dollars en 2023, elle joue un rôle central dans la stabilité régionale.

    ✅️ Forces terrestres : une capacité blindée redoutable

    L’armée de terre algérienne repose sur un effectif de plus de 130 000 soldats actifs et environ 300 000 réservistes. Elle possède un impressionnant parc de blindés, modernisé en grande partie localement à la Base centrale de logistique de Blida :

    🔹️ Environ 1 200 chars T-90, en plus de T-72 et T-62 modernisés.
    🔹️300 véhicules de soutien BMPT.
    🔹️Plus de 1 600 blindés de transport de troupes Fuchs-2 et 500 véhicules blindés GTK Boxer.

    Cette puissance de feu confère à l’Algérie une force de dissuasion crédible sur ses vastes frontières terrestres.

    ✅️ Forces aériennes : une flotte offensive en plein renforcement

    L’aviation militaire algérienne compte près de 461 appareils, dont 241 avions de combat :

    🔹️73 Sukhoi Su-30MKA, fleuron de l’aviation de chasse.
    🔹️70 MiG-29, 37 Su-24 et 16 Yak-130 pour l’entraînement.
    🔹️Commande en cours de 24 Su-35 et de Su-57, chasseurs de dernière génération.


    Côté hélicoptères, l’Algérie aligne :

    🔹️119 Mi-17, 100 Mi-8 pour le transport.
    🔹️42 Mi-28 et 14 Mi-26 pour les missions d’attaque et de soutien lourd.

    Ces moyens aériens renforcent sa capacité d’intervention rapide et sa supériorité régionale dans le ciel.

    ✅️ Forces navales : une marine en expansion stratégique

    La marine algérienne, composée de plus de 20 000 marins, bénéficie d’un renforcement constant de sa flotte :
    🔹️6 sous-marins de classe Kilo (dont des 877EKM modernisés).
    🔹️Frégates furtives classe Valour et corvettes C28A.
    🔹️Plusieurs navires de soutien et patrouilleurs côtiers.

    Elle dispose aussi du Régiment d’action spéciale de la marine (RASM), une unité d’élite créée en 2016, spécialisée dans les opérations maritimes sensibles, notamment la lutte contre le terrorisme et le sauvetage en mer.

    ✅️ Défense aérienne : une couverture nationale complète

    L’Algérie a mis en place un réseau complet de défense aérienne, incluant radars longue portée, systèmes de missiles sol-air et unités spécialisées. Cette couverture permet de surveiller et de défendre efficacement l’espace aérien national, en coordination avec les forces aériennes.

    ⭕️ Conclusion : une armée moderne au service de la souveraineté

    Grâce à une politique de modernisation et d’investissement soutenu, l’Algérie est aujourd’hui une puissance militaire régionale de premier plan. L’ANP joue un rôle stabilisateur dans le Maghreb et le Sahel, tout en préservant une doctrine de défense axée sur la souveraineté, la dissuasion et la coopération sécuritaire avec ses partenaires.
    #myqif #alger #algeria #algerie #algerienne #infos #ActuAlgérie #news
    ❎️❎️ Puissance militaire de l’Algérie : une force stratégique en Afrique et dans le monde arabe 🇩🇿 L’Algérie s’affirme comme l’une des plus grandes puissances militaires du continent africain et du monde arabe. Forte de sa tradition de défense nationale, l’Armée nationale populaire (ANP) se distingue par une modernisation continue de ses équipements et une organisation structurée en quatre branches : terrestre, aérienne, navale et de défense aérienne. Dotée d’un budget estimé à 15 milliards de dollars en 2023, elle joue un rôle central dans la stabilité régionale. ✅️ Forces terrestres : une capacité blindée redoutable L’armée de terre algérienne repose sur un effectif de plus de 130 000 soldats actifs et environ 300 000 réservistes. Elle possède un impressionnant parc de blindés, modernisé en grande partie localement à la Base centrale de logistique de Blida : 🔹️ Environ 1 200 chars T-90, en plus de T-72 et T-62 modernisés. 🔹️300 véhicules de soutien BMPT. 🔹️Plus de 1 600 blindés de transport de troupes Fuchs-2 et 500 véhicules blindés GTK Boxer. Cette puissance de feu confère à l’Algérie une force de dissuasion crédible sur ses vastes frontières terrestres. ✅️ Forces aériennes : une flotte offensive en plein renforcement L’aviation militaire algérienne compte près de 461 appareils, dont 241 avions de combat : 🔹️73 Sukhoi Su-30MKA, fleuron de l’aviation de chasse. 🔹️70 MiG-29, 37 Su-24 et 16 Yak-130 pour l’entraînement. 🔹️Commande en cours de 24 Su-35 et de Su-57, chasseurs de dernière génération. Côté hélicoptères, l’Algérie aligne : 🔹️119 Mi-17, 100 Mi-8 pour le transport. 🔹️42 Mi-28 et 14 Mi-26 pour les missions d’attaque et de soutien lourd. Ces moyens aériens renforcent sa capacité d’intervention rapide et sa supériorité régionale dans le ciel. ✅️ Forces navales : une marine en expansion stratégique La marine algérienne, composée de plus de 20 000 marins, bénéficie d’un renforcement constant de sa flotte : 🔹️6 sous-marins de classe Kilo (dont des 877EKM modernisés). 🔹️Frégates furtives classe Valour et corvettes C28A. 🔹️Plusieurs navires de soutien et patrouilleurs côtiers. Elle dispose aussi du Régiment d’action spéciale de la marine (RASM), une unité d’élite créée en 2016, spécialisée dans les opérations maritimes sensibles, notamment la lutte contre le terrorisme et le sauvetage en mer. ✅️ Défense aérienne : une couverture nationale complète L’Algérie a mis en place un réseau complet de défense aérienne, incluant radars longue portée, systèmes de missiles sol-air et unités spécialisées. Cette couverture permet de surveiller et de défendre efficacement l’espace aérien national, en coordination avec les forces aériennes. ⭕️ Conclusion : une armée moderne au service de la souveraineté Grâce à une politique de modernisation et d’investissement soutenu, l’Algérie est aujourd’hui une puissance militaire régionale de premier plan. L’ANP joue un rôle stabilisateur dans le Maghreb et le Sahel, tout en préservant une doctrine de défense axée sur la souveraineté, la dissuasion et la coopération sécuritaire avec ses partenaires. #myqif #alger #algeria #algerie #algerienne #infos #ActuAlgérie #news
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