• Algérie : Une nouvelle offensive économique pour atteindre 10 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures

    Face à la baisse persistante des prix du pétrole, l’Algérie renforce sa stratégie de diversification économique. Le pays, longtemps dépendant des revenus pétroliers, ambitionne désormais d’atteindre 10 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures en 2025, et jusqu’à 29 milliards à l’horizon 2030. Cette transformation structurelle repose sur une série de réformes économiques profondes et une mobilisation accrue des secteurs industriels, agricoles et miniers.

    ✅️ Un cap présidentiel clair

    Le président Abdelmadjid Tebboune a fait de la diversification une priorité nationale. En 2024, il avait déjà fixé un cap ambitieux : dépasser 15 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures d’ici la fin de son mandat. Ce cap s’inscrit dans une vision de long terme visant à bâtir une économie résiliente, capable de résister aux fluctuations du marché pétrolier mondial.

    ✅️ Des résultats concrets

    Les résultats commencent à se faire sentir. Selon la Banque mondiale, les exportations hors hydrocarbures ont triplé depuis 2017, atteignant plus de 5 milliards de dollars en 2023. Les produits exportés incluent principalement les engrais, le clinker, les barres en fer, l’ammoniac, le phosphate, les produits agroalimentaires et les dattes. Le complexe sidérurgique Tosyali, par exemple, a récemment exporté 30 000 tonnes de plaques d’acier vers l’Italie.

    ✅️ Une stratégie multisectorielle

    La stratégie de l’État repose sur deux piliers : l’élargissement de la base exportatrice nationale et la réorientation des revenus pétroliers vers les secteurs productifs. Le gouvernement a mis en place plusieurs réformes, dont une nouvelle loi sur l’investissement en 2022 et le Système communautaire portuaire algérien (APCS), qui facilite les procédures d’exportation. Par ailleurs, l’ouverture de filiales de banques publiques algériennes à l’étranger vise à accompagner les entreprises dans leur expansion internationale.

    ✅️ Soutien des institutions internationales

    La Banque mondiale salue les efforts de l’Algérie, tout en soulignant la nécessité de renforcer la productivité et d’aligner les exportations sur les normes environnementales mondiales. L’institution met en garde contre la dépendance à des produits à forte intensité carbone, qui pourraient être pénalisés à l’avenir par les politiques climatiques internationales.

    ✅️ Défis à relever

    Malgré les avancées, des défis importants subsistent. La productivité des entreprises locales reste faible, l’environnement des affaires nécessite encore des améliorations, et la concurrence internationale s’intensifie. Toutefois, les réformes en cours, associées à une volonté politique affirmée, laissent entrevoir une transformation durable de l’économie algérienne.
    🇩🇿 Algérie : Une nouvelle offensive économique pour atteindre 10 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures Face à la baisse persistante des prix du pétrole, l’Algérie renforce sa stratégie de diversification économique. Le pays, longtemps dépendant des revenus pétroliers, ambitionne désormais d’atteindre 10 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures en 2025, et jusqu’à 29 milliards à l’horizon 2030. Cette transformation structurelle repose sur une série de réformes économiques profondes et une mobilisation accrue des secteurs industriels, agricoles et miniers. ✅️ Un cap présidentiel clair Le président Abdelmadjid Tebboune a fait de la diversification une priorité nationale. En 2024, il avait déjà fixé un cap ambitieux : dépasser 15 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures d’ici la fin de son mandat. Ce cap s’inscrit dans une vision de long terme visant à bâtir une économie résiliente, capable de résister aux fluctuations du marché pétrolier mondial. ✅️ Des résultats concrets Les résultats commencent à se faire sentir. Selon la Banque mondiale, les exportations hors hydrocarbures ont triplé depuis 2017, atteignant plus de 5 milliards de dollars en 2023. Les produits exportés incluent principalement les engrais, le clinker, les barres en fer, l’ammoniac, le phosphate, les produits agroalimentaires et les dattes. Le complexe sidérurgique Tosyali, par exemple, a récemment exporté 30 000 tonnes de plaques d’acier vers l’Italie. ✅️ Une stratégie multisectorielle La stratégie de l’État repose sur deux piliers : l’élargissement de la base exportatrice nationale et la réorientation des revenus pétroliers vers les secteurs productifs. Le gouvernement a mis en place plusieurs réformes, dont une nouvelle loi sur l’investissement en 2022 et le Système communautaire portuaire algérien (APCS), qui facilite les procédures d’exportation. Par ailleurs, l’ouverture de filiales de banques publiques algériennes à l’étranger vise à accompagner les entreprises dans leur expansion internationale. ✅️ Soutien des institutions internationales La Banque mondiale salue les efforts de l’Algérie, tout en soulignant la nécessité de renforcer la productivité et d’aligner les exportations sur les normes environnementales mondiales. L’institution met en garde contre la dépendance à des produits à forte intensité carbone, qui pourraient être pénalisés à l’avenir par les politiques climatiques internationales. ✅️ Défis à relever Malgré les avancées, des défis importants subsistent. La productivité des entreprises locales reste faible, l’environnement des affaires nécessite encore des améliorations, et la concurrence internationale s’intensifie. Toutefois, les réformes en cours, associées à une volonté politique affirmée, laissent entrevoir une transformation durable de l’économie algérienne.
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  • 🕊 Deux ans après le drame : Rayane Lemmouchi, jeune dentiste assassiné aux Lilas, reste dans les mémoires

    Le 20 mai 2023, Rayane Lemmouchi, jeune chirurgien-dentiste de 25 ans, voyait brutalement son avenir brisé. Originaire de Toulouse, il s'était installé en région parisienne pour poursuivre sa carrière prometteuse. Ce soir-là, alors qu’il rendait visite à ses cousins aux Lilas, en Seine-Saint-Denis, il a été sauvagement poignardé. Deux ans plus tard, l’émotion reste vive, et la quête de justice continue.

    Une victime innocente d'une violence absurde

    Selon les témoignages, Rayane et ses proches ont été pris à partie dans la rue par une dizaine d’individus, sans provocation. L’agression aurait été motivée par des tensions interquartiers entre jeunes des Lilas, du Pré-Saint-Gervais et de Bagnolet. La phrase « Ça vient d'où ? », lancée par les agresseurs, traduit une logique de territoire mortifère. Touché à l’artère fémorale, Rayane n’a pas survécu à ses blessures. Son cousin, également agressé, s’en est sorti.

    Une onde de choc dans toute une communauté

    La nouvelle a bouleversé sa famille, ses collègues, ses amis, mais aussi de nombreux anonymes. Rayane incarnait la réussite, le travail, la générosité. Deux semaines après sa mort, une marche blanche a rassemblé près de 200 personnes aux Lilas. Le silence du cortège contrastait avec la violence du drame. Des pancartes exigeaient : « Justice pour Rayane ».

    Une enquête qui progresse lentement

    En décembre 2023, la police a interpellé huit personnes – des mineurs et majeurs – en lien avec ce meurtre. Tous étaient issus des quartiers concernés par les rivalités. Si ces arrestations constituent un pas vers la justice, l’instruction se poursuit et la famille de Rayane reste vigilante.

    Une mémoire toujours vive

    Une pétition intitulée « Justice pour Dr Rayane Lemmouchi », lancée début 2025, a recueilli près de 3 000 signatures. Au-delà de la procédure judiciaire, la famille cherche à alerter sur les violences de rue et à faire de la mémoire de Rayane un symbole contre l’insécurité urbaine.

    Un avenir qui ne doit pas être oublié

    Rayane Lemmouchi aurait pu être aujourd’hui un jeune professionnel épanoui, un soutien pour ses proches, un modèle pour sa génération. Son assassinat rappelle cruellement les ravages des conflits territoriaux entre jeunes. Deux ans après, sa mémoire mobilise encore, et son nom est désormais lié à un combat : celui pour la justice et la fin des violences gratuites.

    🕊 Deux ans après le drame : Rayane Lemmouchi, jeune dentiste assassiné aux Lilas, reste dans les mémoires Le 20 mai 2023, Rayane Lemmouchi, jeune chirurgien-dentiste de 25 ans, voyait brutalement son avenir brisé. Originaire de Toulouse, il s'était installé en région parisienne pour poursuivre sa carrière prometteuse. Ce soir-là, alors qu’il rendait visite à ses cousins aux Lilas, en Seine-Saint-Denis, il a été sauvagement poignardé. Deux ans plus tard, l’émotion reste vive, et la quête de justice continue. ➡️ Une victime innocente d'une violence absurde Selon les témoignages, Rayane et ses proches ont été pris à partie dans la rue par une dizaine d’individus, sans provocation. L’agression aurait été motivée par des tensions interquartiers entre jeunes des Lilas, du Pré-Saint-Gervais et de Bagnolet. La phrase « Ça vient d'où ? », lancée par les agresseurs, traduit une logique de territoire mortifère. Touché à l’artère fémorale, Rayane n’a pas survécu à ses blessures. Son cousin, également agressé, s’en est sorti. ➡️ Une onde de choc dans toute une communauté La nouvelle a bouleversé sa famille, ses collègues, ses amis, mais aussi de nombreux anonymes. Rayane incarnait la réussite, le travail, la générosité. Deux semaines après sa mort, une marche blanche a rassemblé près de 200 personnes aux Lilas. Le silence du cortège contrastait avec la violence du drame. Des pancartes exigeaient : « Justice pour Rayane ». ➡️ Une enquête qui progresse lentement En décembre 2023, la police a interpellé huit personnes – des mineurs et majeurs – en lien avec ce meurtre. Tous étaient issus des quartiers concernés par les rivalités. Si ces arrestations constituent un pas vers la justice, l’instruction se poursuit et la famille de Rayane reste vigilante. ➡️ Une mémoire toujours vive Une pétition intitulée « Justice pour Dr Rayane Lemmouchi », lancée début 2025, a recueilli près de 3 000 signatures. Au-delà de la procédure judiciaire, la famille cherche à alerter sur les violences de rue et à faire de la mémoire de Rayane un symbole contre l’insécurité urbaine. ➡️ Un avenir qui ne doit pas être oublié Rayane Lemmouchi aurait pu être aujourd’hui un jeune professionnel épanoui, un soutien pour ses proches, un modèle pour sa génération. Son assassinat rappelle cruellement les ravages des conflits territoriaux entre jeunes. Deux ans après, sa mémoire mobilise encore, et son nom est désormais lié à un combat : celui pour la justice et la fin des violences gratuites.
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  • Les céramistes espagnols font leur grand retour en Algérie après deux ans de crise diplomatique

    Après plus de deux années de tensions entre Alger et Madrid, les industriels espagnols du secteur de la céramique retrouvent le marché algérien. Ce retour marque une étape importante dans la normalisation progressive des relations économiques entre les deux pays, et offre une bouffée d’oxygène à un secteur particulièrement touché par le gel des échanges.

    Une crise diplomatique à fort impact économique

    Tout a commencé en juin 2022, lorsque l’Algérie a décidé de suspendre ses relations commerciales avec l’Espagne, en réaction au soutien de Madrid au plan marocain d’autonomie pour le Sahara occidental. Cette décision a lourdement pénalisé les céramistes espagnols, en particulier ceux de la province de Castellón, qui avaient fait de l’Algérie l’un de leurs principaux débouchés. Les pertes se sont élevées à près de 70 millions d’euros, privant le secteur d’un marché stratégique.

    Une reprise dynamique des exportations

    Depuis la fin de l’année 2024, les signes de réchauffement se multiplient. En décembre, l’Algérie est redevenue le premier acheteur mondial de matières premières céramiques espagnoles, avec des importations dépassant les 11 millions d’euros sur un seul mois. Au total, les exportations espagnoles vers l’Algérie ont atteint 13,4 millions d’euros en novembre et décembre 2024, hissant le pays au 16e rang des clients internationaux.

    Une volonté de coopération renouvelée

    Ce retour progressif à la normale s’accompagne d’une volonté commune de reconstruire des relations économiques solides. Une délégation espagnole du secteur céramique prévoit de se rendre prochainement en Algérie pour renforcer les partenariats existants et en nouer de nouveaux. L’Algérie, pour sa part, semble disposée à accueillir de nouveau ces fournisseurs dans un cadre plus apaisé.

    Un marché porteur pour l’avenir

    Avant la crise, l’Algérie était le deuxième marché d’exportation de céramique espagnole. Les industriels ibériques espèrent désormais retrouver ces niveaux, portés par la demande croissante du secteur du bâtiment algérien et par une dynamique de reprise industrielle. Ce retour marque ainsi une étape stratégique dans la relance des échanges entre les deux rives de la Méditerranée.
    🇩🇿🇪🇸 Les céramistes espagnols font leur grand retour en Algérie après deux ans de crise diplomatique Après plus de deux années de tensions entre Alger et Madrid, les industriels espagnols du secteur de la céramique retrouvent le marché algérien. Ce retour marque une étape importante dans la normalisation progressive des relations économiques entre les deux pays, et offre une bouffée d’oxygène à un secteur particulièrement touché par le gel des échanges. ➡️ Une crise diplomatique à fort impact économique Tout a commencé en juin 2022, lorsque l’Algérie a décidé de suspendre ses relations commerciales avec l’Espagne, en réaction au soutien de Madrid au plan marocain d’autonomie pour le Sahara occidental. Cette décision a lourdement pénalisé les céramistes espagnols, en particulier ceux de la province de Castellón, qui avaient fait de l’Algérie l’un de leurs principaux débouchés. Les pertes se sont élevées à près de 70 millions d’euros, privant le secteur d’un marché stratégique. ➡️ Une reprise dynamique des exportations Depuis la fin de l’année 2024, les signes de réchauffement se multiplient. En décembre, l’Algérie est redevenue le premier acheteur mondial de matières premières céramiques espagnoles, avec des importations dépassant les 11 millions d’euros sur un seul mois. Au total, les exportations espagnoles vers l’Algérie ont atteint 13,4 millions d’euros en novembre et décembre 2024, hissant le pays au 16e rang des clients internationaux. ➡️ Une volonté de coopération renouvelée Ce retour progressif à la normale s’accompagne d’une volonté commune de reconstruire des relations économiques solides. Une délégation espagnole du secteur céramique prévoit de se rendre prochainement en Algérie pour renforcer les partenariats existants et en nouer de nouveaux. L’Algérie, pour sa part, semble disposée à accueillir de nouveau ces fournisseurs dans un cadre plus apaisé. ➡️ Un marché porteur pour l’avenir Avant la crise, l’Algérie était le deuxième marché d’exportation de céramique espagnole. Les industriels ibériques espèrent désormais retrouver ces niveaux, portés par la demande croissante du secteur du bâtiment algérien et par une dynamique de reprise industrielle. Ce retour marque ainsi une étape stratégique dans la relance des échanges entre les deux rives de la Méditerranée.
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  • 🏟 Vers une « Premier League à la française » : le football français en pleine révolution

    Le football professionnel français s’apprête à vivre une transformation historique. Inspirée du modèle de la Premier League anglaise, une réforme profonde pourrait bientôt donner naissance à une nouvelle structure de gouvernance, sans la Ligue de Football Professionnel (LFP). Ce projet, porté par la Fédération Française de Football (FFF), ambitionne de redonner aux clubs la main sur leur avenir.

    Un nouveau modèle de gestion

    La réforme prévoit la création d’une société commerciale détenue par les 18 clubs de Ligue 1, qui en seraient actionnaires. Ces derniers disposeraient d’un droit de veto sur les décisions majeures, tout en restant sous la supervision de la FFF. Cette « Premier League à la française » vise à renforcer la compétitivité, la transparence et la stabilité financière du football hexagonal.

    Une réponse à une crise économique persistante

    Cette révolution intervient dans un contexte économique difficile. Depuis l’échec du contrat de droits TV avec Mediapro en 2020, le football français peine à retrouver sa pleine valeur médiatique. Les accords actuels avec DAZN et beIN Sports, nettement moins lucratifs, ne suffisent pas à répondre aux attentes des clubs. En réaction, plusieurs présidents ont demandé un audit interne de la LFP pour mieux comprendre la gestion des ressources.

    Une réforme législative nécessaire

    Pour concrétiser cette transformation, une loi devra être adoptée. Le Sénat examinera le projet le 10 juin 2025. Si le texte est voté, cette nouvelle entité pourrait voir le jour dès la saison 2026-2027, redéfinissant les équilibres du football professionnel français.

    Une nouvelle ère en perspective

    Avec ce projet ambitieux, la FFF et les clubs espèrent tourner la page d’un modèle jugé obsolète. Reste à savoir si cette refondation suffira à relancer l’attractivité d’un championnat souvent critiqué pour son manque de spectacle et de rentabilité. Le football français est à un tournant décisif de son histoire.


    🏟 Vers une « Premier League à la française » : le football français en pleine révolution Le football professionnel français s’apprête à vivre une transformation historique. Inspirée du modèle de la Premier League anglaise, une réforme profonde pourrait bientôt donner naissance à une nouvelle structure de gouvernance, sans la Ligue de Football Professionnel (LFP). Ce projet, porté par la Fédération Française de Football (FFF), ambitionne de redonner aux clubs la main sur leur avenir. ➡️ Un nouveau modèle de gestion La réforme prévoit la création d’une société commerciale détenue par les 18 clubs de Ligue 1, qui en seraient actionnaires. Ces derniers disposeraient d’un droit de veto sur les décisions majeures, tout en restant sous la supervision de la FFF. Cette « Premier League à la française » vise à renforcer la compétitivité, la transparence et la stabilité financière du football hexagonal. ➡️ Une réponse à une crise économique persistante Cette révolution intervient dans un contexte économique difficile. Depuis l’échec du contrat de droits TV avec Mediapro en 2020, le football français peine à retrouver sa pleine valeur médiatique. Les accords actuels avec DAZN et beIN Sports, nettement moins lucratifs, ne suffisent pas à répondre aux attentes des clubs. En réaction, plusieurs présidents ont demandé un audit interne de la LFP pour mieux comprendre la gestion des ressources. ➡️ Une réforme législative nécessaire Pour concrétiser cette transformation, une loi devra être adoptée. Le Sénat examinera le projet le 10 juin 2025. Si le texte est voté, cette nouvelle entité pourrait voir le jour dès la saison 2026-2027, redéfinissant les équilibres du football professionnel français. ➡️ Une nouvelle ère en perspective Avec ce projet ambitieux, la FFF et les clubs espèrent tourner la page d’un modèle jugé obsolète. Reste à savoir si cette refondation suffira à relancer l’attractivité d’un championnat souvent critiqué pour son manque de spectacle et de rentabilité. Le football français est à un tournant décisif de son histoire.
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  • Davide Ancelotti en route vers une carrière en solo : bientôt entraîneur principal en Europe ?

    Davide Ancelotti, fils de Carlo Ancelotti et actuel entraîneur adjoint du Real Madrid, pourrait bientôt prendre son envol en tant qu’entraîneur principal d’un club historique européen. Plusieurs sources concordantes indiquent que le technicien de 35 ans est en discussions avancées pour devenir le nouveau coach du FC Bâle, un club emblématique du championnat suisse. Il était également pressenti récemment pour le poste de manager des Glasgow Rangers, preuve de l’intérêt grandissant qu’il suscite sur la scène européenne.

    Fort d’une solide expérience acquise aux côtés de son père dans des clubs de prestige (PSG, Bayern Munich, Napoli, Everton, Real Madrid), Davide détient la licence UEFA Pro et a toujours exprimé son ambition de diriger une équipe première. Il est reconnu pour sa méthode de travail rigoureuse, son sens de l’analyse tactique et sa capacité à gagner la confiance des joueurs.

    Son style d’entraîneur se caractérise par une approche humaine et technique, qu’il décrit comme « la culture du bonsaï » : observer, comprendre et adapter son encadrement à chaque individu. Son leadership discret et ses compétences relationnelles ont permis à de nombreuses stars du vestiaire madrilène de progresser sous sa supervision.

    Ce possible tournant dans sa carrière intervient alors que son père Carlo Ancelotti s’apprête à quitter le Real Madrid pour devenir le sélectionneur du Brésil. Une transition générationnelle semble ainsi se dessiner, avec Davide prêt à voler de ses propres ailes.

    La nomination officielle pourrait intervenir dans les prochaines semaines, ouvrant ainsi une nouvelle ère pour le FC Bâle – et potentiellement pour l’avenir de l’entraînement en Europe, avec un Ancelotti version 2.0.
    🚨 Davide Ancelotti en route vers une carrière en solo : bientôt entraîneur principal en Europe ? Davide Ancelotti, fils de Carlo Ancelotti et actuel entraîneur adjoint du Real Madrid, pourrait bientôt prendre son envol en tant qu’entraîneur principal d’un club historique européen. Plusieurs sources concordantes indiquent que le technicien de 35 ans est en discussions avancées pour devenir le nouveau coach du FC Bâle, un club emblématique du championnat suisse. Il était également pressenti récemment pour le poste de manager des Glasgow Rangers, preuve de l’intérêt grandissant qu’il suscite sur la scène européenne. Fort d’une solide expérience acquise aux côtés de son père dans des clubs de prestige (PSG, Bayern Munich, Napoli, Everton, Real Madrid), Davide détient la licence UEFA Pro et a toujours exprimé son ambition de diriger une équipe première. Il est reconnu pour sa méthode de travail rigoureuse, son sens de l’analyse tactique et sa capacité à gagner la confiance des joueurs. Son style d’entraîneur se caractérise par une approche humaine et technique, qu’il décrit comme « la culture du bonsaï » : observer, comprendre et adapter son encadrement à chaque individu. Son leadership discret et ses compétences relationnelles ont permis à de nombreuses stars du vestiaire madrilène de progresser sous sa supervision. Ce possible tournant dans sa carrière intervient alors que son père Carlo Ancelotti s’apprête à quitter le Real Madrid pour devenir le sélectionneur du Brésil. Une transition générationnelle semble ainsi se dessiner, avec Davide prêt à voler de ses propres ailes. La nomination officielle pourrait intervenir dans les prochaines semaines, ouvrant ainsi une nouvelle ère pour le FC Bâle – et potentiellement pour l’avenir de l’entraînement en Europe, avec un Ancelotti version 2.0.
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  • Visite d’État en Slovénie : le président Tebboune renforce les liens bilatéraux

    Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a entamé, le 12 mai 2025, une visite d’État en Slovénie à l’invitation de la présidente slovène Nataša Pirc Musar. Cette visite marque une volonté claire des deux pays d’approfondir leur coopération politique, économique et technologique.

    Vers un partenariat stratégique

    Au cœur des discussions, plusieurs secteurs clés ont été abordés : énergie, numérisation, intelligence artificielle, migration, ainsi que la coopération industrielle et universitaire. Les deux chefs d’État ont exprimé leur engagement à renforcer les relations bilatérales, qu’ils considèrent en pleine évolution qualitative.

    Des projets concrets et une présence diplomatique accrue

    Cette dynamique de rapprochement s’est matérialisée par l’inauguration officielle de l’ambassade d’Algérie à Ljubljana, en présence des ministres des Affaires étrangères des deux pays. Ce geste symbolique traduit la volonté d’instaurer une présence diplomatique durable et plus active.

    Une vision partagée pour la scène internationale

    La visite a également été l’occasion pour les deux dirigeants d’échanger sur des enjeux globaux. Ils ont affirmé leur attachement commun à la paix, à la stabilité et au développement durable, et se sont engagés à coopérer davantage dans les forums internationaux.

    Un tournant pour les relations algéro-slovènes

    Cette visite d’État ouvre une nouvelle page dans les relations entre l’Algérie et la Slovénie. Elle jette les bases d’un partenariat stratégique diversifié et tourné vers l’avenir, tant sur le plan bilatéral qu’international.

    🇩🇿 🇸🇮 Visite d’État en Slovénie : le président Tebboune renforce les liens bilatéraux Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a entamé, le 12 mai 2025, une visite d’État en Slovénie à l’invitation de la présidente slovène Nataša Pirc Musar. Cette visite marque une volonté claire des deux pays d’approfondir leur coopération politique, économique et technologique. ➡️ Vers un partenariat stratégique Au cœur des discussions, plusieurs secteurs clés ont été abordés : énergie, numérisation, intelligence artificielle, migration, ainsi que la coopération industrielle et universitaire. Les deux chefs d’État ont exprimé leur engagement à renforcer les relations bilatérales, qu’ils considèrent en pleine évolution qualitative. ➡️ Des projets concrets et une présence diplomatique accrue Cette dynamique de rapprochement s’est matérialisée par l’inauguration officielle de l’ambassade d’Algérie à Ljubljana, en présence des ministres des Affaires étrangères des deux pays. Ce geste symbolique traduit la volonté d’instaurer une présence diplomatique durable et plus active. ➡️ Une vision partagée pour la scène internationale La visite a également été l’occasion pour les deux dirigeants d’échanger sur des enjeux globaux. Ils ont affirmé leur attachement commun à la paix, à la stabilité et au développement durable, et se sont engagés à coopérer davantage dans les forums internationaux. ➡️ Un tournant pour les relations algéro-slovènes Cette visite d’État ouvre une nouvelle page dans les relations entre l’Algérie et la Slovénie. Elle jette les bases d’un partenariat stratégique diversifié et tourné vers l’avenir, tant sur le plan bilatéral qu’international.
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  • L’Algérie Transforme le Sahara en Grenier Agricole : Une Révolution Verte en Marche

    Dans les profondeurs arides du Sahara algérien, une transformation sans précédent est en cours. Jadis terres hostiles balayées par les vents de sable, les wilayas du sud deviennent peu à peu les nouvelles terres nourricières de l’Algérie. À El Oued, Adrar ou encore Ouargla, la campagne de moisson-battage 2025 témoigne de cette révolution agricole, portée par une volonté politique forte et des moyens logistiques impressionnants.

    Une moisson record dans le désert

    La saison agricole actuelle s’annonce exceptionnelle. À El Oued, pas moins de 370 000 quintaux de céréales sont attendus cette année. Le blé dur domine les récoltes, avec près de 272 000 quintaux estimés, cultivés sur 6 800 hectares. L’orge, lui, couvre environ 3 000 hectares. Ce bond en avant est le fruit d’une stratégie agricole offensive, qui vise à mobiliser chaque parcelle exploitable du territoire saharien.

    Des moyens logistiques à la hauteur de l’ambition

    Pour soutenir cette campagne, l’État algérien a déployé une infrastructure impressionnante : 55 moissonneuses-batteuses, 13 ramasseuses-presses, et quatre centres d’engrangement d’une capacité totale de 267 000 quintaux ont été installés dans la seule wilaya d’El Oued. Des convois de plus de 120 camions sillonnent les routes désertiques pour acheminer les récoltes vers les centres de stockage.

    Le Sahara, pilier d’un avenir agricole autosuffisant

    Au-delà des chiffres, c’est un changement de paradigme que connaît l’Algérie. Longtemps dépendante des importations pour son alimentation, le pays mise désormais sur le sud pour garantir sa sécurité alimentaire. Le projet de ferme géante à Adrar, développé en partenariat avec le groupe qatari Baladna, incarne cette ambition. À terme, il vise à produire du lait, des céréales, de la viande et des fourrages sur des milliers d'hectares.

    Une réussite conditionnée par une gestion durable

    Cependant, cette révolution verte ne va pas sans défis. Le Sahara est une région fragile. Les ressources en eau, principalement issues de nappes fossiles, sont limitées. Des études montrent que ces nappes sont exploitées à un rythme bien supérieur à leur capacité de renouvellement. De plus, les aléas climatiques — sécheresse persistante, tempêtes de sable — peuvent compromettre les efforts engagés.

    Vers un nouveau modèle agricole

    Malgré ces contraintes, l’élan est donné. La mutation du Sahara algérien en pôle agricole n’est plus une utopie mais une réalité en marche. Il s’agit désormais d’ancrer cette dynamique dans une logique de durabilité, en intégrant des technologies de pointe, des pratiques agricoles responsables, et une gouvernance rigoureuse des ressources.

    L’Algérie, pays du soleil, pourrait bien devenir, à terme, l’un des leaders de la production céréalière en Afrique du Nord — et le Sahara, son grenier inattendu.

    🚨 L’Algérie Transforme le Sahara en Grenier Agricole : Une Révolution Verte en Marche Dans les profondeurs arides du Sahara algérien, une transformation sans précédent est en cours. Jadis terres hostiles balayées par les vents de sable, les wilayas du sud deviennent peu à peu les nouvelles terres nourricières de l’Algérie. À El Oued, Adrar ou encore Ouargla, la campagne de moisson-battage 2025 témoigne de cette révolution agricole, portée par une volonté politique forte et des moyens logistiques impressionnants. ➡️ Une moisson record dans le désert La saison agricole actuelle s’annonce exceptionnelle. À El Oued, pas moins de 370 000 quintaux de céréales sont attendus cette année. Le blé dur domine les récoltes, avec près de 272 000 quintaux estimés, cultivés sur 6 800 hectares. L’orge, lui, couvre environ 3 000 hectares. Ce bond en avant est le fruit d’une stratégie agricole offensive, qui vise à mobiliser chaque parcelle exploitable du territoire saharien. ➡️ Des moyens logistiques à la hauteur de l’ambition Pour soutenir cette campagne, l’État algérien a déployé une infrastructure impressionnante : 55 moissonneuses-batteuses, 13 ramasseuses-presses, et quatre centres d’engrangement d’une capacité totale de 267 000 quintaux ont été installés dans la seule wilaya d’El Oued. Des convois de plus de 120 camions sillonnent les routes désertiques pour acheminer les récoltes vers les centres de stockage. ➡️ Le Sahara, pilier d’un avenir agricole autosuffisant Au-delà des chiffres, c’est un changement de paradigme que connaît l’Algérie. Longtemps dépendante des importations pour son alimentation, le pays mise désormais sur le sud pour garantir sa sécurité alimentaire. Le projet de ferme géante à Adrar, développé en partenariat avec le groupe qatari Baladna, incarne cette ambition. À terme, il vise à produire du lait, des céréales, de la viande et des fourrages sur des milliers d'hectares. ➡️ Une réussite conditionnée par une gestion durable Cependant, cette révolution verte ne va pas sans défis. Le Sahara est une région fragile. Les ressources en eau, principalement issues de nappes fossiles, sont limitées. Des études montrent que ces nappes sont exploitées à un rythme bien supérieur à leur capacité de renouvellement. De plus, les aléas climatiques — sécheresse persistante, tempêtes de sable — peuvent compromettre les efforts engagés. ➡️ Vers un nouveau modèle agricole Malgré ces contraintes, l’élan est donné. La mutation du Sahara algérien en pôle agricole n’est plus une utopie mais une réalité en marche. Il s’agit désormais d’ancrer cette dynamique dans une logique de durabilité, en intégrant des technologies de pointe, des pratiques agricoles responsables, et une gouvernance rigoureuse des ressources. L’Algérie, pays du soleil, pourrait bien devenir, à terme, l’un des leaders de la production céréalière en Afrique du Nord — et le Sahara, son grenier inattendu.
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  • Raphinha : « La situation de Vitor Roque m’a beaucoup affecté . Un jour, Vitor était profondément touché par tout ce qui se disait sur son avenir. Pendant l'entraînement, il faisait des erreurs simples et répétées, puis il s’est mis à pleurer… Flick m’a appelé pour l’aider à traduire car il ne pouvait pas parler.

    Flick lui a demandé s’il voulait partir, et Vitor a répondu oui. L'entraîneur a alors dit : “Pas de problème, va te reposer.”

    Après l'entraînement, le coach nous a tous réunis. Il n’a pas crié, mais il a dit qu’on devait prendre soin les uns des autres, car le succès de l’équipe ne viendra que si nous avançons tous dans la même direction. »
    🚨 Raphinha : « La situation de Vitor Roque m’a beaucoup affecté . Un jour, Vitor était profondément touché par tout ce qui se disait sur son avenir. Pendant l'entraînement, il faisait des erreurs simples et répétées, puis il s’est mis à pleurer… Flick m’a appelé pour l’aider à traduire car il ne pouvait pas parler. Flick lui a demandé s’il voulait partir, et Vitor a répondu oui. L'entraîneur a alors dit : “Pas de problème, va te reposer.” Après l'entraînement, le coach nous a tous réunis. Il n’a pas crié, mais il a dit qu’on devait prendre soin les uns des autres, car le succès de l’équipe ne viendra que si nous avançons tous dans la même direction. »
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  • VISITE HISTORIQUE EN ALGÉRIE !

    Le Sultan d’Oman Haïtham ben Tarek foule pour la première fois le sol algérien depuis son arrivée au pouvoir en 2020. Deux jours d’État (4-5 mai) à l’invitation d’Abdelmadjid Tebboune pour sceller une alliance stratégique puissante.

    Après la visite de Tebboune à Mascate en 2024, place au retour :
    Cette fois, l’Algérie passe à l’offensive diplomatique.

    Objectif : partenariat béton.
    Des deals lourds et concrets dans l’énergie (Sonatrach), l’automobile (Hyundai à Batna), les mines, l’agriculture, les startups, la pharma, les finances, le tourisme…

    Cap sur la diversification et l’investissement bilatéral intelligent.
    Deux nations, une vision commune : bâtir l’avenir sans dépendre d’un seul secteur.

    #Algérie #Oman #DiplomatieActive #NouvelleÈre
    🚨 VISITE HISTORIQUE EN ALGÉRIE ! Le Sultan d’Oman Haïtham ben Tarek foule pour la première fois le sol algérien depuis son arrivée au pouvoir en 2020. Deux jours d’État (4-5 mai) à l’invitation d’Abdelmadjid Tebboune pour sceller une alliance stratégique puissante. Après la visite de Tebboune à Mascate en 2024, place au retour : Cette fois, l’Algérie passe à l’offensive diplomatique. Objectif : partenariat béton. Des deals lourds et concrets dans l’énergie (Sonatrach), l’automobile (Hyundai à Batna), les mines, l’agriculture, les startups, la pharma, les finances, le tourisme… Cap sur la diversification et l’investissement bilatéral intelligent. Deux nations, une vision commune : bâtir l’avenir sans dépendre d’un seul secteur. #Algérie #Oman #DiplomatieActive #NouvelleÈre
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  • "L'Espagne n'achète ni ne vend d'armement aux entreprises israéliennes et ne le fera pas non plus à l'avenir"
    🚨 "L'Espagne n'achète ni ne vend d'armement aux entreprises israéliennes et ne le fera pas non plus à l'avenir" 🇪🇸
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