• Revue de presse européenne : Luis Enrique et le PSG, une métamorphose saluée

    Le Paris Saint-Germain connaît une saison 2024-2025 exceptionnelle sous la direction de Luis Enrique. Après des années marquées par des résultats irréguliers et une dépendance aux stars, le club parisien semble enfin avoir trouvé son équilibre. La presse européenne salue unanimement le travail du technicien espagnol, qui a transformé le visage du PSG.

    ✅️ Un PSG nouveau, collectif et conquérant

    Sacré champion de France et qualifié pour la finale de la Ligue des champions face à l’Inter Milan, le PSG version Luis Enrique n’a plus rien à voir avec celui des années précédentes. Fini les individualités reines, place à une équipe soudée, intense, et tactiquement cohérente. Le Wall Street Journal souligne ainsi comment l’équipe s’est améliorée malgré les départs de Lionel Messi et Kylian Mbappé : « L’équipe qui a perdu Messi et Mbappé… et qui est devenue meilleure. »

    En France, les louanges ne manquent pas non plus. Le média AS rapporte que la transformation opérée par Luis Enrique a été perçue comme un tournant majeur, avec une reconnaissance nationale et internationale. Ousmane Dembélé, dynamiteur de l’attaque parisienne, a été élu meilleur joueur de Ligue 1, succédant à Mbappé. De son côté, l'entraîneur espagnol a été logiquement sacré meilleur coach de la saison par l’UNFP.

    ✅️ Luis Enrique, artisan de la reconstruction

    Luis Enrique a non seulement imposé un nouveau style de jeu, mais aussi instauré une discipline collective qui manquait cruellement au club. Ce renouveau a également permis de remettre certains joueurs sur pied. Kylian Mbappé, parti au Real Madrid, a lui-même reconnu que le duo Luis Enrique – Luis Campos avait été décisif dans une période difficile : « Je n’aurais pas remis un pied sur le terrain sans eux », a-t-il confié, en excluant toutefois le président Al-Khelaïfi de ses remerciements.

    ✅️ Un respect européen unanime

    L’Europe du football n’est pas en reste. En Espagne, Cadena SER et son journaliste Manu Carreño parlent d’un PSG « irréprochable » et d’un Luis Enrique indiscutable : « Personne ne peut le contester. » L’expression « Luchomanía » (en référence à Luis Enrique) gagne même du terrain dans les médias ibériques, soulignant l’influence positive et la popularité croissante de l’entraîneur.

    ✅️ Conclusion

    Luis Enrique a redonné au PSG une identité et une crédibilité qui lui manquaient cruellement. En finale de la Ligue des champions, Paris n’a jamais semblé aussi bien armé pour atteindre enfin son graal. Une chose est sûre : le PSG n’est plus simplement un club riche de stars, mais une équipe respectée, guidée par un entraîneur aux convictions fortes et au projet clair.

    🔵🔴 Revue de presse européenne : Luis Enrique et le PSG, une métamorphose saluée Le Paris Saint-Germain connaît une saison 2024-2025 exceptionnelle sous la direction de Luis Enrique. Après des années marquées par des résultats irréguliers et une dépendance aux stars, le club parisien semble enfin avoir trouvé son équilibre. La presse européenne salue unanimement le travail du technicien espagnol, qui a transformé le visage du PSG. ✅️ Un PSG nouveau, collectif et conquérant Sacré champion de France et qualifié pour la finale de la Ligue des champions face à l’Inter Milan, le PSG version Luis Enrique n’a plus rien à voir avec celui des années précédentes. Fini les individualités reines, place à une équipe soudée, intense, et tactiquement cohérente. Le Wall Street Journal souligne ainsi comment l’équipe s’est améliorée malgré les départs de Lionel Messi et Kylian Mbappé : « L’équipe qui a perdu Messi et Mbappé… et qui est devenue meilleure. » En France, les louanges ne manquent pas non plus. Le média AS rapporte que la transformation opérée par Luis Enrique a été perçue comme un tournant majeur, avec une reconnaissance nationale et internationale. Ousmane Dembélé, dynamiteur de l’attaque parisienne, a été élu meilleur joueur de Ligue 1, succédant à Mbappé. De son côté, l'entraîneur espagnol a été logiquement sacré meilleur coach de la saison par l’UNFP. ✅️ Luis Enrique, artisan de la reconstruction Luis Enrique a non seulement imposé un nouveau style de jeu, mais aussi instauré une discipline collective qui manquait cruellement au club. Ce renouveau a également permis de remettre certains joueurs sur pied. Kylian Mbappé, parti au Real Madrid, a lui-même reconnu que le duo Luis Enrique – Luis Campos avait été décisif dans une période difficile : « Je n’aurais pas remis un pied sur le terrain sans eux », a-t-il confié, en excluant toutefois le président Al-Khelaïfi de ses remerciements. ✅️ Un respect européen unanime L’Europe du football n’est pas en reste. En Espagne, Cadena SER et son journaliste Manu Carreño parlent d’un PSG « irréprochable » et d’un Luis Enrique indiscutable : « Personne ne peut le contester. » L’expression « Luchomanía » (en référence à Luis Enrique) gagne même du terrain dans les médias ibériques, soulignant l’influence positive et la popularité croissante de l’entraîneur. ✅️ Conclusion Luis Enrique a redonné au PSG une identité et une crédibilité qui lui manquaient cruellement. En finale de la Ligue des champions, Paris n’a jamais semblé aussi bien armé pour atteindre enfin son graal. Une chose est sûre : le PSG n’est plus simplement un club riche de stars, mais une équipe respectée, guidée par un entraîneur aux convictions fortes et au projet clair.
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  • Muhammad ALI : « Je porte le nom de notre bien-aimé prophète Muhammad, et il est impossible que je permette à des gens de piétiner son nom », avait déclaré Ali lors de la cérémonie.

    En 2002, Muhammad Ali, légende de la boxe et icône mondiale, est devenu la première personnalité à recevoir une étoile sur le célèbre Walk of Fame d'Hollywood sans que celle-ci soit posée au sol. Une décision inédite motivée par une conviction religieuse profonde.

    Contrairement aux milliers d'autres étoiles installées sur le trottoir du Hollywood Boulevard, celle d’Ali est fixée verticalement sur un mur, devant le Dolby Theatre. Ce choix singulier n’est pas anodin. Né Cassius Clay, le boxeur s’est converti à l’islam en 1964, adoptant le nom de Muhammad Ali. Refusant que son nom, identique à celui du prophète de l'islam, soit piétiné par les passants, il a expressément demandé que l’étoile soit placée hors du sol.

    « Je porte le nom de notre bien-aimé prophète Muhammad, et il est impossible que je permette à des gens de piétiner son nom », avait déclaré Ali lors de la cérémonie.

    La Chambre de commerce d’Hollywood a respecté ce souhait, rendant hommage à la fois à la stature légendaire du sportif et à son intégrité. Ce geste illustre une fois de plus l’influence d’Ali bien au-delà des rings : celle d’un homme fidèle à ses principes jusqu’au bout.
    🥊🥊 Muhammad ALI : « Je porte le nom de notre bien-aimé prophète Muhammad, et il est impossible que je permette à des gens de piétiner son nom », avait déclaré Ali lors de la cérémonie. En 2002, Muhammad Ali, légende de la boxe et icône mondiale, est devenu la première personnalité à recevoir une étoile sur le célèbre Walk of Fame d'Hollywood sans que celle-ci soit posée au sol. Une décision inédite motivée par une conviction religieuse profonde. Contrairement aux milliers d'autres étoiles installées sur le trottoir du Hollywood Boulevard, celle d’Ali est fixée verticalement sur un mur, devant le Dolby Theatre. Ce choix singulier n’est pas anodin. Né Cassius Clay, le boxeur s’est converti à l’islam en 1964, adoptant le nom de Muhammad Ali. Refusant que son nom, identique à celui du prophète de l'islam, soit piétiné par les passants, il a expressément demandé que l’étoile soit placée hors du sol. « Je porte le nom de notre bien-aimé prophète Muhammad, et il est impossible que je permette à des gens de piétiner son nom », avait déclaré Ali lors de la cérémonie. La Chambre de commerce d’Hollywood a respecté ce souhait, rendant hommage à la fois à la stature légendaire du sportif et à son intégrité. Ce geste illustre une fois de plus l’influence d’Ali bien au-delà des rings : celle d’un homme fidèle à ses principes jusqu’au bout.
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  • Monsieur le ministre de la santé rencontre le chef de l'Agence internationale de recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé

    En marge des sessions nationales de prévention et de lutte contre le cancer, tenues les 3 et 4 mai 2025 au centre international de conférence Abdul Latif Rahal dans la capitale sous le patronage suprême de Monsieur le Président, Monsieur le Ministre de la santé, Monsieur Abdul Haq, président de l'Agence internationale pour Recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, Dr Prtha Sarathi, s'est réuni en présence du président du comité national de prévention et de lutte contre le cancer, le professeur Ada Bongar.

    Au cours de cette réunion, le Ministre a souligné l'importance des programmes de prévention pour sauver des vies, notant que les problèmes de santé liés au cancer dans certains pays sont en grande partie dus à des changements de mode de vie, tels que l'alimentation et la pollution de l'environnement, ainsi qu'à des infrastructures

    Dans ce contexte, le ministre a ajouté qu'en Algérie, un double programme de travail a été approuvé pour la réorganisation du système de santé lié à la prise en charge des malades cancéreux, ainsi que pour la promotion de la culture de la prévention par des campagnes de sensibilisation et de sensibilisation

    De son côté, le représentant de l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer a présenté un résumé d'une étude réalisée par l'agence qui montre que d'ici 2040, nous verrons un changement radical des taux d'incidence du cancer et que le fardeau le plus lourd pour les pays sera les ressources

    Le porte-parole a fait remarquer qu'il ne pouvait pas seulement continuer à traiter le cancer, mais nous devons l'empêcher, indiquant que l'accent serait mis sur la recherche sur la prévention du cancer et sur la réhabilitation des patients atteints

    L'Algérie a été invitée à rejoindre l'agence de 29 Etats membres et à bénéficier de relations de coopération solides pour établir des partenariats de recherche, contribuer à améliorer les plans nationaux de lutte contre le cancer et échanger des expériences et des connaissances.

    Le Dr Parthi a également confirmé que l'organisation était prête à fournir tous les détails sur les étapes exécutives et les mécanismes de travail communs nécessaires, ainsi que le soutien technique disponible.

    En ce qui concerne les logiciels d'évaluation et de suivi, le Dr Parthi a affirmé que l'organisation était confrontée à certains défis dans les processus d'évaluation, mais qu'elle travaille à élaborer des méthodologies claires pour organiser les évaluations et préparer des indicateurs de performance précis pour s'assurer que les données produites

    Le conférencier a également donné un aperçu des programmes mis en œuvre, indiquant que des programmes de dépistage seront mis en œuvre dans plusieurs pays, notamment le dépistage du cancer du sein, le dépistage du cancer du col utérin, le dépistage du cancer du côlon et

    En ce qui concerne l'analyse de la voie de prise en charge et de traitement des patients atteints de cancer, il s'est assuré que trois points ont été identifiés : le délai entre l'apparition des symptômes et le diagnostic, le retard dans le diagnostic et le début du traitement, et le retard dans la réception du traitement approprié.

    Il a noté qu'en identifiant les facteurs qui influencent ces points, des recommandations pratiques pourraient être faites aux ministères de la santé des pays africains pour améliorer la qualité des soins dispensés.

    L'entrée du Dr Parthi a conclu que son organisation analyse la situation sanitaire dans chaque pays au moyen d'une étude approfondie visant à identifier les pays les plus touchés par le cancer, en analysant les facteurs de risque. Il a confirmé que les estimations indiquent que la plupart des cas de cancer sont associés à des facteurs ajustables tels que les modes de vie, ce qui exige que l'on se concentre sur les changements de comportement dès le début de l'école, en mettant l'accent sur l'adoption de mesures préventives
    Monsieur le ministre de la santé rencontre le chef de l'Agence internationale de recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé En marge des sessions nationales de prévention et de lutte contre le cancer, tenues les 3 et 4 mai 2025 au centre international de conférence Abdul Latif Rahal dans la capitale sous le patronage suprême de Monsieur le Président, Monsieur le Ministre de la santé, Monsieur Abdul Haq, président de l'Agence internationale pour Recherche contre le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, Dr Prtha Sarathi, s'est réuni en présence du président du comité national de prévention et de lutte contre le cancer, le professeur Ada Bongar. Au cours de cette réunion, le Ministre a souligné l'importance des programmes de prévention pour sauver des vies, notant que les problèmes de santé liés au cancer dans certains pays sont en grande partie dus à des changements de mode de vie, tels que l'alimentation et la pollution de l'environnement, ainsi qu'à des infrastructures Dans ce contexte, le ministre a ajouté qu'en Algérie, un double programme de travail a été approuvé pour la réorganisation du système de santé lié à la prise en charge des malades cancéreux, ainsi que pour la promotion de la culture de la prévention par des campagnes de sensibilisation et de sensibilisation De son côté, le représentant de l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer a présenté un résumé d'une étude réalisée par l'agence qui montre que d'ici 2040, nous verrons un changement radical des taux d'incidence du cancer et que le fardeau le plus lourd pour les pays sera les ressources Le porte-parole a fait remarquer qu'il ne pouvait pas seulement continuer à traiter le cancer, mais nous devons l'empêcher, indiquant que l'accent serait mis sur la recherche sur la prévention du cancer et sur la réhabilitation des patients atteints L'Algérie a été invitée à rejoindre l'agence de 29 Etats membres et à bénéficier de relations de coopération solides pour établir des partenariats de recherche, contribuer à améliorer les plans nationaux de lutte contre le cancer et échanger des expériences et des connaissances. Le Dr Parthi a également confirmé que l'organisation était prête à fournir tous les détails sur les étapes exécutives et les mécanismes de travail communs nécessaires, ainsi que le soutien technique disponible. En ce qui concerne les logiciels d'évaluation et de suivi, le Dr Parthi a affirmé que l'organisation était confrontée à certains défis dans les processus d'évaluation, mais qu'elle travaille à élaborer des méthodologies claires pour organiser les évaluations et préparer des indicateurs de performance précis pour s'assurer que les données produites Le conférencier a également donné un aperçu des programmes mis en œuvre, indiquant que des programmes de dépistage seront mis en œuvre dans plusieurs pays, notamment le dépistage du cancer du sein, le dépistage du cancer du col utérin, le dépistage du cancer du côlon et En ce qui concerne l'analyse de la voie de prise en charge et de traitement des patients atteints de cancer, il s'est assuré que trois points ont été identifiés : le délai entre l'apparition des symptômes et le diagnostic, le retard dans le diagnostic et le début du traitement, et le retard dans la réception du traitement approprié. Il a noté qu'en identifiant les facteurs qui influencent ces points, des recommandations pratiques pourraient être faites aux ministères de la santé des pays africains pour améliorer la qualité des soins dispensés. L'entrée du Dr Parthi a conclu que son organisation analyse la situation sanitaire dans chaque pays au moyen d'une étude approfondie visant à identifier les pays les plus touchés par le cancer, en analysant les facteurs de risque. Il a confirmé que les estimations indiquent que la plupart des cas de cancer sont associés à des facteurs ajustables tels que les modes de vie, ce qui exige que l'on se concentre sur les changements de comportement dès le début de l'école, en mettant l'accent sur l'adoption de mesures préventives
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  • TÉBESSA : Aux confins de l’Algérie, un joyau millénaire entre histoire, culture et renouveau

    Par-delà les montagnes arides de l’Est algérien, à quelques kilomètres seulement de la frontière tunisienne, se dresse fièrement Tébessa, cité chargée d’histoire et riche d’un patrimoine exceptionnel. Ancienne Theveste romaine, Tébessa est bien plus qu’une simple commune : c’est une mémoire vivante, un trait d’union entre les civilisations passées et les aspirations contemporaines d’un territoire en quête de renaissance.

    ✅️ Un héritage historique hors du commun

    Tébessa fut, dès l’Antiquité, un centre stratégique de la Numidie puis de l’Empire romain. Ses monuments, remarquablement conservés, en témoignent avec éloquence. Le Temple de Minerve, datant du IIe siècle, trône encore majestueusement au cœur de la ville. Érigé en l’honneur de la déesse de la sagesse, ce temple de style corinthien est l’un des rares édifices antiques aussi bien préservés en Algérie.

    À quelques pas de là, l’Arc de Caracalla, construit en 212 pour commémorer la visite de l’empereur romain, témoigne du prestige de la cité dans l’Empire. Et que dire de la Basilique Sainte-Crispine ? Édifiée au début du IVe siècle, elle est l’un des plus anciens lieux de culte chrétien du Maghreb, abritant des cryptes et galeries funéraires uniques dans la région.

    Ces vestiges, loin d’être figés dans le passé, continuent d’inspirer l’identité des habitants et de susciter l’émerveillement des visiteurs.

    ✅️ Une culture enracinée et vivante

    Au-delà de ses ruines antiques, Tébessa est aussi le cœur battant d’une culture berbère authentique. Ses traditions se transmettent de génération en génération, que ce soit à travers l’artisanat, les contes populaires ou les festivals locaux. Chaque année, la commune organise des événements qui célèbrent cette richesse, alliant danses folkloriques, poésie chaouie, musiques traditionnelles et gastronomie locale.

    Le dialecte berbère y est toujours pratiqué, tout comme l’arabe, et reflète la diversité linguistique et culturelle de cette région frontalière, carrefour d’influences entre l’Est algérien et l’Ouest tunisien.

    ✅️ Une nature généreuse, une terre de ressources

    Entourée de montagnes et de plaines fertiles, Tébessa bénéficie d’un climat méditerranéen semi-aride, propice à l’agriculture. Les cultures de céréales, d’olives et de légumes y prospèrent depuis des siècles. Cette richesse agricole est un pilier de l’économie locale, tout comme l’exploitation minière, notamment la célèbre mine de fer d’Ouenza, la plus importante du pays.

    Tébessa joue également un rôle central dans les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Tunisie. Ce positionnement stratégique lui confère une dynamique particulière, entre tradition rurale et modernité urbaine.

    ✅️ Une ville tournée vers l’avenir

    Longtemps oubliée des circuits touristiques, Tébessa regagne aujourd’hui sa place sur la carte. Les autorités locales, historiens et habitants s’emploient à valoriser le patrimoine, à développer l’écotourisme et à moderniser les infrastructures. Le potentiel est immense : allier le charme intemporel de ses vestiges à une vision durable du développement.

    ✅️ Conclusion

    Tébessa n’est pas une ville ordinaire. Elle incarne l’âme de l’Algérie millénaire, à la croisée des cultures, des époques et des aspirations. Elle est à la fois un musée à ciel ouvert, un berceau de traditions et une terre d’avenir.

    Visiter Tébessa, c’est marcher sur les traces des empereurs romains, entendre les échos des poètes berbères, et ressentir l’esprit d’un peuple fier de son passé et confiant en son futur.
    #myqif #tébessa #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news

    🇩🇿 TÉBESSA : Aux confins de l’Algérie, un joyau millénaire entre histoire, culture et renouveau 🇩🇿 Par-delà les montagnes arides de l’Est algérien, à quelques kilomètres seulement de la frontière tunisienne, se dresse fièrement Tébessa, cité chargée d’histoire et riche d’un patrimoine exceptionnel. Ancienne Theveste romaine, Tébessa est bien plus qu’une simple commune : c’est une mémoire vivante, un trait d’union entre les civilisations passées et les aspirations contemporaines d’un territoire en quête de renaissance. ✅️ Un héritage historique hors du commun Tébessa fut, dès l’Antiquité, un centre stratégique de la Numidie puis de l’Empire romain. Ses monuments, remarquablement conservés, en témoignent avec éloquence. Le Temple de Minerve, datant du IIe siècle, trône encore majestueusement au cœur de la ville. Érigé en l’honneur de la déesse de la sagesse, ce temple de style corinthien est l’un des rares édifices antiques aussi bien préservés en Algérie. À quelques pas de là, l’Arc de Caracalla, construit en 212 pour commémorer la visite de l’empereur romain, témoigne du prestige de la cité dans l’Empire. Et que dire de la Basilique Sainte-Crispine ? Édifiée au début du IVe siècle, elle est l’un des plus anciens lieux de culte chrétien du Maghreb, abritant des cryptes et galeries funéraires uniques dans la région. Ces vestiges, loin d’être figés dans le passé, continuent d’inspirer l’identité des habitants et de susciter l’émerveillement des visiteurs. ✅️ Une culture enracinée et vivante Au-delà de ses ruines antiques, Tébessa est aussi le cœur battant d’une culture berbère authentique. Ses traditions se transmettent de génération en génération, que ce soit à travers l’artisanat, les contes populaires ou les festivals locaux. Chaque année, la commune organise des événements qui célèbrent cette richesse, alliant danses folkloriques, poésie chaouie, musiques traditionnelles et gastronomie locale. Le dialecte berbère y est toujours pratiqué, tout comme l’arabe, et reflète la diversité linguistique et culturelle de cette région frontalière, carrefour d’influences entre l’Est algérien et l’Ouest tunisien. ✅️ Une nature généreuse, une terre de ressources Entourée de montagnes et de plaines fertiles, Tébessa bénéficie d’un climat méditerranéen semi-aride, propice à l’agriculture. Les cultures de céréales, d’olives et de légumes y prospèrent depuis des siècles. Cette richesse agricole est un pilier de l’économie locale, tout comme l’exploitation minière, notamment la célèbre mine de fer d’Ouenza, la plus importante du pays. Tébessa joue également un rôle central dans les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Tunisie. Ce positionnement stratégique lui confère une dynamique particulière, entre tradition rurale et modernité urbaine. ✅️ Une ville tournée vers l’avenir Longtemps oubliée des circuits touristiques, Tébessa regagne aujourd’hui sa place sur la carte. Les autorités locales, historiens et habitants s’emploient à valoriser le patrimoine, à développer l’écotourisme et à moderniser les infrastructures. Le potentiel est immense : allier le charme intemporel de ses vestiges à une vision durable du développement. ✅️ Conclusion Tébessa n’est pas une ville ordinaire. Elle incarne l’âme de l’Algérie millénaire, à la croisée des cultures, des époques et des aspirations. Elle est à la fois un musée à ciel ouvert, un berceau de traditions et une terre d’avenir. Visiter Tébessa, c’est marcher sur les traces des empereurs romains, entendre les échos des poètes berbères, et ressentir l’esprit d’un peuple fier de son passé et confiant en son futur. #myqif #tébessa #algeria #algerie #infos #ActuAlgérie #news
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  • Les vêtements traditionnels algériens : un patrimoine riche et régionalisé

    L’Algérie possède un héritage vestimentaire exceptionnel, reflet de sa diversité culturelle et de son histoire millénaire. Chaque région du pays a su préserver et transmettre ses propres tenues traditionnelles, portées encore aujourd’hui lors des fêtes, mariages et cérémonies religieuses. Ces habits varient en style, en matières et en ornements, selon les climats, les coutumes et les influences historiques.

    ✅️ Vêtements féminins traditionnels

    La robe kabyle (taqendurt) : Originaire de Kabylie, cette robe colorée en coton est brodée de motifs géométriques et souvent associée à des bijoux en argent.
    La blouza oranaise : Typique de l’ouest algérien, notamment Oran, cette robe élégante en soie ou en velours est portée lors des grandes occasions.
    Le karakou : Vêtement emblématique d’Alger, composé d’une veste en velours brodée d’or, portée avec un pantalon ou une jupe large.
    Le caftan algérien : Présent dans plusieurs régions, c’est une robe longue richement décorée, symbole d’élégance dans les cérémonies.
    Le haïk : Voile blanc couvrant tout le corps, autrefois courant dans toutes les grandes villes, aujourd’hui conservé pour des occasions spéciales.

    ✅️ Vêtements masculins traditionnels

    Le burnous : Manteau en laine muni d'une capuche, porté principalement dans les zones montagneuses comme la Kabylie ou les Aurès. Il symbolise la sagesse et la dignité.
    La gandoura : Tunique ample sans manches, portée dans le Nord et le Sud, adaptée aux chaleurs du climat.
    Le sarouel : Pantalon large et confortable, très utilisé dans toutes les régions.
    La chachia : Petit couvre-chef rouge, souvent porté lors des fêtes ou en combinaison avec d’autres vêtements traditionnels.
    Le tagoulmoust (voile facial touareg) : Porté dans le Sahara, il protège du sable et de la chaleur.

    ✅️ Des influences régionales variées

    En Kabylie, les vêtements sont brodés de couleurs vives, souvent accompagnés de bijoux berbères en argent.
    À Oran, l’influence andalouse se reflète dans les tenues sophistiquées comme la blouza.
    À Constantine et à l’Est, le port du burnous et de la gandoura est très répandu.
    Dans le Sahara, les tenues touarègues sont conçues pour affronter les conditions climatiques extrêmes.

    ✅️ Un patrimoine vivant

    Bien que modernisées, ces tenues sont toujours présentes dans les mariages, fêtes religieuses et défilés culturels. Elles incarnent un lien fort avec les racines et l’identité algérienne, témoignant de la richesse et de la diversité du patrimoine vestimentaire du pays.
    #cultureAlgérienne #Algérie #Algeria #MyQif
    🇩🇿🇩🇿 Les vêtements traditionnels algériens : un patrimoine riche et régionalisé 🇩🇿🇩🇿 L’Algérie possède un héritage vestimentaire exceptionnel, reflet de sa diversité culturelle et de son histoire millénaire. Chaque région du pays a su préserver et transmettre ses propres tenues traditionnelles, portées encore aujourd’hui lors des fêtes, mariages et cérémonies religieuses. Ces habits varient en style, en matières et en ornements, selon les climats, les coutumes et les influences historiques. ✅️ Vêtements féminins traditionnels ➡️ La robe kabyle (taqendurt) : Originaire de Kabylie, cette robe colorée en coton est brodée de motifs géométriques et souvent associée à des bijoux en argent. ➡️ La blouza oranaise : Typique de l’ouest algérien, notamment Oran, cette robe élégante en soie ou en velours est portée lors des grandes occasions. ➡️ Le karakou : Vêtement emblématique d’Alger, composé d’une veste en velours brodée d’or, portée avec un pantalon ou une jupe large. ➡️ Le caftan algérien : Présent dans plusieurs régions, c’est une robe longue richement décorée, symbole d’élégance dans les cérémonies. ➡️ Le haïk : Voile blanc couvrant tout le corps, autrefois courant dans toutes les grandes villes, aujourd’hui conservé pour des occasions spéciales. ✅️ Vêtements masculins traditionnels ➡️ Le burnous : Manteau en laine muni d'une capuche, porté principalement dans les zones montagneuses comme la Kabylie ou les Aurès. Il symbolise la sagesse et la dignité. ➡️ La gandoura : Tunique ample sans manches, portée dans le Nord et le Sud, adaptée aux chaleurs du climat. ➡️ Le sarouel : Pantalon large et confortable, très utilisé dans toutes les régions. ➡️ La chachia : Petit couvre-chef rouge, souvent porté lors des fêtes ou en combinaison avec d’autres vêtements traditionnels. ➡️ Le tagoulmoust (voile facial touareg) : Porté dans le Sahara, il protège du sable et de la chaleur. ✅️ Des influences régionales variées ➡️ En Kabylie, les vêtements sont brodés de couleurs vives, souvent accompagnés de bijoux berbères en argent. ➡️ À Oran, l’influence andalouse se reflète dans les tenues sophistiquées comme la blouza. ➡️ À Constantine et à l’Est, le port du burnous et de la gandoura est très répandu. ➡️ Dans le Sahara, les tenues touarègues sont conçues pour affronter les conditions climatiques extrêmes. ✅️ Un patrimoine vivant Bien que modernisées, ces tenues sont toujours présentes dans les mariages, fêtes religieuses et défilés culturels. Elles incarnent un lien fort avec les racines et l’identité algérienne, témoignant de la richesse et de la diversité du patrimoine vestimentaire du pays. #cultureAlgérienne #Algérie #Algeria #MyQif
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  • Mostaganem, entre mer, mémoire et culture : la fière méditerranéenne

    Située sur la côte nord-ouest de l’Algérie, Mostaganem est l’une des communes les plus charmantes et attachantes du pays. Baignée par les eaux bleues de la Méditerranée, cette ville portuaire est un carrefour entre histoire ancienne, tradition populaire et modernité discrète. Mostaganem, c’est une ville aux multiples visages : un héritage historique fascinant, une culture vivace et une nature généreuse qui séduisent les visiteurs en quête d’authenticité.

    Une histoire riche et plurielle

    Fondée à l’époque antique, probablement sous influence phénicienne puis romaine, Mostaganem fut tour à tour habitée par les Zianides, les Espagnols, les Ottomans et les Français. Chaque période a laissé son empreinte sur la ville, créant un patrimoine diversifié et profondément enraciné. On retrouve des traces de son passé à travers ses fortifications, ses anciennes médinas, ses mosquées séculaires et ses bâtiments coloniaux au charme désuet.

    La vieille ville de Tidgit, avec ses ruelles étroites et ses bâtisses typiques, incarne l’âme de Mostaganem. À cela s’ajoute la mosquée de Sidi Lakhdar, joyau architectural du XVIIe siècle, érigée par les Ottomans et toujours en activité, rappelant le rôle spirituel de la ville à travers les âges.

    Une ville tournée vers la mer

    Mostaganem est aussi un joyau maritime. Son littoral s’étend sur des kilomètres de plages sablonneuses et de falaises spectaculaires. Des plages comme Sablettes, Kharouba, Plage de Salamandre ou Stidia attirent chaque année des milliers de vacanciers venus profiter d’un cadre naturel paisible et encore préservé. Le port de pêche, actif et animé, reste le cœur vivant de la commune, où les traditions maritimes perdurent depuis des siècles.

    La Corniche de Mostaganem, récemment aménagée, offre un panorama exceptionnel sur la mer, idéal pour les promenades au coucher du soleil ou les soirées estivales animées.

    Un berceau culturel et artistique

    Mostaganem est aussi connue pour être une terre de culture populaire, notamment grâce à sa tradition théâtrale. Elle est considérée comme la capitale du théâtre algérien, grâce à l’œuvre pionnière de figures telles que Abdelkader Alloula, dont l’héritage continue d’inspirer la scène culturelle locale.

    Chaque année, des festivals culturels, expositions, pièces de théâtre et concerts animent la ville, témoignant d’une vie artistique riche et accessible. La musique bedoui, le maalouf et les chants populaires traditionnels résonnent encore dans les cafés et lors des fêtes locales.

    Une gastronomie et un art de vivre uniques

    Impossible de parler de Mostaganem sans évoquer sa cuisine, savoureuse et généreuse. De la chorba frik au m’derbel, en passant par les galettes au miel et le poisson frit, la gastronomie mostaganémoise est un véritable voyage culinaire aux saveurs méditerranéennes et andalouses.

    L’hospitalité de ses habitants, leur fierté locale et leur attachement aux traditions font aussi de Mostaganem un lieu accueillant, où il fait bon vivre comme séjourner.

    Une dynamique de développement tournée vers l’avenir

    Avec une volonté affirmée de valoriser son patrimoine, d’améliorer son offre touristique et de préserver ses ressources naturelles, Mostaganem s’inscrit dans une dynamique de modernisation maîtrisée. Son pôle universitaire, son port commercial en expansion et ses projets culturels en font une ville qui avance sans renier son identité.

    Mostaganem, c’est l’élégance d’une ville maritime, la mémoire d’un passé glorieux, et la chaleur d’un peuple fier. Une commune où l’histoire et la mer se rencontrent dans un souffle de beauté et de tradition.
    #myqif #Mostaganem #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism

    🇩🇿 Mostaganem, entre mer, mémoire et culture : la fière méditerranéenne 🇩🇿 Située sur la côte nord-ouest de l’Algérie, Mostaganem est l’une des communes les plus charmantes et attachantes du pays. Baignée par les eaux bleues de la Méditerranée, cette ville portuaire est un carrefour entre histoire ancienne, tradition populaire et modernité discrète. Mostaganem, c’est une ville aux multiples visages : un héritage historique fascinant, une culture vivace et une nature généreuse qui séduisent les visiteurs en quête d’authenticité. Une histoire riche et plurielle Fondée à l’époque antique, probablement sous influence phénicienne puis romaine, Mostaganem fut tour à tour habitée par les Zianides, les Espagnols, les Ottomans et les Français. Chaque période a laissé son empreinte sur la ville, créant un patrimoine diversifié et profondément enraciné. On retrouve des traces de son passé à travers ses fortifications, ses anciennes médinas, ses mosquées séculaires et ses bâtiments coloniaux au charme désuet. La vieille ville de Tidgit, avec ses ruelles étroites et ses bâtisses typiques, incarne l’âme de Mostaganem. À cela s’ajoute la mosquée de Sidi Lakhdar, joyau architectural du XVIIe siècle, érigée par les Ottomans et toujours en activité, rappelant le rôle spirituel de la ville à travers les âges. Une ville tournée vers la mer Mostaganem est aussi un joyau maritime. Son littoral s’étend sur des kilomètres de plages sablonneuses et de falaises spectaculaires. Des plages comme Sablettes, Kharouba, Plage de Salamandre ou Stidia attirent chaque année des milliers de vacanciers venus profiter d’un cadre naturel paisible et encore préservé. Le port de pêche, actif et animé, reste le cœur vivant de la commune, où les traditions maritimes perdurent depuis des siècles. La Corniche de Mostaganem, récemment aménagée, offre un panorama exceptionnel sur la mer, idéal pour les promenades au coucher du soleil ou les soirées estivales animées. Un berceau culturel et artistique Mostaganem est aussi connue pour être une terre de culture populaire, notamment grâce à sa tradition théâtrale. Elle est considérée comme la capitale du théâtre algérien, grâce à l’œuvre pionnière de figures telles que Abdelkader Alloula, dont l’héritage continue d’inspirer la scène culturelle locale. Chaque année, des festivals culturels, expositions, pièces de théâtre et concerts animent la ville, témoignant d’une vie artistique riche et accessible. La musique bedoui, le maalouf et les chants populaires traditionnels résonnent encore dans les cafés et lors des fêtes locales. Une gastronomie et un art de vivre uniques Impossible de parler de Mostaganem sans évoquer sa cuisine, savoureuse et généreuse. De la chorba frik au m’derbel, en passant par les galettes au miel et le poisson frit, la gastronomie mostaganémoise est un véritable voyage culinaire aux saveurs méditerranéennes et andalouses. L’hospitalité de ses habitants, leur fierté locale et leur attachement aux traditions font aussi de Mostaganem un lieu accueillant, où il fait bon vivre comme séjourner. Une dynamique de développement tournée vers l’avenir Avec une volonté affirmée de valoriser son patrimoine, d’améliorer son offre touristique et de préserver ses ressources naturelles, Mostaganem s’inscrit dans une dynamique de modernisation maîtrisée. Son pôle universitaire, son port commercial en expansion et ses projets culturels en font une ville qui avance sans renier son identité. Mostaganem, c’est l’élégance d’une ville maritime, la mémoire d’un passé glorieux, et la chaleur d’un peuple fier. Une commune où l’histoire et la mer se rencontrent dans un souffle de beauté et de tradition. #myqif #Mostaganem #Algérie #Algeria #tourismeAlgérie #Algeriatourism
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  • "Ghardaia City is a distinctive heritage and an icon of civilized coexistence."

    Among the most prominent places that tourists should not miss in the Algerian desert is the state of Ghardaia, particularly the two cities of Ghardaia and Metlili, which are located 600 kilometers south of the capital in the northern region of the Algerian desert. The origin of the name "Ghardaia" goes back to "Ghar Daya," referring to a woman named Daya who used to live in a cave ("Ghar"). It was a stop for travelers, and from her, the name Ghardaia emerged. It is bordered by several states, such as Laghouat and the Wilaya of Ouargla. The reconstruction of the city dates back thousands of years, as evidenced by the Berber inscriptions on the rocks surrounding the city. The ancient city was surrounded by many palaces built by the Amazigh tribes, known as the residents of gutter, and some Arab tribes that settled in the region.

    Public life in the city of Ghardaia: There are many aspects of ancient life in the governorate of Ghardaia, and its residents work in various professions, especially in multiple industries. The population exceeds 400,000 people.

    The social nature of the population was clearly influenced by its construction and the nature of the Algerian desert, which created harsh economic and social conditions that drove its residents to adopt a controlled social system based on unity, coexistence, and respect among all parts of society.

    Monuments in the city of Ghardaia: There are many archaeological monuments in the city of Ghardaia and other nearby cities, especially the ancient palaces that attest to its archaeological heritage. The most important of these palaces are: the Palace of Ghardaia, the Palace of Metlili (Metlili Chaamba), the Quarara Palace, the Palace of Bani Yazqn, the Brian Palace, and others. Ghardaia is also characterized by the spread of many religious monuments, the most important of which are the ancient mosques established with the arrival of Islam. Ghardaia is known for its unique architectural nature, linked to the construction of traditional housing.

    Traditional Industries: One of the most important traditional industries in Ghardaia is carpet weaving, which is very popular. In addition to woolen clothing, such as Qandurah, Qushabiyya, and Khumri, the state is also famous for engraving on copper and wood, leather, pottery, and artifacts.

    Tourism: Ghardaia is distinguished by the generosity of its residents and their permanent welcome to visitors from inside and outside the country. The preservation of the social system and distinctive traditions impresses everyone who visits the city. Tourists in Ghardaia are dazzled by the harmony in every corner and in every social, commercial, or cultural transaction that combines the local population with everyone who sets foot in the city. The lighthouse that appears from every corner of the city is one of its most prominent features, one of the minarets in Ghardaia, constructed in a way that preserved the simplicity of urbanization in religious monuments in the valley. Eid al-Zurbiyya in Ghardaia and Eid al-Mahri in the city of Metlili are among the most important commercial and cultural events in the quiet region throughout the year. These events attract many craftsmen and merchants from all over Algeria, in addition to tourists who are fascinated by the creations of craftsmen in carpet making, full of stories. The city is also especially known for the unique type of dates called Dagleet-Nour. The city of Zelfana (65 km away) is known for its mineral baths.

    #Ghardaia #Algeria #Algérie
    🇩🇿 "Ghardaia City is a distinctive heritage and an icon of civilized coexistence." 🇩🇿 Among the most prominent places that tourists should not miss in the Algerian desert is the state of Ghardaia, particularly the two cities of Ghardaia and Metlili, which are located 600 kilometers south of the capital in the northern region of the Algerian desert. The origin of the name "Ghardaia" goes back to "Ghar Daya," referring to a woman named Daya who used to live in a cave ("Ghar"). It was a stop for travelers, and from her, the name Ghardaia emerged. It is bordered by several states, such as Laghouat and the Wilaya of Ouargla. The reconstruction of the city dates back thousands of years, as evidenced by the Berber inscriptions on the rocks surrounding the city. The ancient city was surrounded by many palaces built by the Amazigh tribes, known as the residents of gutter, and some Arab tribes that settled in the region. Public life in the city of Ghardaia: There are many aspects of ancient life in the governorate of Ghardaia, and its residents work in various professions, especially in multiple industries. The population exceeds 400,000 people. The social nature of the population was clearly influenced by its construction and the nature of the Algerian desert, which created harsh economic and social conditions that drove its residents to adopt a controlled social system based on unity, coexistence, and respect among all parts of society. Monuments in the city of Ghardaia: There are many archaeological monuments in the city of Ghardaia and other nearby cities, especially the ancient palaces that attest to its archaeological heritage. The most important of these palaces are: the Palace of Ghardaia, the Palace of Metlili (Metlili Chaamba), the Quarara Palace, the Palace of Bani Yazqn, the Brian Palace, and others. Ghardaia is also characterized by the spread of many religious monuments, the most important of which are the ancient mosques established with the arrival of Islam. Ghardaia is known for its unique architectural nature, linked to the construction of traditional housing. Traditional Industries: One of the most important traditional industries in Ghardaia is carpet weaving, which is very popular. In addition to woolen clothing, such as Qandurah, Qushabiyya, and Khumri, the state is also famous for engraving on copper and wood, leather, pottery, and artifacts. Tourism: Ghardaia is distinguished by the generosity of its residents and their permanent welcome to visitors from inside and outside the country. The preservation of the social system and distinctive traditions impresses everyone who visits the city. Tourists in Ghardaia are dazzled by the harmony in every corner and in every social, commercial, or cultural transaction that combines the local population with everyone who sets foot in the city. The lighthouse that appears from every corner of the city is one of its most prominent features, one of the minarets in Ghardaia, constructed in a way that preserved the simplicity of urbanization in religious monuments in the valley. Eid al-Zurbiyya in Ghardaia and Eid al-Mahri in the city of Metlili are among the most important commercial and cultural events in the quiet region throughout the year. These events attract many craftsmen and merchants from all over Algeria, in addition to tourists who are fascinated by the creations of craftsmen in carpet making, full of stories. The city is also especially known for the unique type of dates called Dagleet-Nour. The city of Zelfana (65 km away) is known for its mineral baths. #Ghardaia #Algeria #Algérie
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