• Béjaïa, perle de la Méditerranée et sentinelle de l’histoire kabyle

    Entre la mer et la montagne, entre le souvenir des civilisations et l’éclat éternel de ses paysages, Béjaïa se dresse comme un joyau délicatement posé sur la côte algérienne. Ville de lumière et de mémoire, elle offre à celui qui s’y attarde une leçon d’élégance naturelle et de profondeur historique.

    Béjaïa. À la seule évocation de son nom, le voyageur imagine déjà l’odeur du sel marin mêlée aux senteurs des pins d’Alep, le bruit du ressac contre les rochers, et le chant discret du vent qui s’élève des montagnes du Djurdjura. Nichée entre mer et falaises, cette ville kabyle, autrefois appelée Bougie par les navigateurs et les marchands européens, possède une aura qui dépasse largement les frontières de l’Algérie. Elle est un écrin où se conjuguent, avec une rare harmonie, la beauté brute de la nature et la richesse d’un passé plurimillénaire.

    Il faut voir le soleil se lever sur le cap Carbon pour comprendre ce qui rend Béjaïa si singulière. Les premiers rayons glissent sur les eaux calmes de la baie, caressent les crêtes boisées du parc national de Gouraya, puis s’attardent sur les vieilles pierres des bâtisses hammadides, témoins d’une époque où la ville était une capitale florissante, un phare de science et de culture dans tout le bassin méditerranéen. Car Béjaïa, avant d’être une station balnéaire prisée ou une ville portuaire, fut une métropole intellectuelle de premier plan, accueillant au XIe siècle savants, astronomes, philosophes, et même le célèbre mathématicien Fibonacci, qui y découvrit les chiffres dits « arabes » avant de les transmettre à l’Europe.

    Chaque ruelle du centre historique semble porter l’écho discret des civilisations qui s’y sont succédé : phéniciens, romains, vandales, byzantins, arabes, berbères, tous ont laissé une empreinte. Mais c’est sous la dynastie des Hammadides que Béjaïa connut son apogée. Capitale raffinée, elle rayonnait par ses bibliothèques, ses écoles et ses jardins, devenant un véritable carrefour culturel où se croisaient langues, croyances et idées.

    Aujourd’hui encore, l’on peut contempler la Porte de la mer, vestige imposant de cette époque fastueuse, ouvrant autrefois sur le monde connu et sur les flottes venues de Tunis, de Gênes ou de Marseille. Les murs, patinés par le temps et les embruns, racontent en silence la gloire passée d’une ville qui fut, des siècles durant, l’une des capitales intellectuelles du Maghreb.

    Mais l’histoire n’est pas la seule à captiver à Béjaïa. La nature y déploie une majesté presque irréelle. Le parc national de Gouraya, classé réserve de biosphère par l’UNESCO, abrite une biodiversité rare, entre forêts denses, falaises abruptes plongeant dans la mer et sommets calcaires offrant des vues panoramiques à couper le souffle. C’est là, dans ce royaume suspendu entre ciel et terre, que vit encore le singe magot, témoin silencieux de l’harmonie millénaire entre l’homme et la nature.

    Les plages de Béjaïa, quant à elles, n’ont rien à envier aux plus grandes destinations méditerranéennes. Celles de Tichy, Aokas, Saket ou Boulimat s’étendent en courbes douces, bordées de collines verdoyantes. Le sable y est blond, les eaux limpides, et l’atmosphère, toujours, est empreinte de cette douceur de vivre propre aux villes maritimes où l’histoire se mêle à la brise.

    Ce qui frappe le plus à Béjaïa, c’est sans doute cette capacité à conjuguer la majesté du passé avec la beauté intacte de son environnement. Rien n’y semble figé, mais tout respire l’authenticité. Que l’on s’aventure dans les hauteurs du fort de Gouraya, que l’on déambule sur la corniche au coucher du soleil, ou que l’on se recueille devant les vestiges antiques, on ressent toujours la même émotion : celle d’être à la fois minuscule devant tant de grandeur, et infiniment lié à ce lieu qui, sans effort, parle à l’âme.

    Béjaïa n’est pas qu’une ville. Elle est une poésie minérale, un récit vivant, une offrande à tous ceux qui savent encore regarder le monde avec émerveillement.
    #Algérie #Algeria #Bejaïa

    🇩🇿🇩🇿 Béjaïa, perle de la Méditerranée et sentinelle de l’histoire kabyle 🇩🇿 Entre la mer et la montagne, entre le souvenir des civilisations et l’éclat éternel de ses paysages, Béjaïa se dresse comme un joyau délicatement posé sur la côte algérienne. Ville de lumière et de mémoire, elle offre à celui qui s’y attarde une leçon d’élégance naturelle et de profondeur historique. Béjaïa. À la seule évocation de son nom, le voyageur imagine déjà l’odeur du sel marin mêlée aux senteurs des pins d’Alep, le bruit du ressac contre les rochers, et le chant discret du vent qui s’élève des montagnes du Djurdjura. Nichée entre mer et falaises, cette ville kabyle, autrefois appelée Bougie par les navigateurs et les marchands européens, possède une aura qui dépasse largement les frontières de l’Algérie. Elle est un écrin où se conjuguent, avec une rare harmonie, la beauté brute de la nature et la richesse d’un passé plurimillénaire. Il faut voir le soleil se lever sur le cap Carbon pour comprendre ce qui rend Béjaïa si singulière. Les premiers rayons glissent sur les eaux calmes de la baie, caressent les crêtes boisées du parc national de Gouraya, puis s’attardent sur les vieilles pierres des bâtisses hammadides, témoins d’une époque où la ville était une capitale florissante, un phare de science et de culture dans tout le bassin méditerranéen. Car Béjaïa, avant d’être une station balnéaire prisée ou une ville portuaire, fut une métropole intellectuelle de premier plan, accueillant au XIe siècle savants, astronomes, philosophes, et même le célèbre mathématicien Fibonacci, qui y découvrit les chiffres dits « arabes » avant de les transmettre à l’Europe. Chaque ruelle du centre historique semble porter l’écho discret des civilisations qui s’y sont succédé : phéniciens, romains, vandales, byzantins, arabes, berbères, tous ont laissé une empreinte. Mais c’est sous la dynastie des Hammadides que Béjaïa connut son apogée. Capitale raffinée, elle rayonnait par ses bibliothèques, ses écoles et ses jardins, devenant un véritable carrefour culturel où se croisaient langues, croyances et idées. Aujourd’hui encore, l’on peut contempler la Porte de la mer, vestige imposant de cette époque fastueuse, ouvrant autrefois sur le monde connu et sur les flottes venues de Tunis, de Gênes ou de Marseille. Les murs, patinés par le temps et les embruns, racontent en silence la gloire passée d’une ville qui fut, des siècles durant, l’une des capitales intellectuelles du Maghreb. Mais l’histoire n’est pas la seule à captiver à Béjaïa. La nature y déploie une majesté presque irréelle. Le parc national de Gouraya, classé réserve de biosphère par l’UNESCO, abrite une biodiversité rare, entre forêts denses, falaises abruptes plongeant dans la mer et sommets calcaires offrant des vues panoramiques à couper le souffle. C’est là, dans ce royaume suspendu entre ciel et terre, que vit encore le singe magot, témoin silencieux de l’harmonie millénaire entre l’homme et la nature. Les plages de Béjaïa, quant à elles, n’ont rien à envier aux plus grandes destinations méditerranéennes. Celles de Tichy, Aokas, Saket ou Boulimat s’étendent en courbes douces, bordées de collines verdoyantes. Le sable y est blond, les eaux limpides, et l’atmosphère, toujours, est empreinte de cette douceur de vivre propre aux villes maritimes où l’histoire se mêle à la brise. Ce qui frappe le plus à Béjaïa, c’est sans doute cette capacité à conjuguer la majesté du passé avec la beauté intacte de son environnement. Rien n’y semble figé, mais tout respire l’authenticité. Que l’on s’aventure dans les hauteurs du fort de Gouraya, que l’on déambule sur la corniche au coucher du soleil, ou que l’on se recueille devant les vestiges antiques, on ressent toujours la même émotion : celle d’être à la fois minuscule devant tant de grandeur, et infiniment lié à ce lieu qui, sans effort, parle à l’âme. Béjaïa n’est pas qu’une ville. Elle est une poésie minérale, un récit vivant, une offrande à tous ceux qui savent encore regarder le monde avec émerveillement. #Algérie #Algeria #Bejaïa
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  • Constantine : la ville des ponts suspendus entre mémoire et renouveau

    Constantine, perchée sur des falaises spectaculaires du nord-est algérien, fascine par sa beauté naturelle et son héritage historique. Surnommée la « ville des ponts suspendus », elle relie passé prestigieux et ambitions modernes, offrant une expérience unique entre culture, architecture et innovation.

    Un héritage millénaire au cœur des montagnes

    Fondée par les Carthaginois et refondée par l’empereur romain Constantin, dont elle porte le nom, Constantine est l'une des plus anciennes cités du bassin méditerranéen. Son patrimoine architectural est impressionnant : le Palais Ahmed Bey, joyau ottoman du XIXe siècle, ou encore la Grande Mosquée, édifiée sur les ruines d’un temple romain, témoignent de la richesse de son histoire.

    Le Musée national Cirta, véritable mémoire de la ville, expose des trésors allant de la préhistoire à l’époque coloniale. Autant de preuves que Constantine n’est pas seulement une ville, mais un livre d’histoire à ciel ouvert.

    Une capitale culturelle en perpétuelle effervescence

    Constantine ne se contente pas de préserver son passé : elle le célèbre. En 2015, elle fut désignée Capitale arabe de la culture, une consécration pour cette cité où rayonne encore le malouf, musique arabo-andalouse emblématique de la région. Son festival international du malouf attire chaque année des passionnés venus de tout le Maghreb.

    La ville universitaire qu’est Constantine forme également l’élite de demain : l’Université Mentouri et l’Université Émir Abdelkader sont des références nationales en matière d’enseignement supérieur.

    Un paysage urbain spectaculaire et moderne

    Traversée par le oued Rhumel, Constantine est littéralement sculptée par la nature. Ses ponts mythiques – comme Sidi M’Cid ou Sidi Rached – défient le vide et relient les quartiers de la ville avec audace. Ces chefs-d'œuvre d’ingénierie sont devenus des symboles de résilience et de modernité.

    Au-delà de ses panoramas vertigineux, Constantine se modernise : infrastructures routières rénovées, aéroport international Mohamed Boudiaf, équipements culturels… La ville avance à grands pas sans tourner le dos à ses racines.

    Constantine, ville d’art, d’histoire et de science, prouve qu’il est possible d’honorer le passé tout en construisant l’avenir. Suspendue entre ciel et terre, elle continue de tisser, pont après pont, le fil de son destin.

    #Algérie #Algeria #Algerie #Constantine
    🇩🇿🇩🇿 Constantine : la ville des ponts suspendus entre mémoire et renouveau 🇩🇿 Constantine, perchée sur des falaises spectaculaires du nord-est algérien, fascine par sa beauté naturelle et son héritage historique. Surnommée la « ville des ponts suspendus », elle relie passé prestigieux et ambitions modernes, offrant une expérience unique entre culture, architecture et innovation. Un héritage millénaire au cœur des montagnes Fondée par les Carthaginois et refondée par l’empereur romain Constantin, dont elle porte le nom, Constantine est l'une des plus anciennes cités du bassin méditerranéen. Son patrimoine architectural est impressionnant : le Palais Ahmed Bey, joyau ottoman du XIXe siècle, ou encore la Grande Mosquée, édifiée sur les ruines d’un temple romain, témoignent de la richesse de son histoire. Le Musée national Cirta, véritable mémoire de la ville, expose des trésors allant de la préhistoire à l’époque coloniale. Autant de preuves que Constantine n’est pas seulement une ville, mais un livre d’histoire à ciel ouvert. Une capitale culturelle en perpétuelle effervescence Constantine ne se contente pas de préserver son passé : elle le célèbre. En 2015, elle fut désignée Capitale arabe de la culture, une consécration pour cette cité où rayonne encore le malouf, musique arabo-andalouse emblématique de la région. Son festival international du malouf attire chaque année des passionnés venus de tout le Maghreb. La ville universitaire qu’est Constantine forme également l’élite de demain : l’Université Mentouri et l’Université Émir Abdelkader sont des références nationales en matière d’enseignement supérieur. Un paysage urbain spectaculaire et moderne Traversée par le oued Rhumel, Constantine est littéralement sculptée par la nature. Ses ponts mythiques – comme Sidi M’Cid ou Sidi Rached – défient le vide et relient les quartiers de la ville avec audace. Ces chefs-d'œuvre d’ingénierie sont devenus des symboles de résilience et de modernité. Au-delà de ses panoramas vertigineux, Constantine se modernise : infrastructures routières rénovées, aéroport international Mohamed Boudiaf, équipements culturels… La ville avance à grands pas sans tourner le dos à ses racines. Constantine, ville d’art, d’histoire et de science, prouve qu’il est possible d’honorer le passé tout en construisant l’avenir. Suspendue entre ciel et terre, elle continue de tisser, pont après pont, le fil de son destin. #Algérie #Algeria #Algerie #Constantine
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  • Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien

    Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable.

    Le cœur culturel de la Kabylie

    Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région.

    Une économie entre agriculture et innovation

    Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique.

    Un tourisme en devenir

    Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante.

    Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement

    Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation.

    Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines.
    #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
    🇩🇿🇩🇿 Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien 🇩🇿 Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable. Le cœur culturel de la Kabylie Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région. Une économie entre agriculture et innovation Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique. Un tourisme en devenir Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante. Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation. Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines. #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
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  • Skikda : entre histoire millénaire et modernité industrielle

    Située au nord-est de l’Algérie, sur les rives de la Méditerranée, Skikda est une ville côtière au riche passé historique et à l’économie dynamique. Chef-lieu de la wilaya portant le même nom, elle se trouve à environ 500 km à l’est d’Alger et constitue un carrefour important entre patrimoine, industrie et tourisme.

    Un héritage antique remarquable

    Connue dans l’Antiquité sous le nom de Rusicada, Skikda fut une colonie romaine prospère. De nombreux vestiges témoignent de cette époque, comme le mithraeum découvert en 1845, un sanctuaire dédié au culte de Mithra. Les objets retrouvés lors des fouilles sont aujourd’hui conservés au musée Rusicade, offrant un aperçu précieux de l’histoire de la région.

    Un pilier de l’industrie pétrochimique

    Skikda joue un rôle central dans l’économie algérienne grâce à sa raffinerie pétrochimique, la plus grande du pays, avec une capacité de traitement de plus de 16 millions de tonnes de pétrole brut par an. Son port autonome, actif depuis 1861, est un pôle stratégique pour l’exportation des hydrocarbures et d'autres marchandises.

    Une ville tournée vers le tourisme

    Outre son aspect industriel, Skikda séduit par ses atouts naturels. La corniche de Stora, ses plages aux eaux limpides et ses reliefs verdoyants attirent chaque année de nombreux visiteurs. La ville célèbre également des événements locaux comme la fête de la fraise, valorisant les produits du terroir et les traditions artisanales.

    Un réseau de transport développé

    Skikda est bien connectée au reste du pays grâce à la ligne ferroviaire Alger-Skikda, en service depuis 1870. Elle dispose aussi d’une télécabine urbaine, inaugurée en 2009, facilitant la mobilité entre les hauteurs et le centre-ville tout en offrant des vues panoramiques exceptionnelles.

    Skikda incarne ainsi un parfait équilibre entre passé glorieux, développement industriel et attraits touristiques. C’est une ville en constante évolution, où modernité et traditions se côtoient harmonieusement.
    #Algerie #Algeria #Algérie #Skikda #ILoveAlgeria

    🇩🇿 Skikda : entre histoire millénaire et modernité industrielle 🇩🇿 Située au nord-est de l’Algérie, sur les rives de la Méditerranée, Skikda est une ville côtière au riche passé historique et à l’économie dynamique. Chef-lieu de la wilaya portant le même nom, elle se trouve à environ 500 km à l’est d’Alger et constitue un carrefour important entre patrimoine, industrie et tourisme. Un héritage antique remarquable Connue dans l’Antiquité sous le nom de Rusicada, Skikda fut une colonie romaine prospère. De nombreux vestiges témoignent de cette époque, comme le mithraeum découvert en 1845, un sanctuaire dédié au culte de Mithra. Les objets retrouvés lors des fouilles sont aujourd’hui conservés au musée Rusicade, offrant un aperçu précieux de l’histoire de la région. Un pilier de l’industrie pétrochimique Skikda joue un rôle central dans l’économie algérienne grâce à sa raffinerie pétrochimique, la plus grande du pays, avec une capacité de traitement de plus de 16 millions de tonnes de pétrole brut par an. Son port autonome, actif depuis 1861, est un pôle stratégique pour l’exportation des hydrocarbures et d'autres marchandises. Une ville tournée vers le tourisme Outre son aspect industriel, Skikda séduit par ses atouts naturels. La corniche de Stora, ses plages aux eaux limpides et ses reliefs verdoyants attirent chaque année de nombreux visiteurs. La ville célèbre également des événements locaux comme la fête de la fraise, valorisant les produits du terroir et les traditions artisanales. Un réseau de transport développé Skikda est bien connectée au reste du pays grâce à la ligne ferroviaire Alger-Skikda, en service depuis 1870. Elle dispose aussi d’une télécabine urbaine, inaugurée en 2009, facilitant la mobilité entre les hauteurs et le centre-ville tout en offrant des vues panoramiques exceptionnelles. Skikda incarne ainsi un parfait équilibre entre passé glorieux, développement industriel et attraits touristiques. C’est une ville en constante évolution, où modernité et traditions se côtoient harmonieusement. #Algerie #Algeria #Algérie #Skikda #ILoveAlgeria
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  • Je Suis une Légende 2 : Le Chapitre Final – Le Retour de l’Espoir dans un Monde Dévasté

    La suite tant attendue du classique de science-fiction et d’horreur sorti en 2007 s’apprête à bouleverser les écrans. Je Suis une Légende 2 : Le Chapitre Final signe le grand retour de Will Smith dans la peau de Robert Neville, un survivant hanté par son passé, désormais plongé dans un univers encore plus désolé, ravagé par les conséquences d’un virus destructeur ayant transformé une grande partie de l’humanité en créatures monstrueuses.

    Mais cette fois, Neville n’est plus seul. Dans un monde au bord de l’extinction, il rejoint un groupe de survivants prêts à tout pour préserver les derniers fragments de civilisation. Ensemble, ils affrontent non seulement des mutants toujours plus dangereux, mais aussi les tensions croissantes au sein de leur propre communauté, tiraillée entre espoir et désespoir.

    Ce nouvel opus promet de revisiter les fondements émotionnels du personnage, explorant les cicatrices laissées par ses pertes passées, tout en dévoilant un pan plus intime de son histoire. La quête d’un remède devient une obsession vitale, une ultime chance de rédemption dans un monde qui vacille entre ténèbres et lumière.

    Réalisé avec une intensité renouvelée, ce chapitre final s’annonce comme une fresque post-apocalyptique épique, mêlant action, émotion et réflexion sur ce qu’il reste d’humain lorsque tout semble perdu.
    Je Suis une Légende 2 : Le Chapitre Final – Le Retour de l’Espoir dans un Monde Dévasté La suite tant attendue du classique de science-fiction et d’horreur sorti en 2007 s’apprête à bouleverser les écrans. Je Suis une Légende 2 : Le Chapitre Final signe le grand retour de Will Smith dans la peau de Robert Neville, un survivant hanté par son passé, désormais plongé dans un univers encore plus désolé, ravagé par les conséquences d’un virus destructeur ayant transformé une grande partie de l’humanité en créatures monstrueuses. Mais cette fois, Neville n’est plus seul. Dans un monde au bord de l’extinction, il rejoint un groupe de survivants prêts à tout pour préserver les derniers fragments de civilisation. Ensemble, ils affrontent non seulement des mutants toujours plus dangereux, mais aussi les tensions croissantes au sein de leur propre communauté, tiraillée entre espoir et désespoir. Ce nouvel opus promet de revisiter les fondements émotionnels du personnage, explorant les cicatrices laissées par ses pertes passées, tout en dévoilant un pan plus intime de son histoire. La quête d’un remède devient une obsession vitale, une ultime chance de rédemption dans un monde qui vacille entre ténèbres et lumière. Réalisé avec une intensité renouvelée, ce chapitre final s’annonce comme une fresque post-apocalyptique épique, mêlant action, émotion et réflexion sur ce qu’il reste d’humain lorsque tout semble perdu.
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  • Russell Crowe et Joaquin Phoenix sur le tournage de Gladiator au début des années 2000 : deux légendes, une alchimie inoubliable, et un chef-d'œuvre qui a marqué l’histoire du cinéma. Le Colisée n’a jamais été aussi vivant.

    #Gladiator #RussellCrowe #JoaquinPhoenix #Cinéma #Années2000

    Russell Crowe et Joaquin Phoenix sur le tournage de Gladiator au début des années 2000 : deux légendes, une alchimie inoubliable, et un chef-d'œuvre qui a marqué l’histoire du cinéma. Le Colisée n’a jamais été aussi vivant. #Gladiator #RussellCrowe #JoaquinPhoenix #Cinéma #Années2000
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  • OM : la grosse colère de Longoria !

    Comme le conseiller institutionnel Fabrizio Ravanelli (voir la brève d'hier à 23h25) et l'entraîneur Roberto De Zerbi (voir la brève d'hier à 23h37), le président de l'Olympique de Marseille Pablo Longoria n'a pas apprécié l'arbitrage de Jérémy Stinat lors de la défaite de son équipe à Auxerre (0-3) ce samedi. "Tout est organisé depuis le jaune de Balerdi (à Angers). C'est de la vraie corruption !", a lancé le dirigeant olympien dans les travées de l'Abbé-Deschamps d'après des propos rapportés par La Provence.

    "C’est prévu, c’est orienté cette histoire. Il y a penalty sur Merlin, quatre arbitres européens m’ont dit que c’était le cas. Et le plus gros scandale, c’est le carton rouge de Cornelius", a ajouté l'Espagnol, toujours selon le site du quotidien régional, avant de s'emporter un peu plus : "C’est un championnat de merde (sic). (...) Si l'OM a une proposition pour la Super League, on part tout de suite." Ambiance.

    ⚽️⚽️ #actufoot #premièreleague #ligue1 #RealMadrid #Liga #PSG #newsfoot #football #ManCity #Championsleague #Myqif #MyQifSport #MyQifFoot
    🚨 OM : la grosse colère de Longoria ! Comme le conseiller institutionnel Fabrizio Ravanelli (voir la brève d'hier à 23h25) et l'entraîneur Roberto De Zerbi (voir la brève d'hier à 23h37), le président de l'Olympique de Marseille Pablo Longoria n'a pas apprécié l'arbitrage de Jérémy Stinat lors de la défaite de son équipe à Auxerre (0-3) ce samedi. "Tout est organisé depuis le jaune de Balerdi (à Angers). C'est de la vraie corruption !", a lancé le dirigeant olympien dans les travées de l'Abbé-Deschamps d'après des propos rapportés par La Provence. "C’est prévu, c’est orienté cette histoire. Il y a penalty sur Merlin, quatre arbitres européens m’ont dit que c’était le cas. Et le plus gros scandale, c’est le carton rouge de Cornelius", a ajouté l'Espagnol, toujours selon le site du quotidien régional, avant de s'emporter un peu plus : "C’est un championnat de merde (sic). (...) Si l'OM a une proposition pour la Super League, on part tout de suite." Ambiance. ⚽️⚽️ #actufoot #premièreleague #ligue1 #RealMadrid #Liga #PSG #newsfoot #football #ManCity #Championsleague #Myqif #MyQifSport #MyQifFoot
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  • "MMA le film" : d'un sport interdit à une série Netflix, l'incroyable histoire d'un phénomène
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  • Philadelphia Eagles – Kansas City Chiefs : 40-22

    Il n’y a pas eu de match lors du Super Bowl LIX. Les Eagles ont littéralement pulvérisé les Kansas City Chiefs.

    Constamment sous pression, Patrick Mahomes n’a rien pu faire. Et Philadelphie n’a presque même pas eu à forcer pour remporter le second Super Bowl de son histoire.

    L’attaque des Eagles a suffisamment progressé pour inscrire des points. La défense a fait déjouer les double champions en titre, tout en redonnant des ballons à Jalen Hurts. Les amateurs de suspense attendront l’année prochaine.
    🥇 Philadelphia Eagles – Kansas City Chiefs : 40-22 🏈🏈 Il n’y a pas eu de match lors du Super Bowl LIX. Les Eagles ont littéralement pulvérisé les Kansas City Chiefs. Constamment sous pression, Patrick Mahomes n’a rien pu faire. Et Philadelphie n’a presque même pas eu à forcer pour remporter le second Super Bowl de son histoire. L’attaque des Eagles a suffisamment progressé pour inscrire des points. La défense a fait déjouer les double champions en titre, tout en redonnant des ballons à Jalen Hurts. Les amateurs de suspense attendront l’année prochaine.
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  • Saviez-vous qu'en 1894, la première bouteille de Coca-Cola vendue au public contenait environ 3,5 grammes de cocaïne ? À l'époque, cette boisson était commercialisée comme un "tonique revitalisant" ! Heureusement, la recette a bien évolué depuis... #Histoire #CocaCola
    Saviez-vous qu'en 1894, la première bouteille de Coca-Cola vendue au public contenait environ 3,5 grammes de cocaïne ? À l'époque, cette boisson était commercialisée comme un "tonique revitalisant" ! Heureusement, la recette a bien évolué depuis... 🍶✨ #Histoire #CocaCola
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