• Algerian Kabyle Women.
    El Kantara, Algeria,ca. 1925
    🇩🇿 Algerian Kabyle Women. 📍El Kantara, Algeria,ca. 1925
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  • Algérie : entre immensité territoriale et richesse culturelle
    L’Algérie, plus grand pays d’Afrique avec une superficie de 2 381 741 km², est une terre de contrastes et de diversité. Bordée par la Méditerranée au nord et dominée par le Sahara au sud, elle offre une mosaïque de paysages allant des montagnes de Kabylie aux dunes du Hoggar.

    Au cœur de cette immensité, l’Algérie abrite un patrimoine culturel d’une richesse remarquable. Influencée par des civilisations berbères, arabes, ottomanes et françaises, la culture algérienne se distingue par sa diversité linguistique – avec l’arabe et le tamazight comme langues officielles – et par ses traditions vivantes.

    La musique (raï, chaâbi, kabyle), la gastronomie variée, les villes historiques comme la Casbah d’Alger, et les sites antiques romains tels que Timgad ou Tipasa témoignent de ce riche héritage. L’artisanat local, les festivités régionales et une littérature engagée complètent ce paysage culturel unique.

    L’Algérie est donc bien plus qu’un territoire vaste : c’est un carrefour de cultures, d’histoires et de peuples qui façonnent son identité singulière au fil du temps.
    #algerie
    🇩🇿🇩🇿 Algérie : entre immensité territoriale et richesse culturelle 🇩🇿🇩🇿 L’Algérie, plus grand pays d’Afrique avec une superficie de 2 381 741 km², est une terre de contrastes et de diversité. Bordée par la Méditerranée au nord et dominée par le Sahara au sud, elle offre une mosaïque de paysages allant des montagnes de Kabylie aux dunes du Hoggar. Au cœur de cette immensité, l’Algérie abrite un patrimoine culturel d’une richesse remarquable. Influencée par des civilisations berbères, arabes, ottomanes et françaises, la culture algérienne se distingue par sa diversité linguistique – avec l’arabe et le tamazight comme langues officielles – et par ses traditions vivantes. La musique (raï, chaâbi, kabyle), la gastronomie variée, les villes historiques comme la Casbah d’Alger, et les sites antiques romains tels que Timgad ou Tipasa témoignent de ce riche héritage. L’artisanat local, les festivités régionales et une littérature engagée complètent ce paysage culturel unique. L’Algérie est donc bien plus qu’un territoire vaste : c’est un carrefour de cultures, d’histoires et de peuples qui façonnent son identité singulière au fil du temps. #algerie
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  • Voici la recette authentique des Taqelbabine kabyles à la viande halal, également connues sous le nom de Tikourbabine ou Tiasbanine. Ce plat traditionnel est un incontournable de la cuisine kabyle, souvent préparé lors des grandes occasions ou des repas familiaux.

    Ingrédients (pour 6 personnes)

    Pour les boulettes de semoule :

    500 g de semoule moyenne
    1 oignon râpé
    1 tomate râpée
    4 gousses d’ail hachées
    1/2 bouquet de coriandre fraîche, ciselée
    1/2 bouquet de menthe fraîche, ciselée
    1 c. à soupe de concentré de tomate
    1 c. à soupe de paprika
    Sel et poivre au goût
    100 ml d’un mélange d’huile d’olive et huile de tournesol
    Eau tiède (environ 100 ml, à ajuster selon la texture)

    Pour la sauce :

    1 kg de viande halal (agneau, bœuf ou poulet, coupée en morceaux)
    2 oignons hachés
    1 tomate râpée
    1 c. à soupe de concentré de tomate
    1 c. à soupe de paprika
    1 c. à soupe de ras el-hanout
    Sel et poivre au goût
    1 poignée de pois chiches trempés la veille
    3 carottes, coupées en rondelles
    2 courgettes, coupées en gros morceaux
    1 pomme de terre, coupée en dés
    2 litres d’eau
    2 à 3 c. à soupe d’huile

    Préparation

    Préparation des boulettes de semoule

    1. Dans un grand saladier, mélangez la semoule avec l’oignon, la tomate, l’ail, les herbes fraîches, le concentré de tomate, le paprika, le sel et le poivre.

    2. Ajoutez le mélange d’huile puis un peu d’eau tiède en travaillant la pâte à la main, jusqu’à obtenir une pâte ferme et homogène.

    3. Formez des petites boulettes de la taille d’une noix. Réservez à température ambiante.

    ✅️ Préparation de la sauce

    1. Dans une grande marmite, faites chauffer l’huile, puis faites revenir la viande jusqu’à ce qu’elle colore légèrement.

    2. Ajoutez les oignons hachés, laissez fondre quelques minutes.

    3. Ajoutez la tomate râpée, le concentré, les épices, le sel et le poivre.

    4. Ajoutez ensuite les pois chiches et couvrez avec 2 litres d’eau chaude.

    5. Portez à ébullition puis baissez le feu. Laissez mijoter 30 à 40 minutes, jusqu’à ce que la viande soit presque cuite.

    6. Ajoutez les légumes : carottes, courgettes, pommes de terre. Laissez encore cuire 15 à 20 minutes.

    ✅️ Cuisson des boulettes

    1. Une fois les légumes presque tendres, plongez délicatement les boulettes dans la sauce, en les espaçant légèrement.

    2. Couvrez la marmite, laissez cuire à feu doux environ 30 à 40 minutes.

    3. Ne remuez pas avec une cuillère pour ne pas casser les boulettes. Secouez légèrement la marmite si nécessaire.

    ✅️ Service

    Disposez les boulettes dans un grand plat creux.
    Entourez-les des légumes et de morceaux de viande.
    Arrosez de sauce.
    Parsemez de menthe fraîche ciselée au moment de servir.

    #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    🇩🇿 Voici la recette authentique des Taqelbabine kabyles à la viande halal, également connues sous le nom de Tikourbabine ou Tiasbanine. Ce plat traditionnel est un incontournable de la cuisine kabyle, souvent préparé lors des grandes occasions ou des repas familiaux. 🥘 Ingrédients (pour 6 personnes) ➡️ Pour les boulettes de semoule : ▪️500 g de semoule moyenne ▪️1 oignon râpé ▪️1 tomate râpée ▪️4 gousses d’ail hachées ▪️1/2 bouquet de coriandre fraîche, ciselée ▪️1/2 bouquet de menthe fraîche, ciselée ▪️1 c. à soupe de concentré de tomate ▪️1 c. à soupe de paprika ▪️Sel et poivre au goût ▪️100 ml d’un mélange d’huile d’olive et huile de tournesol ▪️Eau tiède (environ 100 ml, à ajuster selon la texture) ➡️ Pour la sauce : ▪️1 kg de viande halal (agneau, bœuf ou poulet, coupée en morceaux) ▪️2 oignons hachés ▪️1 tomate râpée ▪️1 c. à soupe de concentré de tomate ▪️1 c. à soupe de paprika ▪️1 c. à soupe de ras el-hanout ▪️Sel et poivre au goût ▪️1 poignée de pois chiches trempés la veille ▪️3 carottes, coupées en rondelles ▪️2 courgettes, coupées en gros morceaux ▪️1 pomme de terre, coupée en dés ▪️2 litres d’eau ▪️2 à 3 c. à soupe d’huile 🥘 Préparation ➡️ Préparation des boulettes de semoule 1. Dans un grand saladier, mélangez la semoule avec l’oignon, la tomate, l’ail, les herbes fraîches, le concentré de tomate, le paprika, le sel et le poivre. 2. Ajoutez le mélange d’huile puis un peu d’eau tiède en travaillant la pâte à la main, jusqu’à obtenir une pâte ferme et homogène. 3. Formez des petites boulettes de la taille d’une noix. Réservez à température ambiante. ✅️ Préparation de la sauce 1. Dans une grande marmite, faites chauffer l’huile, puis faites revenir la viande jusqu’à ce qu’elle colore légèrement. 2. Ajoutez les oignons hachés, laissez fondre quelques minutes. 3. Ajoutez la tomate râpée, le concentré, les épices, le sel et le poivre. 4. Ajoutez ensuite les pois chiches et couvrez avec 2 litres d’eau chaude. 5. Portez à ébullition puis baissez le feu. Laissez mijoter 30 à 40 minutes, jusqu’à ce que la viande soit presque cuite. 6. Ajoutez les légumes : carottes, courgettes, pommes de terre. Laissez encore cuire 15 à 20 minutes. ✅️ Cuisson des boulettes 1. Une fois les légumes presque tendres, plongez délicatement les boulettes dans la sauce, en les espaçant légèrement. 2. Couvrez la marmite, laissez cuire à feu doux environ 30 à 40 minutes. 3. Ne remuez pas avec une cuillère pour ne pas casser les boulettes. Secouez légèrement la marmite si nécessaire. ✅️ Service ▪️Disposez les boulettes dans un grand plat creux. ▪️Entourez-les des légumes et de morceaux de viande. ▪️Arrosez de sauce. ▪️Parsemez de menthe fraîche ciselée au moment de servir. #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • Krim Belkacem : le stratège du FLN et artisan des Accords d'Évian

    Dans l’histoire contemporaine de l’Algérie, rares sont les figures aussi marquantes que Krim Belkacem. Né le 31 août 1922 à Aït Yahia Moussa, en Kabylie, il fut un acteur majeur de la lutte pour l’indépendance nationale et l’un des principaux architectes de la diplomatie algérienne pendant la guerre de libération.

    Un patriote engagé dès sa jeunesse

    Issu d’un milieu modeste, Krim Belkacem s’intéresse très tôt à la cause nationale. Il milite d’abord dans les rangs du Parti du Peuple Algérien (PPA), avant de rejoindre le Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD). Rapidement ciblé par les autorités coloniales, il prend le maquis en Kabylie, une région qu’il connaît parfaitement et qui deviendra son principal terrain d’action.

    Le chef militaire de la Wilaya III

    Membre fondateur du Comité Révolutionnaire d’Unité et d’Action (CRUA), il participe activement à la préparation de l’insurrection du 1er novembre 1954, qui marque le début officiel de la guerre d’indépendance. Commandant de la Wilaya III (Kabylie), il impose une organisation militaire structurée, discipline les maquis et mène plusieurs opérations majeures contre les troupes françaises.

    Krim Belkacem se distingue rapidement par ses qualités de meneur d’hommes, son intelligence tactique et sa connaissance du terrain. Sous son commandement, la région kabyle devient un bastion de la lutte armée et un exemple de résistance pour les autres wilayas.

    Un homme d’État et diplomate respecté

    En 1958, avec la création du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA), Krim Belkacem est nommé ministre des Forces armées. Il prend une place centrale dans la direction politique et militaire de la Révolution. À ce poste, il devient l’un des principaux interlocuteurs de la France durant les pourparlers qui mèneront à l’indépendance.

    Il est surtout connu pour son rôle décisif dans la négociation des Accords d'Évian, signés en mars 1962, qui mettent officiellement fin à huit années de guerre et ouvrent la voie à la souveraineté algérienne. Il signe les accords en tant que représentant du FLN, consacrant ainsi son image de bâtisseur de la paix.

    Un héros de la nation

    Krim Belkacem est aujourd’hui reconnu comme l’un des héros les plus emblématiques de la guerre d’indépendance. Son nom est associé à la détermination, au courage et à la stratégie. Il repose au Carré des Martyrs du cimetière d’El Alia à Alger, aux côtés d’autres grandes figures de la Révolution.

    Son parcours demeure un symbole pour de nombreuses générations d’Algériens, et son héritage continue d’inspirer les défenseurs de la liberté et de la justice.

    #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news

    Krim Belkacem : le stratège du FLN et artisan des Accords d'Évian 🇩🇿 Dans l’histoire contemporaine de l’Algérie, rares sont les figures aussi marquantes que Krim Belkacem. Né le 31 août 1922 à Aït Yahia Moussa, en Kabylie, il fut un acteur majeur de la lutte pour l’indépendance nationale et l’un des principaux architectes de la diplomatie algérienne pendant la guerre de libération. ➡️ Un patriote engagé dès sa jeunesse Issu d’un milieu modeste, Krim Belkacem s’intéresse très tôt à la cause nationale. Il milite d’abord dans les rangs du Parti du Peuple Algérien (PPA), avant de rejoindre le Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD). Rapidement ciblé par les autorités coloniales, il prend le maquis en Kabylie, une région qu’il connaît parfaitement et qui deviendra son principal terrain d’action. ➡️ Le chef militaire de la Wilaya III Membre fondateur du Comité Révolutionnaire d’Unité et d’Action (CRUA), il participe activement à la préparation de l’insurrection du 1er novembre 1954, qui marque le début officiel de la guerre d’indépendance. Commandant de la Wilaya III (Kabylie), il impose une organisation militaire structurée, discipline les maquis et mène plusieurs opérations majeures contre les troupes françaises. Krim Belkacem se distingue rapidement par ses qualités de meneur d’hommes, son intelligence tactique et sa connaissance du terrain. Sous son commandement, la région kabyle devient un bastion de la lutte armée et un exemple de résistance pour les autres wilayas. ➡️ Un homme d’État et diplomate respecté En 1958, avec la création du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA), Krim Belkacem est nommé ministre des Forces armées. Il prend une place centrale dans la direction politique et militaire de la Révolution. À ce poste, il devient l’un des principaux interlocuteurs de la France durant les pourparlers qui mèneront à l’indépendance. Il est surtout connu pour son rôle décisif dans la négociation des Accords d'Évian, signés en mars 1962, qui mettent officiellement fin à huit années de guerre et ouvrent la voie à la souveraineté algérienne. Il signe les accords en tant que représentant du FLN, consacrant ainsi son image de bâtisseur de la paix. ➡️ Un héros de la nation Krim Belkacem est aujourd’hui reconnu comme l’un des héros les plus emblématiques de la guerre d’indépendance. Son nom est associé à la détermination, au courage et à la stratégie. Il repose au Carré des Martyrs du cimetière d’El Alia à Alger, aux côtés d’autres grandes figures de la Révolution. Son parcours demeure un symbole pour de nombreuses générations d’Algériens, et son héritage continue d’inspirer les défenseurs de la liberté et de la justice. #myqif #alger #algeria #algerie #infos ##ActuAlgérie #news
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  • Les vêtements traditionnels algériens : un patrimoine riche et régionalisé

    L’Algérie possède un héritage vestimentaire exceptionnel, reflet de sa diversité culturelle et de son histoire millénaire. Chaque région du pays a su préserver et transmettre ses propres tenues traditionnelles, portées encore aujourd’hui lors des fêtes, mariages et cérémonies religieuses. Ces habits varient en style, en matières et en ornements, selon les climats, les coutumes et les influences historiques.

    ✅️ Vêtements féminins traditionnels

    La robe kabyle (taqendurt) : Originaire de Kabylie, cette robe colorée en coton est brodée de motifs géométriques et souvent associée à des bijoux en argent.
    La blouza oranaise : Typique de l’ouest algérien, notamment Oran, cette robe élégante en soie ou en velours est portée lors des grandes occasions.
    Le karakou : Vêtement emblématique d’Alger, composé d’une veste en velours brodée d’or, portée avec un pantalon ou une jupe large.
    Le caftan algérien : Présent dans plusieurs régions, c’est une robe longue richement décorée, symbole d’élégance dans les cérémonies.
    Le haïk : Voile blanc couvrant tout le corps, autrefois courant dans toutes les grandes villes, aujourd’hui conservé pour des occasions spéciales.

    ✅️ Vêtements masculins traditionnels

    Le burnous : Manteau en laine muni d'une capuche, porté principalement dans les zones montagneuses comme la Kabylie ou les Aurès. Il symbolise la sagesse et la dignité.
    La gandoura : Tunique ample sans manches, portée dans le Nord et le Sud, adaptée aux chaleurs du climat.
    Le sarouel : Pantalon large et confortable, très utilisé dans toutes les régions.
    La chachia : Petit couvre-chef rouge, souvent porté lors des fêtes ou en combinaison avec d’autres vêtements traditionnels.
    Le tagoulmoust (voile facial touareg) : Porté dans le Sahara, il protège du sable et de la chaleur.

    ✅️ Des influences régionales variées

    En Kabylie, les vêtements sont brodés de couleurs vives, souvent accompagnés de bijoux berbères en argent.
    À Oran, l’influence andalouse se reflète dans les tenues sophistiquées comme la blouza.
    À Constantine et à l’Est, le port du burnous et de la gandoura est très répandu.
    Dans le Sahara, les tenues touarègues sont conçues pour affronter les conditions climatiques extrêmes.

    ✅️ Un patrimoine vivant

    Bien que modernisées, ces tenues sont toujours présentes dans les mariages, fêtes religieuses et défilés culturels. Elles incarnent un lien fort avec les racines et l’identité algérienne, témoignant de la richesse et de la diversité du patrimoine vestimentaire du pays.
    #cultureAlgérienne #Algérie #Algeria #MyQif
    🇩🇿🇩🇿 Les vêtements traditionnels algériens : un patrimoine riche et régionalisé 🇩🇿🇩🇿 L’Algérie possède un héritage vestimentaire exceptionnel, reflet de sa diversité culturelle et de son histoire millénaire. Chaque région du pays a su préserver et transmettre ses propres tenues traditionnelles, portées encore aujourd’hui lors des fêtes, mariages et cérémonies religieuses. Ces habits varient en style, en matières et en ornements, selon les climats, les coutumes et les influences historiques. ✅️ Vêtements féminins traditionnels ➡️ La robe kabyle (taqendurt) : Originaire de Kabylie, cette robe colorée en coton est brodée de motifs géométriques et souvent associée à des bijoux en argent. ➡️ La blouza oranaise : Typique de l’ouest algérien, notamment Oran, cette robe élégante en soie ou en velours est portée lors des grandes occasions. ➡️ Le karakou : Vêtement emblématique d’Alger, composé d’une veste en velours brodée d’or, portée avec un pantalon ou une jupe large. ➡️ Le caftan algérien : Présent dans plusieurs régions, c’est une robe longue richement décorée, symbole d’élégance dans les cérémonies. ➡️ Le haïk : Voile blanc couvrant tout le corps, autrefois courant dans toutes les grandes villes, aujourd’hui conservé pour des occasions spéciales. ✅️ Vêtements masculins traditionnels ➡️ Le burnous : Manteau en laine muni d'une capuche, porté principalement dans les zones montagneuses comme la Kabylie ou les Aurès. Il symbolise la sagesse et la dignité. ➡️ La gandoura : Tunique ample sans manches, portée dans le Nord et le Sud, adaptée aux chaleurs du climat. ➡️ Le sarouel : Pantalon large et confortable, très utilisé dans toutes les régions. ➡️ La chachia : Petit couvre-chef rouge, souvent porté lors des fêtes ou en combinaison avec d’autres vêtements traditionnels. ➡️ Le tagoulmoust (voile facial touareg) : Porté dans le Sahara, il protège du sable et de la chaleur. ✅️ Des influences régionales variées ➡️ En Kabylie, les vêtements sont brodés de couleurs vives, souvent accompagnés de bijoux berbères en argent. ➡️ À Oran, l’influence andalouse se reflète dans les tenues sophistiquées comme la blouza. ➡️ À Constantine et à l’Est, le port du burnous et de la gandoura est très répandu. ➡️ Dans le Sahara, les tenues touarègues sont conçues pour affronter les conditions climatiques extrêmes. ✅️ Un patrimoine vivant Bien que modernisées, ces tenues sont toujours présentes dans les mariages, fêtes religieuses et défilés culturels. Elles incarnent un lien fort avec les racines et l’identité algérienne, témoignant de la richesse et de la diversité du patrimoine vestimentaire du pays. #cultureAlgérienne #Algérie #Algeria #MyQif
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  • Plats traditionnels algériens par région

    ✅️ Kabylie (Nord-Est)
    Couscous kabyle
    Ameqfoul (couscous printanier)
    Chakhchoukha (galettes émiettées en sauce)
    Mtewem (viande en sauce blanche ou rouge)
    Tajine Lmadgoug (boulettes farcies)

    ✅️ Sahara (Sud)
    Couscous du Sud
    Makhtouma (semoule, viande et légumes)
    M’semmen (galettes feuilletées)
    M’khabez (pâtisserie fine)

    ✅️ Oranie (Ouest)
    Calentica
    Chorba frik (soupe au blé concassé)
    Tajine El Karess
    Chorba bel houte (soupe de poisson)

    ✅️ Algérois (Centre)
    Chorba beïda (soupe blanche)
    Berkoukes (pâtes en sauce)
    Boudin noir (Mellah)

    ✅️ Hauts Plateaux (Centre-Est)
    Couscous Staïfi
    Chakhchoukha
    Chorba frik

    ✅️ Constantine
    Chorba beïda et frik
    Chakhchoukha

    ✅️ Tlemcen
    Couscous tlemcénien
    Chorba frik
    Chakhchoukha

    Chaque région d’Algérie possède ses recettes emblématiques, transmises avec fierté de génération en génération. N'hésitez pas à ajouter en commentaire celles qui ne sont pas mentionnées... défendez vos régions
    #Algerie #Algérie

    🇩🇿🇩🇿 Plats traditionnels algériens par région 💪 ✅️ Kabylie (Nord-Est) ▪️Couscous kabyle ▪️Ameqfoul (couscous printanier) ▪️Chakhchoukha (galettes émiettées en sauce) ▪️Mtewem (viande en sauce blanche ou rouge) ▪️Tajine Lmadgoug (boulettes farcies) ✅️ Sahara (Sud) ▪️Couscous du Sud ▪️Makhtouma (semoule, viande et légumes) ▪️M’semmen (galettes feuilletées) ▪️M’khabez (pâtisserie fine) ✅️ Oranie (Ouest) ▪️Calentica ▪️Chorba frik (soupe au blé concassé) ▪️Tajine El Karess ▪️Chorba bel houte (soupe de poisson) ✅️ Algérois (Centre) ▪️Chorba beïda (soupe blanche) ▪️Berkoukes (pâtes en sauce) ▪️Boudin noir (Mellah) ✅️ Hauts Plateaux (Centre-Est) ▪️Couscous Staïfi ▪️Chakhchoukha ▪️Chorba frik ✅️ Constantine ▪️Chorba beïda et frik ▪️Chakhchoukha ✅️ Tlemcen ▪️Couscous tlemcénien ▪️Chorba frik ▪️Chakhchoukha Chaque région d’Algérie possède ses recettes emblématiques, transmises avec fierté de génération en génération. N'hésitez pas à ajouter en commentaire celles qui ne sont pas mentionnées... défendez vos régions 😁 #Algerie #Algérie
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  • L’Algérie fait le buzz chez les investisseurs saoudiens : plusieurs accords viennent d’être signés dans le tourisme, le BTP et la tech. Ça sent les gros projets et un vrai boost pour les deux économies. Alger et Riyad sont clairement en mode business ensemble. #algerie #kabyle #dz #myqif
    🇩🇿 🇸🇦 L’Algérie fait le buzz chez les investisseurs saoudiens : plusieurs accords viennent d’être signés dans le tourisme, le BTP et la tech. Ça sent les gros projets et un vrai boost pour les deux économies. Alger et Riyad sont clairement en mode business ensemble. #algerie #kabyle #dz #myqif
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  • Béjaïa, perle de la Méditerranée et sentinelle de l’histoire kabyle

    Entre la mer et la montagne, entre le souvenir des civilisations et l’éclat éternel de ses paysages, Béjaïa se dresse comme un joyau délicatement posé sur la côte algérienne. Ville de lumière et de mémoire, elle offre à celui qui s’y attarde une leçon d’élégance naturelle et de profondeur historique.

    Béjaïa. À la seule évocation de son nom, le voyageur imagine déjà l’odeur du sel marin mêlée aux senteurs des pins d’Alep, le bruit du ressac contre les rochers, et le chant discret du vent qui s’élève des montagnes du Djurdjura. Nichée entre mer et falaises, cette ville kabyle, autrefois appelée Bougie par les navigateurs et les marchands européens, possède une aura qui dépasse largement les frontières de l’Algérie. Elle est un écrin où se conjuguent, avec une rare harmonie, la beauté brute de la nature et la richesse d’un passé plurimillénaire.

    Il faut voir le soleil se lever sur le cap Carbon pour comprendre ce qui rend Béjaïa si singulière. Les premiers rayons glissent sur les eaux calmes de la baie, caressent les crêtes boisées du parc national de Gouraya, puis s’attardent sur les vieilles pierres des bâtisses hammadides, témoins d’une époque où la ville était une capitale florissante, un phare de science et de culture dans tout le bassin méditerranéen. Car Béjaïa, avant d’être une station balnéaire prisée ou une ville portuaire, fut une métropole intellectuelle de premier plan, accueillant au XIe siècle savants, astronomes, philosophes, et même le célèbre mathématicien Fibonacci, qui y découvrit les chiffres dits « arabes » avant de les transmettre à l’Europe.

    Chaque ruelle du centre historique semble porter l’écho discret des civilisations qui s’y sont succédé : phéniciens, romains, vandales, byzantins, arabes, berbères, tous ont laissé une empreinte. Mais c’est sous la dynastie des Hammadides que Béjaïa connut son apogée. Capitale raffinée, elle rayonnait par ses bibliothèques, ses écoles et ses jardins, devenant un véritable carrefour culturel où se croisaient langues, croyances et idées.

    Aujourd’hui encore, l’on peut contempler la Porte de la mer, vestige imposant de cette époque fastueuse, ouvrant autrefois sur le monde connu et sur les flottes venues de Tunis, de Gênes ou de Marseille. Les murs, patinés par le temps et les embruns, racontent en silence la gloire passée d’une ville qui fut, des siècles durant, l’une des capitales intellectuelles du Maghreb.

    Mais l’histoire n’est pas la seule à captiver à Béjaïa. La nature y déploie une majesté presque irréelle. Le parc national de Gouraya, classé réserve de biosphère par l’UNESCO, abrite une biodiversité rare, entre forêts denses, falaises abruptes plongeant dans la mer et sommets calcaires offrant des vues panoramiques à couper le souffle. C’est là, dans ce royaume suspendu entre ciel et terre, que vit encore le singe magot, témoin silencieux de l’harmonie millénaire entre l’homme et la nature.

    Les plages de Béjaïa, quant à elles, n’ont rien à envier aux plus grandes destinations méditerranéennes. Celles de Tichy, Aokas, Saket ou Boulimat s’étendent en courbes douces, bordées de collines verdoyantes. Le sable y est blond, les eaux limpides, et l’atmosphère, toujours, est empreinte de cette douceur de vivre propre aux villes maritimes où l’histoire se mêle à la brise.

    Ce qui frappe le plus à Béjaïa, c’est sans doute cette capacité à conjuguer la majesté du passé avec la beauté intacte de son environnement. Rien n’y semble figé, mais tout respire l’authenticité. Que l’on s’aventure dans les hauteurs du fort de Gouraya, que l’on déambule sur la corniche au coucher du soleil, ou que l’on se recueille devant les vestiges antiques, on ressent toujours la même émotion : celle d’être à la fois minuscule devant tant de grandeur, et infiniment lié à ce lieu qui, sans effort, parle à l’âme.

    Béjaïa n’est pas qu’une ville. Elle est une poésie minérale, un récit vivant, une offrande à tous ceux qui savent encore regarder le monde avec émerveillement.
    #Algérie #Algeria #Bejaïa

    🇩🇿🇩🇿 Béjaïa, perle de la Méditerranée et sentinelle de l’histoire kabyle 🇩🇿 Entre la mer et la montagne, entre le souvenir des civilisations et l’éclat éternel de ses paysages, Béjaïa se dresse comme un joyau délicatement posé sur la côte algérienne. Ville de lumière et de mémoire, elle offre à celui qui s’y attarde une leçon d’élégance naturelle et de profondeur historique. Béjaïa. À la seule évocation de son nom, le voyageur imagine déjà l’odeur du sel marin mêlée aux senteurs des pins d’Alep, le bruit du ressac contre les rochers, et le chant discret du vent qui s’élève des montagnes du Djurdjura. Nichée entre mer et falaises, cette ville kabyle, autrefois appelée Bougie par les navigateurs et les marchands européens, possède une aura qui dépasse largement les frontières de l’Algérie. Elle est un écrin où se conjuguent, avec une rare harmonie, la beauté brute de la nature et la richesse d’un passé plurimillénaire. Il faut voir le soleil se lever sur le cap Carbon pour comprendre ce qui rend Béjaïa si singulière. Les premiers rayons glissent sur les eaux calmes de la baie, caressent les crêtes boisées du parc national de Gouraya, puis s’attardent sur les vieilles pierres des bâtisses hammadides, témoins d’une époque où la ville était une capitale florissante, un phare de science et de culture dans tout le bassin méditerranéen. Car Béjaïa, avant d’être une station balnéaire prisée ou une ville portuaire, fut une métropole intellectuelle de premier plan, accueillant au XIe siècle savants, astronomes, philosophes, et même le célèbre mathématicien Fibonacci, qui y découvrit les chiffres dits « arabes » avant de les transmettre à l’Europe. Chaque ruelle du centre historique semble porter l’écho discret des civilisations qui s’y sont succédé : phéniciens, romains, vandales, byzantins, arabes, berbères, tous ont laissé une empreinte. Mais c’est sous la dynastie des Hammadides que Béjaïa connut son apogée. Capitale raffinée, elle rayonnait par ses bibliothèques, ses écoles et ses jardins, devenant un véritable carrefour culturel où se croisaient langues, croyances et idées. Aujourd’hui encore, l’on peut contempler la Porte de la mer, vestige imposant de cette époque fastueuse, ouvrant autrefois sur le monde connu et sur les flottes venues de Tunis, de Gênes ou de Marseille. Les murs, patinés par le temps et les embruns, racontent en silence la gloire passée d’une ville qui fut, des siècles durant, l’une des capitales intellectuelles du Maghreb. Mais l’histoire n’est pas la seule à captiver à Béjaïa. La nature y déploie une majesté presque irréelle. Le parc national de Gouraya, classé réserve de biosphère par l’UNESCO, abrite une biodiversité rare, entre forêts denses, falaises abruptes plongeant dans la mer et sommets calcaires offrant des vues panoramiques à couper le souffle. C’est là, dans ce royaume suspendu entre ciel et terre, que vit encore le singe magot, témoin silencieux de l’harmonie millénaire entre l’homme et la nature. Les plages de Béjaïa, quant à elles, n’ont rien à envier aux plus grandes destinations méditerranéennes. Celles de Tichy, Aokas, Saket ou Boulimat s’étendent en courbes douces, bordées de collines verdoyantes. Le sable y est blond, les eaux limpides, et l’atmosphère, toujours, est empreinte de cette douceur de vivre propre aux villes maritimes où l’histoire se mêle à la brise. Ce qui frappe le plus à Béjaïa, c’est sans doute cette capacité à conjuguer la majesté du passé avec la beauté intacte de son environnement. Rien n’y semble figé, mais tout respire l’authenticité. Que l’on s’aventure dans les hauteurs du fort de Gouraya, que l’on déambule sur la corniche au coucher du soleil, ou que l’on se recueille devant les vestiges antiques, on ressent toujours la même émotion : celle d’être à la fois minuscule devant tant de grandeur, et infiniment lié à ce lieu qui, sans effort, parle à l’âme. Béjaïa n’est pas qu’une ville. Elle est une poésie minérale, un récit vivant, une offrande à tous ceux qui savent encore regarder le monde avec émerveillement. #Algérie #Algeria #Bejaïa
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  • Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien

    Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable.

    Le cœur culturel de la Kabylie

    Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région.

    Une économie entre agriculture et innovation

    Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique.

    Un tourisme en devenir

    Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante.

    Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement

    Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation.

    Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines.
    #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
    🇩🇿🇩🇿 Tizi Ouzou, carrefour de la culture kabyle et du renouveau algérien 🇩🇿 Nichée entre les montagnes du Djurdjura et les vallées verdoyantes du nord algérien, Tizi Ouzou incarne l’âme vivante de la Kabylie. Ville de savoir, d’histoire et d’identité, elle conjugue traditions ancestrales, dynamique universitaire et ambitions de développement durable. Le cœur culturel de la Kabylie Berceau de la culture amazighe, Tizi Ouzou est au centre des luttes identitaires et culturelles algériennes. C’est ici qu’a émergé, en 1980, le Printemps berbère, mouvement historique en faveur de la reconnaissance de la langue et de la culture kabyles. L’université Mouloud Mammeri – du nom du célèbre écrivain et linguiste – reste un bastion de cette mémoire militante, tout en formant chaque année des milliers d’étudiants venus de toute la région. Une économie entre agriculture et innovation Longtemps tournée vers l’agriculture, notamment la culture de l’olivier et la production d’huile d’olive, Tizi Ouzou entame une transition économique. Certaines communes rurales comme Boudjima se distinguent par leurs projets écoresponsables, à l’image de l’installation de panneaux solaires pour réduire la facture énergétique. Ces initiatives locales marquent une volonté de développement durable et d’autonomie énergétique. Un tourisme en devenir Avec plus de 130 sites naturels et culturels répertoriés, la wilaya de Tizi Ouzou dispose d’un potentiel touristique considérable. Des villages perchés comme Ath Yenni aux sources thermales, en passant par les forêts du Djurdjura, la région attire de plus en plus de visiteurs curieux de découvrir la Kabylie authentique. Cependant, l’offre touristique reste encore largement à structurer pour répondre à la demande croissante. Des infrastructures modernes dans une ville en mouvement Tizi Ouzou n’est pas figée dans son passé. La ville s’équipe progressivement : une nouvelle gare ferroviaire, opérationnelle depuis 2017, relie la région au Grand Alger. Plus récemment, une télécabine urbaine a été inaugurée pour désengorger la circulation et relier efficacement les différents quartiers. Ces aménagements traduisent une volonté d’ouverture et de modernisation. Tizi Ouzou, entre fierté identitaire et renouveau économique, reste une ville-pivot dans l’Algérie d’aujourd’hui. À l’image de sa jeunesse, elle cherche à bâtir un avenir sans renier ses racines. #Algérie #Algerie #Algeria #TiziOuzou
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